Le réveil d'un autiste, Violette 1
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-05-2023 dans la catégorie Plus on est
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Le réveil d'un autiste, Violette 1
Au tour de la sainte-nitouche.
Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie.
Violette.
J'ai rompu avec mon copain par visio. Je suis inconsolable, je pleure. Mon couple battait de l'aile depuis quelques temps et le confinement n’a rien arrangé. Cela n'allait déjà plus très fort et il n'y avait plus de passion et j'ai donc décidé d'en finir. Il n'était peut-être pas mon premier amour mais le premier aussi sérieux et c'est dur d'accepter pour moi que ce soit terminé.
Et je ne peux pas dire que ce qui se passe dans cette drôle de maison depuis quelques temps contribue à me réconforter. J’apostrophe Rose et Margo :
-Alors ! Vous vous êtes bien amusé hier ?
Elles se regardent avant que Margo me réponde.
-Et beenn…oui c'était assez chouette, on s’est bien défoulées.
-Vous pourriez être plus discrètes en revanche, heureusement que la chambre de maman est suffisamment éloignée.
-Qu'est-ce que tu veux dire Violette ?
-Inutile de faire les saintes-nitouches. Je ne vous ais pas vu sortir de la chambre de Narcisse mais avec le bruit que vous avez fait toute la nuit, je me doute bien que vous ne jouiez pas au Monopoli. Cela fait un petit moment que j'ai compris votre petit manège avec lui. Vous faites ce que vous voulez. Je dis juste que vous n'avez plus besoin de tenir ça secret, même si je trouve ça complètement immoral.
Un silence s'installe avant que Rose me pose une question.
-Et alors ! ça te dérange ?
Je lui réponds du tac au tac :
-Oui, mais je ne pense pas vraiment que mon opinion vous intéresse. Ce que je vais vous dire n’est peut-être pas agréable à entendre mais même si pour le moment vous trouvez ça génial, que vous ne faites de mal à personne, que vous ne faites que vous amuser, vous savez que cela ne peut pas durer éternellement et que Narcisse risque dans payer les pots cassés. Et alors que se passera-t-il ? Ça va forcément finir mal et je ne voudrais pas qu’il en souffre.
-Tu as peut-être raison, reconnait Rose. Mais le monde est sans dessous-dessus avec cette épidémie et moi j'ai envie de me laisser aller sans penser au lendemain.
-Justifie-toi comme tu veux, moi je vous donne juste mon avis c'est tout, et je sais que vous n’en tiendrez pas compte. C'est votre vie mais aussi celle de Narcisse. Je vous demande juste de bien faire attention à lui. Vous ne vous rendez pas compte de l'impact que cela a sur lui. Vous l'utilisez comme un bouche-trou, c’est le cas de le dire.
-Eh ! Ce n’est pas nous qui avons commencé, s’écrie Margo. On n’a fait qu’imiter Audrey et Barbara. Il n’y avait pas de raison qu’on fasse ceinture devant le gâteau pendant qu’elles se goinfraient.
-Tu veux dire que ? Je m’emporte.
-Oui ! Me réplique Rose. On veut dire que…
Malgré tous ses aveux, mes sœurs passent énormément de temps avec moi pour essayer de me consoler et essaient de me faire penser à autre chose. Elles m'écoutent pour me réconforter comme elles peuvent et me sortir de ma déprime. Je leur raconte que je ne comprends pas comment nous en sommes arrivés là, comment la flamme de la passion c’est éteinte à petit feu et que l’amour c’est transformé en routine et la seule raison de rester ensemble était le cul.
Ce n’est pas parce que je réprouve leur comportement que pour cela, je suis une sainte.
Nous avons toujours partagé entre nous nos histoires de cœur. Je leur explique que Corentin et moi avons réalisé que le sexe n’était qu’une drogue qui nous empêchait de voir la réalité en face. Je leur avoue que le manque de sexe est dur à supporter mais pas au point de me taper mon « frangin ». Je sais bien que Narcisse n’est pas en réalité mon frère car mes parents l’ont adopté à la mort de ma tante, mais quand même… Je voudrais bien m'endormir après avoir fait l'amour dans les bras d'un homme qui me désire. Je ne pourrais pas survivre sans ça, mais de là à ...
Après avoir passé autant de temps avec quelqu'un c'est dur de redevenir célibataire, j’en deviens folle, je le jure, je me contente d’un sex-toy à ventouse.
-Faut savoir ce que tu veux, s’emporte Rose. Si ce n’est que pour le cul cela peut vite s'arranger avec notre « sex-toy humain » pratiquement toujours prêt à l'emploi qu’il y a dans cette maison. Balance Rose en lançant un regard interrogateur vers moi.
-Attends, je grommelle, vous ne voudriez quand même pas que je me joigne à vos orgies ?
-Et pourquoi-pas ? Lance Margo, je suis sûre qu’il serait partant et ne s’en plaindrait-pas.
-Non mais ça va pas ! Je riposte, blessée dans mon amour propre. Ce n'est pas parce que je suis en manque de sexe que je vais me jeter sur Narcisse. Et d’abord, je ne l’ai jamais vu bander. Qu’est-ce qui s’est donc passé ?
-Ça, il faudrait le demander à Audrey, jette Rose. Mais depuis ce moment, c’est un vrai mâle en rut, la bite toujours prête, et tu verrais le morceau ! Je n’ai vu ça que dans les films pornos. Et c’est un cas, notre Narcisse, il bande et débande à volonté, comme certains acteurs X. Et s’il n’y avait que ça…
-Vous déconnez les filles, je les rambarde. Vous vantez bien la marchandise, mais il ne faut quand même pas pousser le bouchon trop loin.
-On te le jure Violette, juré-craché ! On n’exagère pas ! Et pour un coup d'un soir pourquoi pas lui ? Ce serait un plan cul idéal et en plus c'est un sacré bon coup.
-Non mais tu ne vas pas t'y mettre toi aussi.
-N’essaie-pas de nous la faire, Violette. Insiste Margo. Ose nous dire que tu n'as jamais fantasmé en voyant son engin au jacuzzi.
Je rougis car il est vrai que cette idée m’a aussi traversé l’esprit, je l'ai eu comme elles sûrement. Mais je ne peux pas désirer mon frère adoptif comme ça sur commande, ce n'est pas pour moi ce genre de truc qu’on appelle l’inceste.
-Arrête de te voiler la face, s’emporte Rose. Tu as admis qu'avec Corentin c'était le cul le plus important, alors pourquoi pas avec Narcisse ?
-Eh arrêter d'insister, c'est gênant à la fin, comment pouvez-vous accepter ça ?
-Tu dis ça parce que tu n'as pas vu la marchandise. Rose, va chercher Narcisse, ordonne Margo.
Ils reviennent tous les deux et ces deux cinglées ont tôt fait de le mettre à poil.
-Oui je vois, je constate, il est comme d'habitude et ne bande pas, ça ne sert à rien.
- Ça on va vite l’arranger rétorque Margo. C'est pas si compliqué.
Elle se dessapent elles aussi montrant rapidement leurs seins et se caressent comme des gouines. Je ne sais plus où me mettre mais constate un frémissement au bas ventre de Narcisse.
J’essaie de résister mais une petite voix voudrait que les choses dégénèrent. Je vois naître son érection sans pour autant qu'il ne se touche. Sa bite s’affermie, grossit, grandit, et se redresse alors prenant une forme courbe vers le haut.
-Alors Violette ! On ne t'avait pas menti, lance Margo en s’approchant alors de lui et le branlant avec application tout de suite rejointe par Rose. J'assiste à cette branlette avec leur main droite posée sur cette hampe majestueuse. Son chibre est maintenant tendu au maximum quand elles relâchent la bête pour me la faire admirer. J'ai devant mes yeux ébahis la plus grosse queue qu'il m'ait été donné de voir en 3D.
Mon regard ne peut s’écarter de son bas-ventre imberbe d’où jaillit un membre qui ne peut me laisser de glace. Bien que j’aie un peu honte qu'il s'exhibe de la sorte, je dois avouer que je ne peux résister à cet appel, peu importe où cette folie va me mener.
-Tu as dit que tu voulais faire l'amour avec un homme qui te désire, as-tu envie d'aller plus loin ?
Je ne sais plus quoi penser. Elles ont vraiment l'art de me mettre dans des situations pas possibles. J'ai encore quelques pensées interdites mais comment résister à un tel appel ?
-Tu as raison Margo, mais jamais je n'aurais cru que la verge de Narcisse ce serait autant allongée en érection. C’est devenu un véritable monstre…
-Ecoute violette, dit franchement Margo. Sois tu admets maintenant que tu as envie de cette belle queue, et tes yeux en crèvent d'envie, sois tu t'en vas dans ta chambre et Rose et moi nous allons nous faire baiser toute la nuit pendant que toi, tu n'auras que ton gode pour te consoler, à toi de voir…
Au point où j’en suis… Rose me pousse, se saisit de ma main, me force à saisir son engin et commence des mouvements de poignet. Narcisse ronronne de satisfaction en voyant sa dernière « sœur » passer du mauvais côté de la force.
-Allez vas-y franchement Violette ! n'aie pas peur, il n’est pas en sucre et adore ça ! M’encourage Margo.
A suivre… Violette.
Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie.
Violette.
J'ai rompu avec mon copain par visio. Je suis inconsolable, je pleure. Mon couple battait de l'aile depuis quelques temps et le confinement n’a rien arrangé. Cela n'allait déjà plus très fort et il n'y avait plus de passion et j'ai donc décidé d'en finir. Il n'était peut-être pas mon premier amour mais le premier aussi sérieux et c'est dur d'accepter pour moi que ce soit terminé.
Et je ne peux pas dire que ce qui se passe dans cette drôle de maison depuis quelques temps contribue à me réconforter. J’apostrophe Rose et Margo :
-Alors ! Vous vous êtes bien amusé hier ?
Elles se regardent avant que Margo me réponde.
-Et beenn…oui c'était assez chouette, on s’est bien défoulées.
-Vous pourriez être plus discrètes en revanche, heureusement que la chambre de maman est suffisamment éloignée.
-Qu'est-ce que tu veux dire Violette ?
-Inutile de faire les saintes-nitouches. Je ne vous ais pas vu sortir de la chambre de Narcisse mais avec le bruit que vous avez fait toute la nuit, je me doute bien que vous ne jouiez pas au Monopoli. Cela fait un petit moment que j'ai compris votre petit manège avec lui. Vous faites ce que vous voulez. Je dis juste que vous n'avez plus besoin de tenir ça secret, même si je trouve ça complètement immoral.
Un silence s'installe avant que Rose me pose une question.
-Et alors ! ça te dérange ?
Je lui réponds du tac au tac :
-Oui, mais je ne pense pas vraiment que mon opinion vous intéresse. Ce que je vais vous dire n’est peut-être pas agréable à entendre mais même si pour le moment vous trouvez ça génial, que vous ne faites de mal à personne, que vous ne faites que vous amuser, vous savez que cela ne peut pas durer éternellement et que Narcisse risque dans payer les pots cassés. Et alors que se passera-t-il ? Ça va forcément finir mal et je ne voudrais pas qu’il en souffre.
-Tu as peut-être raison, reconnait Rose. Mais le monde est sans dessous-dessus avec cette épidémie et moi j'ai envie de me laisser aller sans penser au lendemain.
-Justifie-toi comme tu veux, moi je vous donne juste mon avis c'est tout, et je sais que vous n’en tiendrez pas compte. C'est votre vie mais aussi celle de Narcisse. Je vous demande juste de bien faire attention à lui. Vous ne vous rendez pas compte de l'impact que cela a sur lui. Vous l'utilisez comme un bouche-trou, c’est le cas de le dire.
-Eh ! Ce n’est pas nous qui avons commencé, s’écrie Margo. On n’a fait qu’imiter Audrey et Barbara. Il n’y avait pas de raison qu’on fasse ceinture devant le gâteau pendant qu’elles se goinfraient.
-Tu veux dire que ? Je m’emporte.
-Oui ! Me réplique Rose. On veut dire que…
Malgré tous ses aveux, mes sœurs passent énormément de temps avec moi pour essayer de me consoler et essaient de me faire penser à autre chose. Elles m'écoutent pour me réconforter comme elles peuvent et me sortir de ma déprime. Je leur raconte que je ne comprends pas comment nous en sommes arrivés là, comment la flamme de la passion c’est éteinte à petit feu et que l’amour c’est transformé en routine et la seule raison de rester ensemble était le cul.
Ce n’est pas parce que je réprouve leur comportement que pour cela, je suis une sainte.
Nous avons toujours partagé entre nous nos histoires de cœur. Je leur explique que Corentin et moi avons réalisé que le sexe n’était qu’une drogue qui nous empêchait de voir la réalité en face. Je leur avoue que le manque de sexe est dur à supporter mais pas au point de me taper mon « frangin ». Je sais bien que Narcisse n’est pas en réalité mon frère car mes parents l’ont adopté à la mort de ma tante, mais quand même… Je voudrais bien m'endormir après avoir fait l'amour dans les bras d'un homme qui me désire. Je ne pourrais pas survivre sans ça, mais de là à ...
Après avoir passé autant de temps avec quelqu'un c'est dur de redevenir célibataire, j’en deviens folle, je le jure, je me contente d’un sex-toy à ventouse.
-Faut savoir ce que tu veux, s’emporte Rose. Si ce n’est que pour le cul cela peut vite s'arranger avec notre « sex-toy humain » pratiquement toujours prêt à l'emploi qu’il y a dans cette maison. Balance Rose en lançant un regard interrogateur vers moi.
-Attends, je grommelle, vous ne voudriez quand même pas que je me joigne à vos orgies ?
-Et pourquoi-pas ? Lance Margo, je suis sûre qu’il serait partant et ne s’en plaindrait-pas.
-Non mais ça va pas ! Je riposte, blessée dans mon amour propre. Ce n'est pas parce que je suis en manque de sexe que je vais me jeter sur Narcisse. Et d’abord, je ne l’ai jamais vu bander. Qu’est-ce qui s’est donc passé ?
-Ça, il faudrait le demander à Audrey, jette Rose. Mais depuis ce moment, c’est un vrai mâle en rut, la bite toujours prête, et tu verrais le morceau ! Je n’ai vu ça que dans les films pornos. Et c’est un cas, notre Narcisse, il bande et débande à volonté, comme certains acteurs X. Et s’il n’y avait que ça…
-Vous déconnez les filles, je les rambarde. Vous vantez bien la marchandise, mais il ne faut quand même pas pousser le bouchon trop loin.
-On te le jure Violette, juré-craché ! On n’exagère pas ! Et pour un coup d'un soir pourquoi pas lui ? Ce serait un plan cul idéal et en plus c'est un sacré bon coup.
-Non mais tu ne vas pas t'y mettre toi aussi.
-N’essaie-pas de nous la faire, Violette. Insiste Margo. Ose nous dire que tu n'as jamais fantasmé en voyant son engin au jacuzzi.
Je rougis car il est vrai que cette idée m’a aussi traversé l’esprit, je l'ai eu comme elles sûrement. Mais je ne peux pas désirer mon frère adoptif comme ça sur commande, ce n'est pas pour moi ce genre de truc qu’on appelle l’inceste.
-Arrête de te voiler la face, s’emporte Rose. Tu as admis qu'avec Corentin c'était le cul le plus important, alors pourquoi pas avec Narcisse ?
-Eh arrêter d'insister, c'est gênant à la fin, comment pouvez-vous accepter ça ?
-Tu dis ça parce que tu n'as pas vu la marchandise. Rose, va chercher Narcisse, ordonne Margo.
Ils reviennent tous les deux et ces deux cinglées ont tôt fait de le mettre à poil.
-Oui je vois, je constate, il est comme d'habitude et ne bande pas, ça ne sert à rien.
- Ça on va vite l’arranger rétorque Margo. C'est pas si compliqué.
Elle se dessapent elles aussi montrant rapidement leurs seins et se caressent comme des gouines. Je ne sais plus où me mettre mais constate un frémissement au bas ventre de Narcisse.
J’essaie de résister mais une petite voix voudrait que les choses dégénèrent. Je vois naître son érection sans pour autant qu'il ne se touche. Sa bite s’affermie, grossit, grandit, et se redresse alors prenant une forme courbe vers le haut.
-Alors Violette ! On ne t'avait pas menti, lance Margo en s’approchant alors de lui et le branlant avec application tout de suite rejointe par Rose. J'assiste à cette branlette avec leur main droite posée sur cette hampe majestueuse. Son chibre est maintenant tendu au maximum quand elles relâchent la bête pour me la faire admirer. J'ai devant mes yeux ébahis la plus grosse queue qu'il m'ait été donné de voir en 3D.
Mon regard ne peut s’écarter de son bas-ventre imberbe d’où jaillit un membre qui ne peut me laisser de glace. Bien que j’aie un peu honte qu'il s'exhibe de la sorte, je dois avouer que je ne peux résister à cet appel, peu importe où cette folie va me mener.
-Tu as dit que tu voulais faire l'amour avec un homme qui te désire, as-tu envie d'aller plus loin ?
Je ne sais plus quoi penser. Elles ont vraiment l'art de me mettre dans des situations pas possibles. J'ai encore quelques pensées interdites mais comment résister à un tel appel ?
-Tu as raison Margo, mais jamais je n'aurais cru que la verge de Narcisse ce serait autant allongée en érection. C’est devenu un véritable monstre…
-Ecoute violette, dit franchement Margo. Sois tu admets maintenant que tu as envie de cette belle queue, et tes yeux en crèvent d'envie, sois tu t'en vas dans ta chambre et Rose et moi nous allons nous faire baiser toute la nuit pendant que toi, tu n'auras que ton gode pour te consoler, à toi de voir…
Au point où j’en suis… Rose me pousse, se saisit de ma main, me force à saisir son engin et commence des mouvements de poignet. Narcisse ronronne de satisfaction en voyant sa dernière « sœur » passer du mauvais côté de la force.
-Allez vas-y franchement Violette ! n'aie pas peur, il n’est pas en sucre et adore ça ! M’encourage Margo.
A suivre… Violette.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Elle aime les belles tiges
Un bouquet de fleurs.
une sacrée cueillette
Il va effeuiller la violette.
Je n'en doute pas une seconde
Va-t-elle aller plus loin ? On dirait bien.