Le réveil d'un autiste: Tatiana et Violette
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-06-2023 dans la catégorie Plus on est
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Le réveil d'un autiste: Tatiana et Violette
Un gîte renommé.
Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie
Tatiana et Violette.
Et comme tout à l’heure, comme s’il avait attendu cet ordre libératoire, je sens sa bite se contracter et se décontracter dans mes boyaux, il ouvre à nouveaux les écluses et me graisse le fion avant de se retirer et me crépir le dos de sa semence. J’ai du sperme partout jusque dans les cheveux.
Nous finissons cette séance mémorable sous la douche. Une question me turlupine, je vais bien voir :
-Bande Narcisse, bande !
Et le miracle se reproduit à nouveau. Comme s’il ne venait pas de se vider les couilles deux fois de suite, j’assiste effarée à la croissance exponentielle de ce pénis peu commun…
Suite :
Ces mois de COVID ont été très durs pour ma petite affaire. Les chambres sont désespérément vides et je me demande si ça vaut encore le coup de continuer. J'ai eu une discussion orageuse avec mes filles, leur exprimant toute ma colère de ce qu'elles ont osé faire avec Narcisse. Mais vu que moi aussi j'ai cédé à ses avances, je suis mal placée pour leur faire des reproches.
Violette a eu une idée pour essayer de remplir le gîte, aidée par cela à mon grand étonnement par Narcisse. L'idée est de proposer quatre jours par semaine, les lundi, mardi, mercredi et jeudi des soirées finlandaises. Ceci consiste à partir de 22h00 à ce que la piscine, le hammam, le jacuzzi et la salle de massage soit réservés aux personnes adeptes du naturisme. De son côté, Narcisse propose de faire des stages informatiques pour les nuls en présentiel, il a bien changé mon bébé... Pourquoi-pas après tout ?
Ça a démarré doucement mais j'ai vu très rapidement un changement dans la clientèle qui a beaucoup rajeunie et c'est aussi féminisée. J'ai cru au début que c'était grâce à la partie naturiste mais les quelques caméras disséminées dans des endroits sensibles m’ont bien vite ouvert les yeux. J'ai vite réalisé que je n'étais pas la seule à avoir regardé les vidéos postées par mes dévergondées de filles. Les femmes tournaient comme des mouches sur le cul d'un cheval, et vous devinez vite qui était ce cheval, ou plutôt l'étalon. Comme on le voit souvent dans un pré où il y a des chevaux, les mâles se mettent à bander exposant leur verge impressionnante. Narcisse ni dérogeait pas pour le grand plaisir de ces groupies devant un véritable spectacle de music-hall. Sa verge flasque devenait l'impressionnante trique qui faisait l'admiration de toutes les filles et foutait la honte ou l’envie aux quelques hommes présents. Je soupçonne même que certains qui étaient en couple n'était venus que pour ça, espérant voir leur femme ou leur petite copine se faire troncher par cette bite de poney.
J'aurais pu y mettre le holà, mais vu que maintenant je refuse des clients, je suis bien obligée de reconnaître que l'idée de Violette avec l'aide de Narcisse a sauvé ma petite entreprise.
Hervé venait enfin de rentrer et nous rattrapions le temps perdu dans les bras l'un de l'autre. Je ne savais pas pourquoi mais quand il me prenait, il était beaucoup moins doux qu'avant, comme s'il cherchait à me reconquérir. Je dois dire que bien que j’appréciasse beaucoup le retour de sa virilité, indéniablement je ne pouvais m'empêcher de penser au braquemard démentiel de Narcisse. Je comparais aussi sa petite affaire faites en quelques minutes à la prestation pouvant durer des heures de notre neveu. Il m'a enfin révélé qu'il était au courant de tout, qu’il avait tout vu car Narcisse avait à sa demande rajouté des caméras dont je n'étais pas au courant.
Il me raconta qu’au début il était complètement fou d’une telle découverte, mais que par la suite, toujours coincé en Chine, ça lui avait permis de mieux supporter cette incarcération forcée dans sa chambre d'hôtel. Bien sûr il n'était pas très content que je le fasse cocu, et en plus avec son neveu, que ses filles et belles-filles participent aussi à l'hallali sur un garçon autiste qui ne voit de mal nulle part. Il a été étonné des capacités étonnantes de Narcisse mais le fait que ce séjour forcé de toute la famille sous le même toit ait eu pour résultat de changer le caractère renfermé de Narcisse lui passait du baume au cœur. Son neveu que personne ne pouvait toucher avant recherchait maintenant auprès des filles certaines caresses des plus graveleuses.
Il faut dire que d'après ce qu'il avait vu, elles appréciaient de tenir entre leurs mains un tel gourdin. Hervé n'était pas peu fier de les voir se pâmer pendant que Narcisse les fourrait par tous les trous possibles. Il m’a fait lire les commentaires laissés sur le web à mots couverts des personnes au fait de ce qui se passait à partir de 22h00 dans ce gîte :
« DUR de trouver mieux »
« La maison SABRE tient toutes ses promesses »
« Un personnel entièrement à votre service »
« Demandez un supplément de crème vous serez toujours Servi »
« Que vous soyez une ou plusieurs, vous serez toute traitées de la même manière »
« Venez découvrir les spécialités que l’on ne trouve nulle part ailleurs »
Et ça continue sur des pages et des pages.
Comme d'habitude, Hervé est reparti sur les routes et je me retrouve à nouveau toute seule, enfin presque. Le problème c'était que maintenant que j'avais goûté aux possibilités incroyables de Narcisse je ne pouvais plus m'en passer. Par suite des absences répétées de mon mari, la femme sexuellement frustrée que j’étais devenue ressentait une palpitation honteuse agiter sa chatte, ne pouvant imaginer que voir la queue raide de mon fils adoptif rendrait ainsi mon sexe si humide et si chaud.
Bien que je fasse toujours mon possible pour rester discrète, il a bien fallu qu'un jour je me fasse surprendre par une de mes filles, celle que je croyais la plus prude. J'étais en pleine fellation le dos tourné à la porte, tellement absorbée parce que je faisais que je ne l'ai pas entendu entrer, toujours en admiration de l’énorme queue très raide, de cette barre de chair courbe qui dévoile tous ses plis, ses veinures, sa peau rose luisante. Elle est si longue et aussi épaisse que mon propre poignet. Le gland rouge-foncé a la taille d’une grosse fraise d’où suinte une goutte de pré-sperme brillant.
-Eh bien c'est du propre, maman. Tu nous as passé un savon en découvrant nos parties de jambes en l'air avec Narcisse et là je te surprends avec sa teub dans la bouche. Telle mère telles filles hein ? Non n'arrête-pas ! Tu es prise sur le fait mais avec Narcisse quand il y en a pour une il y en a pour deux.
Elle s’agenouille aussitôt à côté de moi, se saisit du formidable chibre de Narcisse qu’elle retire de force de ma bouche pour la plonger aussitôt dans la sienne. J'assiste éberluée quelques secondes après à une gorge profonde. Comment peut-elle faire ça avec autant de facilité vu la taille et surtout le diamètre de ce chibre.
-Huuummm c’est bon Violette ! Tu es la seule à savoir faire ça, continue comme ça, tu suces si bien, grogne Narcisse.
Ma fille a le visage déformé, les mâchoires distendues, ses beaux yeux pâmés devant une telle invasion qui gonfle son cou. Elle ferme les yeux se concentrant sur ce véritable monstre qui a envahi sa bouche. Je réalise que ce n’est pas la première fois que la bite de son cousin franchit ses lèvres gourmandes mais c’est sûrement la plus grosse et la plus longue. Je la vois essayer de faire tourner sa langue autour de la tige palpitante mais c’est virtuellement impossible, il n’y a pas assez de place car sa bouche est complètement remplie, heureusement qu’elle peut respirer par le nez quand il se retire un peu, autrement c’est l’asphyxie assurée.
Violette n’est pas ingrate et veut partager avec moi et je suis de nouveau confrontée à la taille imposante de la grosse queue bandée de mon neveu. Je respire fort, ma chatte palpite comme si mon cœur avait changé de place. Je lève mon bras droit et enroule mes doigts autour du membre imposant, faisant glisser mon poing serré qui ne peut se fermer complètement sur cette hampe disproportionnée. Je fixe le gros gland pendant plusieurs secondes, admirant le méat brillant de la salive de Violette puis baisse la tête, pose mes lèvres à l’extrémité de la grosse prune, darde ma langue, lèche ardemment le jus savoureux de la bite luisante de bave.
-Ooohhh que c’est bon ! Pas l’une pour rattraper l’autre ! S’exclame Narcisse. Mets-la dans ta bouche ! Suce-la ! Fais comme Violette. Je sais que tu en meurs d’envie. Ooohhh, suce-moi bien « maman » !
Je ferme les yeux, essayant d’oublier que je taille une plume à mon neveu sous le regard de Violette. Graduellement je laisse mes lèvres absorber ce gros manche, absorbant centimètre après centimètre ce gros dard palpitant. Je m’arrête quand j’en ai absorbé les trois/quart, réalisant que je risque de m’étouffer si j’en avale davantage.
Je commence à sucer cette queue extrêmement dure, émerveillée sur la rigidité fabuleuse de son engin. Un restant de décence essaie toujours de me reprocher ce que je suis en train de faire.
A suivre…
Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie
Tatiana et Violette.
Et comme tout à l’heure, comme s’il avait attendu cet ordre libératoire, je sens sa bite se contracter et se décontracter dans mes boyaux, il ouvre à nouveaux les écluses et me graisse le fion avant de se retirer et me crépir le dos de sa semence. J’ai du sperme partout jusque dans les cheveux.
Nous finissons cette séance mémorable sous la douche. Une question me turlupine, je vais bien voir :
-Bande Narcisse, bande !
Et le miracle se reproduit à nouveau. Comme s’il ne venait pas de se vider les couilles deux fois de suite, j’assiste effarée à la croissance exponentielle de ce pénis peu commun…
Suite :
Ces mois de COVID ont été très durs pour ma petite affaire. Les chambres sont désespérément vides et je me demande si ça vaut encore le coup de continuer. J'ai eu une discussion orageuse avec mes filles, leur exprimant toute ma colère de ce qu'elles ont osé faire avec Narcisse. Mais vu que moi aussi j'ai cédé à ses avances, je suis mal placée pour leur faire des reproches.
Violette a eu une idée pour essayer de remplir le gîte, aidée par cela à mon grand étonnement par Narcisse. L'idée est de proposer quatre jours par semaine, les lundi, mardi, mercredi et jeudi des soirées finlandaises. Ceci consiste à partir de 22h00 à ce que la piscine, le hammam, le jacuzzi et la salle de massage soit réservés aux personnes adeptes du naturisme. De son côté, Narcisse propose de faire des stages informatiques pour les nuls en présentiel, il a bien changé mon bébé... Pourquoi-pas après tout ?
Ça a démarré doucement mais j'ai vu très rapidement un changement dans la clientèle qui a beaucoup rajeunie et c'est aussi féminisée. J'ai cru au début que c'était grâce à la partie naturiste mais les quelques caméras disséminées dans des endroits sensibles m’ont bien vite ouvert les yeux. J'ai vite réalisé que je n'étais pas la seule à avoir regardé les vidéos postées par mes dévergondées de filles. Les femmes tournaient comme des mouches sur le cul d'un cheval, et vous devinez vite qui était ce cheval, ou plutôt l'étalon. Comme on le voit souvent dans un pré où il y a des chevaux, les mâles se mettent à bander exposant leur verge impressionnante. Narcisse ni dérogeait pas pour le grand plaisir de ces groupies devant un véritable spectacle de music-hall. Sa verge flasque devenait l'impressionnante trique qui faisait l'admiration de toutes les filles et foutait la honte ou l’envie aux quelques hommes présents. Je soupçonne même que certains qui étaient en couple n'était venus que pour ça, espérant voir leur femme ou leur petite copine se faire troncher par cette bite de poney.
J'aurais pu y mettre le holà, mais vu que maintenant je refuse des clients, je suis bien obligée de reconnaître que l'idée de Violette avec l'aide de Narcisse a sauvé ma petite entreprise.
Hervé venait enfin de rentrer et nous rattrapions le temps perdu dans les bras l'un de l'autre. Je ne savais pas pourquoi mais quand il me prenait, il était beaucoup moins doux qu'avant, comme s'il cherchait à me reconquérir. Je dois dire que bien que j’appréciasse beaucoup le retour de sa virilité, indéniablement je ne pouvais m'empêcher de penser au braquemard démentiel de Narcisse. Je comparais aussi sa petite affaire faites en quelques minutes à la prestation pouvant durer des heures de notre neveu. Il m'a enfin révélé qu'il était au courant de tout, qu’il avait tout vu car Narcisse avait à sa demande rajouté des caméras dont je n'étais pas au courant.
Il me raconta qu’au début il était complètement fou d’une telle découverte, mais que par la suite, toujours coincé en Chine, ça lui avait permis de mieux supporter cette incarcération forcée dans sa chambre d'hôtel. Bien sûr il n'était pas très content que je le fasse cocu, et en plus avec son neveu, que ses filles et belles-filles participent aussi à l'hallali sur un garçon autiste qui ne voit de mal nulle part. Il a été étonné des capacités étonnantes de Narcisse mais le fait que ce séjour forcé de toute la famille sous le même toit ait eu pour résultat de changer le caractère renfermé de Narcisse lui passait du baume au cœur. Son neveu que personne ne pouvait toucher avant recherchait maintenant auprès des filles certaines caresses des plus graveleuses.
Il faut dire que d'après ce qu'il avait vu, elles appréciaient de tenir entre leurs mains un tel gourdin. Hervé n'était pas peu fier de les voir se pâmer pendant que Narcisse les fourrait par tous les trous possibles. Il m’a fait lire les commentaires laissés sur le web à mots couverts des personnes au fait de ce qui se passait à partir de 22h00 dans ce gîte :
« DUR de trouver mieux »
« La maison SABRE tient toutes ses promesses »
« Un personnel entièrement à votre service »
« Demandez un supplément de crème vous serez toujours Servi »
« Que vous soyez une ou plusieurs, vous serez toute traitées de la même manière »
« Venez découvrir les spécialités que l’on ne trouve nulle part ailleurs »
Et ça continue sur des pages et des pages.
Comme d'habitude, Hervé est reparti sur les routes et je me retrouve à nouveau toute seule, enfin presque. Le problème c'était que maintenant que j'avais goûté aux possibilités incroyables de Narcisse je ne pouvais plus m'en passer. Par suite des absences répétées de mon mari, la femme sexuellement frustrée que j’étais devenue ressentait une palpitation honteuse agiter sa chatte, ne pouvant imaginer que voir la queue raide de mon fils adoptif rendrait ainsi mon sexe si humide et si chaud.
Bien que je fasse toujours mon possible pour rester discrète, il a bien fallu qu'un jour je me fasse surprendre par une de mes filles, celle que je croyais la plus prude. J'étais en pleine fellation le dos tourné à la porte, tellement absorbée parce que je faisais que je ne l'ai pas entendu entrer, toujours en admiration de l’énorme queue très raide, de cette barre de chair courbe qui dévoile tous ses plis, ses veinures, sa peau rose luisante. Elle est si longue et aussi épaisse que mon propre poignet. Le gland rouge-foncé a la taille d’une grosse fraise d’où suinte une goutte de pré-sperme brillant.
-Eh bien c'est du propre, maman. Tu nous as passé un savon en découvrant nos parties de jambes en l'air avec Narcisse et là je te surprends avec sa teub dans la bouche. Telle mère telles filles hein ? Non n'arrête-pas ! Tu es prise sur le fait mais avec Narcisse quand il y en a pour une il y en a pour deux.
Elle s’agenouille aussitôt à côté de moi, se saisit du formidable chibre de Narcisse qu’elle retire de force de ma bouche pour la plonger aussitôt dans la sienne. J'assiste éberluée quelques secondes après à une gorge profonde. Comment peut-elle faire ça avec autant de facilité vu la taille et surtout le diamètre de ce chibre.
-Huuummm c’est bon Violette ! Tu es la seule à savoir faire ça, continue comme ça, tu suces si bien, grogne Narcisse.
Ma fille a le visage déformé, les mâchoires distendues, ses beaux yeux pâmés devant une telle invasion qui gonfle son cou. Elle ferme les yeux se concentrant sur ce véritable monstre qui a envahi sa bouche. Je réalise que ce n’est pas la première fois que la bite de son cousin franchit ses lèvres gourmandes mais c’est sûrement la plus grosse et la plus longue. Je la vois essayer de faire tourner sa langue autour de la tige palpitante mais c’est virtuellement impossible, il n’y a pas assez de place car sa bouche est complètement remplie, heureusement qu’elle peut respirer par le nez quand il se retire un peu, autrement c’est l’asphyxie assurée.
Violette n’est pas ingrate et veut partager avec moi et je suis de nouveau confrontée à la taille imposante de la grosse queue bandée de mon neveu. Je respire fort, ma chatte palpite comme si mon cœur avait changé de place. Je lève mon bras droit et enroule mes doigts autour du membre imposant, faisant glisser mon poing serré qui ne peut se fermer complètement sur cette hampe disproportionnée. Je fixe le gros gland pendant plusieurs secondes, admirant le méat brillant de la salive de Violette puis baisse la tête, pose mes lèvres à l’extrémité de la grosse prune, darde ma langue, lèche ardemment le jus savoureux de la bite luisante de bave.
-Ooohhh que c’est bon ! Pas l’une pour rattraper l’autre ! S’exclame Narcisse. Mets-la dans ta bouche ! Suce-la ! Fais comme Violette. Je sais que tu en meurs d’envie. Ooohhh, suce-moi bien « maman » !
Je ferme les yeux, essayant d’oublier que je taille une plume à mon neveu sous le regard de Violette. Graduellement je laisse mes lèvres absorber ce gros manche, absorbant centimètre après centimètre ce gros dard palpitant. Je m’arrête quand j’en ai absorbé les trois/quart, réalisant que je risque de m’étouffer si j’en avale davantage.
Je commence à sucer cette queue extrêmement dure, émerveillée sur la rigidité fabuleuse de son engin. Un restant de décence essaie toujours de me reprocher ce que je suis en train de faire.
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