Le retour de bâton.3.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 335 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Passud ont reçu un total de 1 467 656 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 6 149 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le retour de bâton.3.
Cela se passe avant sa rencontre avec Chris, Corinne est ben dans sa peau, ses besoins sexuels sont enfin assouvis grâce à son premier amant Sébastien.
Elle sirote un Perrier citron en terrasse d'un bar du port, elle meurt d'envie de confier son bonheur à sa meilleure amie, mais elle tient trop à respecter mon image.
Bien sûr, elle parle de sexe avec son amie Léa, mais elle garde sa double vie pour elle.
Par contre, Léa n'en fait pas de même et lui révèle qu'elle baise avec le meilleur ami de son mari.
Elle lui confie aussi, qu'elle refuse la sodomie à son mari alors qu'elle adore se faire enculer par son amant.
Une manière hypocrite de protéger son image !
Leur conversation est interrompue par le propriétaire des lieux.
"Ça va mes demoiselles ? Vous n'avez besoin de rien ?".
L'homme est un quarantenaire séduisant, au physique imposant, de grands yeux bleus avec des cheveux grisonnants.
Il est visiblement très attiré par ma femme, qui est troublée par son regard insistant.
"Euh, non merci, on profite du soleil, c'est parfait !".
"Alors tout va bien, n'hésitez pas à venir me voir !".
Il s'éloigne, Léa est excitée et dit très vite :
"S'il me branche, j'accepte tout de suite ! C'est quand il veut ! Mais apparemment c'est toi qui l'intéresse !".
"Je crois oui ! Mais j'aime trop Pascal !".
"Dommage pour toi ! Je suis sûre que c'est un bon coup en plus !".
"Bon, on parle d'autre chose !".
Elles terminent de boire leurs boissons, puis Léa annonce que son mari l'attend surement.
Corinne prend les verres et les ramènent au bar, par courtoisie.
Le patron, les réceptionnent et lui dit :
"Merci Corinne ! C'est gentil ! Repassez me voir seule un jour que vous le pouvez ! On pourrait parler un peu et faire connaissance !".
"Je verrai, merci ! Bonne soirée !".
"Également !".
Cette invitation fait son chemin dans l'esprit de ma femme, elle sait que si elle fait ce qu'il dit, elle va succomber et me tromper avec un deuxième amant.
Mais elle est réaliste, elle sait aussi qu'elle reviendra pour se donner à lui, elle en meure d'envie.
C'est ainsi que deux jours plus tard, elle revient dans le bar, par bonheur pour elle, il est là et arbore un grand sourire excité.
Il l'entraine en fond de salle et entame une discussion directe.
"Ça te gêne si je suis marié ?".
"Non, moi aussi, j'ai un fiancé !".
"Super, donc il n'y aura pas de problème entre nous, alors ?".
"Pas de mon côté, en tout cas !".
"Bon, viens suis-moi, je t'emmène dans mon bureau !".
Il la fait passer devant lui en la dirigeant, il s'excite sur son magnifique fessier, il ne réalise pas qu'il va pouvoir le saillir enfin.
Il lui fait ouvrir une porte qu'il referme derrière elle avec une clef.
Il l'enserre en lui prenant la bouche aussitôt, puis quitte ses lèvres en disant :
"Putain ! Si tu savais depuis le temps que je te veux toi !".
"Ah bon ? Eh ben montre-moi ça !".
"Je ne suis pas trop vieux pour toi ?".
"Non, au contraire, tu m'excites beaucoup !".
"Hummm, t'as l'air coquine, je vois !".
Il l'embrasse en lui malaxant les seins, elle gémit de plaisir.
Il lui mord le cou, puis en gardant une main sur sa poitrine, il utilise l'autre pour lui ouvrir son jean et insérer ses doigts dans sa chatte trempée.
"Arhhhhh ! Oui, c'est bon, encore !".
Le double plaisir, clitoridien et mammaire, l'emmène à un premier orgasme.
"Arhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiis !".
Il recule en la regardant retomber de son orgasme.
"Eh ben ! t'es sensible, on dirait !".
"Oui, très !".
"Humm ! Ça promet !".
Il replonge sa main dans sa chatte, mais elle le repousse et lui dit :
"Non ! À moi maintenant !".
Elle le pousse contre le bureau et se baisse pour lui ouvrir la braguette.
Il l'aide aussitôt, pressé de gouter sa bouche enfin.
Ils dégagent ensemble l'appareil génital de l'homme qui apparait en érection complète.
Alors qu'elle saisit sa bite d'une main à la base, en couvrant ses couilles de l'autre, il lui demande:
"Elle te plait ?".
"Énormément ! Je savais que tu avais une belle queue ! Je devine ces choses-là ! C'est aussi pour ça que j'avais envie de baiser avec toi !".
"Oh, t'es franche, tu n'as pas froid aux yeux, toi !".
"En sexe, jamais !".
"Je vois ! On ne dirait pas avec ton air timide ! Ohhhhhh, mmmmmmmmmmm".
Elle vient de coller sa langue sur son gros gland, et pratique un léchage appuyé tout autour, puis écarte ses lèvres pour le faire entrer dans sa petite bouche chaude et humide.
Son petit visage s'enfonce tel un piston sur son gros membre, accompagnant ses mouvements de gémissements d'excitation.
Elle adore tellement sucer une grosse queue, le plaisir cérébral la gagne, elle se sent perverse et elle a besoin de ce sentiment.
"Oh, Corinne, qu'est ce que tu suces bien ! Ahhhhhhhh ! Ça me fait trop bander ! Ma queue va exploser ! Putain !".
"Mmmmmm, sllllrp ! Tu m'excites ! J'aime ta queue !".
La fellation dure un long laps de temps, agrémentée de commentaires vicieux des deux cotés.
Elle se recule enfin de son long pieu et le supplie :
"Baise-moi, je la veux ! Vite ! J'en peux plus !".
Elle l'aide à défaire le pantalon qui lui couvre les jambes et lui dévoile son magnifique cul cambré.
"Putain, je vais me régaler ! T'as un cul de déesse !".
Il la place avec les genoux sur un fauteuil et le fessier cambré vers lui.
Il caresse sa chatte avec son gland.
"Tu feras attention, je ne prends pas la pilule !".
"Pas de souci, ma belle !".
Comme elle mouille abondamment, son sexe s'enfonce d'une traite en elle qui se relève en râlant.
"Arhhhhhhhhhh ! C'est gros, c'est bon ! Oh putain ! Mmmmmmmmmm".
"Oh, elle est bonne ta chatte, tu mouilles bien !".
Il s'accroche à ses seins et la burine à un rythme lent, mais puissant et profond.
En moins de cinq minutes, elle le prévient :
"Arhhhhhhhh ! Oui comme ça, je vais jouir ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
"Déjà ? J'adore ! C'est trop bon de t'entendre jouir comme ça !".
Il accélère ses assauts, excité par les râles qu'ils provoquent.
Ils changent de position, et elle se retrouve baisée à fond les cuisses écartées sur le fauteuil.
Elle orgasme deux fois de plus.
Puis, il l'entraine sur son bureau, elle est couchée sur le ventre.
Il regarde son cul si excitant, il frotte son gland dessus en espérant une réaction de ma belle salope.
"Il m'excite trop ton cul ! Tu t'es déjà faite prendre par là ?".
"Vous pensez qu'à ça ! Vous l'aimez mon cul !".
"C'est normal, il est trop beau ! On ne peut pas résister ! Alors ?".
"Oui, vas-y ! Je me fais enculer depuis longtemps déjà ! J'adore ça !".
"Oh putain, t'es la salope idéale !".
Il se baisse pour déposer de la salive sur son anus, puis couvre sa bite de la même substance.
Il écarte ses fesses en poussant progressivement.
Elle porte une main à sa bouche pour la mordre sous la sensation d'écartèlement.
En pratiquant de petits assauts, il parvient enfin à insérer son gros gland, qu'il fait entrer et sortir de nombreuses fois.
Elle râle de nouveau son plaisir grandissant.
Il la surprend en poussant plus profondément et vient cogner dans le fond de son anus.
"Arhhhhhhhhhhhhh! Oh putain, j'aime ça ! Arhhhhhhhhhhhhhh ! Vas-y maintenant encule-moi !".
"J'hallucine ! T'es une vraie chienne ! Tu parles comme une salope, en fait ! T'inquiètes pas, je vais te le défoncer ton petit cul".
"Arhhhhhhhhh ! oui vas-y défonce-moi ! Arhhhhhh ! Arhhhhhh ! Arhhhhhh !".
Le patron du bar se déchaine sans retenue, elle enchaine les orgasmes anaux.
L'homme est comme un fou, il adore enculer ma femme, mais il ne peut résister au plaisir que cet anus lui apporte et après un peu plus de dix minutes, il annonce qu'il va exploser.
"Arhhhhhh ! Corinne, je vais te gicler dans le cul ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhh ! Arhhhhhh !".
Elle passe une main derrière elle pour l'attirer plus profondément en elle.
"Oui, vas-y lâche-toi, j'adore qu'on me jouisse dans le cul ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Je jouis moi aussi ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Elle se redresse en s'empalant plus profondément encore pendant qu'il se déverse en elle.
"Ahhhhhhhhhh ! j'adore ça, c'est trop bon de se faire enculer !".
"Ohhhh, je t'adore Corinne ! Il faut que tu reviennes ! C'est trop bon de baiser avec toi !".
"Moi aussi, j'ai aimé, on recommencera, pas trop souvent sinon, on va se lasser, mais je passerai, c'est sûr !".
"C'est quand tu veux ma belle !".
Elle ressort du bar, en passant devant le barman, elle se doute qu'il sait ce qui s'est passé, mais elle s'en moque.
Par la suite, au gré de ses envies, elle retrouvera cet amant occasionnel.
La deuxième fois se passera après sa rencontre avec Chris qui ignorera cette relation.
J'ai compris en apprenant cette liaison, bien plus tard, pourquoi elle refusait que l'on s'y arrête, elle ne voulait pas que je subisse les regards moqueurs du barman et de son amant, en passant pour un cocu parfait.
Elle sirote un Perrier citron en terrasse d'un bar du port, elle meurt d'envie de confier son bonheur à sa meilleure amie, mais elle tient trop à respecter mon image.
Bien sûr, elle parle de sexe avec son amie Léa, mais elle garde sa double vie pour elle.
Par contre, Léa n'en fait pas de même et lui révèle qu'elle baise avec le meilleur ami de son mari.
Elle lui confie aussi, qu'elle refuse la sodomie à son mari alors qu'elle adore se faire enculer par son amant.
Une manière hypocrite de protéger son image !
Leur conversation est interrompue par le propriétaire des lieux.
"Ça va mes demoiselles ? Vous n'avez besoin de rien ?".
L'homme est un quarantenaire séduisant, au physique imposant, de grands yeux bleus avec des cheveux grisonnants.
Il est visiblement très attiré par ma femme, qui est troublée par son regard insistant.
"Euh, non merci, on profite du soleil, c'est parfait !".
"Alors tout va bien, n'hésitez pas à venir me voir !".
Il s'éloigne, Léa est excitée et dit très vite :
"S'il me branche, j'accepte tout de suite ! C'est quand il veut ! Mais apparemment c'est toi qui l'intéresse !".
"Je crois oui ! Mais j'aime trop Pascal !".
"Dommage pour toi ! Je suis sûre que c'est un bon coup en plus !".
"Bon, on parle d'autre chose !".
Elles terminent de boire leurs boissons, puis Léa annonce que son mari l'attend surement.
Corinne prend les verres et les ramènent au bar, par courtoisie.
Le patron, les réceptionnent et lui dit :
"Merci Corinne ! C'est gentil ! Repassez me voir seule un jour que vous le pouvez ! On pourrait parler un peu et faire connaissance !".
"Je verrai, merci ! Bonne soirée !".
"Également !".
Cette invitation fait son chemin dans l'esprit de ma femme, elle sait que si elle fait ce qu'il dit, elle va succomber et me tromper avec un deuxième amant.
Mais elle est réaliste, elle sait aussi qu'elle reviendra pour se donner à lui, elle en meure d'envie.
C'est ainsi que deux jours plus tard, elle revient dans le bar, par bonheur pour elle, il est là et arbore un grand sourire excité.
Il l'entraine en fond de salle et entame une discussion directe.
"Ça te gêne si je suis marié ?".
"Non, moi aussi, j'ai un fiancé !".
"Super, donc il n'y aura pas de problème entre nous, alors ?".
"Pas de mon côté, en tout cas !".
"Bon, viens suis-moi, je t'emmène dans mon bureau !".
Il la fait passer devant lui en la dirigeant, il s'excite sur son magnifique fessier, il ne réalise pas qu'il va pouvoir le saillir enfin.
Il lui fait ouvrir une porte qu'il referme derrière elle avec une clef.
Il l'enserre en lui prenant la bouche aussitôt, puis quitte ses lèvres en disant :
"Putain ! Si tu savais depuis le temps que je te veux toi !".
"Ah bon ? Eh ben montre-moi ça !".
"Je ne suis pas trop vieux pour toi ?".
"Non, au contraire, tu m'excites beaucoup !".
"Hummm, t'as l'air coquine, je vois !".
Il l'embrasse en lui malaxant les seins, elle gémit de plaisir.
Il lui mord le cou, puis en gardant une main sur sa poitrine, il utilise l'autre pour lui ouvrir son jean et insérer ses doigts dans sa chatte trempée.
"Arhhhhh ! Oui, c'est bon, encore !".
Le double plaisir, clitoridien et mammaire, l'emmène à un premier orgasme.
"Arhhhhhhhhhh ! Je jouiiiiiiiiiiiiis !".
Il recule en la regardant retomber de son orgasme.
"Eh ben ! t'es sensible, on dirait !".
"Oui, très !".
"Humm ! Ça promet !".
Il replonge sa main dans sa chatte, mais elle le repousse et lui dit :
"Non ! À moi maintenant !".
Elle le pousse contre le bureau et se baisse pour lui ouvrir la braguette.
Il l'aide aussitôt, pressé de gouter sa bouche enfin.
Ils dégagent ensemble l'appareil génital de l'homme qui apparait en érection complète.
Alors qu'elle saisit sa bite d'une main à la base, en couvrant ses couilles de l'autre, il lui demande:
"Elle te plait ?".
"Énormément ! Je savais que tu avais une belle queue ! Je devine ces choses-là ! C'est aussi pour ça que j'avais envie de baiser avec toi !".
"Oh, t'es franche, tu n'as pas froid aux yeux, toi !".
"En sexe, jamais !".
"Je vois ! On ne dirait pas avec ton air timide ! Ohhhhhh, mmmmmmmmmmm".
Elle vient de coller sa langue sur son gros gland, et pratique un léchage appuyé tout autour, puis écarte ses lèvres pour le faire entrer dans sa petite bouche chaude et humide.
Son petit visage s'enfonce tel un piston sur son gros membre, accompagnant ses mouvements de gémissements d'excitation.
Elle adore tellement sucer une grosse queue, le plaisir cérébral la gagne, elle se sent perverse et elle a besoin de ce sentiment.
"Oh, Corinne, qu'est ce que tu suces bien ! Ahhhhhhhh ! Ça me fait trop bander ! Ma queue va exploser ! Putain !".
"Mmmmmm, sllllrp ! Tu m'excites ! J'aime ta queue !".
La fellation dure un long laps de temps, agrémentée de commentaires vicieux des deux cotés.
Elle se recule enfin de son long pieu et le supplie :
"Baise-moi, je la veux ! Vite ! J'en peux plus !".
Elle l'aide à défaire le pantalon qui lui couvre les jambes et lui dévoile son magnifique cul cambré.
"Putain, je vais me régaler ! T'as un cul de déesse !".
Il la place avec les genoux sur un fauteuil et le fessier cambré vers lui.
Il caresse sa chatte avec son gland.
"Tu feras attention, je ne prends pas la pilule !".
"Pas de souci, ma belle !".
Comme elle mouille abondamment, son sexe s'enfonce d'une traite en elle qui se relève en râlant.
"Arhhhhhhhhhh ! C'est gros, c'est bon ! Oh putain ! Mmmmmmmmmm".
"Oh, elle est bonne ta chatte, tu mouilles bien !".
Il s'accroche à ses seins et la burine à un rythme lent, mais puissant et profond.
En moins de cinq minutes, elle le prévient :
"Arhhhhhhhh ! Oui comme ça, je vais jouir ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
"Déjà ? J'adore ! C'est trop bon de t'entendre jouir comme ça !".
Il accélère ses assauts, excité par les râles qu'ils provoquent.
Ils changent de position, et elle se retrouve baisée à fond les cuisses écartées sur le fauteuil.
Elle orgasme deux fois de plus.
Puis, il l'entraine sur son bureau, elle est couchée sur le ventre.
Il regarde son cul si excitant, il frotte son gland dessus en espérant une réaction de ma belle salope.
"Il m'excite trop ton cul ! Tu t'es déjà faite prendre par là ?".
"Vous pensez qu'à ça ! Vous l'aimez mon cul !".
"C'est normal, il est trop beau ! On ne peut pas résister ! Alors ?".
"Oui, vas-y ! Je me fais enculer depuis longtemps déjà ! J'adore ça !".
"Oh putain, t'es la salope idéale !".
Il se baisse pour déposer de la salive sur son anus, puis couvre sa bite de la même substance.
Il écarte ses fesses en poussant progressivement.
Elle porte une main à sa bouche pour la mordre sous la sensation d'écartèlement.
En pratiquant de petits assauts, il parvient enfin à insérer son gros gland, qu'il fait entrer et sortir de nombreuses fois.
Elle râle de nouveau son plaisir grandissant.
Il la surprend en poussant plus profondément et vient cogner dans le fond de son anus.
"Arhhhhhhhhhhhhh! Oh putain, j'aime ça ! Arhhhhhhhhhhhhhh ! Vas-y maintenant encule-moi !".
"J'hallucine ! T'es une vraie chienne ! Tu parles comme une salope, en fait ! T'inquiètes pas, je vais te le défoncer ton petit cul".
"Arhhhhhhhhh ! oui vas-y défonce-moi ! Arhhhhhh ! Arhhhhhh ! Arhhhhhh !".
Le patron du bar se déchaine sans retenue, elle enchaine les orgasmes anaux.
L'homme est comme un fou, il adore enculer ma femme, mais il ne peut résister au plaisir que cet anus lui apporte et après un peu plus de dix minutes, il annonce qu'il va exploser.
"Arhhhhhh ! Corinne, je vais te gicler dans le cul ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhh ! Arhhhhhh !".
Elle passe une main derrière elle pour l'attirer plus profondément en elle.
"Oui, vas-y lâche-toi, j'adore qu'on me jouisse dans le cul ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Je jouis moi aussi ! Arhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Elle se redresse en s'empalant plus profondément encore pendant qu'il se déverse en elle.
"Ahhhhhhhhhh ! j'adore ça, c'est trop bon de se faire enculer !".
"Ohhhh, je t'adore Corinne ! Il faut que tu reviennes ! C'est trop bon de baiser avec toi !".
"Moi aussi, j'ai aimé, on recommencera, pas trop souvent sinon, on va se lasser, mais je passerai, c'est sûr !".
"C'est quand tu veux ma belle !".
Elle ressort du bar, en passant devant le barman, elle se doute qu'il sait ce qui s'est passé, mais elle s'en moque.
Par la suite, au gré de ses envies, elle retrouvera cet amant occasionnel.
La deuxième fois se passera après sa rencontre avec Chris qui ignorera cette relation.
J'ai compris en apprenant cette liaison, bien plus tard, pourquoi elle refusait que l'on s'y arrête, elle ne voulait pas que je subisse les regards moqueurs du barman et de son amant, en passant pour un cocu parfait.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Passud
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire et fin idiote sans non avec mais sans tête. Inventée ça c est sûr l auteur doit fumer la moquette.Manque d imagination flagrante il est temps pour lui de prendre sa retraite.
Il faudra nous expliquez comment le mari a fini par savoir