Le réveil d'un autiste, Tatiana 4
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le réveil d'un autiste, Tatiana 4
Faisons connaissance avec la mère de toutes ces débauchées.
Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie
Tatiana
- Vas-y fort, bourrine-moi la chatte, mets ton gourdin jusqu’au fond de mon vagin, ton père n’est jamais allé aussi loin et aussi fort, et je n’aurais pas cru adorer autant ça. Tu me fais jouir encore, je veux jouir pendant que tu me démontes sauvagement, ma chatte est toute à toi et n’attend plus que tu la remplisses de ton sperme, jouis en moi mon bébé, jouis, jouis, jouis...
Suite :
(Complètement transporté sexuellement, Narcisse subit les assauts de sa mère adoptive avec béatitude, son vit voluptueusement massé par les chairs torrides de la chatte, le plaisir se répartissant dans son bas-ventre et remontant jusqu’à son cerveau. Malgré son excitation, il fournit des efforts pour retarder l'éjaculation toute proche, contrôlant aussi longtemps qu’il le faudra la montée de la jouissance. Heureusement, son sauvetage vient des abondantes sécrétions vaginales de la chatte dans laquelle sa queue est plantée et des ordres qu’elle vient enfin de donner, il s’exécute donc.
Brusquement, ses couilles libèrent la sève qui monte et remplit la colonne de chair avant de se déverser en flots impétueux dans la grotte accueillante de Tatiana. Son sperme continue de sortir, de façon continue, comme une source jamais tarie. Il remplit la chatte qui déborde sous une telle dose et s’écoule en traînées le long de la hampe tordue).
Il sort de moi si lentement que ça me semble être interminable. Je suis si lessivée que je rampe presque pour sortir du jacuzzi, mon vagin douloureux quasiment détruit par son membre infatigable. Je me sens sale d’avoir cédé à mon bébé, mais c’était si bon… Ce gros membre rigide qui avait suscité de la crainte de ma part il n’y a pas si longtemps provoque désormais chez moi une envie folle de recommencer. Et c’est dans cet élan de folie que je prends l’initiative sans douter des conséquences, songeant à une caresse que j’apprécie particulièrement avec Hervé. Je me retourne vers Narcisse, je lèche goulument sa poitrine, le force à poser ses mains sur ma croupe. J’assiste ébahie à la résurrection de sa virilité qui se redresses seule sous mes yeux, sa verge s’érigeant jusqu’au nombril.
Mes mains descendent vers son ventre reprenant des gestes que je faisais avec Hervé avant le COVID. Je caresse doucement et tendrement son bélier. Ses lèvres se collent contre les miennes et il me contraint à l’embrasser. Nos souffles se mêlent, nos langues se mélangent. Il me soulève et me colle contre le mur, un genou écarte mes cuisses sans difficulté. Son sexe se frotte contre mon pubis. Il se met à genoux et maintenant son souffle découvre d’autres lèvres, sa langue titille mon clito gonflé et humide de sa salive. Je suis de nouveau réceptive au « mâle » et ma matrice dégouline. ¬
-Tu es toute trempée « maman » … Laisse-moi faire… ¬
Il plonge vers mon entre-jambe. Sa tête s’agite entre mes cuisses, son nez planté dans mes poils pubiens, s’appliquant à me faire monter au septième ciel une nouvelle fois, mais sans se servir de sa teub. L’orgasme est vite là, tout proche. Je grogne mon plaisir à me faire brouter mon petit abricot par mon bébé. ¬ C’est à mon tour, je m’agenouille et lui dépose un bisou sur le bout de son sexe accompagné d’une léchouille du méat. Je vois bien qu’il n’attend plus que moi. Je le force à s’étendre sur le carrelage, me place à califourchon sur lui et guide le gland violacé au bord de ma grotte intime. Je me laisse descendre, centimètre après centimètre sur cette superbe queue qui arrondi mon coquillage à nouveau. Ma chatte accueillante absorbe ce mandrin exceptionnel et je pousse de petits soupirs de plaisir. ¬
-C’est bon, très bon mon bébé d’amour… elle est si bonne ta queue, toujours aussi dure et chaude…
Il me sourit, les yeux mi-clos, ses mains pétrissent mes seins, caressent mes bouts. Je commence un lent et puissant mouvement de bas en haut faisant attention à ne pas aller trop loin, je me cambre sur lui. Impatient, il joue du bassin pour me pénétrer encore plus. J’ai trop envie et ne peux plus me retenir… Je pars pour un nouvel orgasme… Je sens mon vagin qui sert le sexe de Narcisse pulser et se contracter comme un cœur, lui broyant littéralement la bite. Je pousse un : « ho ouiiiiiiiiii !!!», sentant sa grosse bite essayant de bouger dans ma chatte. Il parle soudain :
-Si tu le veux « maman », je peux te prendre le cul ?
Comme je ne réponds-pas, trop surprise de sa demande, il me claque une fesse et me repose la question. Que lui répondre ? Il y a longtemps que je n’ai plus pratiqué de sodomie, et jamais avec un tel braquemard! J’ai la chatte encore tout endolorie et est-ce que je veux être enculée par un défonce-cul aussi large ? L’expérience n’avait pas été si concluante avec Hervé. Mais il va falloir faire attention avec lui et son pieu hors catégorie si j’accepte.
-Je ne sais pas, mon bébé, je ne sais pas.
Il me fait mettre en levrette, ma tête entre mes bras, offrant mon arrière-train bien exposé au risque de dérapage. Il se met à genoux entre mes cuisses. La base de son sexe appuie sur mon clitoris. J’arrive à saisir son manche tellement beau pour en apprécier la dureté, la grosseur. Sa verge est agréable à tenir dans ma main. Je le branle doucement, toujours émerveillée par sa taille. Je la positionne et il me pénètre lentement, attentif à mes réactions. Je sens cette grosseur inhabituelle en moi mais je dégouline tellement que je ne ressens que du plaisir.
- Ooohhh mon Dieu Narcisse ! Quel engin merveilleux tu as ! Et il est si doux.
Il reprend son va et vient dans mon vagin, mais sa main s’égare pour finir entre mes fesses. Il lubrifie de sa salive et de nos débordements mon petit trou, me tartine la rondelle avec le mélange de son foutre et de ma sève qui coule entre mes jambes avant d’y glisser un doigt, puis deux. J’aime par-dessus tout qu’on me masse l’anus. La pression des doigts enduits de liquides organiques autour de ma rosette me chauffe les sens plus que de raison. Dans la sodomie, ce qu’il ne faut pas négliger, ce sont les préliminaires. J’ai un goût particulier pour les longues feuilles de rose, de celles qui préparent bien le cul avant une bonne intromission en profondeur. La queue de Narcisse n’a pratiquement pas débandé depuis qu’il m’a juté au fond de la chatte.
Son chibre quitte la douce chaleur de mes muqueuses et je sens son gland appuyer sur mon sphincter qui lui résiste pendant que ses doigts investissent la zone laissée libre. Je sens sa queue qui se tend au centre de mon étoile intime, m’écartelant encore un peu plus les chairs. Cette sensation divine m’ébranle le cul et la chatte. Ma vulve se contracte sur les doigts de Narcisse, tout comme mon muscle anal sur sa tige. Il prend dans sa main droite la hampe courbe et force un peu plus. Mon anus après un dernier baroud d’honneur cède enfin. La tête de son gourdin s’insinue entre mes fesses, tellement compressée qu’elle doit perdre un peu de son diamètre pour s’engager plus loin. Mais à peine cette frontière franchie, son gland se regorge aussitôt de sang. Sa verge est comme coincée dans mon trou du cul que je ne peux m’empêcher de contracter pour expulser l’intrus. Mon Dieu que c’est douloureux ! Jamais mon cul n’a été à telle fête, ou plutôt à tel supplice.
Narcisse attend que je me détende et commence à rentrer dans mon anus, tout doucement, centimètre par centimètre. Je respire comme une femme en train d’accoucher, grimaçant un peu de douleur, les lèvres pincées, je m’avoue enfin vaincue.
Un frisson me parcourt l’échine et vient exploser dans mon bas-ventre quand il donne un dernier coup d’estoc, rentrant sa bite dans mon cul. J’ai un peu mal au début mais au fur et à mesure qu’il me pénètre, cela m’apporte de plus en plus de bien.
Quelques minutes plus tard, je sens ses couilles heurter ma fente. J’ai de plus en plus envie de jouir à nouveau et l’encourage.
-Oui mon bébé, je sens tes couilles qui tape mon minou. Continue, plus fort, plus vite. Encule-moi comme la salope que je suis !
J’ai un orgasme très violent, peut-être le plus violent de ma vie. Je crie comme une folle. Mais lui ne fait plus cas de moi, ses deux mains sur mes hanches, il me tronche comme jamais je ne l’ai été. Je suis sur les genoux, c’est le cas de le dire et le supplie à nouveau.
-Je n’en peux plus, jouis dans mon cul, mon bébé, jouis, jouis, jouis !!!
Et comme tout à l’heure, comme s’il avait attendu cet ordre libératoire, je sens sa bite se contracter et se décontracter dans mes boyaux, il ouvre à nouveaux les écluses et me graisse le fion avant de se retirer et me crépir le dos de sa semence. J’ai du sperme partout jusque dans les cheveux.
Nous finissons cette séance mémorable sous la douche. Une question me turlupine, je vais bien voir :
-Bande Narcisse, bande !
Et le miracle se reproduit à nouveau. Comme s’il ne venait pas de se vider les couilles trois fois de suite, j’assiste effarée à la croissance exponentielle de ce pénis peu commun…
A suivre : Tatiana et Violette
Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie
Tatiana
- Vas-y fort, bourrine-moi la chatte, mets ton gourdin jusqu’au fond de mon vagin, ton père n’est jamais allé aussi loin et aussi fort, et je n’aurais pas cru adorer autant ça. Tu me fais jouir encore, je veux jouir pendant que tu me démontes sauvagement, ma chatte est toute à toi et n’attend plus que tu la remplisses de ton sperme, jouis en moi mon bébé, jouis, jouis, jouis...
Suite :
(Complètement transporté sexuellement, Narcisse subit les assauts de sa mère adoptive avec béatitude, son vit voluptueusement massé par les chairs torrides de la chatte, le plaisir se répartissant dans son bas-ventre et remontant jusqu’à son cerveau. Malgré son excitation, il fournit des efforts pour retarder l'éjaculation toute proche, contrôlant aussi longtemps qu’il le faudra la montée de la jouissance. Heureusement, son sauvetage vient des abondantes sécrétions vaginales de la chatte dans laquelle sa queue est plantée et des ordres qu’elle vient enfin de donner, il s’exécute donc.
Brusquement, ses couilles libèrent la sève qui monte et remplit la colonne de chair avant de se déverser en flots impétueux dans la grotte accueillante de Tatiana. Son sperme continue de sortir, de façon continue, comme une source jamais tarie. Il remplit la chatte qui déborde sous une telle dose et s’écoule en traînées le long de la hampe tordue).
Il sort de moi si lentement que ça me semble être interminable. Je suis si lessivée que je rampe presque pour sortir du jacuzzi, mon vagin douloureux quasiment détruit par son membre infatigable. Je me sens sale d’avoir cédé à mon bébé, mais c’était si bon… Ce gros membre rigide qui avait suscité de la crainte de ma part il n’y a pas si longtemps provoque désormais chez moi une envie folle de recommencer. Et c’est dans cet élan de folie que je prends l’initiative sans douter des conséquences, songeant à une caresse que j’apprécie particulièrement avec Hervé. Je me retourne vers Narcisse, je lèche goulument sa poitrine, le force à poser ses mains sur ma croupe. J’assiste ébahie à la résurrection de sa virilité qui se redresses seule sous mes yeux, sa verge s’érigeant jusqu’au nombril.
Mes mains descendent vers son ventre reprenant des gestes que je faisais avec Hervé avant le COVID. Je caresse doucement et tendrement son bélier. Ses lèvres se collent contre les miennes et il me contraint à l’embrasser. Nos souffles se mêlent, nos langues se mélangent. Il me soulève et me colle contre le mur, un genou écarte mes cuisses sans difficulté. Son sexe se frotte contre mon pubis. Il se met à genoux et maintenant son souffle découvre d’autres lèvres, sa langue titille mon clito gonflé et humide de sa salive. Je suis de nouveau réceptive au « mâle » et ma matrice dégouline. ¬
-Tu es toute trempée « maman » … Laisse-moi faire… ¬
Il plonge vers mon entre-jambe. Sa tête s’agite entre mes cuisses, son nez planté dans mes poils pubiens, s’appliquant à me faire monter au septième ciel une nouvelle fois, mais sans se servir de sa teub. L’orgasme est vite là, tout proche. Je grogne mon plaisir à me faire brouter mon petit abricot par mon bébé. ¬ C’est à mon tour, je m’agenouille et lui dépose un bisou sur le bout de son sexe accompagné d’une léchouille du méat. Je vois bien qu’il n’attend plus que moi. Je le force à s’étendre sur le carrelage, me place à califourchon sur lui et guide le gland violacé au bord de ma grotte intime. Je me laisse descendre, centimètre après centimètre sur cette superbe queue qui arrondi mon coquillage à nouveau. Ma chatte accueillante absorbe ce mandrin exceptionnel et je pousse de petits soupirs de plaisir. ¬
-C’est bon, très bon mon bébé d’amour… elle est si bonne ta queue, toujours aussi dure et chaude…
Il me sourit, les yeux mi-clos, ses mains pétrissent mes seins, caressent mes bouts. Je commence un lent et puissant mouvement de bas en haut faisant attention à ne pas aller trop loin, je me cambre sur lui. Impatient, il joue du bassin pour me pénétrer encore plus. J’ai trop envie et ne peux plus me retenir… Je pars pour un nouvel orgasme… Je sens mon vagin qui sert le sexe de Narcisse pulser et se contracter comme un cœur, lui broyant littéralement la bite. Je pousse un : « ho ouiiiiiiiiii !!!», sentant sa grosse bite essayant de bouger dans ma chatte. Il parle soudain :
-Si tu le veux « maman », je peux te prendre le cul ?
Comme je ne réponds-pas, trop surprise de sa demande, il me claque une fesse et me repose la question. Que lui répondre ? Il y a longtemps que je n’ai plus pratiqué de sodomie, et jamais avec un tel braquemard! J’ai la chatte encore tout endolorie et est-ce que je veux être enculée par un défonce-cul aussi large ? L’expérience n’avait pas été si concluante avec Hervé. Mais il va falloir faire attention avec lui et son pieu hors catégorie si j’accepte.
-Je ne sais pas, mon bébé, je ne sais pas.
Il me fait mettre en levrette, ma tête entre mes bras, offrant mon arrière-train bien exposé au risque de dérapage. Il se met à genoux entre mes cuisses. La base de son sexe appuie sur mon clitoris. J’arrive à saisir son manche tellement beau pour en apprécier la dureté, la grosseur. Sa verge est agréable à tenir dans ma main. Je le branle doucement, toujours émerveillée par sa taille. Je la positionne et il me pénètre lentement, attentif à mes réactions. Je sens cette grosseur inhabituelle en moi mais je dégouline tellement que je ne ressens que du plaisir.
- Ooohhh mon Dieu Narcisse ! Quel engin merveilleux tu as ! Et il est si doux.
Il reprend son va et vient dans mon vagin, mais sa main s’égare pour finir entre mes fesses. Il lubrifie de sa salive et de nos débordements mon petit trou, me tartine la rondelle avec le mélange de son foutre et de ma sève qui coule entre mes jambes avant d’y glisser un doigt, puis deux. J’aime par-dessus tout qu’on me masse l’anus. La pression des doigts enduits de liquides organiques autour de ma rosette me chauffe les sens plus que de raison. Dans la sodomie, ce qu’il ne faut pas négliger, ce sont les préliminaires. J’ai un goût particulier pour les longues feuilles de rose, de celles qui préparent bien le cul avant une bonne intromission en profondeur. La queue de Narcisse n’a pratiquement pas débandé depuis qu’il m’a juté au fond de la chatte.
Son chibre quitte la douce chaleur de mes muqueuses et je sens son gland appuyer sur mon sphincter qui lui résiste pendant que ses doigts investissent la zone laissée libre. Je sens sa queue qui se tend au centre de mon étoile intime, m’écartelant encore un peu plus les chairs. Cette sensation divine m’ébranle le cul et la chatte. Ma vulve se contracte sur les doigts de Narcisse, tout comme mon muscle anal sur sa tige. Il prend dans sa main droite la hampe courbe et force un peu plus. Mon anus après un dernier baroud d’honneur cède enfin. La tête de son gourdin s’insinue entre mes fesses, tellement compressée qu’elle doit perdre un peu de son diamètre pour s’engager plus loin. Mais à peine cette frontière franchie, son gland se regorge aussitôt de sang. Sa verge est comme coincée dans mon trou du cul que je ne peux m’empêcher de contracter pour expulser l’intrus. Mon Dieu que c’est douloureux ! Jamais mon cul n’a été à telle fête, ou plutôt à tel supplice.
Narcisse attend que je me détende et commence à rentrer dans mon anus, tout doucement, centimètre par centimètre. Je respire comme une femme en train d’accoucher, grimaçant un peu de douleur, les lèvres pincées, je m’avoue enfin vaincue.
Un frisson me parcourt l’échine et vient exploser dans mon bas-ventre quand il donne un dernier coup d’estoc, rentrant sa bite dans mon cul. J’ai un peu mal au début mais au fur et à mesure qu’il me pénètre, cela m’apporte de plus en plus de bien.
Quelques minutes plus tard, je sens ses couilles heurter ma fente. J’ai de plus en plus envie de jouir à nouveau et l’encourage.
-Oui mon bébé, je sens tes couilles qui tape mon minou. Continue, plus fort, plus vite. Encule-moi comme la salope que je suis !
J’ai un orgasme très violent, peut-être le plus violent de ma vie. Je crie comme une folle. Mais lui ne fait plus cas de moi, ses deux mains sur mes hanches, il me tronche comme jamais je ne l’ai été. Je suis sur les genoux, c’est le cas de le dire et le supplie à nouveau.
-Je n’en peux plus, jouis dans mon cul, mon bébé, jouis, jouis, jouis !!!
Et comme tout à l’heure, comme s’il avait attendu cet ordre libératoire, je sens sa bite se contracter et se décontracter dans mes boyaux, il ouvre à nouveaux les écluses et me graisse le fion avant de se retirer et me crépir le dos de sa semence. J’ai du sperme partout jusque dans les cheveux.
Nous finissons cette séance mémorable sous la douche. Une question me turlupine, je vais bien voir :
-Bande Narcisse, bande !
Et le miracle se reproduit à nouveau. Comme s’il ne venait pas de se vider les couilles trois fois de suite, j’assiste effarée à la croissance exponentielle de ce pénis peu commun…
A suivre : Tatiana et Violette
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Il se les aura toutes faites
J'ai été une fois confrontée à mon fils en train de se branler et ma fois, j'ai été agréablement surprise car il a lui aussi un sacré gros chibre.
Mais je n'oserai jamais aller aussi loin que Tatiana.
Mais je n'oserai jamais aller aussi loin que Tatiana.
encore!!!
Ah le fruit défendu, et quand il bascule entre la banane et le concombre.