Le réveil d'un autiste, Violette 4
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2023 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
Le réveil d'un autiste, Violette 4
Quelle famille !
Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie.
Violette.
Malgré sa précédente jouissance il ne débande pas. Arrive le moment que je redoute car je suis assez étroite, il va me prendre… Je suis sur le dos et il se couche sur moi, écarte mes jambes et vient poser l’extrémité de sa bite juste à l'entrée de ma grotte. Il commence à entrer le bout de son gland, il me fait un peu mal et je le lui dis. Narcisse sait maintenant que son sabre dépasse largement les normes habituelles, il fait bien six à sept centimètres de plus que celui de Corentin, mais c’est surtout son diamètre qui me fait le plus peur. Mais il tient absolument à baiser la dernière cousine qui manque à sa collection. Heureusement que je suis toujours très excitée quand il force un peu plus. Ma chatte est toujours aussi trempée et ça l'aide beaucoup quand il s’enfonce un peu plus loin et je sens son gland mafflu passer entièrement mes petites lèvres. Je serre les dents sur ma lèvre inférieure mais il stoppe sa progression et se retire lentement. Je grogne de frustration et me cambre pour rechercher le contact.
La suite :
Narcisse frotte son énorme gland tout le long de ma vulve, fait deux aller/retour avant de me pénétrer à nouveau s’arrêtant juste après mes petites lèvres, cherchant mon approbation. Quand il comprend que je n'attends plus que ça, il continue sa pénétration avec une extrême lenteur, me faisant gémir d'impatience. Alors il replonge sa bite un peu plus profondément et sa forme courbée frotte le haut de mon vagin, juste sur mon point G puis ressentant que la grosseur de son appendice malgré mon abondante lubrification a un certain mal à entrer il ne veut pas forcer et suspend sa pénétration.
Je sens mon ventre s’embraser, ma fontaine de plaisir est à peine emplie de quelques centimètres d'un sexe monstrueux. J'écarte de plus en plus les jambes, me tortillant pour essayer de le faire accélérer la pénétration en faisant jouer mes muscles internes pour pouvoir l'accepter en moi mais lui se contente uniquement que de l’entrée de mon tabernacle déclenchant en moi une onde inconnue de plaisir. Oh bordel c'est trop bon je ne vais pas tarder à venir, je n’ai jamais ressenti ça !!!
Je me sens défaillir, le repousse quand je sens un orgasme monstrueux me broyer les tripes et je me mets à pisser la cyprine comme le jet d’eau du lac de Genève, je ne peux plus me retenir et des jets d’une puissance folle jaillissent de ma chatte à plus d’un mètre de hauteur.
-Oh putain regarde Rose, s’émerveille Margo, elle squirte, elle squirte !!! On n’a pas un phénomène dans notre quatuor, mais deux ! Alors, ça t'a plu petite perverse. Oh la vache c'était super, vous êtes incroyables !
Je suis comme anesthésiée après ce qui vient de m’arriver, je sais que je mouille beaucoup mais Corentin n’a jamais réussi à m’amener à un tel niveau de jouissance. Je n’ai pas le temps de me remettre que Narcisse revient à l’attaque et cette fois il ne se contente plus de l’entrée. Il se plaque contre moi, son énorme rouleau de chair bandée au maximum s'insinue entre mes jambes, se frotte doucement contre la fente de ma vulve pour trouver le chemin. J’enserre son sexe de ma main qui est loin d’en faire le tour. Mon cœur s'emballe à nouveau, estimant au toucher que sa matraque doit faire plus de six centimètres de diamètre, accroissant mon désir et ma peur. J'ai toujours fantasmé sur ce genre de sexe sans jamais en connaître. Son gland me chatouille le clitoris, augmentant mon envie de me voir pénétrer. Ma respiration s'accélère, le désir se fait de plus en plus fort l’emportant sur la peur. Ma main dirige cette branche d’arbre tordue à l'intérieur de mon vagin abondamment lubrifié. Je regarde ce pieu qui s'enfonce dans mon vagin, me demandant vu sa grosseur et sa longueur si je vais pouvoir le recevoir au plus profond de ma chatte. Je le désire ardemment, essayant de l’aider à faire pénétrer son rostre un peu plus profondément. Lui, sans se presser, pousse son bassin tandis que sa main droite me triture un sein au bout dressé, puis l'abandonnant pour venir frotter mon petit bouton rose pour détourner mon attention quand il plonge son sabre au plus profond de mes chairs, me faisant trembler d’extase.
Il pousse sa queue en moi beaucoup plus facilement que je ne le croyais, me murmurant à mon oreille :
- Ça va Violette ? Je ne te fais pas trop mal ? Je n’ai jamais été aussi serré avec tes sœurs. Tu aimes ma grosse bite ?
Je ne peux répondre que par : « oooohh ahhhhh ! c’est vrai que tu es vraiment gros mais j’aime quand tu me défonces.
Que n’ai-je dis là ? Il prend ça comme une supplique et me prend à la hussarde, je dérouille salement quand son gland bute avec force au plus profondément de moi. C’est à ce moment qu’un nouvel orgasme me bouleverse, noyant son marteau-pilon infatigable. Je tremble et connait encore deux fois le plaisir, empalée sur ce poteau. On dirait que ça le conforte encore plus et il ne ralentit pas, devenant encore plus excité.
Voyant ça, Rose reprend la parole et ordonne à Narcisse.
-Elle est OUT, tu peux la remplir.
Narcisse accélère encore le rythme pour pouvoir jouir à nouveau. Je sens pulser sa lance, annonçant qu’il va m’inonder. Je sens son sperme chaud se répandre au plus profond de mon vagin quand il se retire avec précipitation pour laisser vivre son chibre qui monte et baisse, répandant un nombre encore conséquent de jets de foutre.
Je suis ébahie de constater que malgré son éjaculation précédente, le réservoir était loin d'être à sec. J'ai le ventre et jusqu’aux seins tavelés de taches et de trainées blanchâtres.
Il se laisse enfin tomber sur le lit à côté de moi, nous sommes sur les rotules mais deux charognards se jettent sur nous pour effacer avec leur langue et leur bouche toute trace de sperme de mon corps et de son engin qui débande enfin.
Nous prenons ensuite une douche réparatrice. Mais cette petite vicieuse de Rose échafaude un plan pour demain.
-Ça va être acrobatique et je vais le filmer pour l’envoyer à toutes mes copines…
Nous nous retrouvons donc le lendemain, les « quadruplés » au complet pour assouvir le nouveau fantasme de Rose. Elle nous explique ce qu'elle attend de nous.
-Voilà, ce que je veux, c'est que Narcisse s’appuie sur la commode, et toi Violette qui est la plus légère tu vas monter dessus le meuble et t'asseoir sur les épaules de Narcisse pour qu'il te broute le minou, toi Margo tu vas tirer le deuxième tiroir pour y poser tes pieds et tu vas t'embrocher sur le chibre du Frérot. Pendant ce temps, moi je lui boufferai les couilles, mais ce n'est pas fini. je planterai dans vos culs ces deux godes. Toi Margo tu en prendras l'extrémité entre tes dents et je ferai de même pour toi. Pour compléter le tableau, j'aurai fait de même pour moi avec un gode double.
Elle est complètement folle. Mais comme Narcisse et Margo sont partant, je suis coincée et accepte de relever le défi.
Comme à son habitude Narcisse se met à bander comme un bouc et va donc s'appuyer sur la commode. Je mets une chaise à côté pour pouvoir monter dessus et passe une jambe autour de sa tête pour m'asseoir sur ses épaules et lui donne à dévorer ma foufoune. Je suis à peine installée que Margo faisant l'équilibriste se place juste en dessous de moi, les pieds sur le tiroir du bas et les mains agrippées aux bras de Narcisse pour se planter sur son sabre que dirige d'une main habile Rose. Elle ne perd pas une seconde et nous plante dans le cul des godes largement lubrifiés, heureusement elle en a choisi des pas trop épais.
C'est moi qui ai le moins de choses à faire, mes mains derrière la nuque de mon cousin et je vois nos profils dans la glace de l'armoire. Margo a pris entre ses dents l'extrémité du gode planté dans mon cul et à chaque fois qu'elle tressaute sur la queue de Narcisse qui donne des coups de reins et fait pénétrer dans mon anus ce morceau de silicone heureusement pas trop gros. De son côté, Rose joue de ses deux options, dévorant les boules de Narcisse ou alors serrant les mâchoires sur le jouet planté entre les fesses de Margo pour bien la faire profiter de la double pénétration.
A chaque fois que l'une d'entre nous arrive à l'orgasme, elle en prévient les autres et nous changeons de place pour un nouveau tour de manège. Bien qu'il soit appuyé sur la commode, c'est Narcisse qui supporte le plus de poids et de fatigue. Mais dans un ultime baroud d'honneur, il se redresse ne prenant plus appui sur la commode et se retrouve avec deux filles suspendues à lui, la troisième le secondant quand même un peu pour alléger le poids de celle qui est empalée sur sa poutre. Mais il ne peut tenir que quelques minutes cet exercice de bête à trois dos.
Il se décharge enfin des deux corps suspendus à lui et nous nous mettons toutes à genoux devant lui pour le branler à trois mains.
-Allez éjacule pour nous ! Le supplie Margo.
Comme s'il n'attendait que ça, il repousse nos mains pour mettre la sienne sur sa verge et la branle avec vigueur. Nous assistons à nouveau à une éruption monstrueuse de sperme qui atterrit alternativement sur chacune d'entre nous, nous crépissant le visage et les cheveux d’un foutre épais et copieux. Un cas d’école, mon frangin, ou presque !
A suivre… Violette.
Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie.
Violette.
Malgré sa précédente jouissance il ne débande pas. Arrive le moment que je redoute car je suis assez étroite, il va me prendre… Je suis sur le dos et il se couche sur moi, écarte mes jambes et vient poser l’extrémité de sa bite juste à l'entrée de ma grotte. Il commence à entrer le bout de son gland, il me fait un peu mal et je le lui dis. Narcisse sait maintenant que son sabre dépasse largement les normes habituelles, il fait bien six à sept centimètres de plus que celui de Corentin, mais c’est surtout son diamètre qui me fait le plus peur. Mais il tient absolument à baiser la dernière cousine qui manque à sa collection. Heureusement que je suis toujours très excitée quand il force un peu plus. Ma chatte est toujours aussi trempée et ça l'aide beaucoup quand il s’enfonce un peu plus loin et je sens son gland mafflu passer entièrement mes petites lèvres. Je serre les dents sur ma lèvre inférieure mais il stoppe sa progression et se retire lentement. Je grogne de frustration et me cambre pour rechercher le contact.
La suite :
Narcisse frotte son énorme gland tout le long de ma vulve, fait deux aller/retour avant de me pénétrer à nouveau s’arrêtant juste après mes petites lèvres, cherchant mon approbation. Quand il comprend que je n'attends plus que ça, il continue sa pénétration avec une extrême lenteur, me faisant gémir d'impatience. Alors il replonge sa bite un peu plus profondément et sa forme courbée frotte le haut de mon vagin, juste sur mon point G puis ressentant que la grosseur de son appendice malgré mon abondante lubrification a un certain mal à entrer il ne veut pas forcer et suspend sa pénétration.
Je sens mon ventre s’embraser, ma fontaine de plaisir est à peine emplie de quelques centimètres d'un sexe monstrueux. J'écarte de plus en plus les jambes, me tortillant pour essayer de le faire accélérer la pénétration en faisant jouer mes muscles internes pour pouvoir l'accepter en moi mais lui se contente uniquement que de l’entrée de mon tabernacle déclenchant en moi une onde inconnue de plaisir. Oh bordel c'est trop bon je ne vais pas tarder à venir, je n’ai jamais ressenti ça !!!
Je me sens défaillir, le repousse quand je sens un orgasme monstrueux me broyer les tripes et je me mets à pisser la cyprine comme le jet d’eau du lac de Genève, je ne peux plus me retenir et des jets d’une puissance folle jaillissent de ma chatte à plus d’un mètre de hauteur.
-Oh putain regarde Rose, s’émerveille Margo, elle squirte, elle squirte !!! On n’a pas un phénomène dans notre quatuor, mais deux ! Alors, ça t'a plu petite perverse. Oh la vache c'était super, vous êtes incroyables !
Je suis comme anesthésiée après ce qui vient de m’arriver, je sais que je mouille beaucoup mais Corentin n’a jamais réussi à m’amener à un tel niveau de jouissance. Je n’ai pas le temps de me remettre que Narcisse revient à l’attaque et cette fois il ne se contente plus de l’entrée. Il se plaque contre moi, son énorme rouleau de chair bandée au maximum s'insinue entre mes jambes, se frotte doucement contre la fente de ma vulve pour trouver le chemin. J’enserre son sexe de ma main qui est loin d’en faire le tour. Mon cœur s'emballe à nouveau, estimant au toucher que sa matraque doit faire plus de six centimètres de diamètre, accroissant mon désir et ma peur. J'ai toujours fantasmé sur ce genre de sexe sans jamais en connaître. Son gland me chatouille le clitoris, augmentant mon envie de me voir pénétrer. Ma respiration s'accélère, le désir se fait de plus en plus fort l’emportant sur la peur. Ma main dirige cette branche d’arbre tordue à l'intérieur de mon vagin abondamment lubrifié. Je regarde ce pieu qui s'enfonce dans mon vagin, me demandant vu sa grosseur et sa longueur si je vais pouvoir le recevoir au plus profond de ma chatte. Je le désire ardemment, essayant de l’aider à faire pénétrer son rostre un peu plus profondément. Lui, sans se presser, pousse son bassin tandis que sa main droite me triture un sein au bout dressé, puis l'abandonnant pour venir frotter mon petit bouton rose pour détourner mon attention quand il plonge son sabre au plus profond de mes chairs, me faisant trembler d’extase.
Il pousse sa queue en moi beaucoup plus facilement que je ne le croyais, me murmurant à mon oreille :
- Ça va Violette ? Je ne te fais pas trop mal ? Je n’ai jamais été aussi serré avec tes sœurs. Tu aimes ma grosse bite ?
Je ne peux répondre que par : « oooohh ahhhhh ! c’est vrai que tu es vraiment gros mais j’aime quand tu me défonces.
Que n’ai-je dis là ? Il prend ça comme une supplique et me prend à la hussarde, je dérouille salement quand son gland bute avec force au plus profondément de moi. C’est à ce moment qu’un nouvel orgasme me bouleverse, noyant son marteau-pilon infatigable. Je tremble et connait encore deux fois le plaisir, empalée sur ce poteau. On dirait que ça le conforte encore plus et il ne ralentit pas, devenant encore plus excité.
Voyant ça, Rose reprend la parole et ordonne à Narcisse.
-Elle est OUT, tu peux la remplir.
Narcisse accélère encore le rythme pour pouvoir jouir à nouveau. Je sens pulser sa lance, annonçant qu’il va m’inonder. Je sens son sperme chaud se répandre au plus profond de mon vagin quand il se retire avec précipitation pour laisser vivre son chibre qui monte et baisse, répandant un nombre encore conséquent de jets de foutre.
Je suis ébahie de constater que malgré son éjaculation précédente, le réservoir était loin d'être à sec. J'ai le ventre et jusqu’aux seins tavelés de taches et de trainées blanchâtres.
Il se laisse enfin tomber sur le lit à côté de moi, nous sommes sur les rotules mais deux charognards se jettent sur nous pour effacer avec leur langue et leur bouche toute trace de sperme de mon corps et de son engin qui débande enfin.
Nous prenons ensuite une douche réparatrice. Mais cette petite vicieuse de Rose échafaude un plan pour demain.
-Ça va être acrobatique et je vais le filmer pour l’envoyer à toutes mes copines…
Nous nous retrouvons donc le lendemain, les « quadruplés » au complet pour assouvir le nouveau fantasme de Rose. Elle nous explique ce qu'elle attend de nous.
-Voilà, ce que je veux, c'est que Narcisse s’appuie sur la commode, et toi Violette qui est la plus légère tu vas monter dessus le meuble et t'asseoir sur les épaules de Narcisse pour qu'il te broute le minou, toi Margo tu vas tirer le deuxième tiroir pour y poser tes pieds et tu vas t'embrocher sur le chibre du Frérot. Pendant ce temps, moi je lui boufferai les couilles, mais ce n'est pas fini. je planterai dans vos culs ces deux godes. Toi Margo tu en prendras l'extrémité entre tes dents et je ferai de même pour toi. Pour compléter le tableau, j'aurai fait de même pour moi avec un gode double.
Elle est complètement folle. Mais comme Narcisse et Margo sont partant, je suis coincée et accepte de relever le défi.
Comme à son habitude Narcisse se met à bander comme un bouc et va donc s'appuyer sur la commode. Je mets une chaise à côté pour pouvoir monter dessus et passe une jambe autour de sa tête pour m'asseoir sur ses épaules et lui donne à dévorer ma foufoune. Je suis à peine installée que Margo faisant l'équilibriste se place juste en dessous de moi, les pieds sur le tiroir du bas et les mains agrippées aux bras de Narcisse pour se planter sur son sabre que dirige d'une main habile Rose. Elle ne perd pas une seconde et nous plante dans le cul des godes largement lubrifiés, heureusement elle en a choisi des pas trop épais.
C'est moi qui ai le moins de choses à faire, mes mains derrière la nuque de mon cousin et je vois nos profils dans la glace de l'armoire. Margo a pris entre ses dents l'extrémité du gode planté dans mon cul et à chaque fois qu'elle tressaute sur la queue de Narcisse qui donne des coups de reins et fait pénétrer dans mon anus ce morceau de silicone heureusement pas trop gros. De son côté, Rose joue de ses deux options, dévorant les boules de Narcisse ou alors serrant les mâchoires sur le jouet planté entre les fesses de Margo pour bien la faire profiter de la double pénétration.
A chaque fois que l'une d'entre nous arrive à l'orgasme, elle en prévient les autres et nous changeons de place pour un nouveau tour de manège. Bien qu'il soit appuyé sur la commode, c'est Narcisse qui supporte le plus de poids et de fatigue. Mais dans un ultime baroud d'honneur, il se redresse ne prenant plus appui sur la commode et se retrouve avec deux filles suspendues à lui, la troisième le secondant quand même un peu pour alléger le poids de celle qui est empalée sur sa poutre. Mais il ne peut tenir que quelques minutes cet exercice de bête à trois dos.
Il se décharge enfin des deux corps suspendus à lui et nous nous mettons toutes à genoux devant lui pour le branler à trois mains.
-Allez éjacule pour nous ! Le supplie Margo.
Comme s'il n'attendait que ça, il repousse nos mains pour mettre la sienne sur sa verge et la branle avec vigueur. Nous assistons à nouveau à une éruption monstrueuse de sperme qui atterrit alternativement sur chacune d'entre nous, nous crépissant le visage et les cheveux d’un foutre épais et copieux. Un cas d’école, mon frangin, ou presque !
A suivre… Violette.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vivement la suite
super
Mais où va-t-il cherché tout ça ?
Une famille de fous, ou plutôt de folles de belles bites.