Le Roy 02 Les commerçants
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Roy 02 Les commerçants
Le Roy 02
Les commerçants
Toutes les semaines la grande place qu'il y avait juste à la périphérie du village se remplissait. C'était un rendez-vous de tous les marchands des environs et une fois par mois c'était les longues caravanes qui venaient de loin.
Les marchands de notre province venaient s'approvisionner. Un accort avait été passé avec le village, nous assurions leur sécurité et en échange nous avions des prix, une tunique par exemple nous était vendue à prix de gros. Et je vous jure que ces commerçants savait augmenter leur marge … Pour les habitants les prix étaient vraiment intéressants.
Si les commerçants étaient habillés, question de prestige, un grand nombre d'hommes du village y venaient dans le plus simple appareil. Surtout s'ils avaient envie d'acheter un vêtement, ils venaient nus et repartaient habillés. On avait un côté pratique dans le village.
Et les enfants qui couraient partout, eux étaient toujours nus. Personne ne faisait attention à eux. En plus ils ne pouvaient pas jouer les voleurs, en cette tenue il leur aurait été difficile de cacher un larcin sous leur tunique, vu qu'ils n'en avaient pas.
Je faisais comme beaucoup, je n'avais sur moi qu'une petite bourse qui pendait autour de mon cou. Je ne voulais rien de particulier mais s'il me venait l'idée de m'acheter un ceinturon par exemple, je repartirais avec autour de ma taille. Vous savez, un ceinturon, même juste un ceinturon, ça habille !
Souvent je préférais garder un étui pénien quand il y avait foule. Et j'aurais mieux fait de le porter ce jour là. Quelques semaine plus tôt j'aurais bien pu me prendre un pot de chambre sur la tête … Il y avait foule, des femmes, toutes plus belles les une que les autres. Il y en avait une en particulier qui vendait des bijoux. Elle en avait mis plusieurs pour bien les montrer. Elle avait en particulier deux petits pendentifs accrochés au bout de ses seins. Elle avait les seins nus, elle avait de très beaux seins, qui se tenaient bien, ils étaient bien fermes et pointaient vers le haut.
J'ai alors eu une bouffée de chaleur en moi et brusquement je me suis mis à bander. Ce n'est certainement pas avec ma petite bourse que j'allais cacher ma réaction. Je tentais tant bien que mal de dissimuler mon malaise avec une main, mais j'avais comme une difficulté de dissimuler mes vingt trois centimètres sur plus de six, juste avec la main … Même avec les deux d'ailleurs. Ma queue se redressait avec force, mon gland brillait et on m'avait remarqué. Déjà une femme probablement prude me faisait remarquer et je ne pouvais pas échapper aux regards admiratif des autres passantes et le regard jaloux de certains passants.
J'étais embarrassé, j’oscillais entre une certaine fierté et une certaine gêne, mais je me rappelais surtout de ce qui était arrivé à mon frère. Et justement c'est lui qui arrivait vers moi avec sa jeune femme. Elle avait pris du ventre, ils ne m'avaient rien dit les cachottiers mais là je devinais facilement que la famille allait s'agrandir.
Inridia, ma belle sœur éclatait de rire en me voyant. Josépha, mon frère s'approchait en rigolant lui aussi.
– Mais qu'est ce qui t'arrive mon pauvre Flèsh. J'ai vu une dame qui surveille tout le monde avec un pot de chambre qui sent bien mauvais à la main.
Ce n'était pas vrai mais il m'a fait peur. Ça m'a un peu calmer mais pas tellement.
– Bien on te laisse, des fois qu'il t'arriverait un malheur. Rajoutait-il en se pinçant le nez.
– Tu devrais aller voir le marchand, un peut plus loin, celui qui vend des poignards et des épées … Rajoutais Inridia.
– Mais enfin Inridia, c'est une solution un peu radicale.
– Mais non Flèsh, rajoutais mon frère, mais tu sais que moi aussi j'aime bien me balader à poil mais Inridia n'aime pas que les autres femme puissent m'admirer, il y avait beaucoup de fille qui me tournent autour …
– Il faut aussi reconnaître que dans la famille vous êtes bien équipés pour plaire au filles. Rajoutait Inridia en serrant le bras de mon frère.
Je les regardais sans trop comprendre, j'avais comme l'impression qu'ils me cachaient quelques chose. Ma belle sœur finissait par soulever la tunique de mon frère. Je n'en revenais pas, il portais un de ces dispositif de chasteté. Avec il ne pouvait pas bander, ça il n'y avait aucune chance. En même temps elle ouvrait le haut de sa tunique, sa poitrine avait gonflée et elle n'avait jamais été aussi belle, autour d'une chaîne elle avait la clé.
C'était pas très malin de sa part, je commençais à me calmer et je commençais à débander et là, c'était reparti. C'est donc avec une érection terrible que j'arrivais chez le marchand d'épées.
Il me recevait avec un large sourire puis voyant mon état c'est en rigolant qu'il m'invitait à passer dans un petit recoin à l'abri des regards.
– Alors que vous arrive-t-il mon brave monsieur ?
– Ce n'est pas à vos épée ou à vos poignards que j'en veux. Lui répondais-je. Je savais qu'il existait un dispositif pour nous protéger de ce genre de petit problème.
– Petit ! Pas si petit que ça ! Répondait le marchand. Tu chausses combien mon garçon ?
– Bein ! Heu ! Grosse taille je suppose. Je ne savais pas trop quoi répondre.
–Mais il faut aussi débander mon garçon pour pouvoir enfiler le dispositif.
– Je sais pas si …
– Je ne serais pas un bon marchand si je n'avais pas tout prévu.
Il se retournait et appelait quelqu'un. Pendant ce temps là je ne savais plus ou me mettre. En temps normal ça ne me dérangeait pas de me montrer à poil mais là, je bandais et je ne parvenais pas à me calmer, ensuite j'étais dans la tente d'un commerçant que je ne connaissais pas et juste à côté il y avait plein de personnes que je connaissais.
Un jeune homme beau comme un dieu arrivait, il était entièrement nu. Mais il était tellement beau, je remarquais d'abord sa musculature, son regard franc et directe, son sourire joyeux et … sa cage de chasteté …
– Je te présente Jaffa, c'est mon fils, mais comme c'est un branleur je lui ai mis ce truc. Il a une queue comme la tienne aussi je peux te garantir que j'ai la taille. Bon je te laisse faire Jaffa, tu t'occupes du monsieur, il va nous acheter une cage à bite comme la tienne.
Là j'étais complètement perdu, je ne contrôlais plus rien, je le laissais faire, je me laissais faire. Il se mettait à genoux devant moi et commençait à me masturber. Je bandais.
Il continuait en me léchant le gland, sa langue était douce et chaude, chaude et humide. Avec la main il me caressait la bite sur toute sa longueur. Il semblait y prendre beaucoup de plaisir. Et je ne vous dis pas si lui prenait du plaisir, il ne le gardait pas pour lui. Il m'en donnait, il ne lui fallait que quelques instant pour que je transpire. Là c'était fini, s'il jamais il m'avait laissé tombé là, dans l'état ou j'étais je crois que je ne m'en serais pas remis et que je n'aurais jamais réussi à me calmer, j'aurais bandé et bandé encore.
Il s'en sortait encore mieux que mon pote Artémi, à chaque fois qu'il approchait la tête, son nez s'écrasait pendant de longues secondes contre mon ventre. Et pendant de longues secondes mon gland se faisait masser au fond de sa gorge.
Il arrivait rapidement à me détendre, j'étais tout mou. La seule chose qui ne ramollissait pas justement c'était le truc qu'on voulait voir ramollir. De ce côté je bandais encore plus ferme et c'était rudement bon. Je finissais par lui passer la main sur les cheveux, c'était amusant, il les avait très court et ça faisait comme petite brosse très douche.
Il semblait apprécier et là moi j'oubliais ou j'étais. Au bout d'un moment j'appuyais sur sa tête avec force puis je relâchais, je recommençais aussitôt et je recommençais encore. De plus en plus vite, il finissait par résister et rapidement ça devenait un jeux, il forçait pour relever la tête et moi je forçais en appuyant dessus.
Ma queue était sucée comme jamais, remarquez c'est vrai que c'était très récent cette affaire. Mais c'est vrai aussi que j'y prenais de plus en plus de plaisir. Je sentais l'orgasme monté, j'arrêtais tout.
Il me suivais, il n'appuyait plus son visage contre moi mais me malaxait les couilles et me massait la bite avec force. Pour la bite je connaissais, pour les couilles il m'a fait couiner. A ce moment j'ai tremblé, on ne m'avait jamais fait ça, j'ai bien aimé.
Au bout de quelques minutes il a recommencé à me sucer. Il avait remarqué que me malaxer les couilles me faisait réagir aussi il continuait. Je tremblais, j'avais envie de crier de plaisir mais me souvenant de l'endroit ou j'étais je serrait les dents, je me retenais le plus possible.
– Alors vous allez vous en sortir ? Demandait le marchand en passant la tête à travers le rideau. Après ça j'espère que tu ne vas pas m'acheter qu'un petit truc de rien toi. Me disait-il sur un ton presque menaçant. Ici c'est une maison honnête et mon fils c'est pas une pute.
Il disparaissait de nouveau un client venait d'arriver. Son fils continuait à me sucer et sans me prévenir il me gobait les couilles, une par une il les prenait toutes les deux dans la bouche et continuait à me masturber.
Je tremblais, je gémissais, je tentais de me retenir de juter, j'étais dans l'action et j'avais oublié que tout ça c'était justement pour me permettre de débander. Il tirait sur mes couilles, il ne me faisait pas mal mais il tirait jusqu'à la limite. J'étais en transe. Je tremblais de partout, il laissait échapper une couille puis l'autre et reprenais ma queue en entier dans la gorge.
C'est là que j'ai juté. Mon cœur battait fort, ma respiration était rapide. J'ai juté abondamment, cinq ou six giclées de sperme qu'il a avalé sans broncher. Je me sentais mieux. Quelques instants plus tard j'avais débandé. Je pensais que ça allait durer tout le temps tellement j'étais dur. Mais ce ne sont que des impressions. En fait on finit toujours par se calmer. C'est toujours pareil.
Je me laissais aller, il continuait à me tripoter les couilles puis il s'occupait de ma queue. Je penchais la tête en arrière, c'était très agréable. Ce qu'il me faisait était vraiment très agréable. C'est là que j'ai réagis, je débandais, je n'avais plus besoin de ce truc finalement. Je me disais que comme j'avais un étui pénien je n'avais pas besoin de cage à bite. Je me relevais et Jaffa se relevait en même temps que moi, il avait un sourire satisfait du mec qui a fait du bon boulot.
Je baissais les yeux et je pouvais constater que j'avais un joli dispositif de chasteté sur mon sexe. Le dispositif était parfaitement ajusté, il savait y faire le petit gars. Je n'avais rien senti.
Arrivait le marchand.
– Et bien c'était du boulot, tu ne vas pas me prendre juste le truc au moins, après tout ce travail.
– En fait je n'avais rien prévu …
Je venais de voir le pris du dispositif, il était très cher. Et là je me rendais compte que je n'avais pas assez d'argent. Le drame, il a bien fallu le lui dire.
– Vous pourriez récupérer le dispositif.
– NON MAIS TU TE MOQUES DE MOI !
Je vous passe les noms d'oiseaux qu'il m'a hurlé à la figure.
– Je peux rappeler mon frère, il y a mon frère, il n'est pas loin …
Là encore il a hurlé. '' Tu vas me payer, tu vas me payer ! ''. Vous auriez fait quoi vous à ma place ? Finalement il a fini par me proposer quelque chose.
– Mes dispositifs sont très fiables, alors tu vas le garder mais moi je vais garder les clés !
Mon sang s'est glacé dans mes veines.
– Ensuite tu prépares l'argent je reviens dans deux ou trois mois, et là tu me payes et tu me prends aussi un harnais un ceinturon et un poignard courbe avec son étui.
Je ne savais pas quoi répondre, j'arrivais à peine à bafouiller une réponse, il me laissait partir et au dernier moment il me lançait.
– Tu ne t'imagines pas que je vais en plus te faire un prix. Tu me prépareras sept pièces d'or, si tu payes aujourd'hui ça en fera seulement cinq avec les autres accessoires.
Je suis rentré comme ça chez moi ! J'avais l'air con, j'ai remarqué que les filles craquaient sur les hommes qui portaient ce genre de dispositif. Elles me regardaient avec encore plus d'insistance. Ce qui ne m'avançait pas vraiment !
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Les commerçants
Toutes les semaines la grande place qu'il y avait juste à la périphérie du village se remplissait. C'était un rendez-vous de tous les marchands des environs et une fois par mois c'était les longues caravanes qui venaient de loin.
Les marchands de notre province venaient s'approvisionner. Un accort avait été passé avec le village, nous assurions leur sécurité et en échange nous avions des prix, une tunique par exemple nous était vendue à prix de gros. Et je vous jure que ces commerçants savait augmenter leur marge … Pour les habitants les prix étaient vraiment intéressants.
Si les commerçants étaient habillés, question de prestige, un grand nombre d'hommes du village y venaient dans le plus simple appareil. Surtout s'ils avaient envie d'acheter un vêtement, ils venaient nus et repartaient habillés. On avait un côté pratique dans le village.
Et les enfants qui couraient partout, eux étaient toujours nus. Personne ne faisait attention à eux. En plus ils ne pouvaient pas jouer les voleurs, en cette tenue il leur aurait été difficile de cacher un larcin sous leur tunique, vu qu'ils n'en avaient pas.
Je faisais comme beaucoup, je n'avais sur moi qu'une petite bourse qui pendait autour de mon cou. Je ne voulais rien de particulier mais s'il me venait l'idée de m'acheter un ceinturon par exemple, je repartirais avec autour de ma taille. Vous savez, un ceinturon, même juste un ceinturon, ça habille !
Souvent je préférais garder un étui pénien quand il y avait foule. Et j'aurais mieux fait de le porter ce jour là. Quelques semaine plus tôt j'aurais bien pu me prendre un pot de chambre sur la tête … Il y avait foule, des femmes, toutes plus belles les une que les autres. Il y en avait une en particulier qui vendait des bijoux. Elle en avait mis plusieurs pour bien les montrer. Elle avait en particulier deux petits pendentifs accrochés au bout de ses seins. Elle avait les seins nus, elle avait de très beaux seins, qui se tenaient bien, ils étaient bien fermes et pointaient vers le haut.
J'ai alors eu une bouffée de chaleur en moi et brusquement je me suis mis à bander. Ce n'est certainement pas avec ma petite bourse que j'allais cacher ma réaction. Je tentais tant bien que mal de dissimuler mon malaise avec une main, mais j'avais comme une difficulté de dissimuler mes vingt trois centimètres sur plus de six, juste avec la main … Même avec les deux d'ailleurs. Ma queue se redressait avec force, mon gland brillait et on m'avait remarqué. Déjà une femme probablement prude me faisait remarquer et je ne pouvais pas échapper aux regards admiratif des autres passantes et le regard jaloux de certains passants.
J'étais embarrassé, j’oscillais entre une certaine fierté et une certaine gêne, mais je me rappelais surtout de ce qui était arrivé à mon frère. Et justement c'est lui qui arrivait vers moi avec sa jeune femme. Elle avait pris du ventre, ils ne m'avaient rien dit les cachottiers mais là je devinais facilement que la famille allait s'agrandir.
Inridia, ma belle sœur éclatait de rire en me voyant. Josépha, mon frère s'approchait en rigolant lui aussi.
– Mais qu'est ce qui t'arrive mon pauvre Flèsh. J'ai vu une dame qui surveille tout le monde avec un pot de chambre qui sent bien mauvais à la main.
Ce n'était pas vrai mais il m'a fait peur. Ça m'a un peu calmer mais pas tellement.
– Bien on te laisse, des fois qu'il t'arriverait un malheur. Rajoutait-il en se pinçant le nez.
– Tu devrais aller voir le marchand, un peut plus loin, celui qui vend des poignards et des épées … Rajoutais Inridia.
– Mais enfin Inridia, c'est une solution un peu radicale.
– Mais non Flèsh, rajoutais mon frère, mais tu sais que moi aussi j'aime bien me balader à poil mais Inridia n'aime pas que les autres femme puissent m'admirer, il y avait beaucoup de fille qui me tournent autour …
– Il faut aussi reconnaître que dans la famille vous êtes bien équipés pour plaire au filles. Rajoutait Inridia en serrant le bras de mon frère.
Je les regardais sans trop comprendre, j'avais comme l'impression qu'ils me cachaient quelques chose. Ma belle sœur finissait par soulever la tunique de mon frère. Je n'en revenais pas, il portais un de ces dispositif de chasteté. Avec il ne pouvait pas bander, ça il n'y avait aucune chance. En même temps elle ouvrait le haut de sa tunique, sa poitrine avait gonflée et elle n'avait jamais été aussi belle, autour d'une chaîne elle avait la clé.
C'était pas très malin de sa part, je commençais à me calmer et je commençais à débander et là, c'était reparti. C'est donc avec une érection terrible que j'arrivais chez le marchand d'épées.
Il me recevait avec un large sourire puis voyant mon état c'est en rigolant qu'il m'invitait à passer dans un petit recoin à l'abri des regards.
– Alors que vous arrive-t-il mon brave monsieur ?
– Ce n'est pas à vos épée ou à vos poignards que j'en veux. Lui répondais-je. Je savais qu'il existait un dispositif pour nous protéger de ce genre de petit problème.
– Petit ! Pas si petit que ça ! Répondait le marchand. Tu chausses combien mon garçon ?
– Bein ! Heu ! Grosse taille je suppose. Je ne savais pas trop quoi répondre.
–Mais il faut aussi débander mon garçon pour pouvoir enfiler le dispositif.
– Je sais pas si …
– Je ne serais pas un bon marchand si je n'avais pas tout prévu.
Il se retournait et appelait quelqu'un. Pendant ce temps là je ne savais plus ou me mettre. En temps normal ça ne me dérangeait pas de me montrer à poil mais là, je bandais et je ne parvenais pas à me calmer, ensuite j'étais dans la tente d'un commerçant que je ne connaissais pas et juste à côté il y avait plein de personnes que je connaissais.
Un jeune homme beau comme un dieu arrivait, il était entièrement nu. Mais il était tellement beau, je remarquais d'abord sa musculature, son regard franc et directe, son sourire joyeux et … sa cage de chasteté …
– Je te présente Jaffa, c'est mon fils, mais comme c'est un branleur je lui ai mis ce truc. Il a une queue comme la tienne aussi je peux te garantir que j'ai la taille. Bon je te laisse faire Jaffa, tu t'occupes du monsieur, il va nous acheter une cage à bite comme la tienne.
Là j'étais complètement perdu, je ne contrôlais plus rien, je le laissais faire, je me laissais faire. Il se mettait à genoux devant moi et commençait à me masturber. Je bandais.
Il continuait en me léchant le gland, sa langue était douce et chaude, chaude et humide. Avec la main il me caressait la bite sur toute sa longueur. Il semblait y prendre beaucoup de plaisir. Et je ne vous dis pas si lui prenait du plaisir, il ne le gardait pas pour lui. Il m'en donnait, il ne lui fallait que quelques instant pour que je transpire. Là c'était fini, s'il jamais il m'avait laissé tombé là, dans l'état ou j'étais je crois que je ne m'en serais pas remis et que je n'aurais jamais réussi à me calmer, j'aurais bandé et bandé encore.
Il s'en sortait encore mieux que mon pote Artémi, à chaque fois qu'il approchait la tête, son nez s'écrasait pendant de longues secondes contre mon ventre. Et pendant de longues secondes mon gland se faisait masser au fond de sa gorge.
Il arrivait rapidement à me détendre, j'étais tout mou. La seule chose qui ne ramollissait pas justement c'était le truc qu'on voulait voir ramollir. De ce côté je bandais encore plus ferme et c'était rudement bon. Je finissais par lui passer la main sur les cheveux, c'était amusant, il les avait très court et ça faisait comme petite brosse très douche.
Il semblait apprécier et là moi j'oubliais ou j'étais. Au bout d'un moment j'appuyais sur sa tête avec force puis je relâchais, je recommençais aussitôt et je recommençais encore. De plus en plus vite, il finissait par résister et rapidement ça devenait un jeux, il forçait pour relever la tête et moi je forçais en appuyant dessus.
Ma queue était sucée comme jamais, remarquez c'est vrai que c'était très récent cette affaire. Mais c'est vrai aussi que j'y prenais de plus en plus de plaisir. Je sentais l'orgasme monté, j'arrêtais tout.
Il me suivais, il n'appuyait plus son visage contre moi mais me malaxait les couilles et me massait la bite avec force. Pour la bite je connaissais, pour les couilles il m'a fait couiner. A ce moment j'ai tremblé, on ne m'avait jamais fait ça, j'ai bien aimé.
Au bout de quelques minutes il a recommencé à me sucer. Il avait remarqué que me malaxer les couilles me faisait réagir aussi il continuait. Je tremblais, j'avais envie de crier de plaisir mais me souvenant de l'endroit ou j'étais je serrait les dents, je me retenais le plus possible.
– Alors vous allez vous en sortir ? Demandait le marchand en passant la tête à travers le rideau. Après ça j'espère que tu ne vas pas m'acheter qu'un petit truc de rien toi. Me disait-il sur un ton presque menaçant. Ici c'est une maison honnête et mon fils c'est pas une pute.
Il disparaissait de nouveau un client venait d'arriver. Son fils continuait à me sucer et sans me prévenir il me gobait les couilles, une par une il les prenait toutes les deux dans la bouche et continuait à me masturber.
Je tremblais, je gémissais, je tentais de me retenir de juter, j'étais dans l'action et j'avais oublié que tout ça c'était justement pour me permettre de débander. Il tirait sur mes couilles, il ne me faisait pas mal mais il tirait jusqu'à la limite. J'étais en transe. Je tremblais de partout, il laissait échapper une couille puis l'autre et reprenais ma queue en entier dans la gorge.
C'est là que j'ai juté. Mon cœur battait fort, ma respiration était rapide. J'ai juté abondamment, cinq ou six giclées de sperme qu'il a avalé sans broncher. Je me sentais mieux. Quelques instants plus tard j'avais débandé. Je pensais que ça allait durer tout le temps tellement j'étais dur. Mais ce ne sont que des impressions. En fait on finit toujours par se calmer. C'est toujours pareil.
Je me laissais aller, il continuait à me tripoter les couilles puis il s'occupait de ma queue. Je penchais la tête en arrière, c'était très agréable. Ce qu'il me faisait était vraiment très agréable. C'est là que j'ai réagis, je débandais, je n'avais plus besoin de ce truc finalement. Je me disais que comme j'avais un étui pénien je n'avais pas besoin de cage à bite. Je me relevais et Jaffa se relevait en même temps que moi, il avait un sourire satisfait du mec qui a fait du bon boulot.
Je baissais les yeux et je pouvais constater que j'avais un joli dispositif de chasteté sur mon sexe. Le dispositif était parfaitement ajusté, il savait y faire le petit gars. Je n'avais rien senti.
Arrivait le marchand.
– Et bien c'était du boulot, tu ne vas pas me prendre juste le truc au moins, après tout ce travail.
– En fait je n'avais rien prévu …
Je venais de voir le pris du dispositif, il était très cher. Et là je me rendais compte que je n'avais pas assez d'argent. Le drame, il a bien fallu le lui dire.
– Vous pourriez récupérer le dispositif.
– NON MAIS TU TE MOQUES DE MOI !
Je vous passe les noms d'oiseaux qu'il m'a hurlé à la figure.
– Je peux rappeler mon frère, il y a mon frère, il n'est pas loin …
Là encore il a hurlé. '' Tu vas me payer, tu vas me payer ! ''. Vous auriez fait quoi vous à ma place ? Finalement il a fini par me proposer quelque chose.
– Mes dispositifs sont très fiables, alors tu vas le garder mais moi je vais garder les clés !
Mon sang s'est glacé dans mes veines.
– Ensuite tu prépares l'argent je reviens dans deux ou trois mois, et là tu me payes et tu me prends aussi un harnais un ceinturon et un poignard courbe avec son étui.
Je ne savais pas quoi répondre, j'arrivais à peine à bafouiller une réponse, il me laissait partir et au dernier moment il me lançait.
– Tu ne t'imagines pas que je vais en plus te faire un prix. Tu me prépareras sept pièces d'or, si tu payes aujourd'hui ça en fera seulement cinq avec les autres accessoires.
Je suis rentré comme ça chez moi ! J'avais l'air con, j'ai remarqué que les filles craquaient sur les hommes qui portaient ce genre de dispositif. Elles me regardaient avec encore plus d'insistance. Ce qui ne m'avançait pas vraiment !
A suivre
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
A la fois excitant et touchant cette première fellation racontée par un jeune homme qui découvre la sexualité. On se souvient tous de notre première pipe. Fais quand même attention à l'écriture.