Le retour de son premier amour 2
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le retour de son premier amour 2
Les couples prennent place autour de la petite table, José verse l'apéro. Pendant un instant, l'atmosphère est tendue. Puis peu à peu les langues se délient. Tous se remémorent l'enfance vécue, parfois, ils éclatent de rire. Seule Antoinette ne dit mot, elle se sent à l'écarte du trio qui en beaucoup de chose en commun. Elle c'est une pièce rapportée, avant elle ne connaissait pas Léa et José, donc elle reste sans rien dire. Les paroles mielleuses de José la séduisent, elle le regarde fréquemment, lui, lui jette des regards intenses. Entre Léa et Antoine, les choses sont plus fortes, les deux ressentent encore quelque chose l'un pour l'autre, malgré les années passées. Souvent Léa le question sur le manque de nouvelles, lui, très embarrassé, noie le poisson en cherchant des excuses pas crédibles. L'apéro se passe bon enfant, il est temps de passer à table. Léa, fine cuisinière, leur a concoctée un repas succulent. François est à côté de Léa, donc, José se trouve automatiquement à côté d'Antoinette
José se charge de mettre l'ambiance, il raconte des blagues qui font plier en deux les invités. Les langues se libèrent, les compliments fusent, les femmes rougissent en bombant le torse. Souvent, François frôle la main de Léa, qui frissonne en ravalant sa salive. Antoinette plante le clou, et avoue que son mari lui parle souvent de Léa et qu'elle pense, qu'il ne l'a jamais oublié. Les deux ex-amants ne se quittent pas des yeux, et semblent avoir oubliés leur entourage. José, subtilement, et indirectement, pour ne pas se faire passer pour un dragueur invétéré, complimente Antoinette sur son look, et sur sa beauté. Il ajoute même, en ne quittant pas des yeux la femme, qu'elle a un corps de rêve. Antoinette a les yeux qui brillent, elle soupire profondément en répliquant :
-Là, tu exagères José, je suis quelconque !
Pendant que Léa et François, hors sol, se font les yeux doux, discrètement, il saisit la main d'Antoinette et lui donne de nombreux baisers. Il l'entend frissonner, honteuse, elle retire sa main. Léa se lève pour se rendre à la cuisine, François se lève à son tour et dit :
-Je vais lui donner un coup de main, le plat de résistance est surement lourd !
Antoinette et José restent seuls, le bougre s'enhardit, il lui reprend la main et avoue :
-Tu me fais un effet terrible Antoinette, oh comme je te désire !
Antoinette le regarde, surprise par cette révélation et répond :
-Sois sage José, nous sommes tous deux mariés, donc reprends-toi !
À la cuisine, François enlace Léa qui et contre la table de cuisson, il la serre si fort contre lui qu'elle manque d'étouffer. Elle se degage habilement en poussant de nombreux soupirs, dit :
-Mais tu n'as pas changé, toujours aussi fougueux, n'oublie pas que tu m'as abandonné lâchement sans donner de nouvelles, et sans explications, tu réapparais, et pour cela, je dois accourir au doigt et a l'œil !
Il la serre encore plus fort contre lui, en lui donnant des baisers sur la nuque et le cou, et lui dit :
-Je sais que j'ai des tors, même le jour de mon mariage, tu hantais mon esprit, alors, dès que je t'ai revu, mon cœur, c'est mis à battre comme pour éclater !
Léa reste sans voix, elle aussi pense souvent à lui, mais n'ose l'avouer. Elle se retourne vivement en lui faisant face, répond :
-Tu ne crois pas que c'est facile, tu reviens la tête basse comme un chien battu et je dois te tomber dans les bras sous un claquement de doigt !
François bègue, il n'arrive pas à mettre un mot devant l'autre. Leur visage est très près l'un de l'autre, les souffles se mêlent. François, sans se soucier des conséquences, pose ses lèvres sur celle de son amour inoubliable. Léa pose ses mains sur le torse de son agresseur, mais ne peut le repousser, le baiser qu'ils échangent est langoureux et très long. Dans la salle à manger, pendant ce temps. José drague ouvertement Antoinette, il se place derrière elle et pose ses mains sur ses épaules. Il lui masse avec douceur les frêles épaules qui se mettent à trembler. Antoinette Frémit, elle ferme les yeux en respirant de plus en plus rapidement. José, en amant expérimenté, lui lèche l'oreille, lui suce le lobe. Antoinette défaille, l'imprudente, bascule sa tête en arrière. José en profite pour déposer sur ses lèvres un doux baiser. Avec douceur, il lève Antoinette de sa chaise, et se plaque contre elle, il agite doucement son bassin contre ses fesses, en la serrant contre lui. Antoinette geint faiblement, elle sent contre son fessier la verge de José prendre du volume. Il lui dit en, l'embrassant dans le cou :
-Tu me rends fou Antoinette !
Il donne quelques petits coups de reins en faisant glisser son membre sur la croupe généreuse de la femme qui geint lentement en ne repoussant pas l'agresseur. Au contraire, elle se cambre davantage pour bien sentir la verge voyager dans le large sillon de son fessier. À la cuisine, François à basculer Léa sur la table, il lui retrousse la jupe, il lui dit en ironisant :
-Ouah, tu n'as pas mis de culotte, tu m'attendais hein ma petite cochonne !
Léa hausse les épaules en ouvrant largement les cuisses, François, plaque sa bouche sur la vulve dégoulinante de cyprine et aspire le jus avant de plonger sa langue dans le conduit brulant. Le bougre fouille le temple comme un affamé, Léa pousse un long râle, qu'elle etouffe en se mordant le poignet, sa jouissance et rapide et intense. Elle repousse son amant, et prend le plat suivant en invitant François de faire de même. Le bruit interrompt José, qui s'excitait sur le fessier d'Antoinette. Rapidement, il rejoint sa place. En posant sa serviette de table sur la bosse qui déforme son pantalon. Léa pose le plat sur la table, François aussi, les deux bien échauffés, reprennent leur place. Chacun se sert, José pose discrètement sa main sur la cuisse d'Antoinette, et la glisse sous le fin tissu. Le bougre avec adresse monte jusqu'à l'entrejambe, avec habileté, caresse la culotte humide qui protège la chatte. Antoinette, ravale sa salive, elle s'agite le plus discrètement possible sur sa chaise. Sa chatte est en feu. De l'autre cote de la table, le scénario est identique.
François a retroussé la jupe de Léa et lui caresse le temple qu'il a fait jouir précédemment. Les yeux des deux femmes étincellent, elles serrent les dents pour ne pas se faire remarquer, leurs corps deviennent fébriles, la main de Léa tremble en prenant la salière sur la table. Antoinette se rend comme un arc, elle écarquille les yeux et s'agrippe à la main de José qui s'active sur sa chatte. Elle pousse un gémissement, sa jouissance est incontrôlable, elle grogne :
-Oh mon Dieu, mon Dieu !
Un filet de cyprine inonde sa culotte. Léa se baisse et regarde sous la table, elle donne un coup de coude à François, c'est en se penchant à son oreille qu'elle lui murmure :
-Ta femme vient de jouir, José la branle comme un dingue, regarde !
François se penche et regarde sa femme jambes écartées, subit les attouchements adroits de José sur sa chatte. Il se redresse et dit en souriant :
-Je crois qu'il n'est plus nécessaire de se cacher, ce que tu ressens pour ta femme, je le ressent pour la tienne !
En prononçant ses mots, François empoigne Léa et lui donne un baiser comme s'il vouler la bouffer. José, regarde François, presse la chatte d'Antoinette et dit :
-Tu as raison, ta femme m'excite, il faut que je l'honore dignement, je te demande en toute amitié de continuer ce que tu as commencé !
José se charge de mettre l'ambiance, il raconte des blagues qui font plier en deux les invités. Les langues se libèrent, les compliments fusent, les femmes rougissent en bombant le torse. Souvent, François frôle la main de Léa, qui frissonne en ravalant sa salive. Antoinette plante le clou, et avoue que son mari lui parle souvent de Léa et qu'elle pense, qu'il ne l'a jamais oublié. Les deux ex-amants ne se quittent pas des yeux, et semblent avoir oubliés leur entourage. José, subtilement, et indirectement, pour ne pas se faire passer pour un dragueur invétéré, complimente Antoinette sur son look, et sur sa beauté. Il ajoute même, en ne quittant pas des yeux la femme, qu'elle a un corps de rêve. Antoinette a les yeux qui brillent, elle soupire profondément en répliquant :
-Là, tu exagères José, je suis quelconque !
Pendant que Léa et François, hors sol, se font les yeux doux, discrètement, il saisit la main d'Antoinette et lui donne de nombreux baisers. Il l'entend frissonner, honteuse, elle retire sa main. Léa se lève pour se rendre à la cuisine, François se lève à son tour et dit :
-Je vais lui donner un coup de main, le plat de résistance est surement lourd !
Antoinette et José restent seuls, le bougre s'enhardit, il lui reprend la main et avoue :
-Tu me fais un effet terrible Antoinette, oh comme je te désire !
Antoinette le regarde, surprise par cette révélation et répond :
-Sois sage José, nous sommes tous deux mariés, donc reprends-toi !
À la cuisine, François enlace Léa qui et contre la table de cuisson, il la serre si fort contre lui qu'elle manque d'étouffer. Elle se degage habilement en poussant de nombreux soupirs, dit :
-Mais tu n'as pas changé, toujours aussi fougueux, n'oublie pas que tu m'as abandonné lâchement sans donner de nouvelles, et sans explications, tu réapparais, et pour cela, je dois accourir au doigt et a l'œil !
Il la serre encore plus fort contre lui, en lui donnant des baisers sur la nuque et le cou, et lui dit :
-Je sais que j'ai des tors, même le jour de mon mariage, tu hantais mon esprit, alors, dès que je t'ai revu, mon cœur, c'est mis à battre comme pour éclater !
Léa reste sans voix, elle aussi pense souvent à lui, mais n'ose l'avouer. Elle se retourne vivement en lui faisant face, répond :
-Tu ne crois pas que c'est facile, tu reviens la tête basse comme un chien battu et je dois te tomber dans les bras sous un claquement de doigt !
François bègue, il n'arrive pas à mettre un mot devant l'autre. Leur visage est très près l'un de l'autre, les souffles se mêlent. François, sans se soucier des conséquences, pose ses lèvres sur celle de son amour inoubliable. Léa pose ses mains sur le torse de son agresseur, mais ne peut le repousser, le baiser qu'ils échangent est langoureux et très long. Dans la salle à manger, pendant ce temps. José drague ouvertement Antoinette, il se place derrière elle et pose ses mains sur ses épaules. Il lui masse avec douceur les frêles épaules qui se mettent à trembler. Antoinette Frémit, elle ferme les yeux en respirant de plus en plus rapidement. José, en amant expérimenté, lui lèche l'oreille, lui suce le lobe. Antoinette défaille, l'imprudente, bascule sa tête en arrière. José en profite pour déposer sur ses lèvres un doux baiser. Avec douceur, il lève Antoinette de sa chaise, et se plaque contre elle, il agite doucement son bassin contre ses fesses, en la serrant contre lui. Antoinette geint faiblement, elle sent contre son fessier la verge de José prendre du volume. Il lui dit en, l'embrassant dans le cou :
-Tu me rends fou Antoinette !
Il donne quelques petits coups de reins en faisant glisser son membre sur la croupe généreuse de la femme qui geint lentement en ne repoussant pas l'agresseur. Au contraire, elle se cambre davantage pour bien sentir la verge voyager dans le large sillon de son fessier. À la cuisine, François à basculer Léa sur la table, il lui retrousse la jupe, il lui dit en ironisant :
-Ouah, tu n'as pas mis de culotte, tu m'attendais hein ma petite cochonne !
Léa hausse les épaules en ouvrant largement les cuisses, François, plaque sa bouche sur la vulve dégoulinante de cyprine et aspire le jus avant de plonger sa langue dans le conduit brulant. Le bougre fouille le temple comme un affamé, Léa pousse un long râle, qu'elle etouffe en se mordant le poignet, sa jouissance et rapide et intense. Elle repousse son amant, et prend le plat suivant en invitant François de faire de même. Le bruit interrompt José, qui s'excitait sur le fessier d'Antoinette. Rapidement, il rejoint sa place. En posant sa serviette de table sur la bosse qui déforme son pantalon. Léa pose le plat sur la table, François aussi, les deux bien échauffés, reprennent leur place. Chacun se sert, José pose discrètement sa main sur la cuisse d'Antoinette, et la glisse sous le fin tissu. Le bougre avec adresse monte jusqu'à l'entrejambe, avec habileté, caresse la culotte humide qui protège la chatte. Antoinette, ravale sa salive, elle s'agite le plus discrètement possible sur sa chaise. Sa chatte est en feu. De l'autre cote de la table, le scénario est identique.
François a retroussé la jupe de Léa et lui caresse le temple qu'il a fait jouir précédemment. Les yeux des deux femmes étincellent, elles serrent les dents pour ne pas se faire remarquer, leurs corps deviennent fébriles, la main de Léa tremble en prenant la salière sur la table. Antoinette se rend comme un arc, elle écarquille les yeux et s'agrippe à la main de José qui s'active sur sa chatte. Elle pousse un gémissement, sa jouissance est incontrôlable, elle grogne :
-Oh mon Dieu, mon Dieu !
Un filet de cyprine inonde sa culotte. Léa se baisse et regarde sous la table, elle donne un coup de coude à François, c'est en se penchant à son oreille qu'elle lui murmure :
-Ta femme vient de jouir, José la branle comme un dingue, regarde !
François se penche et regarde sa femme jambes écartées, subit les attouchements adroits de José sur sa chatte. Il se redresse et dit en souriant :
-Je crois qu'il n'est plus nécessaire de se cacher, ce que tu ressens pour ta femme, je le ressent pour la tienne !
En prononçant ses mots, François empoigne Léa et lui donne un baiser comme s'il vouler la bouffer. José, regarde François, presse la chatte d'Antoinette et dit :
-Tu as raison, ta femme m'excite, il faut que je l'honore dignement, je te demande en toute amitié de continuer ce que tu as commencé !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Désolée Cyrille, il n'y a pas de suite prévue
J'adore ces histoires d'échangisme....
Merci beaucoup Linsee...
J'imagine qu'il y a une suite
Cyrille
Merci beaucoup Linsee...
J'imagine qu'il y a une suite
Cyrille