Le Roy 07 En attendant le recruteur
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Roy 07 En attendant le recruteur
Le Roy 07
En attendant le recruteur
Le recruteur était parti avec la caravane de marchands. Il devait la suivre jusqu'à ce qu'il ait recruté suffisamment de monde. Comme il repasserait par mon village pour le retour, il me laissait sur place, je n'aurais qu'à me tenir prêt pour partir dès qu'il reviendrait.
Maintenant il y avait Jaffa dans ma vie, je dois vous avouer que je n'avais pas tout compris dan la relation qui se créait entre nous. Je n'avais jamais été attiré par les garçons, très jeune avec mes copains on jouait à se masturber en groupe, c'est plus rigolo que tout seul mais à part ça …
Les garçons ne me faisaient pas d'effet. Mais Jaffa, lui, il me donnait bien du plaisir, beaucoup de plaisir. Son père l'avait enfermé dans une cage de chasteté il y a quelques années pour le garder auprès de lui jusqu'à sa majorité, ses trente ans, mais apprenant que ce n'était pas son père, Jaffa avait décidé de quitter ce foyer dans lequel il n'était qu'un employé non payé. C'était risqué il risquait de ne jamais sortir de cette cage de chasteté, et précisément c'était ce qui allait se passer.
Il s'était retrouvé à la rue avec rien, mais quand je dis rien, c'est vraiment rien. Il était dans une région qu'il ne connaissait pas, il ne connaissait personne, il n'avait que sa beauté, il était d'une très grande beauté. Il s'était retrouvé dans le caniveau avec juste sur lui sa cage de chasteté.
C'était un modèle sécurisé, indestructible et sans la clé, c'était sans espoir. Je l'avais pris chez moi, il m'aidait au travail, c'était la saison de la tonte des moutons. Il habitait avec moi, j'avais une chambre séparée, on dormait ensemble. Les garçons ne m'attiraient pas mais lui il suçait bien, avec lui c'était divin.
En plus il ne me demandait pas de lui rendre la politesse. Ça je n'aurais pas aimé. J'ai sucé une queue une fois mais j'ai pas vraiment aimé. Pourtant je vous jure je l'ai fait avec tout mon cœur, il ne faut pas faire semblant, il faut le faire de bon cœur pour savoir. Maintenant je sais, c'est pas pour moi.
Pareil, je m'était bien fait enculé, mais là par contre j'ai vraiment pas aimé, ça fait un mal de chien. Je ne sais pas comment Jaffa pouvait encaisser ça, il me disait que c'était très agréable. Il me laissait faire et moi, j'en profitais. J'avais à peine plus de dix huit ans, Jaffa en avait vingt et vous savez à cet âge comme dit le proverbe ' On pourrait faire l'amour à buffet Breton !' … Enfin c'est un proverbe d'un autre monde, ici on ne sait pas ce que c'est qu'un buffet et on ne connaît pas non plus le Breton …
Mais je pense que je comprends tout de même le proverbe.
La douceur de la peau de Jaffa me faisait bander, quand il s'allongeait à côté de moi sur mon lit. Un garçon c'est bien aussi, vous savez. Tant que c'est pas moi qui suce et que c'est moi qui encule, j'ai rien contre en fait.
Et puis il suçais tellement bien. C'était une douceur inimaginable, je ne pensais pas ça possible. C'était un avant goût de ce que me donnerait une fille, quand je serai marié.
On se caressait l'un l'autre, on se couvrait de baisers, ses lèvres était douces autant sur ma peau que sur mes lèvres. Lui il était plus entreprenant que moi, je lui tripotais bien un peu les couilles, il avait l'air d'aimer ça et je lui devais bien un peu d'attention, il me le rendait avec tellement de passion.
Il parcourait mon torse avec ses lèvres, sur les zones les plus sensibles, il me mordillait. Je découvrais mon corps, je découvrais que mordiller doucement mes tétons était très agréable, ça je le lui rendais. Il frémissait et tremblait, tout comme moi mais moi je bandais encore plus ferme quand il me le faisait.
Ensuite ses lèvres descendaient le long de mon corps, il arrivait à ma queue. Sa taille ne lui faisait pas peur, ni pour la prendre dans la bouche ni pour se la prendre dans le cul. Mais il aimait prendre son temps, et moi j'aimais ce temps long, j'aimais laisser monter le désir, il m'apprenait que le plaisir n'en était que plus intense.
Quand il prenait ma queue dans la bouche il y allait avec une infinie lenteur et une infinie douceur. Il commençait par me caresser le gland avec la langue. Puis je sentais ma queue s'enfoncer dans sa bouche, je retenais des cris.
Entre hommes, ça ne compte pas, vous le savez. Mais c'est pas une raison pour alerter toute la maisonnette. Les maisons se touchent et de fait les voisins ne sont pas loin. Bon, c'est vrai on ne peut pas garder un secret dans ce village.
Ma queue s'écrasait mollement contre le fond de sa gorge, je ne sais pas trop contre quoi mais c'était doux, mou, humide et chaud. Quand il relevait la tête c'était pour s'allonger sur moi, il me caressait alors avec son corps, avec la peau de tout son corps. Il était tellement doux, je le serrais dans mes bras, je le caressais, il en faisait de même et nos langues se caressaient avec passion.
Il replongeait, je bandais d'une manière incontrôlable. On l'avait un peu cherché remarqué. De nouveau je sentais ma queue massée, caressée avec science. Il était doué. Ce devait être son faux père qui le lui avait appris, il avait du commencer tôt, et c'est vrai aussi qu'il n'avait pas d'autres possibilités. Ça devait faire des années qu'il n'avait pas pu se masturber. Moi avant de le connaître je me masturbais au moins une fois par jour.
Quel âge avait-il quand son ancien patron lui avait mis cette cage ?
Il me caressait la queue quand il relevait le visage, il continuait juste à me titiller le bout de ma queue avec sa langue, je tremblais, je frémissais. Le matin on n'avait pas toujours le temps de bien développer, et souvent on se limitait à une fellation.
Il faisait monter le désir mais il savait aussi le faire durer ou l'écourter, et, avant de nous retrouver en retard il provoquait le plaisir, je ne sais pas comment il faisait, mais une caresse bien placée, sur la queue puis sur les couilles et un doigt bien placé juste sur mon cul et je jutais avec force, je jouissais comme un fou. Au début je me disais que j'allais m'habituer et que ce serait moins fort avec le temps. Ce n'était pas le cas. Le plaisir était toujours aussi intense.
Il gardait mon gland dans sa bouche et il avalait tout sans broncher.
Quelquefois on n'avait pas le temps de me faire ce plaisir. Alors en général je mettais ma cage à bite, je savais que je ne pourrait pas me contrôler toute la matinée. Et comme vous savez, je n'était pas à l'abri que me retrouver avec un pot de chambre bien puant sur la tête. Et comme les étui péniens c'est pour les gosse, ou ceux qui n'ont pas de cage à bite …
On nous voyait donc souvent, sortir en ville, je sais c'est un village mais c'est une façon de parler, on allait à la taverne, quelquefois on allait manger chez la Mère Brochette. Elle cuit merveilleusement la viande de mouton … Nous étions magnifiques, aussi beaux l'un que l'autre, il était entièrement nu, il n'avait jamais porté de tunique, jamais le moindre vêtement et s'en passait très bien. Je mettais mon harnais, même si avec la cage à bite ça fait péquenaud …
On avait fière allure, les filles surtout nous regardaient, et on les entendait murmurer dans notre dos. Rapidement tout le monde savait tout sur notre relation mais comme vous savez, entre hommes ça ne compte pas.
On a revu son ancien patron un jour. Il m'a reconnu.
– Alors tu es avec mon fils maintenant ? Tu te rendras vite compte que c'est un bon à rien. Et si c'est comme ça je ne te rendrais jamais ta clé, tu peux vivre avec mon fils mais tu l'auras jamais …
Il était mauvais, finalement il était mauvais, il ne se souvenait pas m'avoir déjà restitué ma clé et il bluffait. Puis il rajoutait.
– Quand à toi Jaffa, toi non plus tu ne retireras jamais ta cage à bite.
Jaffa ne bronchait pas, il s'était déjà résigné. Il n'était pas vieux mais il s'était déjà résigné. Il regardait son ancien patron avec un regard neutre, il n'y avait ni haine ne amour, ni rein.
Quand j'allais au champ pour surveiller les moutons, il m'accompagnait, là je ne mettais pas mon harnais, je gardais seulement ma petite sacoche accrochée autour du cou. Heureusement me direz vous, le harnais avec une cage à bite ça fait péquenaud …
Dans la journée on avait toujours de longues heures pendant lesquelles on pouvait se reposer et se détendre. Je laissais Jaffa me retirer ma cage à bite et c'était le bonheur.
Comme au réveil il me suçait généreusement, il pouvait faire durer le plaisir pendant tout l'après midi, un jour il m'a fait jouir cinq fois, juste avec sa bouche, c'est lui qui décidait. Je le laissais décider de ce qu'il voulait faire, me faire. Dans tous les cas pour moi c'était le bonheur.
Il me suçait ou quelquefois, ce n'était pas rare, il me lubrifiait la bite, il avait lui aussi une sacoche autour de son cou, puis il s'asseyait dessus.
Il posait ses pieds de chaque côté de mes hanches et se soulevait, se laissait retomber … Il contrôlait le mouvement. Au bout d'un moment il me demandait de prendre le contrôle.
Nous avons essayé toutes les positions, enfin je pense qu'on pourrait en trouver d'autres, je relevais le torse, lui tirais les pieds dans mon cos. Là il était empalé sur ma queue et son corps se redressait ou se tordait. Il se prenait sans difficulté mes vingt trois centimètres sur cinq.
Il refermait ses jambes dans mon dos, je repliais les jambes en position du tailleur et je me balançais sur mes fesses. C'étaient des mouvements lents et réguliers. Je lui massait le cul avec ma queue, il me le rendait ses entrailles exerçaient un massage plus ou moins intense sur ma queue. Par moment je sentais son ventre qui se contractait et un massage merveilleux sur mon gland.
Il n'était pas rare que des copains arrivaient, on discutaient, Jaffa ne se relevait pas pour autant et je continuait à me balancer sur mes fesses, je me balançais plus lentement, plus doucement, c'est tout.
En général tout le monde se branlait et tout se terminait dans une grande éclaboussure de plaisir.
Jaffa ne voulait pas devenir un vide couille auprès de mes amis, il m'avait demandé de lui interdire le sexe avec eux. Il m'avait demandé de jouer le mauvais rôle, pour mes amis j'étais celui qui les empêchais de jouir, qui gardais jalousement mon vide couille. Nous n'étions pas mariés, il n'y avait donc aucune raison qu'ils ne puissent pas s'amuser avec mon doudou. On lui donnait différents surnoms. J'accédais à sa requête et lui interdisais devant mes amis de jouer les vide couille, ils n'ont pas apprécié mais, c'était mon vide couille.
Toutefois s'il voulait faire le sexe avec un de mes amis, en fait il était libre, il leur dirait de garder ça secret.
Ce n'était pas la partie la plus désagréable de ma vie, vous devez l'imaginer ! Nous vivions paisiblement ainsi pendant plusieurs mois.
Le Recruteur revenait, il se présentait chez moi.
Je le recevais.
– Voilà j'ai recruté six jeunes, avec toi si tu es toujours partant ?
– Oh oui, plus que jamais mais voilà …
Je lui expliquais la situation avec Jaffa. Il n'avait rien, il ne possédait rien. Il fallait que je règle le problème, ma famille accepterait certainement de le prendre comme employé pour garder les moutons. Il faudrait leur demander. C'est vrai qu'à la maison tout le monde l'aimait bien, il était serviable et très gentil.
– Mais tu sais tu peux l'emmener avec toi. Me répondait le recruteur.
– Il peut …
– Oui tu as droit à avoir une sorte d'ordonnance. Il doit porter un dispositif de chasteté c'est tout. Et selon ce que tu me racontes, c'est le cas. Ce sera à tes frais. Tu seras payé une pièce d'or toutes les semaines, on en prélèvera une sur quatre pour ton ordonnance.
J'en parlais à Jaffa, il sautait de joie, il préférait rester avec moi. C'étaient les adieux d'avec ma famille. Je partais avec un tout petit sac à dos accroché à mon harnais et mon ceinturon avec mon poignard, Jaffa avait un tout petit balluchon mais nous avions tous les deux un large sourire.
Le recruteur et son secrétaire qui était sous clé nous guidaient. Jaffa portait également un dispositif de chasteté, lui il n'avait pas le choix. On m'avait demandé d'en mettre un, le recruteur m'en avait donné un en ivoire de dentosaure, c'était une matière étrange une sorte d'ivoire très dure et très résistante. Seul Jaffa conserverait sa cage en métal, lui, il ne pouvait pas la retirer. Tous les autres aurait un dispositif blanc, comme celui du secrétaire. C'était pour bien marquer que notre groupe n'était pas anodin. On était huit à porter une cage à bite, on était guidé par un officier de ministère …
Nous avions fière allure.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
En attendant le recruteur
Le recruteur était parti avec la caravane de marchands. Il devait la suivre jusqu'à ce qu'il ait recruté suffisamment de monde. Comme il repasserait par mon village pour le retour, il me laissait sur place, je n'aurais qu'à me tenir prêt pour partir dès qu'il reviendrait.
Maintenant il y avait Jaffa dans ma vie, je dois vous avouer que je n'avais pas tout compris dan la relation qui se créait entre nous. Je n'avais jamais été attiré par les garçons, très jeune avec mes copains on jouait à se masturber en groupe, c'est plus rigolo que tout seul mais à part ça …
Les garçons ne me faisaient pas d'effet. Mais Jaffa, lui, il me donnait bien du plaisir, beaucoup de plaisir. Son père l'avait enfermé dans une cage de chasteté il y a quelques années pour le garder auprès de lui jusqu'à sa majorité, ses trente ans, mais apprenant que ce n'était pas son père, Jaffa avait décidé de quitter ce foyer dans lequel il n'était qu'un employé non payé. C'était risqué il risquait de ne jamais sortir de cette cage de chasteté, et précisément c'était ce qui allait se passer.
Il s'était retrouvé à la rue avec rien, mais quand je dis rien, c'est vraiment rien. Il était dans une région qu'il ne connaissait pas, il ne connaissait personne, il n'avait que sa beauté, il était d'une très grande beauté. Il s'était retrouvé dans le caniveau avec juste sur lui sa cage de chasteté.
C'était un modèle sécurisé, indestructible et sans la clé, c'était sans espoir. Je l'avais pris chez moi, il m'aidait au travail, c'était la saison de la tonte des moutons. Il habitait avec moi, j'avais une chambre séparée, on dormait ensemble. Les garçons ne m'attiraient pas mais lui il suçait bien, avec lui c'était divin.
En plus il ne me demandait pas de lui rendre la politesse. Ça je n'aurais pas aimé. J'ai sucé une queue une fois mais j'ai pas vraiment aimé. Pourtant je vous jure je l'ai fait avec tout mon cœur, il ne faut pas faire semblant, il faut le faire de bon cœur pour savoir. Maintenant je sais, c'est pas pour moi.
Pareil, je m'était bien fait enculé, mais là par contre j'ai vraiment pas aimé, ça fait un mal de chien. Je ne sais pas comment Jaffa pouvait encaisser ça, il me disait que c'était très agréable. Il me laissait faire et moi, j'en profitais. J'avais à peine plus de dix huit ans, Jaffa en avait vingt et vous savez à cet âge comme dit le proverbe ' On pourrait faire l'amour à buffet Breton !' … Enfin c'est un proverbe d'un autre monde, ici on ne sait pas ce que c'est qu'un buffet et on ne connaît pas non plus le Breton …
Mais je pense que je comprends tout de même le proverbe.
La douceur de la peau de Jaffa me faisait bander, quand il s'allongeait à côté de moi sur mon lit. Un garçon c'est bien aussi, vous savez. Tant que c'est pas moi qui suce et que c'est moi qui encule, j'ai rien contre en fait.
Et puis il suçais tellement bien. C'était une douceur inimaginable, je ne pensais pas ça possible. C'était un avant goût de ce que me donnerait une fille, quand je serai marié.
On se caressait l'un l'autre, on se couvrait de baisers, ses lèvres était douces autant sur ma peau que sur mes lèvres. Lui il était plus entreprenant que moi, je lui tripotais bien un peu les couilles, il avait l'air d'aimer ça et je lui devais bien un peu d'attention, il me le rendait avec tellement de passion.
Il parcourait mon torse avec ses lèvres, sur les zones les plus sensibles, il me mordillait. Je découvrais mon corps, je découvrais que mordiller doucement mes tétons était très agréable, ça je le lui rendais. Il frémissait et tremblait, tout comme moi mais moi je bandais encore plus ferme quand il me le faisait.
Ensuite ses lèvres descendaient le long de mon corps, il arrivait à ma queue. Sa taille ne lui faisait pas peur, ni pour la prendre dans la bouche ni pour se la prendre dans le cul. Mais il aimait prendre son temps, et moi j'aimais ce temps long, j'aimais laisser monter le désir, il m'apprenait que le plaisir n'en était que plus intense.
Quand il prenait ma queue dans la bouche il y allait avec une infinie lenteur et une infinie douceur. Il commençait par me caresser le gland avec la langue. Puis je sentais ma queue s'enfoncer dans sa bouche, je retenais des cris.
Entre hommes, ça ne compte pas, vous le savez. Mais c'est pas une raison pour alerter toute la maisonnette. Les maisons se touchent et de fait les voisins ne sont pas loin. Bon, c'est vrai on ne peut pas garder un secret dans ce village.
Ma queue s'écrasait mollement contre le fond de sa gorge, je ne sais pas trop contre quoi mais c'était doux, mou, humide et chaud. Quand il relevait la tête c'était pour s'allonger sur moi, il me caressait alors avec son corps, avec la peau de tout son corps. Il était tellement doux, je le serrais dans mes bras, je le caressais, il en faisait de même et nos langues se caressaient avec passion.
Il replongeait, je bandais d'une manière incontrôlable. On l'avait un peu cherché remarqué. De nouveau je sentais ma queue massée, caressée avec science. Il était doué. Ce devait être son faux père qui le lui avait appris, il avait du commencer tôt, et c'est vrai aussi qu'il n'avait pas d'autres possibilités. Ça devait faire des années qu'il n'avait pas pu se masturber. Moi avant de le connaître je me masturbais au moins une fois par jour.
Quel âge avait-il quand son ancien patron lui avait mis cette cage ?
Il me caressait la queue quand il relevait le visage, il continuait juste à me titiller le bout de ma queue avec sa langue, je tremblais, je frémissais. Le matin on n'avait pas toujours le temps de bien développer, et souvent on se limitait à une fellation.
Il faisait monter le désir mais il savait aussi le faire durer ou l'écourter, et, avant de nous retrouver en retard il provoquait le plaisir, je ne sais pas comment il faisait, mais une caresse bien placée, sur la queue puis sur les couilles et un doigt bien placé juste sur mon cul et je jutais avec force, je jouissais comme un fou. Au début je me disais que j'allais m'habituer et que ce serait moins fort avec le temps. Ce n'était pas le cas. Le plaisir était toujours aussi intense.
Il gardait mon gland dans sa bouche et il avalait tout sans broncher.
Quelquefois on n'avait pas le temps de me faire ce plaisir. Alors en général je mettais ma cage à bite, je savais que je ne pourrait pas me contrôler toute la matinée. Et comme vous savez, je n'était pas à l'abri que me retrouver avec un pot de chambre bien puant sur la tête. Et comme les étui péniens c'est pour les gosse, ou ceux qui n'ont pas de cage à bite …
On nous voyait donc souvent, sortir en ville, je sais c'est un village mais c'est une façon de parler, on allait à la taverne, quelquefois on allait manger chez la Mère Brochette. Elle cuit merveilleusement la viande de mouton … Nous étions magnifiques, aussi beaux l'un que l'autre, il était entièrement nu, il n'avait jamais porté de tunique, jamais le moindre vêtement et s'en passait très bien. Je mettais mon harnais, même si avec la cage à bite ça fait péquenaud …
On avait fière allure, les filles surtout nous regardaient, et on les entendait murmurer dans notre dos. Rapidement tout le monde savait tout sur notre relation mais comme vous savez, entre hommes ça ne compte pas.
On a revu son ancien patron un jour. Il m'a reconnu.
– Alors tu es avec mon fils maintenant ? Tu te rendras vite compte que c'est un bon à rien. Et si c'est comme ça je ne te rendrais jamais ta clé, tu peux vivre avec mon fils mais tu l'auras jamais …
Il était mauvais, finalement il était mauvais, il ne se souvenait pas m'avoir déjà restitué ma clé et il bluffait. Puis il rajoutait.
– Quand à toi Jaffa, toi non plus tu ne retireras jamais ta cage à bite.
Jaffa ne bronchait pas, il s'était déjà résigné. Il n'était pas vieux mais il s'était déjà résigné. Il regardait son ancien patron avec un regard neutre, il n'y avait ni haine ne amour, ni rein.
Quand j'allais au champ pour surveiller les moutons, il m'accompagnait, là je ne mettais pas mon harnais, je gardais seulement ma petite sacoche accrochée autour du cou. Heureusement me direz vous, le harnais avec une cage à bite ça fait péquenaud …
Dans la journée on avait toujours de longues heures pendant lesquelles on pouvait se reposer et se détendre. Je laissais Jaffa me retirer ma cage à bite et c'était le bonheur.
Comme au réveil il me suçait généreusement, il pouvait faire durer le plaisir pendant tout l'après midi, un jour il m'a fait jouir cinq fois, juste avec sa bouche, c'est lui qui décidait. Je le laissais décider de ce qu'il voulait faire, me faire. Dans tous les cas pour moi c'était le bonheur.
Il me suçait ou quelquefois, ce n'était pas rare, il me lubrifiait la bite, il avait lui aussi une sacoche autour de son cou, puis il s'asseyait dessus.
Il posait ses pieds de chaque côté de mes hanches et se soulevait, se laissait retomber … Il contrôlait le mouvement. Au bout d'un moment il me demandait de prendre le contrôle.
Nous avons essayé toutes les positions, enfin je pense qu'on pourrait en trouver d'autres, je relevais le torse, lui tirais les pieds dans mon cos. Là il était empalé sur ma queue et son corps se redressait ou se tordait. Il se prenait sans difficulté mes vingt trois centimètres sur cinq.
Il refermait ses jambes dans mon dos, je repliais les jambes en position du tailleur et je me balançais sur mes fesses. C'étaient des mouvements lents et réguliers. Je lui massait le cul avec ma queue, il me le rendait ses entrailles exerçaient un massage plus ou moins intense sur ma queue. Par moment je sentais son ventre qui se contractait et un massage merveilleux sur mon gland.
Il n'était pas rare que des copains arrivaient, on discutaient, Jaffa ne se relevait pas pour autant et je continuait à me balancer sur mes fesses, je me balançais plus lentement, plus doucement, c'est tout.
En général tout le monde se branlait et tout se terminait dans une grande éclaboussure de plaisir.
Jaffa ne voulait pas devenir un vide couille auprès de mes amis, il m'avait demandé de lui interdire le sexe avec eux. Il m'avait demandé de jouer le mauvais rôle, pour mes amis j'étais celui qui les empêchais de jouir, qui gardais jalousement mon vide couille. Nous n'étions pas mariés, il n'y avait donc aucune raison qu'ils ne puissent pas s'amuser avec mon doudou. On lui donnait différents surnoms. J'accédais à sa requête et lui interdisais devant mes amis de jouer les vide couille, ils n'ont pas apprécié mais, c'était mon vide couille.
Toutefois s'il voulait faire le sexe avec un de mes amis, en fait il était libre, il leur dirait de garder ça secret.
Ce n'était pas la partie la plus désagréable de ma vie, vous devez l'imaginer ! Nous vivions paisiblement ainsi pendant plusieurs mois.
Le Recruteur revenait, il se présentait chez moi.
Je le recevais.
– Voilà j'ai recruté six jeunes, avec toi si tu es toujours partant ?
– Oh oui, plus que jamais mais voilà …
Je lui expliquais la situation avec Jaffa. Il n'avait rien, il ne possédait rien. Il fallait que je règle le problème, ma famille accepterait certainement de le prendre comme employé pour garder les moutons. Il faudrait leur demander. C'est vrai qu'à la maison tout le monde l'aimait bien, il était serviable et très gentil.
– Mais tu sais tu peux l'emmener avec toi. Me répondait le recruteur.
– Il peut …
– Oui tu as droit à avoir une sorte d'ordonnance. Il doit porter un dispositif de chasteté c'est tout. Et selon ce que tu me racontes, c'est le cas. Ce sera à tes frais. Tu seras payé une pièce d'or toutes les semaines, on en prélèvera une sur quatre pour ton ordonnance.
J'en parlais à Jaffa, il sautait de joie, il préférait rester avec moi. C'étaient les adieux d'avec ma famille. Je partais avec un tout petit sac à dos accroché à mon harnais et mon ceinturon avec mon poignard, Jaffa avait un tout petit balluchon mais nous avions tous les deux un large sourire.
Le recruteur et son secrétaire qui était sous clé nous guidaient. Jaffa portait également un dispositif de chasteté, lui il n'avait pas le choix. On m'avait demandé d'en mettre un, le recruteur m'en avait donné un en ivoire de dentosaure, c'était une matière étrange une sorte d'ivoire très dure et très résistante. Seul Jaffa conserverait sa cage en métal, lui, il ne pouvait pas la retirer. Tous les autres aurait un dispositif blanc, comme celui du secrétaire. C'était pour bien marquer que notre groupe n'était pas anodin. On était huit à porter une cage à bite, on était guidé par un officier de ministère …
Nous avions fière allure.
A suivre
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
T'as raison bonhomme !
Et merci pour ta fidélité .
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Et merci pour ta fidélité .
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Pas question de manquer un seul épisode de cette passionnante saga et de ne pas savoir ce qui va arriver à nos deux sympathiques héros.