Le Roy 09 Ville de feu, mais ville froide
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Roy 09 Ville de feu, mais ville froide
Le Roy 09
Ville de feu, mais ville froide
La ville de feu était un poste avancé administratif. C'était une ville de terre, les maisons en argile crue s'élevaient sur cinq ou six niveau. A chaque niveau il y avait des plantes, des plantes grimpantes, des plantes tombantes, des plantes fleuries et des plantes vertes. Elle était posée sur un désert, tout autour il n'y avait aucun arbre, seulement des arbustes plus ou moins denses qui poussaient bien dans ce sable brûlant. Je me disait qu'on pourrait élever des moutons … Nos moutons sont frileux, au point qu'il préfèrent la température que le froid. C'est pas comme les chameaux, pauvres petites bêtes fragiles qui se sentent mal dès que la température monte un peu.
On n'est pas comme ça nous, heureusement. Mais dans la ville il y avait des arbres, que des arbres, c'était étrange, la ville avait été construite par dessus les arbres. Je croyais rêver en voyant ça.
On s'approchait et finalement je constatait que c'était une illusion. En fait il y avait des milliers d'arbres tout autour de la ville, mais des arbres comme je n'en avais jamais vu. Ils étaient constitués d'un tronc bien droit le plus souvent et au dessus d'un énorme buisson vert et très dense.
En dessous il y avait une hombre très sombre. Ils avaient été plantés tout autour de la ville ce qui de loin donnait l'impression que la ville était posée sur les arbres. Il n'en était rien, ils entouraient la ville, mais il y en avait aussi à l'intérieur. Il y avait de larges avenues, au milieu de l'avenue, une rangée d'arbre, de chaque coté il y en avait deux. Il y avait de l'hombre partout. C'était bien mais il y en avait trop, il faisait froid. C'est sûr que les chameaux se seraient senti à l'aise. Mais mes moutons auraient froid.
On ne les voyait pas depuis la route à cause des arbres mais il y avait des moulin à eaux un peu partout, depuis les zones dégagées on apercevait leurs ailes qui battaient au vent … Je vois que vous n'avez pas suivi ? Je m'explique ! Il s'agissait de moulin actionné par le vent et qui produisaient de l'eau, ils ne la pompaient pas, il la produisaient. Me demandez pas comment ça marche, je sais pas mais ça marche très bien. Il y avait tout un tas de fontaines alimentées par ces moulins.
C'était une ville étrange, elle était entourée d'un désert de feu ou seuls les moutons pouvaient survivre mais il y faisait froid sous les buissons aériens des arbres.
Comme je vous le disais, c'était une ville de garnison administrative il n'y avait donc beaucoup d'hommes, mais aucun n'avait fait de vœux de chasteté, aucun n'était obligé de rester chaste. C'est sans doute pour ça qu'à chaque porte de chaque maison particulière il y avait des femmes. Certaines travaillaient, filaient la laine ( je vous avais bien dit que c'était un endroit pour élever des moutons ), d'autres tissaient, d'autres encore faisait la cuisine. Il y avait des tavernes et des restaurant un peu partout, et tous étaient tenus par des femmes.
Mais il y avait aussi ces femmes très belles, elles ne portaient pas de tunique comme il convient, elles ne portaient que des bijoux, des colliers. Des colliers autour du cou qui descendaient et couvraient leurs seins, des colliers en guise de ceinture. Des pendentifs accrochés à leurs cheveux à leurs tétons percés, à leurs ceintures. Elles étaient belles, elles nous regardaient en souriant, nous faisaient des clins d’œil et d'un mouvement de la tête semblaient nous inviter à les suivre à l'intérieur.
Je n'avais jamais vu ça, que faisaient ces femmes pour vivre ?
On ne se laisse pas distraire ! Aboyait le lieutenant recruteur.
On le suivait mais de là à ne pas se laisser distraire. Une femme d'une incroyable beauté traversait la rue juste devant nous, le recruteur faisait jouer du fouet. Oh il ne la frappait pas, il aurait eu des ennuis, mais il l'intimidait. Elle était entièrement nue. Ses formes étaient harmonieuses et elle dansait en évitant les coups de fouets qui de toutes façons ne l'auraient pas touchée, mais un accident peut toujours arriver.
Elles avaient vu bien sur nos dispositifs de chasteté, mais elles s'en moquaient, elles s'amusaient, elles s'amusaient avec nous, de nos réactions. Nous étions tous très beau et très séduisants, nous étions épuisés et couverts de poussière. Je pense que tous, nous serions laissés aller, à une douche coquine. Je me serait bien donné à leurs caresses dans un bain frai. Je me serais bien abandonné à leurs bras.
Elles étaient tellement différentes des femmes que je connaissais. Dans mon village les femmes se couvrent dès que leurs formes féminines apparaissent. Ici c'était différent. Elles étaient nues et semblaient s'offrir aux hommes. En fait elles se faisaient payer. Nous ne le savions pas encore mais comment aurions nous pu le savoir ?
Il y avait des places par endroit, c'étaient de grands espaces dont le centre était dégagé, il n'y avait pas d'arbres. Nous avancions jusqu'au centre de la ville. Un hôtel qui présentait très bien, sa façade était couverte de végétation, c'était très beau même si ça nous perturbait.
On nous logeait dans une grande suite, il y avait six chambres, j'en partagerais une avec Jaffa. Les chambres donnaient sur une terrasse là encore on trouvait de gros pot de fleurs avec des plantes, de petits arbres et la encore de l'hombre. Il faisait froid … C'était supportable mais il faisait froid !
On nous préparait un bain. On se retrouvait tous sept dans une baignoire, chacun la sienne, pour plus de confort. Un employé des douches venait nous laver. Là encore un chacun pour plus de confort. Nous étions sept, les six recruté et Jaffa à qui on accordait le même traitement que pour nous.
Ils avait de sortes d'éponge d'une incroyable douceur sur notre peau. On nous racontait qu'elles provenait d'un animal marin. Ça nous a bien fait rire, un poisson ! Enfin ça n'y ressemblait pas, même si les poissons de la mer étaient différents des poissons de nos rivières, c'était une blague … On ne saura donc jamais comment c'était fait.
On nous laissait tremper ensuite pendant un moment et quand on venait nous sortir de l'eau nous étions détendus, et notre peau avait repris sa couleur normale, ambrée.
On nous allongeait sur une table et un masseur venait nous malaxer la couenne, c'était nouveau pour moi, et peut être pas seulement pour moi. Mais c'était très agréable. Rapidement nous gémissions tous de plaisir, tous mes muscles se détendaient et c'était un grand plaisir après un tel voyage.
On nous retournait et quand on était sur le dos, je remarquais les réaction chez mes camarades, y compris chez Jaffa. On bandait tous, nos queues se réveillaient et se révoltaient. Nos dispositifs de chasteté se relevaient sous la pression. Ils continuaient à assurer leurs fonctions mais il ne pouvaient pas dissimuler totalement les réaction naturelles.
Surtout que les masseurs ne se privaient de nous appliquer des caresses très intimes, quand la main remontait sur la cuisse, elle remontait jusqu'en haut de la cuisse et elle insistait longuement sur les couilles. En tout cas c'est ce que me faisait le mien.
Il insistait sur chaque partie de mon corps, la base de mon sexe, les couilles, pour ce qui est de ma bite, là il ne pouvait pas faire grand chose mais elle se révoltait. Ce n'était pas la première fois et certainement pas la dernière.
Au bout d'une longue séance ...
– voulez vous un massage anal, une sodomie ou pratiquer une fellation ?
Demandait chaque masseur à son client. Ils étaient tous très beau, mais avaient eux aussi une cage à bite. C'étaient les petites mains de l'administration, enfin les petites bites. Avec politesse Jaffa répondait …
– Oui s'il vous plaît. Avec plaisir, une grosse bite devrait me détendre.
– Pareil ! Rajoutait Roël.
C'était un de nos camarades de route, un des recrutés. Je ne vous ai pas donné leurs nom à chacun, ce serait un peut trop compliqué.
Les masseurs se retiraient et deux jeunes hommes bien bâtis et surtout bien montés arrivaient quelques instants plus tard. Je me redressais pour pouvoir mieux regarder.
Ils commençaient en lubrifiant bien à fond le cul des deux demandeurs. Ils introduisaient un doigt puis un deuxième et comme ça passait ils forçaient un peu et en glissaient un troisième.
Mes deux camarades gémissaient de plaisir. C'était excitant, ça me faisait bander ferme dans ma cage, elle se relevait et cette cage maudite devenait rapidement très inconfortable.
– Voulez-vous également un petit massage anal vous aussi ? Me demandait un des enculateurs.
Je déclinait la proposition. Je ne savais pas si ça m'aurait calmé mais je me souvenais de la seule expérience que j'avais faite. La fois ou je m'était pris une grosse bite dans le cul. Ça m'avait fait un mal de chien. Et les deux enculateurs étaient bien montés.
Il continuait, avec seulement deux doigts bien enfoncé dans le cul du client. Rapidement chacun de mes camarades gémissait avec un plaisir non dissimulé.
– Tu aimes ? Demandais-je à Jaffa. C'est vraiment agréable.
– Ooooooh oui c'est bon ! Me répondait Jaffa.
Il n'en rajoutait pas d'avantage, il n'arrivait pas à parler il ne pouvait que gémir. Notre autre camarade était dans le même état. Lui aussi il gémissait, lui aussi il râlait pour exprimer son plaisir.
L'enculateur qui s'occupait du cul de mon camarade, retirait ses doigts, lubrifiait généreusement et sans en demander plus lui enfonçait sa queue, sa très belle queue en un mouvement rapide et décidé.
Jaffa s'est mis à hurler. Oh ça n'a pas duré il a juste poussé un hurlement puis il respirait fort, très fort. Moi aussi j'étais bien monté et sans cette cage, cette cage maudite je l'aurais bien enculé le petit Jaffa. Ça n'aurait pas été la première fois, avant de partir nous dormions ensemble depuis quelques temps avant notre départ.
De toutes façons, entre hommes ça ne compte pas. Donc j'étais pur, nous étions purs tous les deux. Mais lui, il avait un dispositif de chasteté en Acier D' Extrêmasie depuis maintenant des années.
Jaffa continuer à gémir, son enculateur était maintenant allongé sur lui et lui enfonçait sa queue avec régularité et une certaine fluidité. Ça glissait bien. Jaffa gémissait il avait l'air d'aimer. Moi je bandais douloureusement, j'aurais volontiers pris la place. Je me souvenait de nos ébats avant notre départ.
L'enculateur accélérait, il limait le cul de Jaffat de plus en plus vite de plus en plus fort. Il frappait les fesses de mon camarade avec force, par moment on entendait son ventre claquer sur les fesses de Jaffa.
Il ressortait presque totalement, marquait une pause très courte, à peine le temps de déposer un baiser en haut du dos de son client et brusquement avec force et rapidité, il enfonçait sa queue bien à fond.
C'était un monde étrange que je supposais même pas. Un monde dans lequel le métier d'enculateur-masseur existait et en plus était un métier très honorable. Des notables, des personnes très en vue avaient recours à leur service.
Les coups pleuvaient il étaient deux enculateurs à s'énerver sur leur clients, les gémissements résonnaient dans la salle. Il y avait cinq spectateurs, les cinq autres recrutés pour ce travail à la cour du roi.
Tout finissait pas se calmer, plus de bruits, plus de gémissements. Les enculateurs se retiraient, ils essuyaient les fesses de leurs clients et se retiraient.
On ne parlait pas, chacun regardait les autres, on bandait enfin les cinq d'entre nous qui avaient été spectateurs bandaient. Pour moi c'était presque douloureux pourtant ces dispositifs en ivoire de dentosaures étaient confortables.
On nous laissait nous détendre, puis on nous servait un rafraîchissement sur notre terrasse. Les boissons étaient froides, je ne sais pas comment ils faisaient ça, mais bon ils arrivaient bien à produire de l'eau juste avec de l'air alors pourquoi pas ces petites pierres qui flottaient dans nos verres.
Ils appelaient ça de la glace …
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Ville de feu, mais ville froide
La ville de feu était un poste avancé administratif. C'était une ville de terre, les maisons en argile crue s'élevaient sur cinq ou six niveau. A chaque niveau il y avait des plantes, des plantes grimpantes, des plantes tombantes, des plantes fleuries et des plantes vertes. Elle était posée sur un désert, tout autour il n'y avait aucun arbre, seulement des arbustes plus ou moins denses qui poussaient bien dans ce sable brûlant. Je me disait qu'on pourrait élever des moutons … Nos moutons sont frileux, au point qu'il préfèrent la température que le froid. C'est pas comme les chameaux, pauvres petites bêtes fragiles qui se sentent mal dès que la température monte un peu.
On n'est pas comme ça nous, heureusement. Mais dans la ville il y avait des arbres, que des arbres, c'était étrange, la ville avait été construite par dessus les arbres. Je croyais rêver en voyant ça.
On s'approchait et finalement je constatait que c'était une illusion. En fait il y avait des milliers d'arbres tout autour de la ville, mais des arbres comme je n'en avais jamais vu. Ils étaient constitués d'un tronc bien droit le plus souvent et au dessus d'un énorme buisson vert et très dense.
En dessous il y avait une hombre très sombre. Ils avaient été plantés tout autour de la ville ce qui de loin donnait l'impression que la ville était posée sur les arbres. Il n'en était rien, ils entouraient la ville, mais il y en avait aussi à l'intérieur. Il y avait de larges avenues, au milieu de l'avenue, une rangée d'arbre, de chaque coté il y en avait deux. Il y avait de l'hombre partout. C'était bien mais il y en avait trop, il faisait froid. C'est sûr que les chameaux se seraient senti à l'aise. Mais mes moutons auraient froid.
On ne les voyait pas depuis la route à cause des arbres mais il y avait des moulin à eaux un peu partout, depuis les zones dégagées on apercevait leurs ailes qui battaient au vent … Je vois que vous n'avez pas suivi ? Je m'explique ! Il s'agissait de moulin actionné par le vent et qui produisaient de l'eau, ils ne la pompaient pas, il la produisaient. Me demandez pas comment ça marche, je sais pas mais ça marche très bien. Il y avait tout un tas de fontaines alimentées par ces moulins.
C'était une ville étrange, elle était entourée d'un désert de feu ou seuls les moutons pouvaient survivre mais il y faisait froid sous les buissons aériens des arbres.
Comme je vous le disais, c'était une ville de garnison administrative il n'y avait donc beaucoup d'hommes, mais aucun n'avait fait de vœux de chasteté, aucun n'était obligé de rester chaste. C'est sans doute pour ça qu'à chaque porte de chaque maison particulière il y avait des femmes. Certaines travaillaient, filaient la laine ( je vous avais bien dit que c'était un endroit pour élever des moutons ), d'autres tissaient, d'autres encore faisait la cuisine. Il y avait des tavernes et des restaurant un peu partout, et tous étaient tenus par des femmes.
Mais il y avait aussi ces femmes très belles, elles ne portaient pas de tunique comme il convient, elles ne portaient que des bijoux, des colliers. Des colliers autour du cou qui descendaient et couvraient leurs seins, des colliers en guise de ceinture. Des pendentifs accrochés à leurs cheveux à leurs tétons percés, à leurs ceintures. Elles étaient belles, elles nous regardaient en souriant, nous faisaient des clins d’œil et d'un mouvement de la tête semblaient nous inviter à les suivre à l'intérieur.
Je n'avais jamais vu ça, que faisaient ces femmes pour vivre ?
On ne se laisse pas distraire ! Aboyait le lieutenant recruteur.
On le suivait mais de là à ne pas se laisser distraire. Une femme d'une incroyable beauté traversait la rue juste devant nous, le recruteur faisait jouer du fouet. Oh il ne la frappait pas, il aurait eu des ennuis, mais il l'intimidait. Elle était entièrement nue. Ses formes étaient harmonieuses et elle dansait en évitant les coups de fouets qui de toutes façons ne l'auraient pas touchée, mais un accident peut toujours arriver.
Elles avaient vu bien sur nos dispositifs de chasteté, mais elles s'en moquaient, elles s'amusaient, elles s'amusaient avec nous, de nos réactions. Nous étions tous très beau et très séduisants, nous étions épuisés et couverts de poussière. Je pense que tous, nous serions laissés aller, à une douche coquine. Je me serait bien donné à leurs caresses dans un bain frai. Je me serais bien abandonné à leurs bras.
Elles étaient tellement différentes des femmes que je connaissais. Dans mon village les femmes se couvrent dès que leurs formes féminines apparaissent. Ici c'était différent. Elles étaient nues et semblaient s'offrir aux hommes. En fait elles se faisaient payer. Nous ne le savions pas encore mais comment aurions nous pu le savoir ?
Il y avait des places par endroit, c'étaient de grands espaces dont le centre était dégagé, il n'y avait pas d'arbres. Nous avancions jusqu'au centre de la ville. Un hôtel qui présentait très bien, sa façade était couverte de végétation, c'était très beau même si ça nous perturbait.
On nous logeait dans une grande suite, il y avait six chambres, j'en partagerais une avec Jaffa. Les chambres donnaient sur une terrasse là encore on trouvait de gros pot de fleurs avec des plantes, de petits arbres et la encore de l'hombre. Il faisait froid … C'était supportable mais il faisait froid !
On nous préparait un bain. On se retrouvait tous sept dans une baignoire, chacun la sienne, pour plus de confort. Un employé des douches venait nous laver. Là encore un chacun pour plus de confort. Nous étions sept, les six recruté et Jaffa à qui on accordait le même traitement que pour nous.
Ils avait de sortes d'éponge d'une incroyable douceur sur notre peau. On nous racontait qu'elles provenait d'un animal marin. Ça nous a bien fait rire, un poisson ! Enfin ça n'y ressemblait pas, même si les poissons de la mer étaient différents des poissons de nos rivières, c'était une blague … On ne saura donc jamais comment c'était fait.
On nous laissait tremper ensuite pendant un moment et quand on venait nous sortir de l'eau nous étions détendus, et notre peau avait repris sa couleur normale, ambrée.
On nous allongeait sur une table et un masseur venait nous malaxer la couenne, c'était nouveau pour moi, et peut être pas seulement pour moi. Mais c'était très agréable. Rapidement nous gémissions tous de plaisir, tous mes muscles se détendaient et c'était un grand plaisir après un tel voyage.
On nous retournait et quand on était sur le dos, je remarquais les réaction chez mes camarades, y compris chez Jaffa. On bandait tous, nos queues se réveillaient et se révoltaient. Nos dispositifs de chasteté se relevaient sous la pression. Ils continuaient à assurer leurs fonctions mais il ne pouvaient pas dissimuler totalement les réaction naturelles.
Surtout que les masseurs ne se privaient de nous appliquer des caresses très intimes, quand la main remontait sur la cuisse, elle remontait jusqu'en haut de la cuisse et elle insistait longuement sur les couilles. En tout cas c'est ce que me faisait le mien.
Il insistait sur chaque partie de mon corps, la base de mon sexe, les couilles, pour ce qui est de ma bite, là il ne pouvait pas faire grand chose mais elle se révoltait. Ce n'était pas la première fois et certainement pas la dernière.
Au bout d'une longue séance ...
– voulez vous un massage anal, une sodomie ou pratiquer une fellation ?
Demandait chaque masseur à son client. Ils étaient tous très beau, mais avaient eux aussi une cage à bite. C'étaient les petites mains de l'administration, enfin les petites bites. Avec politesse Jaffa répondait …
– Oui s'il vous plaît. Avec plaisir, une grosse bite devrait me détendre.
– Pareil ! Rajoutait Roël.
C'était un de nos camarades de route, un des recrutés. Je ne vous ai pas donné leurs nom à chacun, ce serait un peut trop compliqué.
Les masseurs se retiraient et deux jeunes hommes bien bâtis et surtout bien montés arrivaient quelques instants plus tard. Je me redressais pour pouvoir mieux regarder.
Ils commençaient en lubrifiant bien à fond le cul des deux demandeurs. Ils introduisaient un doigt puis un deuxième et comme ça passait ils forçaient un peu et en glissaient un troisième.
Mes deux camarades gémissaient de plaisir. C'était excitant, ça me faisait bander ferme dans ma cage, elle se relevait et cette cage maudite devenait rapidement très inconfortable.
– Voulez-vous également un petit massage anal vous aussi ? Me demandait un des enculateurs.
Je déclinait la proposition. Je ne savais pas si ça m'aurait calmé mais je me souvenais de la seule expérience que j'avais faite. La fois ou je m'était pris une grosse bite dans le cul. Ça m'avait fait un mal de chien. Et les deux enculateurs étaient bien montés.
Il continuait, avec seulement deux doigts bien enfoncé dans le cul du client. Rapidement chacun de mes camarades gémissait avec un plaisir non dissimulé.
– Tu aimes ? Demandais-je à Jaffa. C'est vraiment agréable.
– Ooooooh oui c'est bon ! Me répondait Jaffa.
Il n'en rajoutait pas d'avantage, il n'arrivait pas à parler il ne pouvait que gémir. Notre autre camarade était dans le même état. Lui aussi il gémissait, lui aussi il râlait pour exprimer son plaisir.
L'enculateur qui s'occupait du cul de mon camarade, retirait ses doigts, lubrifiait généreusement et sans en demander plus lui enfonçait sa queue, sa très belle queue en un mouvement rapide et décidé.
Jaffa s'est mis à hurler. Oh ça n'a pas duré il a juste poussé un hurlement puis il respirait fort, très fort. Moi aussi j'étais bien monté et sans cette cage, cette cage maudite je l'aurais bien enculé le petit Jaffa. Ça n'aurait pas été la première fois, avant de partir nous dormions ensemble depuis quelques temps avant notre départ.
De toutes façons, entre hommes ça ne compte pas. Donc j'étais pur, nous étions purs tous les deux. Mais lui, il avait un dispositif de chasteté en Acier D' Extrêmasie depuis maintenant des années.
Jaffa continuer à gémir, son enculateur était maintenant allongé sur lui et lui enfonçait sa queue avec régularité et une certaine fluidité. Ça glissait bien. Jaffa gémissait il avait l'air d'aimer. Moi je bandais douloureusement, j'aurais volontiers pris la place. Je me souvenait de nos ébats avant notre départ.
L'enculateur accélérait, il limait le cul de Jaffat de plus en plus vite de plus en plus fort. Il frappait les fesses de mon camarade avec force, par moment on entendait son ventre claquer sur les fesses de Jaffa.
Il ressortait presque totalement, marquait une pause très courte, à peine le temps de déposer un baiser en haut du dos de son client et brusquement avec force et rapidité, il enfonçait sa queue bien à fond.
C'était un monde étrange que je supposais même pas. Un monde dans lequel le métier d'enculateur-masseur existait et en plus était un métier très honorable. Des notables, des personnes très en vue avaient recours à leur service.
Les coups pleuvaient il étaient deux enculateurs à s'énerver sur leur clients, les gémissements résonnaient dans la salle. Il y avait cinq spectateurs, les cinq autres recrutés pour ce travail à la cour du roi.
Tout finissait pas se calmer, plus de bruits, plus de gémissements. Les enculateurs se retiraient, ils essuyaient les fesses de leurs clients et se retiraient.
On ne parlait pas, chacun regardait les autres, on bandait enfin les cinq d'entre nous qui avaient été spectateurs bandaient. Pour moi c'était presque douloureux pourtant ces dispositifs en ivoire de dentosaures étaient confortables.
On nous laissait nous détendre, puis on nous servait un rafraîchissement sur notre terrasse. Les boissons étaient froides, je ne sais pas comment ils faisaient ça, mais bon ils arrivaient bien à produire de l'eau juste avec de l'air alors pourquoi pas ces petites pierres qui flottaient dans nos verres.
Ils appelaient ça de la glace …
A suivre
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