Le retour de son premier amour 1
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le retour de son premier amour 1
Léa est très nerveuse, elle attend l'arrivée d'un ami d'enfance de son mari, qui n'est autre que son premier amour, qu'elle n'a pas revue depuis des années. Elle passe une grande partie de la journée dans la salle de bain. Fière de sa personne, surtout très coquette, Léa prend soin de sa personne. Assise nue sur un tabouret devant le grand miroir de la salle de bain, elle s'épile les jambes, les aisselles aussi ont droit au débroussaillage. Elle ouvre les cuisses et soupirant fortement, elle constate que son pubis n'est pas net. Elle saisit le rasoir et commence à le faire glisser sur son abricot. C'est avec précaution qu'elle rase les poils disgracieux qui ornent sa vulve. Mais au fur et à mesure, le feu du rasoir devient gênant.
Léa passe ses doigts sur son pubis et commence à le frotter en grimaçant. Peu à peu le ressenti de brulure disparaît. Mais ce qui était un frottement pour apaiser le feu, devient rapidement une masturbation. Ses doigts s'agitent sur sa chatte, en agaçant, le clito qui double de volume. Léa souffle comme un dragon. Petit à petit, sous le branlage intensif, la boule de chair devient sensible. Les gémissements de Léa deviennent incontrôlables, son mari José, qui passe juste à ce moment devant la porte ouverte, entend des bruits incongrus. Il entre et voit sa femme se entrain de se faire un petit plaisir digital. Sa bouche et grande ouverte, elle regarde sa chatte lâcher son jus. José s'avance, Léa lève les yeux vers lui, mais n'interrompt pas sa masturbation. Au contraire, elle redouble les assauts sur son clito qui devient douloureux.
José, en souriant, regarde les doigts fins agresser la boule magique, qui fait gémir sa femme. Il lui dit en riant :
- Ouh là, tu veux un petit coup de main ma chérie !
Elle le regarde avec des yeux qui lancent des éclairs et répond :
-Oui, bouffe-moi la chatte, vite, vite !
José tombe à genoux devant Léa, qui automatiquement ouvre les cuisses. Sans réfléchir davantage, il plaque sa bouche sur le fruit trop mûr qui rejette son jus. Léa n'est pas comme d'habitude, ses gémissements sont monstrueux, il releve la tête et ne peut s'empêcher de dire :
Oh, mais c'est la venue de ton ex qui te rend comme ça, ma chérie, il faut te calmer, sache que depuis un bail, il est marié ton François !
Elle souffle comme un bœuf et répond un peu irritée :
-Imbécile, bouffe-moi, bouffe-moi !
Souvent, Léa lui parle de François, et de leur amour inachevé, puis remémore la mutation de ses parents, que François dut suivre. Il avait à l'époque dix-huit ans, et n'a jamais donné signe de vie. Pour cette raison, Léa lui en veut.
Léa appuie sur la tête de son mari, se cabre et gicle. José est surpris pas la puissance du jet, bien que son visage ait reçu une grosse partie de la décharge, il reussit à avaler du liquide suave. Sa queue est raide comme du béton, il la sort de son pantalon et l'offre à Léa qui se précipite dessus comme une affamée. La coquine est très douée pour la fellation, d'ailleurs, elle l'affectionne. Sa bouche fait des merveilles, José éclate en poussant un long râle. Léa n'est pas gaspilleuse, elle deglutie jusqu'à la dernière goutte la semence épaisse. Elle repousse son mari et lui dit :
-Allez, laisse-moi prendre ma douche, sort de la salle de bain !
En ironisant, José dit :
-Tu vas te faire belle pour lui aller, avoue !
Léa fait une grosse moue en haussant les épaules et dit :
-Mais qu'est-ce que tu peux être bête mon chéri, cesse de dire des inepties !
Pendant que Léa savonne son corps de rêve, la sonnette retentit. José va ouvrir. C'est son ami François qui, accompagné de sa femme, il les fait entrer. François lui présente sa femme Antoinette, une femme magnifique que José dévisage longuement. Il les fait assoir sur les fauteuils, et hèle sa femme, qui sursaute, elle devient fébrile, ses gestes sont maladroits. Rapidement, elle s'essuie, se donne un coup de peigne et enfile une jupe et un corsage, elle oublie dans sa précipitation d'enfiler une culotte, ses seins fermes, eux, n'en pas besoin de soutien. Enfin, elle entre au salon. François et Léa semblent tétanisés, ils se fixent longuement du regard avant que les deux s'embrassent pour se saluer. Antoinette semble sympa, la femme est très souriante, elle embrasse à son tour Léa.
Léa passe ses doigts sur son pubis et commence à le frotter en grimaçant. Peu à peu le ressenti de brulure disparaît. Mais ce qui était un frottement pour apaiser le feu, devient rapidement une masturbation. Ses doigts s'agitent sur sa chatte, en agaçant, le clito qui double de volume. Léa souffle comme un dragon. Petit à petit, sous le branlage intensif, la boule de chair devient sensible. Les gémissements de Léa deviennent incontrôlables, son mari José, qui passe juste à ce moment devant la porte ouverte, entend des bruits incongrus. Il entre et voit sa femme se entrain de se faire un petit plaisir digital. Sa bouche et grande ouverte, elle regarde sa chatte lâcher son jus. José s'avance, Léa lève les yeux vers lui, mais n'interrompt pas sa masturbation. Au contraire, elle redouble les assauts sur son clito qui devient douloureux.
José, en souriant, regarde les doigts fins agresser la boule magique, qui fait gémir sa femme. Il lui dit en riant :
- Ouh là, tu veux un petit coup de main ma chérie !
Elle le regarde avec des yeux qui lancent des éclairs et répond :
-Oui, bouffe-moi la chatte, vite, vite !
José tombe à genoux devant Léa, qui automatiquement ouvre les cuisses. Sans réfléchir davantage, il plaque sa bouche sur le fruit trop mûr qui rejette son jus. Léa n'est pas comme d'habitude, ses gémissements sont monstrueux, il releve la tête et ne peut s'empêcher de dire :
Oh, mais c'est la venue de ton ex qui te rend comme ça, ma chérie, il faut te calmer, sache que depuis un bail, il est marié ton François !
Elle souffle comme un bœuf et répond un peu irritée :
-Imbécile, bouffe-moi, bouffe-moi !
Souvent, Léa lui parle de François, et de leur amour inachevé, puis remémore la mutation de ses parents, que François dut suivre. Il avait à l'époque dix-huit ans, et n'a jamais donné signe de vie. Pour cette raison, Léa lui en veut.
Léa appuie sur la tête de son mari, se cabre et gicle. José est surpris pas la puissance du jet, bien que son visage ait reçu une grosse partie de la décharge, il reussit à avaler du liquide suave. Sa queue est raide comme du béton, il la sort de son pantalon et l'offre à Léa qui se précipite dessus comme une affamée. La coquine est très douée pour la fellation, d'ailleurs, elle l'affectionne. Sa bouche fait des merveilles, José éclate en poussant un long râle. Léa n'est pas gaspilleuse, elle deglutie jusqu'à la dernière goutte la semence épaisse. Elle repousse son mari et lui dit :
-Allez, laisse-moi prendre ma douche, sort de la salle de bain !
En ironisant, José dit :
-Tu vas te faire belle pour lui aller, avoue !
Léa fait une grosse moue en haussant les épaules et dit :
-Mais qu'est-ce que tu peux être bête mon chéri, cesse de dire des inepties !
Pendant que Léa savonne son corps de rêve, la sonnette retentit. José va ouvrir. C'est son ami François qui, accompagné de sa femme, il les fait entrer. François lui présente sa femme Antoinette, une femme magnifique que José dévisage longuement. Il les fait assoir sur les fauteuils, et hèle sa femme, qui sursaute, elle devient fébrile, ses gestes sont maladroits. Rapidement, elle s'essuie, se donne un coup de peigne et enfile une jupe et un corsage, elle oublie dans sa précipitation d'enfiler une culotte, ses seins fermes, eux, n'en pas besoin de soutien. Enfin, elle entre au salon. François et Léa semblent tétanisés, ils se fixent longuement du regard avant que les deux s'embrassent pour se saluer. Antoinette semble sympa, la femme est très souriante, elle embrasse à son tour Léa.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Dernier épisode de Charles, un homme parfait à était publié le 17 juillet. À moins que vous désiriez un épisode supplémentaire ?
Bonnes fêtes à vous également
Bonnes fêtes à vous également
De rien. Passez de bonnes fetes de fin d'année. Vivement le 22.
Je suis tetue, j'espère la suite de Charles. :)
Je suis tetue, j'espère la suite de Charles. :)
A quand la suite ?
