Le réveil d'un autiste, Margo et Rose 1
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2023 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
Le réveil d'un autiste, Margo et Rose 1
Révélation.
Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie.
Margo et Rose.
Je suis ébahie de constater que malgré son éjaculation précédente, le réservoir est loin d'être à sec. J'ai le visage et les cheveux tavelés de taches et de trainées blanchâtres.
La récréation est finie. je me rends présentable et fais une rapide toilette pendant qu'il se rhabille et lui fait promettre quand il est sur le pas de la porte de revenir dès qu'il le peut.
Ce n'est pas souvent qu'on tombe sur un tel étalon inépuisable et je serais bien bête de ne pas en profiter, surtout en cette période où tout est fermé. Enfin si ses cousines ne l'épuisent pas trop…
La suite :
Dès le retour de Narcisse, Rose et Margo récupèrent ce qu’elles ont commandées à la pharmacie mais ce qui les intéressent le plus, c’est de constater s’il a bien suivi leur demande et si la pharmacienne a accepté de s’y prêter. Elles arrivent sous un prétexte futile à s’isoler avec lui dans la partie des chambres d’hôtes qui leur sont réservées.
-Tu t’es fait épiler le sexe ? Je veux savoir si ça l’a mis en valeur, demande Rose.
Sans attendre, elles malaxent la chose endormie qui ne tarde pas à prendre de l’ampleur dans le pantalon et le sexe de Narcisse ne tarde pas à former une énorme bosse en marquant l'emplacement. La « grosseur » descend assez bas sur sa cuisse droite. Margo part en une lente exploration en glissant une main dans le jeans, progressant avec difficulté le long de cet énorme rouleau qui semble sans fin. Mais elles n’y tiennent plus et s’attaquent aussitôt à l’effeuillage de leur cousin, se mettant à retirer son pantalon et découvrant le chibre complétement sortit du sous-vêtement le long de sa cuisse procurant ainsi une vue sublime aux deux coquines.
Margo pose ses doigts sur la queue qui cherche à se redresser, bloquée par le boxer et la caresse. Le sexe qu’elle contemple fait toujours son admiration. La longueur, mais surtout la largeur l’épate. Le gland de Narcisse est parfaitement cylindrique. Son diamètre s’agrandit harmonieusement avant de laisser place au prépuce largement décalotté par l’érection. L’épaisseur de la hampe augmente ensuite de quelques millimètres dans les dix premiers centimètres avant de rester identique jusqu’aux bourses. Elles prennent chacune un côté du sous-vêtement et lui retirent le dernier obstacle qui cachait à leur vue le bas-ventre du garçon, admirant enfin ses parties, de taille assez respectable elles aussi, complètement imberbes.
Rose observe les deux énormes boules, semblables à deux petites clémentines collées l’une à l’autre à la base de cette formidable hampe. Elles sont dodues, ne pendent pas, solidement accrochées à la base de ce sabre, comme la garde de cette épée, parfaitement lisses. Elle ne peut voir le moindre poil sur ce membre démesuré. De plus, une odeur suave se dégage de ce gros calibre. Des veines gonflées, légèrement bleutées parcourent toute la longueur de cette imposante verge courbe. Elle sait que non seulement c’est le sexe le plus gros qu’elle n’ait jamais connu, mais en plus de ça, il est d’une beauté incomparable, bien loin devant le sexe de son petit ami qui affiche des dimensions bien plus classiques.
- Ta teub était déjà impressionnante avant mais maintenant que tes poils ne gâchent plus le paysage… Elle est vraiment énorme, s’exclame-t-elle en regardant Narcisse.
-Elle te plaît ? L’interroge Margo.
-Oh que oui, je me demande combien elle fait ?
Elle maintient tendu vers son visage l'énorme gourdin qu’elle a déjà goûté, malgré l’appréhension que cette superbe queue lui fait encore. Rose se décide à la lécher commençant par la base de son chibre et remonte tout le long vers son gland majestueux. Sa sœur fait de même juste en face d’elle. Elles font plusieurs aller et retour.
Margo ouvre sa petite bouche et prend entre ses lèvres le gland, prodiguant une belle fellation à la mesure de ce gourdin.
- Tu vois sœurette, l’encourage Rose attendant de la gober elle aussi, sa queue est beaucoup plus appétissante et tu arrives presque à lui faire une gorge profonde. Mais avant d’aller plus loin, je veux savoir si Lou lui a trouvé « chaussure à son pied ».
Rose cherche dans le sac de la pharmacie, en sort la boite de préservatifs et lit les indications sur l’emballage. [Préservatifs très grandes tailles avec réservoir]. Elle découvre aussi une feuille de papier et la lit, ce sont les résultats des tests effectués par Lou. Elle ouvre ensuite la boite et constate qu’elle n’est pas la première. Lou a du tester avant elle que la dimension du condom était correcte, en retire un et déchire l’emballage avec ses dents sous le regard de sa sœur. Elle pose la galette de latex et déroule avec application la capote sur la verge tendue de son cousin. Quelques centimètres ne sont pas recouverts à la base de ce mandrin hors du commun mais elle s’en moque. La base du condom sert encore le diamètre peu commun du gourdin mais ne l’étrangle plus. Ce qui la gêne, c’est le disgracieux réservoir. Mais rien de mieux qu’un test grandeur nature. Sans même se déshabiller, elle pousse son cousin sur une chaise, le chevauche, prend son gros mandrin dans sa main droite et s’en sert pour repousser sa petite culotte et d’empaler sa petite fente imberbe aux lèvres gonflées dessus.
La taille de cette verge courbée et massive lui donne toujours la même impression de ne jamais pouvoir la prendre dans son con et encore moins dans son cul, et pourtant…
Quel plaisir d’être fourrée par un tel instrument, mais ce préservatif avec réservoir la dérange plus qu’il ne la gêne. Elle reprendra la pilule, se sera plus cool. Elle s’amuse à sortir entièrement « le sabre » pour le rentrer d’un coup avec un bruit bizarre quand la pression accumulée s’échappe, ce qui à chaque fois lui arrache un « Aaargh… » de plaisir, appréciant le moment.
-Ah oh… ah oh… c’est trop bon ! baise-moi… baise ta salope de cousine ! elle est vraiment bonne ta queue, trop bonne… ah-ah-ah… vas-y plus fort !
Narcisse donne des coups de reins quand un appel de Tatiana les rappelle à la réalité.
-A table !!! mais qu’est-ce que vous faites ?
Un peu déçues, les deux filles rhabillent leur cousin et à leur grand étonnement, assistent à une décroissance rapide de sa verge.
-Dis-donc Narcisse, t’es un rapide toi, comment tu fais pour bander et débander aussi vite ?
Il ne répond pas comme si c’était parfaitement normal pour un garçon et quitte la pièce, suivi de Margo et de Rose qui souffle à sa sœur ses constatations et ses découvertes. C’est dit, elles vont vite reprendre la pilule et se passer de ces capotes disgracieuses et casse-plaisir.
Elles piaffent d’impatience toute la soirée mais doivent attendre l’extinction des feux pour se glisser subrepticement dans la chambre de Narcisse. Il est déjà couché, lui n’est pas obsédé par « la chose » comme ses cousines et s’apprête à commencer sa nuit, pensant quand même à Lou qui lui a fait découvrir pour la première fois de sa vie ce que veut dire : JOUIR.
Comme à son habitude, il est nu sous les draps, il doit déjà supporter ses vêtements en journée et pour lui, c’est un vrai calvaire comme aussi quelqu’un qui veut le toucher.
Les deux cousines s’approchent subrepticement du lit dans une demi-obscurité chacune d’un côté du lit, retirent le drap en admirant la plastique sans reproche de leur cousin endormi. C'est si tentant et si facile de le masturber. Rose ne peut résister plus longtemps et caresse le sexe flasque, descend son prépuce puis remonte la main et recommence de plus en plus vite. La réaction est si violente que même si elle s’y attendait, elle est quand même agréablement surprise. La verge de Narcisse, même dans son demi-sommeil prend à une allure folle sa taille maximale permettant à Margo de se joindre à la fête.
Narcisse commence à reprendre ses esprits, arborant un sourire satisfait et semble être sur un nuage, se relevant un peu en appui sur ses coudes pour profiter du spectacle. Margo le voit et lui ordonne :
-Laisse-toi faire, on s’occupe de tout.
Elles se mettent à le masturber de plus belle comme si leur vie en dépendait. De longues minutes passent où elles font tout pour le rendre fou. Il se délecte de l'attention que lui porte ses cousines.
A suivre… Margo et Rose.
Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie.
Margo et Rose.
Je suis ébahie de constater que malgré son éjaculation précédente, le réservoir est loin d'être à sec. J'ai le visage et les cheveux tavelés de taches et de trainées blanchâtres.
La récréation est finie. je me rends présentable et fais une rapide toilette pendant qu'il se rhabille et lui fait promettre quand il est sur le pas de la porte de revenir dès qu'il le peut.
Ce n'est pas souvent qu'on tombe sur un tel étalon inépuisable et je serais bien bête de ne pas en profiter, surtout en cette période où tout est fermé. Enfin si ses cousines ne l'épuisent pas trop…
La suite :
Dès le retour de Narcisse, Rose et Margo récupèrent ce qu’elles ont commandées à la pharmacie mais ce qui les intéressent le plus, c’est de constater s’il a bien suivi leur demande et si la pharmacienne a accepté de s’y prêter. Elles arrivent sous un prétexte futile à s’isoler avec lui dans la partie des chambres d’hôtes qui leur sont réservées.
-Tu t’es fait épiler le sexe ? Je veux savoir si ça l’a mis en valeur, demande Rose.
Sans attendre, elles malaxent la chose endormie qui ne tarde pas à prendre de l’ampleur dans le pantalon et le sexe de Narcisse ne tarde pas à former une énorme bosse en marquant l'emplacement. La « grosseur » descend assez bas sur sa cuisse droite. Margo part en une lente exploration en glissant une main dans le jeans, progressant avec difficulté le long de cet énorme rouleau qui semble sans fin. Mais elles n’y tiennent plus et s’attaquent aussitôt à l’effeuillage de leur cousin, se mettant à retirer son pantalon et découvrant le chibre complétement sortit du sous-vêtement le long de sa cuisse procurant ainsi une vue sublime aux deux coquines.
Margo pose ses doigts sur la queue qui cherche à se redresser, bloquée par le boxer et la caresse. Le sexe qu’elle contemple fait toujours son admiration. La longueur, mais surtout la largeur l’épate. Le gland de Narcisse est parfaitement cylindrique. Son diamètre s’agrandit harmonieusement avant de laisser place au prépuce largement décalotté par l’érection. L’épaisseur de la hampe augmente ensuite de quelques millimètres dans les dix premiers centimètres avant de rester identique jusqu’aux bourses. Elles prennent chacune un côté du sous-vêtement et lui retirent le dernier obstacle qui cachait à leur vue le bas-ventre du garçon, admirant enfin ses parties, de taille assez respectable elles aussi, complètement imberbes.
Rose observe les deux énormes boules, semblables à deux petites clémentines collées l’une à l’autre à la base de cette formidable hampe. Elles sont dodues, ne pendent pas, solidement accrochées à la base de ce sabre, comme la garde de cette épée, parfaitement lisses. Elle ne peut voir le moindre poil sur ce membre démesuré. De plus, une odeur suave se dégage de ce gros calibre. Des veines gonflées, légèrement bleutées parcourent toute la longueur de cette imposante verge courbe. Elle sait que non seulement c’est le sexe le plus gros qu’elle n’ait jamais connu, mais en plus de ça, il est d’une beauté incomparable, bien loin devant le sexe de son petit ami qui affiche des dimensions bien plus classiques.
- Ta teub était déjà impressionnante avant mais maintenant que tes poils ne gâchent plus le paysage… Elle est vraiment énorme, s’exclame-t-elle en regardant Narcisse.
-Elle te plaît ? L’interroge Margo.
-Oh que oui, je me demande combien elle fait ?
Elle maintient tendu vers son visage l'énorme gourdin qu’elle a déjà goûté, malgré l’appréhension que cette superbe queue lui fait encore. Rose se décide à la lécher commençant par la base de son chibre et remonte tout le long vers son gland majestueux. Sa sœur fait de même juste en face d’elle. Elles font plusieurs aller et retour.
Margo ouvre sa petite bouche et prend entre ses lèvres le gland, prodiguant une belle fellation à la mesure de ce gourdin.
- Tu vois sœurette, l’encourage Rose attendant de la gober elle aussi, sa queue est beaucoup plus appétissante et tu arrives presque à lui faire une gorge profonde. Mais avant d’aller plus loin, je veux savoir si Lou lui a trouvé « chaussure à son pied ».
Rose cherche dans le sac de la pharmacie, en sort la boite de préservatifs et lit les indications sur l’emballage. [Préservatifs très grandes tailles avec réservoir]. Elle découvre aussi une feuille de papier et la lit, ce sont les résultats des tests effectués par Lou. Elle ouvre ensuite la boite et constate qu’elle n’est pas la première. Lou a du tester avant elle que la dimension du condom était correcte, en retire un et déchire l’emballage avec ses dents sous le regard de sa sœur. Elle pose la galette de latex et déroule avec application la capote sur la verge tendue de son cousin. Quelques centimètres ne sont pas recouverts à la base de ce mandrin hors du commun mais elle s’en moque. La base du condom sert encore le diamètre peu commun du gourdin mais ne l’étrangle plus. Ce qui la gêne, c’est le disgracieux réservoir. Mais rien de mieux qu’un test grandeur nature. Sans même se déshabiller, elle pousse son cousin sur une chaise, le chevauche, prend son gros mandrin dans sa main droite et s’en sert pour repousser sa petite culotte et d’empaler sa petite fente imberbe aux lèvres gonflées dessus.
La taille de cette verge courbée et massive lui donne toujours la même impression de ne jamais pouvoir la prendre dans son con et encore moins dans son cul, et pourtant…
Quel plaisir d’être fourrée par un tel instrument, mais ce préservatif avec réservoir la dérange plus qu’il ne la gêne. Elle reprendra la pilule, se sera plus cool. Elle s’amuse à sortir entièrement « le sabre » pour le rentrer d’un coup avec un bruit bizarre quand la pression accumulée s’échappe, ce qui à chaque fois lui arrache un « Aaargh… » de plaisir, appréciant le moment.
-Ah oh… ah oh… c’est trop bon ! baise-moi… baise ta salope de cousine ! elle est vraiment bonne ta queue, trop bonne… ah-ah-ah… vas-y plus fort !
Narcisse donne des coups de reins quand un appel de Tatiana les rappelle à la réalité.
-A table !!! mais qu’est-ce que vous faites ?
Un peu déçues, les deux filles rhabillent leur cousin et à leur grand étonnement, assistent à une décroissance rapide de sa verge.
-Dis-donc Narcisse, t’es un rapide toi, comment tu fais pour bander et débander aussi vite ?
Il ne répond pas comme si c’était parfaitement normal pour un garçon et quitte la pièce, suivi de Margo et de Rose qui souffle à sa sœur ses constatations et ses découvertes. C’est dit, elles vont vite reprendre la pilule et se passer de ces capotes disgracieuses et casse-plaisir.
Elles piaffent d’impatience toute la soirée mais doivent attendre l’extinction des feux pour se glisser subrepticement dans la chambre de Narcisse. Il est déjà couché, lui n’est pas obsédé par « la chose » comme ses cousines et s’apprête à commencer sa nuit, pensant quand même à Lou qui lui a fait découvrir pour la première fois de sa vie ce que veut dire : JOUIR.
Comme à son habitude, il est nu sous les draps, il doit déjà supporter ses vêtements en journée et pour lui, c’est un vrai calvaire comme aussi quelqu’un qui veut le toucher.
Les deux cousines s’approchent subrepticement du lit dans une demi-obscurité chacune d’un côté du lit, retirent le drap en admirant la plastique sans reproche de leur cousin endormi. C'est si tentant et si facile de le masturber. Rose ne peut résister plus longtemps et caresse le sexe flasque, descend son prépuce puis remonte la main et recommence de plus en plus vite. La réaction est si violente que même si elle s’y attendait, elle est quand même agréablement surprise. La verge de Narcisse, même dans son demi-sommeil prend à une allure folle sa taille maximale permettant à Margo de se joindre à la fête.
Narcisse commence à reprendre ses esprits, arborant un sourire satisfait et semble être sur un nuage, se relevant un peu en appui sur ses coudes pour profiter du spectacle. Margo le voit et lui ordonne :
-Laisse-toi faire, on s’occupe de tout.
Elles se mettent à le masturber de plus belle comme si leur vie en dépendait. De longues minutes passent où elles font tout pour le rendre fou. Il se délecte de l'attention que lui porte ses cousines.
A suivre… Margo et Rose.
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Vont-elles boire à la source?
De vraies petites salopes !