Le réveil d'un autiste 3. Barbara.
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Le réveil d'un autiste 3. Barbara.
Après Audrey, sa sœur Barbara.
Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie.
Barbara
Barbara, 1m 68 pour 56 kilos, sportive elle aussi, taille de bonnets, 85C, des fesses rebondies.
Quelques jours plus tôt :
Elle ne retrouve plus son chargeur ce matin et va dans la chambre de sa sœur Audrey pour lui emprunter le sien. Pour ne pas la réveiller elle se contentera de l'éclairage du couloir pour trouver l’objet désiré. Elle ouvre donc la porte et se dirige en catimini vers le bureau pour récupérer le chargeur. En se retournant elle jette un coup d'œil sur le lit de sa sœur et il lui faut un moment avant de réaliser qu'elle n'est pas seule dans son lit. Barbara se rapproche et découvre effarée que c'est son cousin Narcisse qui est couché à côté d’Audrey, tous les deux complètement nus. Elle est encore plus effarée en voyant que la main gauche de sa sœur repose sur la verge de son presque-frère qu'elle découvre pour la première fois en pleine érection.
Comment Audrey a-t-elle réussi à le faire bander ? Elle se doutait que Narcisse déjà bien pourvu au repos devait avoir en érection une bite à faire pâlir de jalousie tous ses petits copains, sachant qu’en moyenne une verge gagne dans les quatre ou cinq centimètres par rapport à son état flasque, mais là !!! Ce qu'elle découvre là est au-delà de ses espérances les plus folles.
Elle se retire en silence et rejoint sa chambre, n’en revenant toujours pas du spectacle. Rien que de penser à ce qu'elle a surpris, sa culotte est toute trempée.
Les jours suivants elle guette la porte de sa sœur et joue la voyeuse en regardant par le trou de la serrure ou en entrouvrant légèrement le battant. Le spectacle donné par Audrey et Narcisse est tellement hot que sa petite culotte ne peut retenir sa cyprine très abondante malgré sa protection et qui finit sur le sol. Mais elle fait un bruit qui risque de les alerter. De peur d'être surprise, elle regagne précipitamment sa chambre laissant une tâche de liquide révélatrice devant la porte de la chambre de sa sœur.
Comme elle sait que Narcisse passe une heure tous les jours à la muscu dans une petite salle à côté du hammam, elle s’arrange pour le guetter, attendant qu’il termine et aille prendre une douche rapide. Elle sort aussitôt de sa cachette la peau couverte de gouttes de sueur, complètement nue et le rejoint sous la douche.
-Ah Narcisse ! Fais-moi un peu de place que je me rafraichisse, et puisque tu es là, je te demanderai que tu me masses pour détendre mes muscles après.
Il s’est retourné vers elle et a acquiescé. Ils se savonnent mutuellement, elle n'hésite pas à passer la main sur des endroits qui normalement entre « frère et sœur » ne devrait pas être touché. Comme à son habitude, Barbara n'arrive pas à faire bander son cousin malgré une caresse appuyée sur le serpent endormi entre ses cuisses.
Après un séchage rapide ils se retrouvent donc tous les deux, juste à côté et Barbara s’étend sur la table de massage. Ils ne se sont revêtus ni l'un ni l'autre et Narcisse après s'être oint les mains avec un peu d'huile commence le massage de sa presque-sœur. Ce n'est pas la première fois qu'il se retrouve tous les deux dans cette situation mais au grand étonnement de Barbara, Narcisse insiste plus que de coutume sur la belle poitrine de sa cousine ou s’érige très vite deux beaux tétons. Il vient les titiller avec les doigts, puis serre entre ses mains puissantes les mamelles de sa cousine. Ses mains quittent enfin la poitrine ferme puis descendent doucement le long de son corps pour arriver au début de la fente vulvaire. Il malaxe doucement les grandes lèvres sans pour autant essayer de glisser un doigt dans la vulve de Barbara qui n'attend pourtant que ça.
Elle a les yeux mi-clos mais ne quitte pas du regard le bas-ventre de son cousin couvert une forêt touffue de poils. Elle assiste ébahie à la croissance exponentielle de la verge quasi-fraternelle. L'organe se gorge de sang, grossit, grandit, s’allonge encore et encore en se courbant progressivement vers le haut.
La bête est encore entre les cuisses de Narcisse puis commence une ascension folle. Son cerveau envoie enfin des signaux de stimulation aux nerfs érecteurs, en passant par la moelle épinière, libérant une grande concentration de nucléotides qui permet de relâcher les muscles lisses du pénis et d'augmenter l'afflux sanguin dans la verge.
Barbara voit le chibre arrivé à l'horizontale mais contrairement à beaucoup de garçons, ça ne s'arrête pas là. La dague encore à peu près droite se déforme encore et se transforme de plus en plus en sabre courbe. Quand enfin cesse la croissance de la colonne de chair, le gland touche pratiquement le bas-ventre de son cousin. Elle n'a jamais vu ça !
Les mains habiles de Narcisse entre ses cuisses combiné à la vue qu'il offre à sa cousine la fait mouiller comme jamais. Il recueille habilement les suintements qui s’écoulent de la chatte et s’en sert pour continuer ce massage qui décidément sort de l'ordinaire. Barbara réalise que le sexe de son cousin a pratiquement gagné un tiers de longueur supplémentaire, mais vu la taille du départ elle se retrouve confrontée à une tige pharaonique. Elle n'y tient plus, repousse son cousin pour pouvoir s’agenouiller entre ses cuisses et prendre enfin entre ses mains la plus formidable verge qu'elle n'ait jamais connue/et touchée.
Pendant un moment elle joue avec, faisant baisser l'organe et le relâchant brusquement pour le voir remonter à vitesse grand V et frapper avec force sur son bas-ventre dans un clac sonore. Elle se sert de ses mains comme d'une pige pour mesurer approximativement la taille du jonc vigoureux. Elle pose une main à ras les poils, puis l'autre au-dessus, reporte à nouveau sa première main au-dessus de la seconde et constate que c'est à peine si elle arrive au bout de ce mandrin.
Vous pouvez essayer les filles de faire de même avec vos petits copains sachant que la plus grande largeur de votre paume avoisine les huit centimètres. Vous comprendrez alors avec une petite multiplication la taille de cet organe formidable. Et que dire de son diamètre quand elle constate que sa main serrée au milieu de la bite trapue que le bout de son pouce est à presque trois centimètres de l’ongle de son majeur.
Barbara comme sa sœur n'est pas une sainte nitouche et sait très bien comment ce servir d'un tel manche. Pendant plusieurs minutes, ses doigts courent tout au long de la hampe avec un mouvement circulaire et contraire d'une main à l'autre puis elle essaie en descendant une main du gland jusqu'au pubis de son cousin suivi très rapidement de son autre main pendant un temps infini. Mais comme sa sœur, la récompense tant attendue ne vient pas. Le pieu est toujours dressé, les bourses toujours aussi pleines.
Elle ne lui laisse pas le temps de réagir et entreprend une fellation s’évertuant de recouvrir de sa salive l’organe et de le gober le plus loin possible. Ses mains servent de réceptacle aux couilles gonflées avec la peau qui se tend sous la pression de ses doigts. Elle mouille, elle coule comme jamais. Son clito doit être maintenant aussi gros qu’une petite bite, son anus n’aspirant qu’à se dilater.
Barbara n’y tient plus, elle joint ses bras autour du cou de Narcisse, se soulève pour nouer ses jambes autour des hanches du garçon qui empaume la croupe de la fille puis passe ses mains sous les cuisses, plie les genoux pour plus aisément embrocher Barbara, se redresse et la cloue contre la cloison la plus proche.
Il défonce le vagin heureusement très lubrifié de sa partenaire et la fait décoller vers des horizons de plaisir intense. Barbara, pendue au cou de son cousin et embrochée comme une poularde à la broche est incroyablement belle, ses seins pointent et ballotent sous les coups de boutoir, elle dérouille salement mais est heureuse et un grand sourire déforme son visage.
Elle découvre toute la puissance d’une réelle jouissance lorsque l’énorme gland violacé de son jeune cousin rentre et sort à un rythme effréné dans son vagin. Elle hurle à en alerter toute la maisonnée, son corps tremble, vibre réellement. Il fatigue enfin et la repose sur le sol, la prend en missionnaire, dans la position de la cuillère, en levrette. A son tour, c’est elle qui se déchaine dans d’autres positions où c’est la femme qui dirige. Elle ne compte plus ses orgasmes, inondant de cyprine Narcisse. Elle ne sait plus quelle heure il est, ni depuis combien de temps il la pilonne sans jamais débander ni jouir. Quand enfin elle arrive à jeter un coup d’œil à la pendule, elle réalise que ça fait plus de deux heures qu’il la tronche.
Elle est si épuisée qu’elle le repousse et lui demande d’arrêter cette copulation interminable.
Elle est heureuse d’avoir trouvé un étalon inépuisable sous le toit familial mais très déçue de ne pas avoir réussi à amener son cousin au plaisir, terriblement déçue…
Comme sa sœur, elle recommence l’expérience les jours suivant, apprenant aussi à Narcisse à satisfaire sa partenaire autrement qu’avec sa queue.
Quelques jours plus tard, elle lui donne sa première leçon. Dans sa chambre, elle pose une jambe sur le rebord de son lit, tout près de lui, sa jupe se relevant petit à petit le long de sa cuisse. La peau de sa jambe est à peine à quelques centimètres de la bouche de Narcisse. Il peut voir les seins bouger au rythme de ses gestes. Elle fait semblant de ne pas faire attention à lui, trouvant la situation très naturelle. Son regard a de la difficulté à quitter un tel spectacle. Elle lui sourit et le taquine :
- Dis donc, tu te rinces l’œil mon salaud !
Son sourire achève de troubler son cousin, il lui propose de lui retirer son collant.
- Laisse-moi faire.
Il commence alors à glisser ses mains sous la jupe, très lentement, faisant remonter le vêtement. Il fait descendre le collant, son regard va des cuisses partiellement dénudées à ses seins puis a son visage. Barbara écarte ses cuisses un peu plus et il peut très bien voir son slip. Elle fait la fille effarouchée, le regard troublé.
- Qu’est-ce que tu fais ?
Elle baisse ses yeux vers le pantalon de survêt et constate le résultat de l’approche sur son cousin. Comme il n’a rien en dessous, elle n’a pas de mal à vérifier l’effet qu’elle produit tant l’érection forte déforme le tissu. En sainte nitouche, elle lui fait remarquer :
-N’oublie-pas que je suis ta sœur, enfin presque !
Ceci fait, elle fait glisser les bretelles de son haut, pour rester en soutien-gorge, se demandant si son cousin est perturbé par ce qu'il voit. Il pose alors les mains sur ses seins. Ça l'électrise légèrement, mais son inactivité lui rendit très vite ses esprits. Elle lui explique alors :
- Il ne suffit pas de poser ses mains gros bêta. Il faut masser aussi, et il vaudrait mieux que tu les poses directement sur ma peau. Là, je ne sens rien.
- T'es sûre que ça ne te gêne pas ?
- Si je te le dis gros malin, elle l’encourage avec un sourire.
A suivre : Barbara
Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie.
Barbara
Barbara, 1m 68 pour 56 kilos, sportive elle aussi, taille de bonnets, 85C, des fesses rebondies.
Quelques jours plus tôt :
Elle ne retrouve plus son chargeur ce matin et va dans la chambre de sa sœur Audrey pour lui emprunter le sien. Pour ne pas la réveiller elle se contentera de l'éclairage du couloir pour trouver l’objet désiré. Elle ouvre donc la porte et se dirige en catimini vers le bureau pour récupérer le chargeur. En se retournant elle jette un coup d'œil sur le lit de sa sœur et il lui faut un moment avant de réaliser qu'elle n'est pas seule dans son lit. Barbara se rapproche et découvre effarée que c'est son cousin Narcisse qui est couché à côté d’Audrey, tous les deux complètement nus. Elle est encore plus effarée en voyant que la main gauche de sa sœur repose sur la verge de son presque-frère qu'elle découvre pour la première fois en pleine érection.
Comment Audrey a-t-elle réussi à le faire bander ? Elle se doutait que Narcisse déjà bien pourvu au repos devait avoir en érection une bite à faire pâlir de jalousie tous ses petits copains, sachant qu’en moyenne une verge gagne dans les quatre ou cinq centimètres par rapport à son état flasque, mais là !!! Ce qu'elle découvre là est au-delà de ses espérances les plus folles.
Elle se retire en silence et rejoint sa chambre, n’en revenant toujours pas du spectacle. Rien que de penser à ce qu'elle a surpris, sa culotte est toute trempée.
Les jours suivants elle guette la porte de sa sœur et joue la voyeuse en regardant par le trou de la serrure ou en entrouvrant légèrement le battant. Le spectacle donné par Audrey et Narcisse est tellement hot que sa petite culotte ne peut retenir sa cyprine très abondante malgré sa protection et qui finit sur le sol. Mais elle fait un bruit qui risque de les alerter. De peur d'être surprise, elle regagne précipitamment sa chambre laissant une tâche de liquide révélatrice devant la porte de la chambre de sa sœur.
Comme elle sait que Narcisse passe une heure tous les jours à la muscu dans une petite salle à côté du hammam, elle s’arrange pour le guetter, attendant qu’il termine et aille prendre une douche rapide. Elle sort aussitôt de sa cachette la peau couverte de gouttes de sueur, complètement nue et le rejoint sous la douche.
-Ah Narcisse ! Fais-moi un peu de place que je me rafraichisse, et puisque tu es là, je te demanderai que tu me masses pour détendre mes muscles après.
Il s’est retourné vers elle et a acquiescé. Ils se savonnent mutuellement, elle n'hésite pas à passer la main sur des endroits qui normalement entre « frère et sœur » ne devrait pas être touché. Comme à son habitude, Barbara n'arrive pas à faire bander son cousin malgré une caresse appuyée sur le serpent endormi entre ses cuisses.
Après un séchage rapide ils se retrouvent donc tous les deux, juste à côté et Barbara s’étend sur la table de massage. Ils ne se sont revêtus ni l'un ni l'autre et Narcisse après s'être oint les mains avec un peu d'huile commence le massage de sa presque-sœur. Ce n'est pas la première fois qu'il se retrouve tous les deux dans cette situation mais au grand étonnement de Barbara, Narcisse insiste plus que de coutume sur la belle poitrine de sa cousine ou s’érige très vite deux beaux tétons. Il vient les titiller avec les doigts, puis serre entre ses mains puissantes les mamelles de sa cousine. Ses mains quittent enfin la poitrine ferme puis descendent doucement le long de son corps pour arriver au début de la fente vulvaire. Il malaxe doucement les grandes lèvres sans pour autant essayer de glisser un doigt dans la vulve de Barbara qui n'attend pourtant que ça.
Elle a les yeux mi-clos mais ne quitte pas du regard le bas-ventre de son cousin couvert une forêt touffue de poils. Elle assiste ébahie à la croissance exponentielle de la verge quasi-fraternelle. L'organe se gorge de sang, grossit, grandit, s’allonge encore et encore en se courbant progressivement vers le haut.
La bête est encore entre les cuisses de Narcisse puis commence une ascension folle. Son cerveau envoie enfin des signaux de stimulation aux nerfs érecteurs, en passant par la moelle épinière, libérant une grande concentration de nucléotides qui permet de relâcher les muscles lisses du pénis et d'augmenter l'afflux sanguin dans la verge.
Barbara voit le chibre arrivé à l'horizontale mais contrairement à beaucoup de garçons, ça ne s'arrête pas là. La dague encore à peu près droite se déforme encore et se transforme de plus en plus en sabre courbe. Quand enfin cesse la croissance de la colonne de chair, le gland touche pratiquement le bas-ventre de son cousin. Elle n'a jamais vu ça !
Les mains habiles de Narcisse entre ses cuisses combiné à la vue qu'il offre à sa cousine la fait mouiller comme jamais. Il recueille habilement les suintements qui s’écoulent de la chatte et s’en sert pour continuer ce massage qui décidément sort de l'ordinaire. Barbara réalise que le sexe de son cousin a pratiquement gagné un tiers de longueur supplémentaire, mais vu la taille du départ elle se retrouve confrontée à une tige pharaonique. Elle n'y tient plus, repousse son cousin pour pouvoir s’agenouiller entre ses cuisses et prendre enfin entre ses mains la plus formidable verge qu'elle n'ait jamais connue/et touchée.
Pendant un moment elle joue avec, faisant baisser l'organe et le relâchant brusquement pour le voir remonter à vitesse grand V et frapper avec force sur son bas-ventre dans un clac sonore. Elle se sert de ses mains comme d'une pige pour mesurer approximativement la taille du jonc vigoureux. Elle pose une main à ras les poils, puis l'autre au-dessus, reporte à nouveau sa première main au-dessus de la seconde et constate que c'est à peine si elle arrive au bout de ce mandrin.
Vous pouvez essayer les filles de faire de même avec vos petits copains sachant que la plus grande largeur de votre paume avoisine les huit centimètres. Vous comprendrez alors avec une petite multiplication la taille de cet organe formidable. Et que dire de son diamètre quand elle constate que sa main serrée au milieu de la bite trapue que le bout de son pouce est à presque trois centimètres de l’ongle de son majeur.
Barbara comme sa sœur n'est pas une sainte nitouche et sait très bien comment ce servir d'un tel manche. Pendant plusieurs minutes, ses doigts courent tout au long de la hampe avec un mouvement circulaire et contraire d'une main à l'autre puis elle essaie en descendant une main du gland jusqu'au pubis de son cousin suivi très rapidement de son autre main pendant un temps infini. Mais comme sa sœur, la récompense tant attendue ne vient pas. Le pieu est toujours dressé, les bourses toujours aussi pleines.
Elle ne lui laisse pas le temps de réagir et entreprend une fellation s’évertuant de recouvrir de sa salive l’organe et de le gober le plus loin possible. Ses mains servent de réceptacle aux couilles gonflées avec la peau qui se tend sous la pression de ses doigts. Elle mouille, elle coule comme jamais. Son clito doit être maintenant aussi gros qu’une petite bite, son anus n’aspirant qu’à se dilater.
Barbara n’y tient plus, elle joint ses bras autour du cou de Narcisse, se soulève pour nouer ses jambes autour des hanches du garçon qui empaume la croupe de la fille puis passe ses mains sous les cuisses, plie les genoux pour plus aisément embrocher Barbara, se redresse et la cloue contre la cloison la plus proche.
Il défonce le vagin heureusement très lubrifié de sa partenaire et la fait décoller vers des horizons de plaisir intense. Barbara, pendue au cou de son cousin et embrochée comme une poularde à la broche est incroyablement belle, ses seins pointent et ballotent sous les coups de boutoir, elle dérouille salement mais est heureuse et un grand sourire déforme son visage.
Elle découvre toute la puissance d’une réelle jouissance lorsque l’énorme gland violacé de son jeune cousin rentre et sort à un rythme effréné dans son vagin. Elle hurle à en alerter toute la maisonnée, son corps tremble, vibre réellement. Il fatigue enfin et la repose sur le sol, la prend en missionnaire, dans la position de la cuillère, en levrette. A son tour, c’est elle qui se déchaine dans d’autres positions où c’est la femme qui dirige. Elle ne compte plus ses orgasmes, inondant de cyprine Narcisse. Elle ne sait plus quelle heure il est, ni depuis combien de temps il la pilonne sans jamais débander ni jouir. Quand enfin elle arrive à jeter un coup d’œil à la pendule, elle réalise que ça fait plus de deux heures qu’il la tronche.
Elle est si épuisée qu’elle le repousse et lui demande d’arrêter cette copulation interminable.
Elle est heureuse d’avoir trouvé un étalon inépuisable sous le toit familial mais très déçue de ne pas avoir réussi à amener son cousin au plaisir, terriblement déçue…
Comme sa sœur, elle recommence l’expérience les jours suivant, apprenant aussi à Narcisse à satisfaire sa partenaire autrement qu’avec sa queue.
Quelques jours plus tard, elle lui donne sa première leçon. Dans sa chambre, elle pose une jambe sur le rebord de son lit, tout près de lui, sa jupe se relevant petit à petit le long de sa cuisse. La peau de sa jambe est à peine à quelques centimètres de la bouche de Narcisse. Il peut voir les seins bouger au rythme de ses gestes. Elle fait semblant de ne pas faire attention à lui, trouvant la situation très naturelle. Son regard a de la difficulté à quitter un tel spectacle. Elle lui sourit et le taquine :
- Dis donc, tu te rinces l’œil mon salaud !
Son sourire achève de troubler son cousin, il lui propose de lui retirer son collant.
- Laisse-moi faire.
Il commence alors à glisser ses mains sous la jupe, très lentement, faisant remonter le vêtement. Il fait descendre le collant, son regard va des cuisses partiellement dénudées à ses seins puis a son visage. Barbara écarte ses cuisses un peu plus et il peut très bien voir son slip. Elle fait la fille effarouchée, le regard troublé.
- Qu’est-ce que tu fais ?
Elle baisse ses yeux vers le pantalon de survêt et constate le résultat de l’approche sur son cousin. Comme il n’a rien en dessous, elle n’a pas de mal à vérifier l’effet qu’elle produit tant l’érection forte déforme le tissu. En sainte nitouche, elle lui fait remarquer :
-N’oublie-pas que je suis ta sœur, enfin presque !
Ceci fait, elle fait glisser les bretelles de son haut, pour rester en soutien-gorge, se demandant si son cousin est perturbé par ce qu'il voit. Il pose alors les mains sur ses seins. Ça l'électrise légèrement, mais son inactivité lui rendit très vite ses esprits. Elle lui explique alors :
- Il ne suffit pas de poser ses mains gros bêta. Il faut masser aussi, et il vaudrait mieux que tu les poses directement sur ma peau. Là, je ne sens rien.
- T'es sûre que ça ne te gêne pas ?
- Si je te le dis gros malin, elle l’encourage avec un sourire.
A suivre : Barbara
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Au tour de Barbara
Belle description
Belle plume et belle bite, je parle de l'auteur
La description de l'entrée en érection de sa verge est subliminale.
Pas assez douées les soeurettes. Je veux bien les former.