Le réveil d'un autiste, Violette 4bis - histoire érotique

Une pine, cinq chattes.

Petite présentation des protagonistes :
Le père : Hervé SABRE, bloqué en Chine. 17 mars, 3 mai
La mère : Tatiana, d’origine finlandaise.
Les filles issues d’un premier mariage de Tatiana avec Ulrich, suédois décédé dans un accident de voiture.
Audrey, 26 ans
Barbara, 24 ans
Les triplées : 18 ans
-Rose
-Marguerite/Margo
-Violette
Narcisse, le cousin recueilli après le décès en couche de la sœur d’Hervé.
La préparatrice en pharmacie.


Violette.

Il se décharge enfin des deux corps suspendus à lui et nous nous mettons toutes à genoux devant lui pour le branler à trois mains.
-Allez éjacule pour nous ! Le supplie Margo.

Comme s'il n'attendait que ça, il repousse nos mains pour mettre la sienne sur sa verge et la branle avec vigueur. Nous assistons à nouveau à une éruption monstrueuse de sperme qui atterrit alternativement sur chacune d'entre nous, nous crépissant le visage et les cheveux d’un foutre épais et copieux. Un cas d’école, mon frangin !

La suite :
Les jours suivant, il doit se partager entre nous cinq mais le dernier jour du confinement c’est l’apothéose. Narcisse a fait ceinture pendant deux jours pour charger son canon au maximum et être au top. Nous nous retrouvons pour la dernière fois au jacuzzi, nous sommes toutes dans l’eau autour de lui, comme les filles du harem autour de son sultan.
Audrey lui demande de s’asseoir sur le bord du bassin, il est déjà prêt, le sabre au clair.
Puis elle me demande, doutant des assertions de Rose.
-A toi Violette ! Il parait que tu es une « avaleuse de sabre », et de ce côté-là Narcisse est bien armé.

Je ne me dégonfle pas, me déplace dans le jacuzzi pour être entre les jambes de mon frère d’adoption. Je prends en main sa lame par la garde, ou plutôt à la base de sa hampe, enduis son gland d'une bonne dose de salive, puis avale la moitié de son chibre. Je reviens ensuite lécher son gland, prends une grande respiration et replonge sur son arme. Tel un boa ouvrant sa gueule, mes lèvres avancent centimètres après centimètres le long de sa hampe jusqu'à ce que mon nez soit chatouillé par les quelques poils pubiens qui lui reste. L’effort est intense car le diamètre de son chibre n’a rien à voir avec celui de Corentin. Fière de cet exploit, j'en profite jusqu'à ce que mes sœurs veuillent prendre ma place.
L'une après l'autre elles s’essaient à l'exercice mais aucune n’y arrive. Obstinée, Barbara leur demande de s'étendre sur le dos tout autour du jacuzzi en laissant pencher en arrière leur tête au-dessus de l'eau puis ordonne à Narcisse de retenter l'opération.
Je leur conseille de prendre une grande respiration et de déglutir quand elles sentiront son gland tout au fond de leur gorge. Narcisse s'occupe d'elles à tour de rôle. Il les agrippe fermement par les seins, plonge son sexe entre leurs mâchoires ouvertes au maximum, avance son bassin jusqu'à sentir la butée au fond de leur gorge et donne un coup de reins lent et puissant, ne tenant à peine compte de leur réaction. Je vois leur cou se gonfler quand l’énorme pine déforme leur trachée. Certaines ne peuvent résister que quelques secondes avant de le repousser, crachant tripes et boyaux, mais certaines comme Audrey et Barbara arrivent à avaler la totalité du sabre de Narcisse, leur nez enfoncé dans ses couilles.

Après cet « amuse-bouche », nous passons aux choses sérieuses. L'une après l'autre, nous faisons un tour de rôle une chevauchée fantastique sur notre destrier. Aucune de nous ne peut résister à un tel étalon et c'est orgasme après orgasme sur nos gémissements que nous arrivons au plaisir l'une après l'autre. Le plus fabuleux, c'est que Narcisse s'arrange pour jouir cinq fois de suite, une fois dans chacune d'entre nous. Mais malgré cet exploit, il rebande toujours. C'est la première fois qu'il parle depuis près d'une heure et sa demande me fait peur.
-J'ai déjà pris le cul d’Audrey et de Barbara, mais pas celui des triplées, Rose, Margo et Violette, si ça vous tente, je vais vous enculer les unes après les autres.

Comme Rose et Margot acceptent, malgré mon appréhension, je ne me vois pas être la seule à refuser. Ça ne passera pas tout seul car c'est une chose que j'ai toujours refusé, même à Corentin. Nous savons à quoi nous attendre maintenant mais ça n'a pas l'air de les effrayer, elles poursuivent comme si sa proposition était des plus banales. Tant pis pour moi, il faut que j’arrête de me prendre la tête.

L’eau est chaude et relaxante. Des soubresauts agitent le postérieur de ma sœur, Narcisse insiste sur l'objet de sa prospection, agréablement surpris de découvrir combien les abords du sphincter sont humides, appuyant une phalange contre l'orifice anal. Je vois son doigt s'enfoncer entièrement dans l'anus, comme aspiré.
Je demeure stupéfaite. Jamais je n'aurais imaginé que ce soit si facile d'enculer une femme. La réaction à cette intrusion est immédiate. Je vois Rose les pieds au fond du jacuzzi penchée sur le bord du bassin, lui debout derrière elle, introduisant deux doigts dans son rectum pour la préparer.
- Humm, c'est bon...

Mais cette félicité sexuelle qui envahit sournoisement Rose l'amène à désirer une autre pénétration, plus forte, plus puissante, hors nature comme un accouplement pervers.
Impatiente d'atteindre enfin cette jouissance qu'elle désire dans ses entrailles, elle sent avec un plaisir intense mêlée d’appréhension le gland congestionné frictionner les parois de son anus. Narcisse retire ses doigts d'entre les fesses, abandonnant son exploration anale.
La bite est posée sur l’anneau fripé. Il le mouille avec sa salive et commence à la pénétrer.
Je ne sais pas si elle aime la sodomie qui apporte des plaisirs différents mais là je pense qu'il va faire éclater son cul. Pourtant il prend ses précautions et reste très doux. Elle se crispe au début puis se détend rapidement. Il doit lui faire légèrement mal au début car je la vois grimacer mais quand il me la lui met à fond, son visage se détend. Narcisse va-et-vient dans
son cul jusqu’à ce qu’elle arrive aux plaisir plusieurs fois. Quand il ressort enfin de ses entrailles, elle est complètement détruite mais lui ne débande pas et se tournant vers Margo :
-C’est à ton tour.
Elle prend la place de Rose et la même scène se reproduit mais on dirait que pour elle, ce n’est pas une découverte. Mais elle le complimente.
-Frérot, j’en ai déjà connu d’autres dans mes fesses, mais un défonce-cul comme le tien, jamais !
-Merci Margo, c’est à toi Violette. Tu vois comme je bande pour toi ? Regarde-la tendue au maximum, elle va bien s’occuper de toi.

Toujours sabre au clair, il s’approche de moi et me met en position sur la margelle. En effet sa queue est toujours aussi grosse, vibrante d’excitation. Son gland aussi énorme déformé par le frein qui a de la peine à le retenir. Je réalise que son monstre démesuré pointe entre mes fesses et crains qu’il me déchire avec sa poutre. Il m’empale avec lenteur, forçant les muscles de mon anneau à se relâcher pour s’introduire dans mon cul. Une douleur terrible me vrille le corps me faisant instinctivement resserrer encore plus mes muscles anaux. Il attend que je me détende un peu du cul et je sens ma rosace fripée se déchirer en deux par la grosseur de sa bite. Heureusement ce n’est qu’une sensation. Il perce mon cul et d’un grand coup de reins plonge jusqu’à la garde son sabre au plus profond de mes entrailles sous mes cris de truie qu’on égorge.
Il m’a fallu un bout de temps avant d’apprécier une telle sodomie mais il pourra maintenant affirmer qu’il connait tous les trous de ses cousines, le salaud !

C’est ainsi qu’un garçon autiste qui n’était jusqu’à présent pas intéressé par le sexe est devenu le temps du confinement un étalon exceptionnel, et sûrement réservé qu’à sa famille, bien que… Il a déjà fait une exception à la règle avec la belle pharmacienne…

A suivre… Narcisse.