Le retour de bâton - histoire érotique

Notre relation dure depuis qu'elle a 16 ans, elle en a 20 à présent. Très amoureuse, elle a subi mes infidélités pendant les 2 premières années.
Elle a trouvé un travail de remplacement temporaire dans l'administration et aime sa nouvelle indépendance.

Mais surtout, elle se sent de plus en plus femme et à l'aise avec son corps si désirable.

Elle adore le sexe, et m'en demande toujours plus. Je lui ai tout appris, mais ses besoins me dépassent.

De mon côté, son attirance pour le SM, même soft, me fait peur.
Je la freine quand elle me fait comprendre qu'elle désire être soumise avec une ceinture ou me demande un étranglement pendant qu'elle jouit, c'est pas mon truc.

Le travail m'accapare moi aussi, mais c'est plus physique.
Elle ne sait pas que j'ai besoin de baiser avec des hommes.
C'est à cette époque que je travaille sur le chantier d'immeuble en construction et que je satisfais les besoins de Dimitri et les autres roumains.

J'ai donc tendance à me coucher sans la baiser.
Quand on a malgré tout, des rapports sexuels, elle veut toujours que je la défonce, vite et fort.
Frustré de tendresse, j'évite les rapports, j'en ai de moins en moins envie.

Le jour ou je l'ai connue, elle était vierge, mais c'est un autre homme, mûr et marié, qu'elle convoitait ce soir-là.
Est-ce pour cela, qu'elle devient de plus en plus sensible aux regards vicieux d'un collègue de travail trentenaire ?
Son physique imposant correspond plus que le mien à ce qui l'excite chez un homme !
Elle devine qu'il est fortement membré, et cela n'arrange rien, la jeune fille prude est loin, elle sait désormais que ces choses sont importantes pour elle.
Elle a des fantasmes et se masturbe en pensant à lui.

A la pause-café, alors qu'ils sont seuls, il se penche, pour attraper une cuillère, contre elle qui prend du sucre.
Il lui fait sentir la protubérance que contient son pantalon en se collant contre ses fesses, ça la trouble.
Leurs regards se cherchent et se fuient.
Elle mouille sa culotte, il a mis le feu dans son corps.

Elle essaie de le fuir pour ne pas succomber, mais ils se retrouvent ensemble dans l'ascenseur.
Il sait qu'il doit faire vite, et se colle à elle en l'embrassant:

"J'en peux plus, Tu me plais trop ! Corinne !".

Il frotte sa main sur sa vulve en l'embrassant dans le cou.
Il lui masturbe un sein en la fixant d'un regard affamé, elle se tord de désir.

"Ahhhhh! Sébastien, moi aussi, j'en ai envie!".

Leurs bouches s'entremêlent dans un baiser très sexuel, la cabine s'arrête.

"Attends-moi à 16 h30, on va chez moi !".

L'ascenseur s'ouvre et chacun d'eux se sépare.
Elle pense à faire machine arrière, elle ne m'a jamais trompé.
Mais il y a cette envie de baiser avec Sébastien qui la tenaille, et puis après tout, je ne me suis pas gêné moi, pendant deux ans !
Elle a droit à quelques écarts ! Elle a trop besoin de sexe ! Pourvu qu'il soit endurant !
L'heure de la sortie approche, elle quitte son travail, puis attend dans un recoin que Seb apparaisse, il la voit et lui dit:

"Ouf, j'ai eu peur que tu changes d'avis !".
"J'ai failli!".
"Pourquoi ?".
"J'ai un mec, et je ne l'ai jamais trompé, mais après tout, il a eu beaucoup d'aventures au début de notre relation, donc, je suis là ! Je pense en avoir le droit !".
"J'ai de la chance alors !".
"Si tu veux, par contre, on y va, je veux rester discrète !".
"Ok, montes ! Ma voiture est là!".

Pendant qu'il roule, il lui caresse la cuisse, il règne une énorme tension sexuelle dans le véhicule.
Arrivé chez lui, il l'empoigne et la retourne.
Ses grosses mains l'enserrent à la taille pendant qu'il colle sa bouche à la sienne.
Corinne se met à mouiller sa culotte de désir.
Sébastien remonte une main qu'il utilise pour lui masturber la poitrine.
Elle adore ça, et découvre que je ne suis pas le seul a savoir lui donner du plaisir ainsi, toutefois, il n'atteint pas l'orgasme mammaire.
Elle gémit de bonheur, puis Seb envoie son autre main vers sa jupe, il soulève le tissu et glisse ses gros doigts dans sa chatte humide.

"Arhhh, oui, j'ai envie ! Fais-moi jouir!".
Seb la branle frénétiquement jusqu'à l'orgasme.
"Ahhhh! Oui, encore! je joui, ouiiiiiiiiiiiii!".

Il a les doigts couverts de mouille, il la découvre très sensible.
"Eh bien! C'était une grosse envie! Ça m'excite beaucoup ça, je bande ! Tu peux faire quelque chose pour moi?".
Elle dirige sa main vers sa braguette, puis défait, un à un, ses boutons, elle est excitée par la protubérance de sa queue dans le slip de Sébastien.
Il baisse son pantalon pour dégager son sexe, elle est surprise de l'effet que cette bite en érection a sur elle.
Il est beaucoup plus membré que moi, la tension qui tend ses chairs lui prouve à quel point, il la désire.
Il remarque son regard d'envie.

"Elle te plait ?".
"Beaucoup, ça fait longtemps que je l'imagine !".
"Elle est à toi ! Montres-moi ce que tu sais faire !".
"Je sais pas, si tu vas aimer, j'ai jamais connu d'autres hommes que Pascal !".

Corinne pose une main sur la base du sexe bandé et l'approche de sa langue.
Elle tourne autour de son gland épais.
Il gémit.

"Moi aussi, ça fait longtemps que j'imagine ça, c'est encore meilleur que dans mes pensées! Tu fais ça très bien !".

Il n'a pas le temps de finir cette phrase que ma belle s'empale la gorge, en coulissant profondément sur sa bite.

"Hummm, tu suces vraiment bien ! C'est bon !".

Après de nombreux mouvements de succions, elle se dégage du membre pour poser sa main derrière, de manière à faire glisser ses lèvres tout le long de sa hampe.

"Oh! la vache ! Tu suces comme une reine ! Mmmmmmmmmm !".
"Tu aimes ma bouche ?".
"J'adore !".
"Moi, j'adore ta queue !".

Sa bouche devient plus vicieuse encore, elle s'habitue à ses dimensions, Sébastien est au paradis du sexe.

Puis ma femme lui dit excitée:
"Maintenant, je la veux !".
Seb ne se fait pas prier, et l'entraine contre un fauteuil de son salon, il termine de la déshabiller.
Il découvre son cul magnifique, nu, il est encore plus excitant que lorsqu'il fantasmait dessus au travail.

"Putain Corinne ! T'as un cul de déesse!".
"Arrêtes de parler ! Montres-moi ce que tu sais faire ! Toi aussi !".

Il titille un petit moment son clitoris avec son gros gland, puis il utilise la lubrifaction que cela engendre pour la pénétrer.

"Ohhhhhhhhhhhhhh! J'en avais trop envie ! Elle est bonne ! Je te sens bien !".
"Meilleure que celle de ton mec ?".
"Ouhhhh, oui, elle est plus grosse ! J'aime ! Baises-moi maintenant !".
"J'y crois pas, t'es une vraie petite cochonne, en fait !".
"Ahhhhhhhhh ! Ça te plait pas ?".
"Si j'adore !".

Ses assauts sont fougueux, Corinne atteint assez rapidement son premier orgasme vaginal avec lui.

"Arhhhhhhhhh, oui, je joui, je joui !".
"Déjà ?".
"Oui, mais continues ! J'adore jouir plusieurs fois de suite !".

Le corps de ma femme est secoué fortement par les coups de bite de son premier amant.
Elle bénéficie de trois orgasmes consécutifs.

"Oh putain ! Corinne ! Je vais te remplir la chatte !".
"Non ! je prends pas la pilule !".
"Ouhhhh, on fait comment ?".

Il sort sa queue en pensant arroser ses fesses, mais Corinne se baisse devant lui et lui couvre la queue de sa gorge.

"Arhhhhh ! C'est bon ! Arhhhhhhhhhh ! Oui, oh! Qu'est-ce que t'es cochonne ! J'adore ça!".

Le sperme de Sébastien se déverse abondamment dans la petite bouche de ma femme.
Le son est explicite:

"Mmmmm, Glllrrp ! Mmmmm, Glllrrp ! Mmmmm, Glllrrp ! Glllrrp ! Glllrrp !".

Elle a des effets de régurgitation, qu'elle arrive a contrôler jusqu'à la fin de son éjaculation.
Vidé de tout son jus, Seb va s'effondrer sur le canapé en emmenant ma belle.
Ils se blottissent l'un contre l'autre.

"Tu sais que t'es un super coup, Corinne ? T'as vraiment connu que ton mec ?".
"Oui, c'est lui qui m'a tout appris, Tu es le premier avec qui je le trompe, pourquoi ?".
"Parce que t'es super excitante a baiser ! Et... vous aviez des tabous ?".
"Non, je crois pas !".
"Il a de la chance ! Tu es comme ça avec lui ! Tu jouis aussi vite ?".
"Oui, je joui beaucoup de fois, mais, lui, il dit que je pense trop au sexe".
"Et avec moi, ça t'as plu ?".
"Hummm, oui, d'ailleurs, j'aimerai qu'on continue de se voir, mais par contre, il n'y aura que du sexe entre nous ! Et au boulot, on continue comme s'il ne s'était rien passé !".
"OK, ça me va ! Et tu le gères bien de le tromper ?".
"Oui, ça va, ça m'a fait du bien, il bosse trop en ce moment, et j'ai envie de baiser plus souvent que lui ! Tant qu'il ne sait rien ! Tout va bien ! J'ai un peu de scrupules, mais après tout lui aussi, il l'a fait alors, pourquoi pas moi ? Et en plus, je trouve ça excitant !".
"Tant mieux pour moi !"
"Bon, je vais rentrer, je ne veux pas qu'il se doute de quelque chose !".

Le lendemain, ils dérogent à leur règles, Corinne se laisse tenter par une fellation silencieuse dans une remise éloignée des bureaux.
Elle regagne son poste avec la bouche embuée de sperme.

Ils s'attendent pour la sortie, et retournent chez Sébastien.
Cette fois, ils se déshabillent entièrement avant de se jeter l'un sur l'autre.
Il la prend dans ses bras en l'embrassant, pour l'emmener dans sa chambre.

Il la dépose sur le lit et glisse entre ses jambes pour lui dévorer la chatte.
Elle atteint son premier orgasme en coinçant la tête de son amant contre sa vulve.
Il se redresse et la pénètre vaginalement.
Il enchaine les positions et les jouissances de ma femme.

"Arhhhhhhhhhhh! Sébastien, tu me baises bien! Arhhhhhhhhhh!".

Ils passent du missionnaire, à la levrette, puis retour entre ses cuisses, avec les fesses en l'air pour admirer sa pénétration.
Puis, il tente sa chance:

"Tu m'as dit qu'il t'a tout appris, c'est ça?".
"Oui, pourquoi ?".

Il ne répond pas, et recommence un cunnilingus, mais cette fois, il s'attarde sur son anus aussi.
Il se relève et colle son gros gland contre son œillet, en demandant:

"Je peux ?".
"Je sais pas, c'est la première fois que je vais me faire enculer par un autre que Pascal, on verra !".
"Ah carrément ! Enculer !".
"Ben, c'est le mot non ?".
"Oui ! Mais les autres femmes n'utilisent pas ce mot en général ! Et c'est toi qui as raison, je vais t'enculer !".
"Alors encules-moi ! J'ai envie de ta queue dans mon cul ! Je veux connaitre ça !".

Sébastien prend son temps, et lentement, il progresse avec son gland qui écartèle l'anus de Corinne.
Elle l'aide en écartant ses fesses de ses mains.
Puis l'anus s'ouvre et laisse entrer le long sese de son amant.

"Arhhhhhhhhhhh ! c'est boooooooooooonnnnn ! Mmmmmmmmmmmmmm !".

Sébastien se régale des gémissements de ma belle qui se fait enculer depuis ses 16 ans déjà.
Lentement, il change de rythme en constatant que sa queue coulisse plus aisément dans son cul.
Elle commence déjà à annoncer qu'elle va jouir analement.

"Arhhhhhhhhh ! oui encules-moi, défonces-moi le cul ! plus fort !".
"Putain, t'es une salope ! En fait !".
"Je sais pas, mais j'aime qu'on m'encule, j'aime tromper mon mec, vas-y !".
"Ca m'excites de te baiser, t'enculer ! T'es bandante !".
"Profites, je suis là pour ça, j'ai adoré te sucer au boulot, il est bon ton sperme ! T'as raison, je suis une salope, et je crois que j'aime ça ! Arhhhhhhhhhh ! Tu m'encules bien aussi !".

Elle ajoute:

"Ouhhh, elle est bonne ta queue dans mon cul, Arhhhhhhhhh ! Elle est grosse, arhhhhhhhhh !".

Trop excité pour durer plus longtemps, il éjacule dans son cul en même temps qu'elle crie un autre orgasme anal.
Ils restent collés ainsi un long moment.
Puis Corinne réalise que le temps passe vite.

"Quelle heure est-il ?".
"Je sais pas, va voir dans ma cuisine, j'ai une horloge !".

Elle revient affolée.
"Il est 18 heures ! Pascal ne va pas comprendre pourquoi, je ne suis pas à la maison ! Tu me ramènes discrètement ?".
"Bien sûr !".

Arrivée chez nous, elle prétexte une ballade en ville et une conversation interminable avec une amie.
Malgré tout, elle s'en veut d'avoir pris du plaisir en me trompant et me persuade de lui faire l'amour après sa douche.
Douche, qu'elle a utilisé pour effacer les traces de sa perversité et rejeter le sperme de son amant.
Je l'ai trouvé très sensuelle, cette fois.
Elle m'a réclamé une tendre sodomie, ce que j'adore, je l'ai trouvée plus sensible que d'habitude.

Elle m'a dit:
"J'aime faire l'amour avec toi, tu sais comment m'emmener très loin !".
"Alors, pourquoi on le fait pas plus souvent ?".
"J'aime aussi quand c'est plus sauvage, j'en ai besoin, c'est comme ça ! Mais tu sais bien me baiser aussi! T'es un bon baiseur !".
"T'as connu que moi, tu ne peux pas comparer !".
"Je le sais, c'est tout ! Et je veux que tu saches à quel point je t'aime !".