Le Roy 04 Sans espoir

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le Roy 04 Sans espoir Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Roy 04 Sans espoir
Le Roy 04
Sans espoir



Deux mois s'étaient passé. Deux mois, c'est l'enfer. Je regrettais ce jours maudit, mais pourquoi mon frère m'avait envoyé voir ce marchand. Oui c'est vrai je bandais comme un malade, j'étais au milieu d'une foule et brusquement je ne pouvais plus me contrôler. J'avais peur de me prendre un pot de chambre sur la tête et j'ai paniqué.

J'aurais mieux fait de me prendre un pot de chambre sur la tête, on en reparlait plus alors que là … Ma queue était désespérément ratatinée derrière quelques barreaux. Le troisième mois de confinement pour ma queue commençait et il y avait un risque, un vrai risque finalement que je reste comme ça pour toujours …

Je repensais de plus en plus souvent à cette réflexion que m'avait fait un de mes amis. Et si le marchand avait un problème, s'il tombait malade ou pire s'il était mort … Je ferais comment moi pour me libérer.

Je me renseignais auprès des marchands d'armes sur ce fameux acier indestructible.

– On ne sait rien de sa fabrication ! Me racontait un de ces marchands qui s'était installé dans le village.
– Oui mais c'est vraiment solide ? Demandais-je ?
– Oh que oui, je connais un forgeron qui un jour a voulu travailler un de ces poignard, il voulait redresser la lame qui était courbe. Il l'a chauffée, l'a chauffée et l'a encore chauffée mais elle restait toujours aussi dure.

Je l'écoutais, j'étais terrifié.

– La lame était tellement chaude qu'elle était devenue blanche, mais il pouvait toujours taper tant qu'il le voulait ça ne changeait riens. Il a ainsi travaillé le métal mais plus d'une heure plus tard la lame était exactement comme au début. Elle n'avait pas bougé. Le métal ne s'était même pas ramolli.

Je l'écoutais, j'étais livide.

– C'est un métal étrange, il résiste totalement à la rouille. Il ne s'altère même pas. Il est aussi utiliser dans les mines de souffre du Pays des cendres, ils y utilisent des outils faits dans ce métal étrange.
– Mais eux aussi, ils savent le travailler alors ? Demandais, le Pays des cendres n'est qu'à une semaine de marche.
– Non eux non plus ne savent pas comment le travailler, seuls les forgerons d'Extrêmasie connaissent le secret, eux seuls savent faire des outils ou des armes avec ce métal.

Que vous dire de plus, tout ça ne me rassurait pas, surtout qu'il rajoutait …

– Surtout bonhomme, ne perd jamais la clé pour ta cage à bite, personne, tu m'entends, personne ne pourra jamais te l'ouvrir autrement.

Là j'étais sonné, j'ai bien failli tomber à la renverse.

– Ne t'inquiète pas pour ça, ça ne risque pas ! Répondais-je.

Vous lui auriez dit quoi vous à ma place ? C'est trop tard, j'ai la cage à bite mais j'ai pas la clé. Je Crois qu'il se serait foutu de ma gueule. Il y avait déjà trop de personnes qui étaient dans la confidence.

Mes amis venaient toujours me voir quand je gardais les moutons. Ils se baladaient toujours à poil, il s'amusaient devant moi à remuer leur cul, et à balancer leur queue de droite à gauche, d'avant en arrière. Je les aime bien mais là je trouve qu'ils abusaient.

Mes couilles formaient un grosse boule, et ma cage ressemblait à un saucisson. C'était de plus en plus dur à supporter. Enfin c'est pas le contact contre l'intérieur du dispositif qui posait problème, l'objet était même confortable. Il était totalement doux à l'intérieur comme à l'extérieur mais …

Ce qui était vraiment insupportable c'est qu'avec ce truc sur sa queue je ne pouvais absolument pas se stimuler. Je ne pouvais absolument pas me donner un peu de plaisir, même un tout petit peu de plaisir … Je ne pouvais absolument pas me soulager et ça faisait maintenant plus de neuf semaines que je n'avais pas pu me donner le moindre petit plaisir.

Et là, ça commençait à faire long !

Dans ce genre de situation tous se passe dans la tête, avec le temps je découvrais de nouvelles sensations, enfin je découvrais que les limites que je pensais impossibles pouvaient encore être dépassées. C'est vrai aussi que je n'avais plus le choix.

Je rêvais que je me faisais enculer et que j'en prenais un intense plaisir. C'est ce que me disait mon ami Artemi, il me disait souvent qu'on pouvait se donner un intense plaisir de cette manière.

– La première fois, Flèsh, ça peut faire mal, ça peut même faire très mal. Mais par la suite, ça ne fait plus mal du tout, et au contraire même …
– Et tu aimes vraiment ça toi ? Lui demandais-je.
– Tu ne peux pas imaginer à quel point c'est bon ! Me répondait alors Artemi.
– Dès que je le retire je t'encule, et je te jure que tu vas changer d'avis !
– Des promesses, toujours des promesses ! Me répondait-il alors.

Un jour j'étais seul avec Artemi. On était allongé à l'hombre d'un arbre, les mouton broutaient tout autour de nous. On se détendait.

– Ça va ? Me demandait Artémi.
– Plus ou moins !
– Tu as des nouvelles de ta cage ?
– Non, et j'approche des trois mois.
– Ça te dérange si je me branles ?

Là je le regardais de travers, il pouffait de rire et se masturbait. Je soupirais fort.

– Tu veux pas me sucer. Ça t'apprendrait comment faire.
– J'aime pas trop la queue des autres.
– Tu parles, tu regardes les queues de tous les mec que tu croises.
– Non … Répondais-je sans conviction.
– Et avec insistance en plus.

Je relevais mon torse en m'appuyant sur mes coudes et je le regardais se branler. Je le fixais en effet et quand je tournais les yeux je pouvais voir ma queue dans sa cage, ça faisait pitié et je ne dis pas ça parce que c'était de ma queue qu'il s'agissait. Mes couilles formaient une grosse boule. Il y avait de la pression la dedans.

Et si je devais rester avec ce truc sur moi tout le temps . Et si le marchant ne devait plus jamais revenir pour une raison ou pour une autre ? Je ne saurais jamais pourquoi, s'il est mort, s'il est malade. Et si le marchant revenait mais avait été volé, il aurait peut être pu perdre la clé, disparue avec tous les objets de valeur, jetée par les voleurs qui jugeaient ce petit truc sans valeur.

Et si je devais porter ce dispositif jusqu'à la fin de ma vie ?

Cette idée ne me faisait pas sourire, je continuais à fixer mon camarade qui se branlait pendant que ma queue implorait pitié.

– Tu vois ! Là tu vois, tu recommences. Me lançait Artemi.
– Oui, mais, mais … Enfin là c'est pas pareil !
– Suce moi je te dis, peut être que tu vas aimer. Mais il faut le faire avec sincérité.

J'hésitais un moment et puis je me décidais à faire comme il me disait.

Je me relevais, et j'imaginais qu'il était à ma place et moi à la sienne. J'essayais d'imaginer ce qui me ferait plaisir.

Je prenais alors sa queue dans la bouche. Je prenais soin de faire disparaître mes dents sous mes lèvres que je repliais. Avec ma langue je lui caressais le gland, j'explorais. Ne vous moquez pas, je me souvenais encore comment c'était fait. C'est pas parce que je ne pouvais plus m'amuser avec ma queue que je ne me souvenais plus.

Rapidement je le sentais se crisper, je jetais un œil, tout allait, c'est parce que je m'y prenais bien et non le contraire. Et là je me suis laissé aller, je serais peut être obligé de vivre ma sexualité de cette manière, d'être passif et de me faire enculer. Avec le manque je deviendrais moins regardant …

Les idées se bousculaient dans ma tête. Sa queue glissait dans ma bouche.

Je me concentrais sur ce que je faisais et j'entendais à ses gémissements que ça lui plaisait. Avec la langue le lui caressais la queue sur toute sa longueur. Quand je relevais la tête, je gardais son gland dans ma bouche. Je lui caressais avec le plus d'insistance possible, avec le plus de force possible mais la langue n'est pas un muscle de force, c'est un muscle de douceur. Je l'entendais bien il aimait cette douceur.

Je tentais de glisser le bout de ma langue dans le petit trou qu'il avait au bout de sa queue, au début j'ai trouvé ça marrant puis il s'est mis à gémir. Je sentais ses mains sur mon visage, il voulait me retenir mais il n'osait pas. Il me caressait les joues puis n'en pouvant plus …

Il appuyais sur le dos de ma tête et sa queue allait s'écraser dans ma gorge, elles écartait la glotte et s'enfonçait encore un peu plus. Je ne pouvais plus respirer. Il n'appuyait pas bien longtemps, quelques secondes. Heureusement sinon j'aurais vomi. C'est que à cette époque je n'étais pas vraiment habitué à bouffer les bittes.

Il me laissait relever la tête puis appuyais avec force. Aussitôt je tentais de relever la tête, et tout recommençait.

Je sentais son gland qui glissait contre mon palais, et avec ma langue je tentais de le suivre. Il soulevait son bassin, et me donnait des coups de bite dans la gorge. A chaque fois, je soulevais la tête, à chaque fois il appuyait dessus. Je finissait presque par y prendre goût à cette histoire.

Il fallait bien synchroniser la respiration, je me rendais rapidement compte que sucer une queue,c'est du boulot. C'était la première fois.

Ensuite il se calmais et me laissait faire sans bouger. C'est avec lenteur que je continuait, je lui bouffais la queue avec tendresse, je me plaçais juste entre ses cuisses et je pouvais voir ses réactions. Il penchait la tête en arrière, on aurait pu croire qu'il allait crier mais aucun son ne sortait de sa bouche.

Je le sentais trembler de tout son corps, il tentait de se relever en s'appuyant sur les coudes, il se laissait tomber, il avait l'air à son aise mais ne semblait pas savoir dans quelle position de mettre.

Je devinais que le plaisir montait en lui. Je le caressais avec plus de force, je lui tripotais les couilles, je savais qu'il aimait. Un instant j'ai penser lui gober les couilles mais j'ai eu peur de m'y prendre mal et de lui faire mal, j'ai continué à lui sucer la queue mais là je la lui suçais goulûment.

Il me retenait la tête mais sans me la retenir vraiment.

Brusquement il me saisissait la tête et l'appuyait contre son ventre. Mon nez s'écrasait sur son ventre pendant que je recevais plusieurs giclées de sperme dans la bouche. Là c'est moi qui me crispais mais j'encaissais et sur tout j'avalais tout.

Il jouissais, il jutais généreusement, il gémissait et laissait entendre son plaisir. Ensuite il se laissait retomber de tout son poids.

– Tu me laisse dix minutes bonhomme et je t'encule !
– NON, ça non, tu as déjà essayé et là ça fait mal trop mal.
– Il faudra t'y faire, tu n'aura bientôt plus d'autre choix ou ce sera alors l'abstinence. Avec ta cage à bite, tu ne peut plus faire grand chose d'autre.
– Je vais bientôt le retirer, le marchant ne va pas tarder à venir, je vais retirer ce truc.

Le mois était long, c'était le troisième, le manque se faisait sentir de plus en plus. Pour tenir le coup je faisais beaucoup de sport. Je devenait plus fort, plus musclé et plus beau et si les filles me regardaient de plus en plus, elle seraient déçue le jour ou elle apprendrait que je ne pouvais pas retirer mon dispositif de chasteté.

Le troisième moi se terminait par le marché, j'étais là quand le premier marchand s'installait et je ne partais que plus tard dans la matinée après en avoir fait longuement le tour.

Mon marchand n'était toujours pas là.


A suivre



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Les avis des lecteurs

Oui mais Flèsh est encore jeune et il n'ose pas ... Il faut lui laisser un peu de temps ...

Il a l'air adorable ton pote, laisse-toi enculer, Flèsh, tu vas voir tu vas jouir sans même bander. Tu en as tellement besoin, sinon tu vas devenir fou !



Texte coquin : Le Roy 04 Sans espoir
Histoire sexe : Une rose rouge
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