Le Roy 10 Un de moins
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Roy 10 Un de moins
Le Roy 10
Un de moins
Nous devions rester deux jours, ensuite une caravane administrative partirait vers le port des grands fonds. Pendant ce temps, on nous laissait libre de notre emploi du temps.
Je faisais du tourisme. Un chapeau sur la tête et des sandales aux pieds, je découvrais la ville. Ça ne se voyait pas mais il y avait des moulins à eau un peu partout, je n'ai jamais compris comment ça marchait ce genre de truc, c'était magique, ça devait être ça, sinon je ne comprends pas. Le vent faisait tourner les pales et de l'eau coulait, en dessous de chaque moulin il y avait une fontaine, l'eau coulait partout sous les arbres alors que la ville n'avait pas de source et se trouvait en plein milieu d'un désert.
La ville semblait agréable, il y avait le quartier des plaisirs, c'était là ou nous étions arrivés, mais il y avait aussi un quartier plus sérieux. Des gens qui travaillaient honnêtement. Des gens qui élevaient des moutons par exemple, qui filaient la laine et qui en faisaient des tissus de grande qualité. Je connaissais bien les moutons et je savais que la laine pouvait donner un tissus qui protégeait du froid mais on pouvait aussi en faire plein d'autres choses … Je ne sais pas si vous voyez la situation, ici, on avait pas vraiment besoin de vêtements qui nous protégeraient du froid …
Un peu plus tard dans la journée je revenais à l'hôtel. Je remarquais un de mes camarades de voyage qui entrait dans une maison en face de notre hôtel. Une femme d'une grande beauté qui ne portait sur elle que des colliers le recevait, elle s'écartait pour le laisser entrer et le suivait. Il y avait aussi un homme avec sur lui un chapeau qui semblait habiter ici, il les suivait à l'intérieur.
Je m'installais à une fontaine et me détendais. Il y faisait frai et l'eau qui coulait juste à côté de moi me reposait. Je somnolais un petit moment.
Tout était calme, pas un bruit, les jeunes comme les plus vieux se prélassaient à l'ombre de ces arbres étranges sous lesquels il faisait presque froid. Tiens, j'ai dit presque, je dois commencer à m'habituer. Mon lieutenant recruteur arrivait, il semblait repérer les lieux et se dirigeait ver le bâtiment ou mon camarade de voyage était rentré.
Il entrait, je le suivais. Il y avait un homme qui somnolait dans la première salle, il faisait pas attention à nous. Dans la seconde salle, une femme. Elle nous observait, elle ne bougeait pas, d'un regard elle indiquait au recruteur la salle au fond, derrière les rideaux épais. Je ne comprenais pas vraiment ce qui se passait.
Le recruteur avançais et ouvrait le rideau, je suivais toujours.
Il y avait mon camarade allongé sur le dos, l'homme que j'avais vu plus tôt lui avait soulevé les jambes et le limait généreusement. Il y allait le bougre, ça c'était un enculateur, il connaissait bien son boulot le gars. Tout était normal quoi. Mais en regardant de plus près il y avait aussi cette femme très belle.
Elle était dans une position scabreuse, les jambes écartées, bien écartées, les cuisses contre les oreilles de mon camarade elle se faisait lécher la chatte et gémissait de plaisir.
Je m'approchais pour mieux voir.
Rapidement ma queue protestait dans sa cage, elle tentait de prendre du volume et je sentais les barreaux de ma cage se resserrer sur ma nouille.
L'enculateur glissait rapidement, je me demandais comment mon camarade pouvait encaisser tout ça. L'enculateur était bien membré, particulièrement bien membré et il y allait, il ne se retenait pas et il faisait claquer son ventre sur les fesses de sa victime. Oui je dis victime, il était dans une position ou il ne pouvait qu'encaisser, et il encaissait bien.
Je n'ai pas vu tout de suite ou était sa tête, je n'ai pas vu qu'elle était coincé entre les cuisses de la femme. Je n'ai pas vu ce qu'il faisait. En m'approchant je devinais les mouvement de sa langue, qu'il passait et repassait dans cette zone mystérieuse entre les cuisses de la dame.
Il se cramponnait au lit avec ses deux mains. Il était bousculé dans un sens puis dans l'autre par l'enculateur et la dame se penchait sur lui par moment pour lui caresser le corps.
Coincé entre les cuisse de cette femme qui avait gardé ses colliers il ne pouvait rien entendre, les colliers se heurtaient et faisaient un bruit, un tintement clair. Contre ses fesses, le ventre de son partenaire claquait avec régularité autant qu'avec force.
On l'entendait gémir. On entendait des bruits étranges qu'il faisait. Mais en y prêtant plus attention, il me semblait difficile de deviner qui gémissait, lui ou son enculateur, pour la femme, la voix plus aiguë ne trompait pas. Elle aussi gémissait de plaisir.
Le lieutenant recruteur bandait, il regardait la scène sans bouger mais il bandait. Rappelez vous que nous étions tous nus, et nus en permanence. Le recruteur ne portait qu'une paire de sandale et un couvre chef qui indiquait son rang et sa fonction.
Il se retournait vers moi et avec une voix claire et ferme.
– Ils m'échauffent bien tous les trois, retourne toi je vais t'enculer.
Le ton était ferme, j'étais paralysé, j'étais pétrifié, je ne trouvais pas les mots pour refuser et je m'exécutais. J'avais déjà essayé de me faire enculer une fois et vous devez le savoir, je n'avais pas aimé, c'était pas pour moi ça. Ça avait été très douloureux. Mais je ne savais pas ce qui se passait dans ma tête. Je ne parvenais pas à dire non.
Je me retournais et je m'appuyais sur un petit meuble. La dame me regardait et me faisait un sourire. Le recruteur se lubrifiait généreusement la queue, elle était de grosse taille. Elle ne devait pas être plus grosse que celui qui m'avait déjà enculé une fois. Il m'avait fait mal, très mal et je tremblais de trouille en le laissant faire. J'avais comme l'impression de voir la scène du bout de la salle, j'étais comme sorti de mon corps.
Il me lubrifiait le cul, y glissait rapidement un puis deux doigts qu'il agitait. Jusque là ça allait. C'était un peu douloureux mais ça allait. Ensuite sans attendre, il positionnait sa queue contre mon cul et poussait.
J'ai crié, l'enculateur s'est retourné et nous voyant m'a souri. La dame semblait apprécier le spectacle. Moi j'avais mal mais je tenais le coup. Rapidement le recruteur s'enfonçait en moi, je sentait sa queue qui glissait douloureusement entre mes reins et s'enfonçait de plus en plus profond. Douloureusement pour moi. Pour lui ça devait juste être étroit, il était large et j'aurais voulu pouvoir me sauver en courant mais je ne parvenais toujours pas à bouger.
Son ventre s'est finalement écrasé sur mes fesses. J'ai cru défaillir. C'était volent, terrible, intense, c'était surtout douloureux. C'était plus supportable que la première fois ou alors c'était la situation. Le recruteur, à mes yeux était comme un chef, il ordonnait et moi j'exécutais. J'étais soumis à sa volonté, j'étais sous ses ordres et j'étais obéissant.
C'était terrible, son membre entrait et sortait avec vigueur, il accélérait le mouvement et ne m'épargnait rien. Bientôt c'était son ventre qui claquait contre mes fesses et à chaque coup que je recevais la douleur brûlait en moi. Sa queue allait loin et profond dans mes entrailles et là aussi c'était douloureux. C'était l'enfer.
Il m'a limer ainsi pendant un moment. Les trois autres continuaient et c'est la femme qui contrôlait la situation, elle gémissait de plaisir, criait et vibrais. Elle était suivi quelques instants plus tard par l'enculateur. C'était son employé et rien ne prouve qu'il avait joui mais il suivait, comme on obéi à un ordre.
Les derniers coups que j'ai reçu m'ont retourné, autant au niveau de mon cul que dans le fond de mes entrailles. J'ai gémi, je ne me sentais pas très bien et je ne comprenais toujours pas pourquoi j'avais laissé faire.
Je n'y étais pas obligé et je me jurais de ne plus, de ne jamais plus recommencer.
La maîtresse des lieux, l'enculateur se retirait. Notre camarade de voyage nous regardait. Il ne nous avait pas entendu, les cuisses de la dame lui avaient totalement bouché les oreilles. Il avait l'air sonné et c'est avec un regard étonné qu'il nous regardait.
– Tu t'est bien amusé ? Lui demandait le lieutenant recruteur.
Notre camarade ne répondait rien. Il récupérait, j'étais un peu sonné mais lui aussi. Son esprit, tout comme le mien, devait être un peu embrumé.
Dehors il faisait frais sous les arbres. Je me sentais tout bizarre, pas vraiment bien au niveau de mon ventre. Je sentais encore la présence de la grosse queue que je venais de me prendre dans le cul. Et j'en ressentais encore la douleur.
J'ai préféré m'asseoir juste à côté d'une fontaine. Le bruit de l'eau qui coulait avec bruit si particulier me détendait. La douleur au niveau de mon anus mais aussi dans mon ventre semblait rayonner dans tout mon corps, je me sentais toujours étrange, pas vraiment bien.
C'était décidé, ce genre de pratique n'étaient pas pour moi, bien sûr on me disait, on m'avait déjà expliqué que la première fois ça pouvait faire très mal, sur ce point c'était exacte. Mais on m'avait aussi expliqué et on m'expliquait encore que par la suite ça peut être la source d'un immense plaisir. Je ne le saurais jamais car c'était décidé. Je ne recommencerais jamais ! C'était trop horrible.
Quand je rentrais à l'hôtel, je marchais d'un pas encore hésitant. Je n'avais pas encore récupéré. Il ne faut pas oublier que pour moi, c'était la première fois. Enfin presque …
Nous étions un de moins à table le soir.
– Il ne pourras dire qu'il n'était pas au courant ! S'exclamait le lieutenant recruteur.
Tout le monde le regardait.
– Il a touché à une femme le bougre, et il savait que c'était interdit.
Il racontait à tout le monde, je confirmais. Le reste du repas se terminait dans le plus grand silence. Nous savions tous que nous devions être vierge, pur. Entre homme comme vous le savez, ça ne compte pas.
Notre camarade avait tout simplement été viré.
Il avait été chassé, avec sa cage à bite, il devrait rentrer chez lui comme il le pourrait. On trouvait toujours des caravanes et en travaillant on pouvait se payer le voyage. C'est chez lui, là ou il avait été recruté qu'il pourrait faire une demande de restitution de sa clé, elle lui serait restitué, ça ne faisait aucun doute mais ça pouvait prendre plusieurs mois.
Il se retrouvait donc condamné à porter ce truc pendant encore un long moment. Le recruteur nous racontait qu'il avait déjà obligé un gars de le porter pendant deux ans, le temps qu'il lui avait fallu pour rentrer et le temps nécessaire à l'administration pour remplir ses obligations de restitution.
En plus le gars était chassé avec ce qui lui appartenait, dans notre cas à tous ça se limitait à un balluchon. Nous étions, nous vivions nus.
Quand je montais dans ma chambre, depuis le balcon, je pouvais le voir traverser la place. Il retournait vers cette maison de plaisir ou il avait fauté. Les dames sont accueillantes paraît-il, surtout quand on sait leur donner du plaisir. De toutes évidences, il savait faire.
Le jour de notre départ, je l'ai revu, il avait trouvé un petit boulot d'enculer-suceur, chez cette dame. Il y resterait quelques mois puis tenterait de repartir avec une caravane. Il n'était pas ravis de devoir le garder, il commençait vraiment à regretter sa légèreté.
La caravane officielle repartait, on suivait. Le ton avait un peu changé, le départ de notre camarade avait secoué tout le monde. Seul Jaffa ne semblait pas souffrir de ce petit changement ni de son dispositif mais il est vrai que lui avait bien l'habitude, il le portait depuis quelques années.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Un de moins
Nous devions rester deux jours, ensuite une caravane administrative partirait vers le port des grands fonds. Pendant ce temps, on nous laissait libre de notre emploi du temps.
Je faisais du tourisme. Un chapeau sur la tête et des sandales aux pieds, je découvrais la ville. Ça ne se voyait pas mais il y avait des moulins à eau un peu partout, je n'ai jamais compris comment ça marchait ce genre de truc, c'était magique, ça devait être ça, sinon je ne comprends pas. Le vent faisait tourner les pales et de l'eau coulait, en dessous de chaque moulin il y avait une fontaine, l'eau coulait partout sous les arbres alors que la ville n'avait pas de source et se trouvait en plein milieu d'un désert.
La ville semblait agréable, il y avait le quartier des plaisirs, c'était là ou nous étions arrivés, mais il y avait aussi un quartier plus sérieux. Des gens qui travaillaient honnêtement. Des gens qui élevaient des moutons par exemple, qui filaient la laine et qui en faisaient des tissus de grande qualité. Je connaissais bien les moutons et je savais que la laine pouvait donner un tissus qui protégeait du froid mais on pouvait aussi en faire plein d'autres choses … Je ne sais pas si vous voyez la situation, ici, on avait pas vraiment besoin de vêtements qui nous protégeraient du froid …
Un peu plus tard dans la journée je revenais à l'hôtel. Je remarquais un de mes camarades de voyage qui entrait dans une maison en face de notre hôtel. Une femme d'une grande beauté qui ne portait sur elle que des colliers le recevait, elle s'écartait pour le laisser entrer et le suivait. Il y avait aussi un homme avec sur lui un chapeau qui semblait habiter ici, il les suivait à l'intérieur.
Je m'installais à une fontaine et me détendais. Il y faisait frai et l'eau qui coulait juste à côté de moi me reposait. Je somnolais un petit moment.
Tout était calme, pas un bruit, les jeunes comme les plus vieux se prélassaient à l'ombre de ces arbres étranges sous lesquels il faisait presque froid. Tiens, j'ai dit presque, je dois commencer à m'habituer. Mon lieutenant recruteur arrivait, il semblait repérer les lieux et se dirigeait ver le bâtiment ou mon camarade de voyage était rentré.
Il entrait, je le suivais. Il y avait un homme qui somnolait dans la première salle, il faisait pas attention à nous. Dans la seconde salle, une femme. Elle nous observait, elle ne bougeait pas, d'un regard elle indiquait au recruteur la salle au fond, derrière les rideaux épais. Je ne comprenais pas vraiment ce qui se passait.
Le recruteur avançais et ouvrait le rideau, je suivais toujours.
Il y avait mon camarade allongé sur le dos, l'homme que j'avais vu plus tôt lui avait soulevé les jambes et le limait généreusement. Il y allait le bougre, ça c'était un enculateur, il connaissait bien son boulot le gars. Tout était normal quoi. Mais en regardant de plus près il y avait aussi cette femme très belle.
Elle était dans une position scabreuse, les jambes écartées, bien écartées, les cuisses contre les oreilles de mon camarade elle se faisait lécher la chatte et gémissait de plaisir.
Je m'approchais pour mieux voir.
Rapidement ma queue protestait dans sa cage, elle tentait de prendre du volume et je sentais les barreaux de ma cage se resserrer sur ma nouille.
L'enculateur glissait rapidement, je me demandais comment mon camarade pouvait encaisser tout ça. L'enculateur était bien membré, particulièrement bien membré et il y allait, il ne se retenait pas et il faisait claquer son ventre sur les fesses de sa victime. Oui je dis victime, il était dans une position ou il ne pouvait qu'encaisser, et il encaissait bien.
Je n'ai pas vu tout de suite ou était sa tête, je n'ai pas vu qu'elle était coincé entre les cuisses de la femme. Je n'ai pas vu ce qu'il faisait. En m'approchant je devinais les mouvement de sa langue, qu'il passait et repassait dans cette zone mystérieuse entre les cuisses de la dame.
Il se cramponnait au lit avec ses deux mains. Il était bousculé dans un sens puis dans l'autre par l'enculateur et la dame se penchait sur lui par moment pour lui caresser le corps.
Coincé entre les cuisse de cette femme qui avait gardé ses colliers il ne pouvait rien entendre, les colliers se heurtaient et faisaient un bruit, un tintement clair. Contre ses fesses, le ventre de son partenaire claquait avec régularité autant qu'avec force.
On l'entendait gémir. On entendait des bruits étranges qu'il faisait. Mais en y prêtant plus attention, il me semblait difficile de deviner qui gémissait, lui ou son enculateur, pour la femme, la voix plus aiguë ne trompait pas. Elle aussi gémissait de plaisir.
Le lieutenant recruteur bandait, il regardait la scène sans bouger mais il bandait. Rappelez vous que nous étions tous nus, et nus en permanence. Le recruteur ne portait qu'une paire de sandale et un couvre chef qui indiquait son rang et sa fonction.
Il se retournait vers moi et avec une voix claire et ferme.
– Ils m'échauffent bien tous les trois, retourne toi je vais t'enculer.
Le ton était ferme, j'étais paralysé, j'étais pétrifié, je ne trouvais pas les mots pour refuser et je m'exécutais. J'avais déjà essayé de me faire enculer une fois et vous devez le savoir, je n'avais pas aimé, c'était pas pour moi ça. Ça avait été très douloureux. Mais je ne savais pas ce qui se passait dans ma tête. Je ne parvenais pas à dire non.
Je me retournais et je m'appuyais sur un petit meuble. La dame me regardait et me faisait un sourire. Le recruteur se lubrifiait généreusement la queue, elle était de grosse taille. Elle ne devait pas être plus grosse que celui qui m'avait déjà enculé une fois. Il m'avait fait mal, très mal et je tremblais de trouille en le laissant faire. J'avais comme l'impression de voir la scène du bout de la salle, j'étais comme sorti de mon corps.
Il me lubrifiait le cul, y glissait rapidement un puis deux doigts qu'il agitait. Jusque là ça allait. C'était un peu douloureux mais ça allait. Ensuite sans attendre, il positionnait sa queue contre mon cul et poussait.
J'ai crié, l'enculateur s'est retourné et nous voyant m'a souri. La dame semblait apprécier le spectacle. Moi j'avais mal mais je tenais le coup. Rapidement le recruteur s'enfonçait en moi, je sentait sa queue qui glissait douloureusement entre mes reins et s'enfonçait de plus en plus profond. Douloureusement pour moi. Pour lui ça devait juste être étroit, il était large et j'aurais voulu pouvoir me sauver en courant mais je ne parvenais toujours pas à bouger.
Son ventre s'est finalement écrasé sur mes fesses. J'ai cru défaillir. C'était volent, terrible, intense, c'était surtout douloureux. C'était plus supportable que la première fois ou alors c'était la situation. Le recruteur, à mes yeux était comme un chef, il ordonnait et moi j'exécutais. J'étais soumis à sa volonté, j'étais sous ses ordres et j'étais obéissant.
C'était terrible, son membre entrait et sortait avec vigueur, il accélérait le mouvement et ne m'épargnait rien. Bientôt c'était son ventre qui claquait contre mes fesses et à chaque coup que je recevais la douleur brûlait en moi. Sa queue allait loin et profond dans mes entrailles et là aussi c'était douloureux. C'était l'enfer.
Il m'a limer ainsi pendant un moment. Les trois autres continuaient et c'est la femme qui contrôlait la situation, elle gémissait de plaisir, criait et vibrais. Elle était suivi quelques instants plus tard par l'enculateur. C'était son employé et rien ne prouve qu'il avait joui mais il suivait, comme on obéi à un ordre.
Les derniers coups que j'ai reçu m'ont retourné, autant au niveau de mon cul que dans le fond de mes entrailles. J'ai gémi, je ne me sentais pas très bien et je ne comprenais toujours pas pourquoi j'avais laissé faire.
Je n'y étais pas obligé et je me jurais de ne plus, de ne jamais plus recommencer.
La maîtresse des lieux, l'enculateur se retirait. Notre camarade de voyage nous regardait. Il ne nous avait pas entendu, les cuisses de la dame lui avaient totalement bouché les oreilles. Il avait l'air sonné et c'est avec un regard étonné qu'il nous regardait.
– Tu t'est bien amusé ? Lui demandait le lieutenant recruteur.
Notre camarade ne répondait rien. Il récupérait, j'étais un peu sonné mais lui aussi. Son esprit, tout comme le mien, devait être un peu embrumé.
Dehors il faisait frais sous les arbres. Je me sentais tout bizarre, pas vraiment bien au niveau de mon ventre. Je sentais encore la présence de la grosse queue que je venais de me prendre dans le cul. Et j'en ressentais encore la douleur.
J'ai préféré m'asseoir juste à côté d'une fontaine. Le bruit de l'eau qui coulait avec bruit si particulier me détendait. La douleur au niveau de mon anus mais aussi dans mon ventre semblait rayonner dans tout mon corps, je me sentais toujours étrange, pas vraiment bien.
C'était décidé, ce genre de pratique n'étaient pas pour moi, bien sûr on me disait, on m'avait déjà expliqué que la première fois ça pouvait faire très mal, sur ce point c'était exacte. Mais on m'avait aussi expliqué et on m'expliquait encore que par la suite ça peut être la source d'un immense plaisir. Je ne le saurais jamais car c'était décidé. Je ne recommencerais jamais ! C'était trop horrible.
Quand je rentrais à l'hôtel, je marchais d'un pas encore hésitant. Je n'avais pas encore récupéré. Il ne faut pas oublier que pour moi, c'était la première fois. Enfin presque …
Nous étions un de moins à table le soir.
– Il ne pourras dire qu'il n'était pas au courant ! S'exclamait le lieutenant recruteur.
Tout le monde le regardait.
– Il a touché à une femme le bougre, et il savait que c'était interdit.
Il racontait à tout le monde, je confirmais. Le reste du repas se terminait dans le plus grand silence. Nous savions tous que nous devions être vierge, pur. Entre homme comme vous le savez, ça ne compte pas.
Notre camarade avait tout simplement été viré.
Il avait été chassé, avec sa cage à bite, il devrait rentrer chez lui comme il le pourrait. On trouvait toujours des caravanes et en travaillant on pouvait se payer le voyage. C'est chez lui, là ou il avait été recruté qu'il pourrait faire une demande de restitution de sa clé, elle lui serait restitué, ça ne faisait aucun doute mais ça pouvait prendre plusieurs mois.
Il se retrouvait donc condamné à porter ce truc pendant encore un long moment. Le recruteur nous racontait qu'il avait déjà obligé un gars de le porter pendant deux ans, le temps qu'il lui avait fallu pour rentrer et le temps nécessaire à l'administration pour remplir ses obligations de restitution.
En plus le gars était chassé avec ce qui lui appartenait, dans notre cas à tous ça se limitait à un balluchon. Nous étions, nous vivions nus.
Quand je montais dans ma chambre, depuis le balcon, je pouvais le voir traverser la place. Il retournait vers cette maison de plaisir ou il avait fauté. Les dames sont accueillantes paraît-il, surtout quand on sait leur donner du plaisir. De toutes évidences, il savait faire.
Le jour de notre départ, je l'ai revu, il avait trouvé un petit boulot d'enculer-suceur, chez cette dame. Il y resterait quelques mois puis tenterait de repartir avec une caravane. Il n'était pas ravis de devoir le garder, il commençait vraiment à regretter sa légèreté.
La caravane officielle repartait, on suivait. Le ton avait un peu changé, le départ de notre camarade avait secoué tout le monde. Seul Jaffa ne semblait pas souffrir de ce petit changement ni de son dispositif mais il est vrai que lui avait bien l'habitude, il le portait depuis quelques années.
A suivre
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Mouais, on me l'a déjà dit ...
J'aime toujours autant ton histoire avec ses personnages attachants et émouvants, mais c'est perturbant cette façon d'employer constamment l'imparfait alors qu'un autre temps s'imposerait.