Le retour d'Emilie (2)
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le retour d'Emilie (2)
Émilie pleurait sur mon épaule. Je tentais de la consoler, mais mes paroles apaisantes n’eurent aucun effet. Je pouvais lui dire que nous avions déjà fait l’amour à trois, avec elle et son frère, que si Erwann n’avait pas voulu qu’elle le baise il l’aurait dit, que c’était un moment d’égarement, que je ne lui en voulais pas, que ça ne faisait pas d’elle une pute. Ses larmes coulaient et ne semblaient pas vouloir s’arrêter. Je l’embrassais. Sa bouche avait le gout de ses larmes, salées.
— Viens, lui dis-je, en la prenant par la main.
Je le fis rentrer, et la conduisit dans notre chambre.
— Notre chambre lui dis-je, je ne dis pas ta chambre, mais la notre. Je veux vivre ici avec toi, et je m’en fous de ce que tu as fait cet été.
Je lui ôtais ses vêtements, en douceur. Nue, frissonnante devant moi, je commençais à embrasser ses seins, suçotant ses tétons, les faisant durcir entre mes lèvres. Mes mains couraient sur sa peau, flattant ses courbes, réchauffant son corps.
— J’aime ce corps, lui dis-je, pour tout ce qu’il est, tout ce qu’il fait, et tout ce qu’il contient.
Je repris sa bouche contre la mienne et la poussai vers le lit. Sans quitter ses lèvres je l’allongeai, et vint me poser sur elle, mon torse s’écrasant sur ses seins, mon sexe durci par le désir, contenu dans mon caleçon et mon pantalon, se posant sur sa fente humide. Elle posa ses mains sur les fesses, les massa, et chercha ma braguette, défit les boutons, et sortit ma bite qu’elle guida vers son antre chaud. Je m’y glissai, retrouvant comme à chaque fois le plaisir de son sexe. Ses mains remontèrent sur mes fesses et imprimèrent le rythme de mes premiers va-et-vient. Lents, profond, je rentrais en elle et en sortais complètement à chaque fois. Nos bouches ne s’étaient pas séparées. Nos langues dansaient l’une avec l’autre. Émilie se fit plus pressante, augmentant la vitesse. Soulevant son bassin pour mieux m’accueillir, faisant glisser mon pantalon et caleçon libérant mes fesses qu’elle continuait de caresser fermement.
D’un coup elle inversa les positions, revenant se placer sur moi, dans cette position qu’elle aimait tant. Je vis ses seins magnifiques se balançant en rythme. Je les pris en main pendant qu’Émilie menait la danse. Je les pressais, tirant des petits cris de plaisir à ma compagne. Elle augmenta le rythme, de la sueur coula dans son dos, ruisselant sur ses fesses, entre ses seins. Elle se prit la tête entre ses mains et hurla, un cri primal, absolu, libératoire. S’écrasant sur moi, elle m’embrassa, sa bouche avait le gout du sel, mais plus celui de ses larmes.
Je la renversai , la mis sur le ventre, et la pénétrai. Son sexe pulsait encore sous le coup de son orgasme, ouvert, chaud, brulant même, ma queue y resta sans bouger, profitant de cette sensation sans nulle autre pareille. Mon torse sur ses fesses, mes mains sur ses hanches, je restais sans bouger, attendant qu’elle réagisse. Qu’elle fasse le premier mouvement. Elle tourna la tête vers moi, plongea son regard dans le mien. Plein d’envie, de désir, et d’amour, elle entrouvrit les lèvres et murmura « Viens ». Un simple mot, une supplique, une invitation. Je la pilonnais. Ma bite prête à exploser, me contrôlait totalement, guidait tout mon corps. Un seul but me vider en elle, exploser de plaisir dans son sexe brulant, répandre mon sperme dans ses entrailles. Je criais mon plaisir en éjaculant.
Allongés sur le lit, collés l’un à l’autre, mes doigts glissaient sur la peau d’Émilie. Apaisée, soulagée de m’avoir tout avoué, elle dormait; jamais sans doute aussi bien depuis des semaines. Au matin je quittais le lit et la chambre la laissant dormir. Je savais qu’à son réveil je devrais moi aussi lui avouer quelque chose.
Dans la cuisine je me fis un café, et allai sur la terrasse pour le boire. Je profitais de la vue sur les toits de la ville, regardais dans la rue les passants, les voitures. J’étais nu. Sans vis à vis, je savais que souvent je pourrais me promener ainsi. J’aimais assez l’idée de cette liberté.
Émilie se leva un peu plus tard. Elle vint me rejoindre, nue elle aussi, elle m’enlaça, et m’embrassa. Je lui préparai son petit déjeuner, et m’installai avec elle bien décidé à lui parler de Nina.
— Tu voudrais bien me raser la chatte, me demanda-t-elle en reposant sa tartine J'en ai marre de tous ces poils.
Elle passa sa main sur son buisson pubien pour souligner ses propos. Je ne pouvais pas dire que je n’aimais pas, mais il était clair qu’elle avait besoin d’un « élagage » pour retrouver un côté sexy. Elle termina sa tartine et alla se doucher. Je la rejoignis et la regardai se savonner sous le jet d’eau chaude. Vision hautement érotique qui ne manqua pas de me provoquer une érection. Émilie sortit de la douche, découvrit mon sexe dressé et sourit. Elle prit ma bite en main et me caressa. Je l’embrassais et lui dit que ce n’était pas ce que nous avions prévu pour le moment. Je l’installai cuisses écartées face à moi, et commençai à couper ses poils pubiens. Je ne voulais pas tout raser. Au-dessus de son sexe, je voulais garder une touffe, un buisson. Pendant que j’étalais la mousse à raser, je commençais à lui parler de Nina. Je passais la lame autour de ses lèvres, dégageant son sexe de ses poils envahissant tout en lui décrivant nos retrouvailles, notre première fois, notre weekend dans la maison de ma grand-mère, et une fois que j’eus fini et posé le rasoir ,je lui dis les sentiments qui étaient nés entre nous en quelques jours. Je lui dis que cela ne changeait rien pour nous deux, que je l’aimais, que je ne voulais pas la quitter, et qu’elle passerait toujours en premier.
Elle se leva, essuya les restes de mousse, regarda le résultat de mon travail, passa sa main sur ses lèvres redevenues lisses, et sur le triangle de poil doux que j’avais laissé.
— J’aime beaucoup ce que tu as fait, me dit-elle en m’embrassant. Ça change.
— Et pour le reste ?
— Je ne sais pas. Il faudrait que je rencontre cette fille.
Elle sortit de la salle de bain, enfila un tee-shirt et un short et alla sur la terrasse. Je m’habillai aussi, et allai la rejoindre.
— Tu peux lui dire de venir aujourd’hui ?
Je répondis que oui, et n’ayant pas encore de ligne téléphonique allai dans une cabine. Nina me répondit, je frissonnais en entendant sa voix. Je fermais les yeux et tentais de me souvenir de son corps, ses seins, ses fesses, son sexe. Je lui demandai si elle voulait bien passer me voir, sans préciser qu’Émilie serait là. Elle accepta.
Je remontai chez nous, Émilie lisait sur la terrasse. Je lui annonçai que Nina arrivait.
— Viens, lui dis-je, en la prenant par la main.
Je le fis rentrer, et la conduisit dans notre chambre.
— Notre chambre lui dis-je, je ne dis pas ta chambre, mais la notre. Je veux vivre ici avec toi, et je m’en fous de ce que tu as fait cet été.
Je lui ôtais ses vêtements, en douceur. Nue, frissonnante devant moi, je commençais à embrasser ses seins, suçotant ses tétons, les faisant durcir entre mes lèvres. Mes mains couraient sur sa peau, flattant ses courbes, réchauffant son corps.
— J’aime ce corps, lui dis-je, pour tout ce qu’il est, tout ce qu’il fait, et tout ce qu’il contient.
Je repris sa bouche contre la mienne et la poussai vers le lit. Sans quitter ses lèvres je l’allongeai, et vint me poser sur elle, mon torse s’écrasant sur ses seins, mon sexe durci par le désir, contenu dans mon caleçon et mon pantalon, se posant sur sa fente humide. Elle posa ses mains sur les fesses, les massa, et chercha ma braguette, défit les boutons, et sortit ma bite qu’elle guida vers son antre chaud. Je m’y glissai, retrouvant comme à chaque fois le plaisir de son sexe. Ses mains remontèrent sur mes fesses et imprimèrent le rythme de mes premiers va-et-vient. Lents, profond, je rentrais en elle et en sortais complètement à chaque fois. Nos bouches ne s’étaient pas séparées. Nos langues dansaient l’une avec l’autre. Émilie se fit plus pressante, augmentant la vitesse. Soulevant son bassin pour mieux m’accueillir, faisant glisser mon pantalon et caleçon libérant mes fesses qu’elle continuait de caresser fermement.
D’un coup elle inversa les positions, revenant se placer sur moi, dans cette position qu’elle aimait tant. Je vis ses seins magnifiques se balançant en rythme. Je les pris en main pendant qu’Émilie menait la danse. Je les pressais, tirant des petits cris de plaisir à ma compagne. Elle augmenta le rythme, de la sueur coula dans son dos, ruisselant sur ses fesses, entre ses seins. Elle se prit la tête entre ses mains et hurla, un cri primal, absolu, libératoire. S’écrasant sur moi, elle m’embrassa, sa bouche avait le gout du sel, mais plus celui de ses larmes.
Je la renversai , la mis sur le ventre, et la pénétrai. Son sexe pulsait encore sous le coup de son orgasme, ouvert, chaud, brulant même, ma queue y resta sans bouger, profitant de cette sensation sans nulle autre pareille. Mon torse sur ses fesses, mes mains sur ses hanches, je restais sans bouger, attendant qu’elle réagisse. Qu’elle fasse le premier mouvement. Elle tourna la tête vers moi, plongea son regard dans le mien. Plein d’envie, de désir, et d’amour, elle entrouvrit les lèvres et murmura « Viens ». Un simple mot, une supplique, une invitation. Je la pilonnais. Ma bite prête à exploser, me contrôlait totalement, guidait tout mon corps. Un seul but me vider en elle, exploser de plaisir dans son sexe brulant, répandre mon sperme dans ses entrailles. Je criais mon plaisir en éjaculant.
Allongés sur le lit, collés l’un à l’autre, mes doigts glissaient sur la peau d’Émilie. Apaisée, soulagée de m’avoir tout avoué, elle dormait; jamais sans doute aussi bien depuis des semaines. Au matin je quittais le lit et la chambre la laissant dormir. Je savais qu’à son réveil je devrais moi aussi lui avouer quelque chose.
Dans la cuisine je me fis un café, et allai sur la terrasse pour le boire. Je profitais de la vue sur les toits de la ville, regardais dans la rue les passants, les voitures. J’étais nu. Sans vis à vis, je savais que souvent je pourrais me promener ainsi. J’aimais assez l’idée de cette liberté.
Émilie se leva un peu plus tard. Elle vint me rejoindre, nue elle aussi, elle m’enlaça, et m’embrassa. Je lui préparai son petit déjeuner, et m’installai avec elle bien décidé à lui parler de Nina.
— Tu voudrais bien me raser la chatte, me demanda-t-elle en reposant sa tartine J'en ai marre de tous ces poils.
Elle passa sa main sur son buisson pubien pour souligner ses propos. Je ne pouvais pas dire que je n’aimais pas, mais il était clair qu’elle avait besoin d’un « élagage » pour retrouver un côté sexy. Elle termina sa tartine et alla se doucher. Je la rejoignis et la regardai se savonner sous le jet d’eau chaude. Vision hautement érotique qui ne manqua pas de me provoquer une érection. Émilie sortit de la douche, découvrit mon sexe dressé et sourit. Elle prit ma bite en main et me caressa. Je l’embrassais et lui dit que ce n’était pas ce que nous avions prévu pour le moment. Je l’installai cuisses écartées face à moi, et commençai à couper ses poils pubiens. Je ne voulais pas tout raser. Au-dessus de son sexe, je voulais garder une touffe, un buisson. Pendant que j’étalais la mousse à raser, je commençais à lui parler de Nina. Je passais la lame autour de ses lèvres, dégageant son sexe de ses poils envahissant tout en lui décrivant nos retrouvailles, notre première fois, notre weekend dans la maison de ma grand-mère, et une fois que j’eus fini et posé le rasoir ,je lui dis les sentiments qui étaient nés entre nous en quelques jours. Je lui dis que cela ne changeait rien pour nous deux, que je l’aimais, que je ne voulais pas la quitter, et qu’elle passerait toujours en premier.
Elle se leva, essuya les restes de mousse, regarda le résultat de mon travail, passa sa main sur ses lèvres redevenues lisses, et sur le triangle de poil doux que j’avais laissé.
— J’aime beaucoup ce que tu as fait, me dit-elle en m’embrassant. Ça change.
— Et pour le reste ?
— Je ne sais pas. Il faudrait que je rencontre cette fille.
Elle sortit de la salle de bain, enfila un tee-shirt et un short et alla sur la terrasse. Je m’habillai aussi, et allai la rejoindre.
— Tu peux lui dire de venir aujourd’hui ?
Je répondis que oui, et n’ayant pas encore de ligne téléphonique allai dans une cabine. Nina me répondit, je frissonnais en entendant sa voix. Je fermais les yeux et tentais de me souvenir de son corps, ses seins, ses fesses, son sexe. Je lui demandai si elle voulait bien passer me voir, sans préciser qu’Émilie serait là. Elle accepta.
Je remontai chez nous, Émilie lisait sur la terrasse. Je lui annonçai que Nina arrivait.
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