Le réveil d'un autiste: Tatiana et Violette 2
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2023 dans la catégorie Plus on est
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Le réveil d'un autiste: Tatiana et Violette 2
Un gîte renommé.
Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie
Tatiana et Violette.
Je ferme les yeux, essayant d’oublier que je taille une plume à mon neveu sous le regard de Violette. Graduellement je laisse mes lèvres absorber ce gros manche, absorbant centimètre après centimètre ce gros dard palpitant. Je m’arrête quand j’en ai absorbé les trois/quart, réalisant que je risque de m’étouffer si j’en avale davantage.
Je commence à sucer cette queue extrêmement dure, émerveillée sur la rigidité fabuleuse de son engin. Un restant de décence essaie toujours de me reprocher ce que je suis en train de faire.
Suite :
Je pompe avec ardeur la bite savoureuse de mon neveu avançant davantage mon visage au plus près de la base tondue, écartant les mâchoires autant qu’il m’est possible, mourant d’envie de prendre toujours plus en bouche de ce manche tordu. Sa queue répond à ma succion humide par un grossissement en taille et en raideur, mais ce n’est sûrement qu’une illusion tellement ma bouche est pleine. Son gland mafflu pointé de façon obscène vers le haut essaie de forcer ma luette. Je m’étouffe, grognant des onomatopées, "Ummppplufff,slurp ".
Ma fille appuie sur ma tête, me forçant à prendre la totalité de la colonne de chair.
Je suis fébrile mais résiste à mon envie de le repousser et commence à hocher la tête de haut en bas en une approbation muette, baisant ma bouche avec le chibre de mon « garçon », mes doigts serrés comme ils peuvent sur ses couilles imberbes.
Je ne peux tenir plus longtemps, repousse Narcisse pour ne plus s’occuper que de son gland en en suçant l’extrémité, faisant tourner ma langue autour du méat, l’arrosant de ma salive, aspirant une première goutte de pré-sperme.
Nos talents de suceuses obtiennent enfin leur juste récompense. Un premier jet énorme de sperme jaillit du méat, se répandant dans ma gorge de mère incestueuse.
-Oh oui narcisse ! L'exhorte Violette qui comprend exactement ce qui se passe, vide-toi les couilles au fond de sa gorge.
Sa semence se répand dans ma bouche, noyant mes amygdales et remplissant le fond de ma gorge. Je retire sa lance de mes lèvres et m’accroche à l’énorme bâton crémeux, appréciant le goût du liquide séminal de Narcisse, continuant néanmoins de secouer et de sucer en même temps sa trique, ne voulant pas libérer son chibre avant d’avoir pompé jusqu’à la dernière goutte de cette crème salée bien que Violette ait voulu sa part et obtenir une dernière obole de son cousin, le plus heureux du monde qui n'en revient pas de ce qui lui arrive.
J’attends qu’il ait fini de décharger entièrement puis recrache sa lance, ouvrant ma bouche pour lui montrer que j’ai tout avalé, fière de moi. Violette me réprimande :
-Hé ! tu aurais pu m'en laisser un peu.
-Désolée, fallait me le demander avant, je lui rétorque.
J’ai obtenu à nouveau mon tribut. Je relève la tête, léchant mes lèvres encore tachées de son sperme. Ma chatte est si humide que ma culotte est à tordre. Mais Narcisse est si excité de se partager entre sa tante et sa cousine que sa queue redevient vite très dure, palpitant devant mon visage. Ma chatte a des spasmes. Je m’imagine avec ce mandrin énorme labourant ma fente, s’enfonçant profondément en moi, allant et venant dedans sous le regard de ma fille.
-Tu peux baiser maman, demande Violette. Je veux voir ça de près.
Comme d’habitude, Narcisse obéit aux ordres de sa cousine, il me pousse sur le lit, grimpe sur moi, rampe entre mes cuisses avec son chibre qui remue sur mon ventre. Violette tend sa main, saisissant le mandrin et dirigeant le gland gonflé de son cousin vers ma chatte. De son autre main, elle repousse ma culotte pour dégager ma fente. Je me mords la lèvre inférieure pendant que je sens la grosse queue glisser plusieurs fois sur mes lèvres pubiennes avant d’entrer jusqu’à la déchirure entre elles pour faire pénétrer son incroyable épaisseur dans ma fente.
-Aaaaggh ! Putain que t’es gros, Narcisse ! Unnggh ! Tu vas me la mettre en entier, hein ?! Bourre bien ma chatte.
Il change de position pour prendre en levrette Violette, lui écarte bien les genoux et met ses mains sur les hanches de ma fille pour pouvoir la tringler. Il commence à la limer, enfonçant son gros membre un peu plus à chaque coup de reins. Je me glisse sous Violette et regarde son pubis, observant le va-et-vient puissant de ce piston veiné à l’extérieur de sa chatte. La vision m’excite autant que quand il me prenait. Violette se cambre, agitant son petit cul, poussant sa chatte aux lèvres palpitantes à la rencontre de ce sabre d’abordage.
-Tu sais… Tu peux m’enfiler plus profond, « frérot », grogne-t-elle.
Que n’a-t-elle pas dit là ? Il la besogne sans plus aucune retenue puis retire son pieu des reins dévastés de Violette qui couine et qui apprécie à en juger par le volume sonore, complètement investie par le pieu qui la besogne pendant une dizaine de minutes. Mais Narcisse veut la terminer par une sodomie magistrale à lui faire oublier jusqu'à son nom.
Violette n'est pas enthousiaste et essaie de le repousser. Voyant cela, il la finit brutalement par des coups de boutoirs d'une force inouïe. Violette hurle son plaisir, glapit, brame, beugle, couine, jouit, jouit et jouit encore puis se tait enfin, ravagée. Personnellement, je ne suis pas loin d'avoir un orgasme spontané à la vision de cette chatte dévastée. J'ai terriblement envie de subir le même sort, d'être à la merci de ce sexe monumental. Mais Narcisse profite de ces quelques instants où Violette est presque dans les vapes et plante tout d'un coup son défonce-cul entre les fesses de ma fille. Ce qui est en train de se passer sous mes yeux dépasse l’entendement, Narcisse est en train de la sodomiser, elle se fait enculer devant moi, ici, sur mon lit...décidément j'aurai tout connu et boirai la bouteille jusqu’à la lie...
Violette hurle mais manifestement elle s'y était préparée et n'a qu’un léger mouvement de fuite, cela veut dire qu'elle savait consciemment ce qui l’attendait, quelle petite vicieuse. Je ne l'imaginais pas aussi perverse et me demande si moi aussi, je pourrais supporter à nouveau un tel supplice, me remémorant ma première expérience. Là, je vois de mes propres yeux cet énorme gourdin bouter les chairs de ma fille et disparaître dans ses entrailles ! Comment ai-je pu supporter ça ?!
Je colle sa chatte gluante sur ma bouche et elle essaie de faire de même pour moi entre deux ruades de cet étalon exceptionnel. Je reçois directement les sécrétions mélangées de son coït récent dans ma bouche, j’étouffe mais me régale. Je suis vraiment une dépravée de me désaltérer du liquide qui suinte de la foufoune de ma fille, son odeur intime envahie mes narines. Mon dernier orgasme m’a rendu encore plus sensible. J’attrape avec autorité le sabre qui sort du fourreau de ma fille et le branle comme si ma vie en dépendait.
-Laisse-moi te finir Narcisse, gicle pour moi, gicle !
Alors le miracle se reproduit à nouveau. Je recueille le fruit de ses efforts dans la chatte et le cul de Violette, Il éjacule sur mes seins ainsi que dans ma bouche. Je bois son sperme comme une offrande, je lèche et avale comme je peux au fond de ma gorge les flots généreux qui jaillissent de sa lance que je m’étouffe avec et je dois vite sortir son chibre pour reprendre ma respiration.
Pendant les deux heures qui ont suivies, nous n’avons pas été trop de deux chaudasses pour assouvir nos bas instincts de pouliches en chaleur. Quand l’une n’en pouvait plus, Narcisse s’occupait de l’autre sans faillir. Jamais je n’ai été tronchée si longtemps par un seul homme, qui en plus avait une autre vide-couilles sous la main, ou plutôt avec une chatte jamais rassasiée.
A suivre… Les stagiaires.
Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie
Tatiana et Violette.
Je ferme les yeux, essayant d’oublier que je taille une plume à mon neveu sous le regard de Violette. Graduellement je laisse mes lèvres absorber ce gros manche, absorbant centimètre après centimètre ce gros dard palpitant. Je m’arrête quand j’en ai absorbé les trois/quart, réalisant que je risque de m’étouffer si j’en avale davantage.
Je commence à sucer cette queue extrêmement dure, émerveillée sur la rigidité fabuleuse de son engin. Un restant de décence essaie toujours de me reprocher ce que je suis en train de faire.
Suite :
Je pompe avec ardeur la bite savoureuse de mon neveu avançant davantage mon visage au plus près de la base tondue, écartant les mâchoires autant qu’il m’est possible, mourant d’envie de prendre toujours plus en bouche de ce manche tordu. Sa queue répond à ma succion humide par un grossissement en taille et en raideur, mais ce n’est sûrement qu’une illusion tellement ma bouche est pleine. Son gland mafflu pointé de façon obscène vers le haut essaie de forcer ma luette. Je m’étouffe, grognant des onomatopées, "Ummppplufff,slurp ".
Ma fille appuie sur ma tête, me forçant à prendre la totalité de la colonne de chair.
Je suis fébrile mais résiste à mon envie de le repousser et commence à hocher la tête de haut en bas en une approbation muette, baisant ma bouche avec le chibre de mon « garçon », mes doigts serrés comme ils peuvent sur ses couilles imberbes.
Je ne peux tenir plus longtemps, repousse Narcisse pour ne plus s’occuper que de son gland en en suçant l’extrémité, faisant tourner ma langue autour du méat, l’arrosant de ma salive, aspirant une première goutte de pré-sperme.
Nos talents de suceuses obtiennent enfin leur juste récompense. Un premier jet énorme de sperme jaillit du méat, se répandant dans ma gorge de mère incestueuse.
-Oh oui narcisse ! L'exhorte Violette qui comprend exactement ce qui se passe, vide-toi les couilles au fond de sa gorge.
Sa semence se répand dans ma bouche, noyant mes amygdales et remplissant le fond de ma gorge. Je retire sa lance de mes lèvres et m’accroche à l’énorme bâton crémeux, appréciant le goût du liquide séminal de Narcisse, continuant néanmoins de secouer et de sucer en même temps sa trique, ne voulant pas libérer son chibre avant d’avoir pompé jusqu’à la dernière goutte de cette crème salée bien que Violette ait voulu sa part et obtenir une dernière obole de son cousin, le plus heureux du monde qui n'en revient pas de ce qui lui arrive.
J’attends qu’il ait fini de décharger entièrement puis recrache sa lance, ouvrant ma bouche pour lui montrer que j’ai tout avalé, fière de moi. Violette me réprimande :
-Hé ! tu aurais pu m'en laisser un peu.
-Désolée, fallait me le demander avant, je lui rétorque.
J’ai obtenu à nouveau mon tribut. Je relève la tête, léchant mes lèvres encore tachées de son sperme. Ma chatte est si humide que ma culotte est à tordre. Mais Narcisse est si excité de se partager entre sa tante et sa cousine que sa queue redevient vite très dure, palpitant devant mon visage. Ma chatte a des spasmes. Je m’imagine avec ce mandrin énorme labourant ma fente, s’enfonçant profondément en moi, allant et venant dedans sous le regard de ma fille.
-Tu peux baiser maman, demande Violette. Je veux voir ça de près.
Comme d’habitude, Narcisse obéit aux ordres de sa cousine, il me pousse sur le lit, grimpe sur moi, rampe entre mes cuisses avec son chibre qui remue sur mon ventre. Violette tend sa main, saisissant le mandrin et dirigeant le gland gonflé de son cousin vers ma chatte. De son autre main, elle repousse ma culotte pour dégager ma fente. Je me mords la lèvre inférieure pendant que je sens la grosse queue glisser plusieurs fois sur mes lèvres pubiennes avant d’entrer jusqu’à la déchirure entre elles pour faire pénétrer son incroyable épaisseur dans ma fente.
-Aaaaggh ! Putain que t’es gros, Narcisse ! Unnggh ! Tu vas me la mettre en entier, hein ?! Bourre bien ma chatte.
Il change de position pour prendre en levrette Violette, lui écarte bien les genoux et met ses mains sur les hanches de ma fille pour pouvoir la tringler. Il commence à la limer, enfonçant son gros membre un peu plus à chaque coup de reins. Je me glisse sous Violette et regarde son pubis, observant le va-et-vient puissant de ce piston veiné à l’extérieur de sa chatte. La vision m’excite autant que quand il me prenait. Violette se cambre, agitant son petit cul, poussant sa chatte aux lèvres palpitantes à la rencontre de ce sabre d’abordage.
-Tu sais… Tu peux m’enfiler plus profond, « frérot », grogne-t-elle.
Que n’a-t-elle pas dit là ? Il la besogne sans plus aucune retenue puis retire son pieu des reins dévastés de Violette qui couine et qui apprécie à en juger par le volume sonore, complètement investie par le pieu qui la besogne pendant une dizaine de minutes. Mais Narcisse veut la terminer par une sodomie magistrale à lui faire oublier jusqu'à son nom.
Violette n'est pas enthousiaste et essaie de le repousser. Voyant cela, il la finit brutalement par des coups de boutoirs d'une force inouïe. Violette hurle son plaisir, glapit, brame, beugle, couine, jouit, jouit et jouit encore puis se tait enfin, ravagée. Personnellement, je ne suis pas loin d'avoir un orgasme spontané à la vision de cette chatte dévastée. J'ai terriblement envie de subir le même sort, d'être à la merci de ce sexe monumental. Mais Narcisse profite de ces quelques instants où Violette est presque dans les vapes et plante tout d'un coup son défonce-cul entre les fesses de ma fille. Ce qui est en train de se passer sous mes yeux dépasse l’entendement, Narcisse est en train de la sodomiser, elle se fait enculer devant moi, ici, sur mon lit...décidément j'aurai tout connu et boirai la bouteille jusqu’à la lie...
Violette hurle mais manifestement elle s'y était préparée et n'a qu’un léger mouvement de fuite, cela veut dire qu'elle savait consciemment ce qui l’attendait, quelle petite vicieuse. Je ne l'imaginais pas aussi perverse et me demande si moi aussi, je pourrais supporter à nouveau un tel supplice, me remémorant ma première expérience. Là, je vois de mes propres yeux cet énorme gourdin bouter les chairs de ma fille et disparaître dans ses entrailles ! Comment ai-je pu supporter ça ?!
Je colle sa chatte gluante sur ma bouche et elle essaie de faire de même pour moi entre deux ruades de cet étalon exceptionnel. Je reçois directement les sécrétions mélangées de son coït récent dans ma bouche, j’étouffe mais me régale. Je suis vraiment une dépravée de me désaltérer du liquide qui suinte de la foufoune de ma fille, son odeur intime envahie mes narines. Mon dernier orgasme m’a rendu encore plus sensible. J’attrape avec autorité le sabre qui sort du fourreau de ma fille et le branle comme si ma vie en dépendait.
-Laisse-moi te finir Narcisse, gicle pour moi, gicle !
Alors le miracle se reproduit à nouveau. Je recueille le fruit de ses efforts dans la chatte et le cul de Violette, Il éjacule sur mes seins ainsi que dans ma bouche. Je bois son sperme comme une offrande, je lèche et avale comme je peux au fond de ma gorge les flots généreux qui jaillissent de sa lance que je m’étouffe avec et je dois vite sortir son chibre pour reprendre ma respiration.
Pendant les deux heures qui ont suivies, nous n’avons pas été trop de deux chaudasses pour assouvir nos bas instincts de pouliches en chaleur. Quand l’une n’en pouvait plus, Narcisse s’occupait de l’autre sans faillir. Jamais je n’ai été tronchée si longtemps par un seul homme, qui en plus avait une autre vide-couilles sous la main, ou plutôt avec une chatte jamais rassasiée.
A suivre… Les stagiaires.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Narcisse à eu beaucoup de chance d'être recueilli par cette famille. il doit maintenant rembourser en liquide.
Quelle famille !!!
Qui est la plus dépravée, la fille ou la mère ?