Le retour de ma boulangère

- Par l'auteur HDS ERIC64 -
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le retour de ma boulangère Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le retour de ma boulangère
Durand des années j'ai acheté mon pain au même endroit. La serveuse était très jolie, et je me la serais bien faite. Elle fermait le magasin à 13h pour le ré ouvrir à 16h, trois heures de temps où j'aurais bien aimé lui tenir compagnie dans la boutique, ou dans son appartement juste au dessus.
Pour autant je n'ai jamais osé lui faire d'avances, et je me contentais de penser à elle, de fantasmer sur elle.
Puis un jour elle m'a annoncé que son patron prenait la retraite et fermait la boulangerie. J'ai pris comme un coup de massue, en rageant de ne pas avoir tenté ma chance. Elle a disparue et il ne me restait plus que son souvenir et mes regrets.

Avec l'approche de noël, j'ai fait le tour des grandes surfaces pour mes achats, et c'est là que je l'ai aperçue. Elle est toujours aussi mignonne pour le peu que j'ai pu la voir. Elle travaille dans la galerie, dans une croissanterie-pâtisserie. Toutes mes pensées coquines à son égard, et que j'avais presque enterrées, me reviennent aussitôt en mémoire. Cette fois c'est sûr, je ne vais pas laisser passer une deuxième chance.
Je réfléchis à la façon de l'aborder, et décide d'attendre janvier pour lui souhaiter, par hasard, une bonne année. Pour la suite on verra, mais je n'ai rien à perdre et vais lui faire du rentre dedans.
Je repars donc dès le 02 janvier, malheureusement il y a plein de clients et je ne peux lui parler. Je l'observe de loin, en douce, elle est super désirable, à l'approche de la quarantaine. Je repars tous les jours, sans succès. Elle est toujours occupée, ou absente. Enfin le samedi, elle semble libre, et je l'accoste, gonflé à bloc:

- Bonjour, vous me reconnaissez?
- Oui, bien sûr, vous étiez client à la boulangerie!
- C'est ça. C'est pas gentil de nous avoir abandonnés.
- C'est de l'humour sans doute, désolée, mais il y a d'autres boulangeries.
- Excusez moi ce n'était pas très malin. D'autres boulangeries oui, mais une autre boulangère aussi jolie et charmante, ce n'est pas évident. Je peux vous avouer que vous m'avez beaucoup manqué, et aujourd'hui encore. Mais c'est la vie. En tout cas, ça me fait très plaisir de vous revoir. Vous allez bien?
- C'est gentil ce que vous me dites, merci. Oui, je vais bien, vous aussi?
- Oui, surtout depuis deux minutes que je vous ai retrouvée.
-Vous me gênez, je na sais pas comment je dois le prendre.
- Mais bien, c'est juste que je n'ai jamais osé vous dire que je vous trouvais aussi belle que sympa, et que je profite de l'occasion pour me rattraper. Bon, je vais sacrifier à la tradition, et vous adressez tous mes vœux de bonheur, santé et amour. Mais je suppose pour tout ce que je vous ai dit que vous êtes comblée de ce côté.
- Eh bien justement non, si vous voulez savoir. Je ne sais pas pourquoi je vous dit ça, mais mon ami m'a laissé tomber et je suis seule.
- Sans doute qu'il ne vous méritait pas, il ne faut pas être très malin pour se défaire d'une aussi jolie femme. Si j'avais eu la chance d'être à sa place je vous jure que j'aurais su vous garder.
- Je me trompe, où vous cherchez à me draguer?

Des clients arrivent, et elle me dit qu'elle a une pause dans un quart d'heure et me propose de l'attendre dehors pour continuer notre discussion.
Elle me rejoint et je lui dis ouvertement que j'ai envie d'elle. J'attends sa réaction avec inquiétude, mais elle ne semble pas choquée, fais juste semblant de ne pas être une fille facile. Je suis bien plus âgé qu'elle, et elle veut savoir si c'est juste sexuel, ou sentimental. Elle est soulagée de m'entendre dire que c'est uniquement sexuel. Elle m'avoue sa déception des hommes, son désert sexuel depuis quelques mois, et aimerait bien une aventure sans lendemain. Sa pause est terminée. Elle quitte à 19h30, et on se donne rendez-vous à la cafétéria du centre commercial.
On est dans un coin tranquille, et on peut discuter sans crainte d'être entendu. Je lui avoue les vilaines pensées que j'ai eu à son égard, mes fantasmes pour elle, et elle semble flattée, regrette que son copain n'ai pas eu les mêmes désirs. Elle est en manque et est prête à tout accepter de moi, à condition que je la fasse bien jouir.
On décide de ne plus perdre de temps et on va chez elle pour réaliser mon fantasme, sans tabous, sans interdits; seule objection, elle ne veut pas que je jouisse sans sa chatte pour ne pas risquer de tomber enceinte.

On est enfin chez elle. Elle me sert un verre à boire, puis va prendre une douche, et s'habille comme je l'admirais à la boulangerie. Elle me rejoint à la cuisine, me donne une paire de collants, et on commence, on s'imagine dans son ex boutique à l'heure de la fermeture de treize heure.
Elle a fermé le magasin, et au moment où elle veut monter à son appartement, je surgis, la tête masquée par ses collants, et la serre contre moi, ma main sur sa bouche:
- N'aies pas peur, tu vas te montrer gentille et tout va bien se passer. Je ne te veux que du bien, beaucoup de bien si tu vois ce que je veux dire.
Je me plaque contre elle en disant ces derniers mots, et ses fesses doivent sentir mon sexe qui commence à se gonfler. Elle me jure qu'il n'y a personne d'autre que nous deux, et je libère sa bouche. Je me recule un peu pour la mâter, comme au bon vieux temps, quand elle se retournait pour choisir mon pain. Elle a son pantalon blanc, très serré, qui la moule comme une deuxième peau:
- Ce cul, ce cul que tu as! Tu es magnifique, jamais un cul ne m'as fait autant d'effet. Enlève ton pantalon, je le veux ton cul.
Je ne sais pas si c'est qu'elle a peur de moi, ou qu'elle a envie d'une aventure, mais elle s'exécute. Son pantalon est si étroit, qu'elle se tortille pour l'enlever. J'ai déjà baissé mon froc, et me branle en la regardant faire. Elle l'a descendu et se penche en avant pour l'enlever totalement. Elle a un string très mignon, pour le peu qu'il y a à voir. Je reviens contre elle, et frotte mon manche dressé sur ses belles miches:
- Tu es trop belle, j'ai envie de toi. Tu sens comme tu me fais bander, tu vas me sentir encore mieux quand je vais te la mettre. Viens te mettre à genoux sur la petite tablette.
Il y a un décrochement dans le comptoir, comme une étagère plus basse pour poser les sacs à main ou autre, que l'on a remplacé par une chaise, et elle s'installe dessus, penchée sur la table.
Je m'accroupis derrière elle, écarte la ficelle de son string, et lui bouffe le cul, le lui doigte, pour la préparer. Ma langue qui explore sa rondelle semble lui plaire, et je l'entends gémir.
- Hummm, tu aimes ça salope. Tu as raison, moi aussi, il est trop bon ton cul. Bouge pas je vais t'enculer.
Je me relève, plaque mon gland sur son œillet, salive dessus et m'enfonce. Elle pousse un petit cri, plus de peur que de douleur, puis gémis à nouveau. Je la ramone tel un métronome, et augmente la cadence. On entend mes couilles qui claquent sur sa vulve à chaque fois que je l'enfonce. Elle gémis encore plus fort, soupire autant que je souffle. Je me retire pour ne pas jouir trop vite, et changer de position. Il y a un vieux pétrin dans le magasin, que l'on remplace par la table, et elle s'allonge dessus sur le dos, les jambes relevées.
J'enlève son string et découvre sa chatte toute rasée et luisante de son plaisir. Je renifle sa petite culotte, puis l'introduit dans sa chatte.
Je replante ma bite dans son cul, et tiens ses jambes levées pour libérer ses mains:
- Masturbe toi, branle toi, je veux que tu trempes ton string, que je vais garder en souvenir de toi.
Elle se caresse sans pudeur, sans retenue, tripote son clito, se fouille le vagin, lèche ses doigts. Je l'enfile en la regardant faire, et crache sur son minou pour mieux la huiler. Ses soupirs ont fait place à des cris de jouissance, elle mouille de partout:
- Tu aimes ça salope, te branler et te faire sodomiser. Dis moi que tu l'aimes ma bite dans ton cul.
- Ouiiiii
-Fais des phrases, répète ce que j'ai dis.
- Oui je l'aime votre bite dans mon cul.
- C'est mieux, dis moi que tu aimes ma grosse queue dans ton fion de salope
- Oui, j'aime votre grosse queue dans mon fion de salope.
- C'est bien. Dis moi .....................
Je lui fais répéter toutes sortes d'obscénités, d'insultes, autant pour elle que pour moi.
Je suis sur le point de jouir, après qu'elle m'ai dit:
- J'ai envie de sentir vos grosses couilles de pervers vicieux se vider entre mes reins de chienne lubrique en chaleur. Et ensuite je vais vous sucer et bouffer votre sperme comme une grosse salope affamée que je suis.
Je décharge enfin, la remplit au maximum:
- Ohhhhh, putain, que c'est bon. Tu ne peux pas savoir depuis combien de temps j'espère ce moment, le nombre de nuits blanches que tu m'as fait passer, le nombre de queues que je me suis tapées pour toi, les litres de foutre que j'ai gaspillé à ta santé.
Elle se masturbe énergiquement et jouis violemment. On est épuisé et on reste quelques secondes sans bouger. Puis je me retire et elle s'accroupit pour me pomper, tout en plaçant une main sous son cul grand ouvert. Elle me nettoie tandis que ma semence s'écoule de son cul. Elle a la main remplie et la porte à sa bouche. Elle aspire la moitié qu'elle avale, et étale l'autre moitié sur mon gland. Il est tout nappé de ma crème et elle le gobe avec gourmandise, pour le nettoyer encore une fois. Elle se fouille le cul pour ne rien perdre, et suce ses doigts liquoreux.
Ohhhhh, salope, que c'est bon de te baiser! Tu as pris ton pied toi aussi, non?
Elle confirme, et accepte volontiers que l'on monte dans sa chambre. On se déshabille, et elle s'allonge sur le lit, cuisses ouvertes. J'ai une envie folle de la brouter, mais il faut que j'enlève les collants, que je me démasque. Elle me promet de ne pas porter plainte, et je me dévoile:
-J'étais sûre que c'était vous, j'ai déjà remarqué que vous m'observiez avec un œil cochon. Même une fois, j'ai deviné une bosse dans votre pantalon.
- Tu aurais préféré un jeune?
- Oh non, ils ne sont pas aussi vicieux, sauf votre respect.
Respect, mon cul! Je n'en ai rien à foutre de son respect, je veux lui bouffer la chatte, et qu'elle me parle gras, qu'elle m'insulte comme j'ai fait avec elle.
Je retire le string de sa fente, il est trempé, et je le plaque sur mon nez et ma bouche pour m'enivrer de son nectar. Puis je plonge la gueule entre ses cuisses pour la dévorer. Je me délecte de sa vulve, son clito décapuchonné qui bande comme une petite bite, ses lèvres charnues et merveilleusement dessinées, son vagin qui ruisselle.
- Hummmm, cette huître que tu as, elle est aussi belle et bonne que ton cul. Insulte moi, excite moi que je rebande dur.
- Vous êtes sûr, je n'ai jamais fait ça.
- Oui salope, parle moi comme la dernière des poufiasses, traite moi comme un moins que rien.
Je la bouffe de plus belle, la lape, la lèche, la suce, l'aspire, la gobe, la mange, la boit. Elle jouit , se liquéfie de plaisir, et se décide enfin:
- J'y crois pas, je baise avec un vieux vicieux, et j'aime ça. Vous êtes un gros porc, bon à vautrer votre gueule entre les cuisses de jeunes femmes pour boire leur plaisir. Vous mériterez qu'on vous pisse dans la bouche, salaud, quand vous nous bouffez, mais je suis sûre que ça vous ferait trop plaisir, espèce de pervers..................................
Je l'encourage à continuer. Son sexe, ses mots, et ma main qui me branle, je suis à nouveau opérationnel, avec une trique d'enfer.
Je dessoude mes lèvres des siennes, vaginales, et remonte sur son corps. J'embrasse son ventre rapidement, m'attarde un peu plus sur ses jolis petits seins, et parviens à sa bouche. Elle ne fait rien pour éviter mes baisers fougueux, bien au contraire: elle s'y abandonne, et participe activement, d'autant plus excitée, que mon missile à tête chercheuse à trouvé sa cible, sa chatte désireuse.
Elle me demande de ne pas jouir dans sa chatte, de ne pas l'engrosser. Je lui dis de ne pas s'inquiéter, je viens de jouir, et peux la baiser très longtemps avant de décharger à nouveau. Elle aimerait trop se faire baiser pendant des heures, si seulement ça pouvait se faire, mettant mes capacités en doute, puis me rappelle qu'elle doit rouvrir la boutique à 16h. Pas de soucis, j'aurais finis avant. Je lui propose de finir dans sa bouche, mais elle préfèrerait son cul:
- Je n'y crois pas, tu veux encore te faire sodomiser salope, tu n'en as pas assez pris.
- Pour en prendre, sûr que j'en ai pris. Mais vous êtes là pour mon cul, et vous m'enculez trop bien. Alors, oui, j'en veux encore plein le cul, encore et encore. Enculez moi. Cassez moi mon joli cul de chienne.
Je me retire, me lève, et la fait mettre à quatre pattes au bord du lit. Je le prends en levrette, et alterne les pénétrations anales et vaginales, lui jurant que je vais jouir dans son petit trou. Je sens mon plaisir venir et je reste dans son fion. Je pose un pied sur le lit, puis le deuxième . Je suis sur elle, la couvre de tout mon corps, ancré profondément en elle:
- Putain de salope, j'ai toujours pensé que tu avais un cul merveilleux, mais c'est au delà de toutes mes espérances. Que tu es bonne à ramoner, garce lubrique, tu aimes ça que je te monte comme un chien monte une chienne. Je vais te graisser le cul vicieuse, te remplir comme une truie.
Je me déchaine pour la matraquer, sous ses encouragements torrides, et jouis enfin. Je me retire, et comme pour la première fois, elle me nettoie la queue, et récupère mon foutre dans son fondement pour le dévorer.
Mon fantasme est terminé, mieux que tout ce que j'avais imaginé, et on revient à la réalité:

- Ouahhhh, je ne sais pas pour toi..., tu permets que je continue à te tutoyer?
- Oui bien sûr.
- Je disais que je ne sais pas pour toi, mais pour moi c'était génial, sublime, parfait. Tu es un super coup, aussi bonne à baiser que tu es jolie. C'est ma meilleure baise depuis longtemps.
- Merci, mais vous êtes un super coup vous aussi. On ne m'avais jamais baiser aussi sauvagement. On ne m'avait surtout jamais parlé comme vous l'avez fait.
- Je t'ai choquée?
- Non, j'ai conscience d'être une salope qui aime les bites, mais vous êtes le premier à oser me le dire ouvertement. J'avoue que ça m'a bien excitée, tous ces mots, et votre belle bite bien sûr.
- Très bien, on pourra remettre ça rapidement j'espère?
-Vous partez? Vous ne voulez pas rester?
J'ai jouis deux fois, ne suis plus bon à rien, et lui confirme que je rentre chez moi. Elle ne l'entend pas ainsi, on est le weekend, et elle use de tout son charme irrésistible pour me garder jusqu'au lendemain.

A SUIVRE ...

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