Le roy 14 L'oracle
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le roy 14 L'oracle
Le roy 14
L'oracle
L'officiel était le douanier et c'est à la douane qu'il nous conduisait pour une inspection, tout comme nous il était nu, on le suivait. Ma queue protestait comme jamais dans sa cage ce devait être ses fesses. Ce mec avait de très belles fesses, un cul de prince je vous dit et comme moi ça faisait un moment que ma queue se ratatinait dans une cage microscopique …
J'avais une violente envie de lui défoncer le cul. Ma cage se relevait, je ne bandais pas vraiment, non. Ça je ne pouvait pas mais ma queue essayait tout de même. Personne ne s'occupait de moi, de ma cage trop petite, de ma queue qui hurlait, c'est vrai que tout le monde parmi mon groupe était dans le même état que moi. Même ceux qui s'était fait défoncé le cul la veille était dans le même état que moi. J'en concluais que ça ne servait à rien et que donc j'avais bien fait de ne pas céder .
Nous arrivions au poste de douane, le douanier se retournait vers nous.
– Bon maintenant fouille intégrale, pour savoir si vous ne cachez rien sur vous ! Déclarait-il sur un ton très autoritaire.
Nous étions tous à poil, on se regardait les uns les autres. Il pouffait de rire.
– J'adore dire ça. Rajoutais le douanier. On va vous conduire au palais, tout s'est bien passé ?
On était tombé sur un comique du coin ...
Il discutait avec nous pendant un moment, chacun d'entre nous devait normalement rester cinq ans, c'était la durée de notre contrat. Il faisait connaissance avec le les futurs membres du premier cercle. On ne sait jamais, nous serions conduit à côtoyer le roi et à le voir tous les jours.
Ensuite on nous conduisait au palais. Passé l'entrée monumentale, nous traversions une cour carrée, c'était le domaine des visiteurs. Nous entrions ensuite dans un bâtiment, une très grande salle avec un plafond très haut, un hôtel pour faire des sacrifices. Bah tant que le sacrifice ce ne serait pas nous, tout allait bien. On nous faisait asseoir sur un large banc. Puis arrivait un petit homme gris, avec des cheveux gris, une barbe grise mal taillée. Il devait être vieux, et n'avait aucun avantages. Il était terriblement laid.
Il venait s'asseoir sur un petit siège devant l'hôtel et nous faisait signe.
– Le premier de ces messieurs ! Disait-il sur un ton neutre, gris lui aussi.
Celui qui était tout à droite se levait et avançait vers le vieux monsieur.
Ce dernier le regardait du haut en bas avec un regard perçant. Il semblait comme regarder au travers de notre camarade et nous nous sentions soudain mal à l'aise. Ce vieux monsieur mettait tout le monde mal à l'aise. Notre camarade ne savait plus quoi faire …
– Es tu pure ? Demandait le vieux monsieur.
– Pure ? Je ne sais pas ! Répondait notre camarade en hésitant.
– As tu déjà touché une femme intimement ?
– Non ça jamais ! Je suis vierge des femmes !
Le vieux monsieur se levait regardait dans les yeux de notre camarade qui commençait à transpirer et à trembler.
– Tu dis vrai ! Sois le bienvenu dans le premier cercle.
Notre camarade retournait à sa place, il avait l'air bouleversé. Le suivant s'approchait du vieux monsieur.
La même scène se produisait et avait la même conclusion. Puis c'était le troisième d'entre nous. Puis c'était mon tour …
– Es-tu pur ? Me demandait le vieux monsieur.
– Oui je le suis.
Comme mes camarades qui étaient passé avant moi, je transpirais, un peu comme si je mentais. Mais je savais bien moi que je ne mentais pas, ce personnage gris me mettait mal à l'aise, très mal à l'aise. Je tremblais, comme si j'étais pris en faute. Allait-il me croire, je devinais que ce monsieur avait le pouvoir de rejeter n'importe lequel d'entre nous.
– Tu dis vrai, retourne t'asseoir !
J'ai bien cru que j'allais m'évanouir. La tête me tournais. Le suivant prenait ma place.
– Es-tu pur ?
– Oui je le suis ! Répondait mon camarade sur un ton serein.
Les yeux du vieux monsieur devenait tout rond, un éclair de lumière semblait en sortir et le vieux monsieur se redressait alors avec force. Il était tout petit mais à cet instant il semblait plus grand que mon camarade.
– MENTEUR !
Mon camarade chancelait et tombait assis sur le sol.
– C'ÉTAIT IL Y A BIEN LONGTEMPS MAIS ÇA NE CHANGE RIEN AU FAIT ! S'exclamait le vieux monsieur.
Sur le sol notre camarade ne bougeait plus, il pleurait. Il pleurait à chaude larmes. Il gémissait en pleurant.
– Tu te souviens de ta cousine ? Lui demandait le vieux monsieur. Tu n'avais pas plus de douze ans et elle à peine. Tu te souviens, pendant des semaines vous aviez eu peur d'avoir un enfant. TU TE SOUVIENS MAINTENANT ?
Je ne vous dis pas mais là, il avait plombé l'ambiance. Plus personne ne bougeait, on avait même l'impression que plus personne ne respirait. On entendait des pas qui s'approchaient, c'était la garde externe. Les soldats soulevaient notre camarade, et l'emmenaient. Un soldat prenait son balluchon, nous en avions tous un et tout ce que nous possédions était dedans.
Nous ne l'avons jamais revu, on nous a dit qu'il avait été chassé, qu'il ne retirerait jamais son dispositif de chasteté, qu'il était devenu un paria, qu'il n'aurait plus jamais le droit de séjourner dans une ville … On nous a dit beaucoup de conneries …
Jaffa passait en dernier. Le vieux monsieur lui demandait comme pour chacun d'entre nous s'il était pur.
– Oui je le suis ! Répondait Jaffa sur un ton résigné.
– Tu dis vrai, tu es pur mais tu ne le resteras pas et tu auras une grande descendance.
Jaffa ne comprenait pas, il n'avait pas la clé de son dispositif et personne ne pouvait le lui retirer. Mais comme lui disait un des gardes qui nous accompagnait vers la seconde salle.
– L'oracle a parlé, on dit qu'il ne se trompe jamais !
La salle suivante était l'armurerie, c'est là qu'on nous retirait nos dispositifs de chasteté. Je me sentais mieux, je me sentais soudainement bien mieux. Ce qui était étrange c'est que je bandais pas, on me disait que c'est normal qu'il faut quelques heures pour le corps comprenne.
Nous étions désormais quatre nouveau membres du premier cercle royal et mon camarade Jaffa. On nous invitait à passer la nuit et à nous restaurer dans le quartier des gardes. On a bien mangé et on s'est retrouver ensuite dans notre chambre, cinq lits. Jaffa continuait à me suivre, ou j'étais reçu, il l'était.
Le soir on discutait, on parlait de cul pour être précis et rapidement Jaffa était sollicité. Il s'en amusait mais c'est à moi qu'il voulait faire plaisir. Il savait comment ça m'avait manqué, on s'était déjà pratiqué dans le passé.
Il se penchait sur moi et prenait ma queue toute molle dans la bouche. C'était doux, c'était humide, c'était chaud, c'était agréable et rapidement mon corps se souvenait, rapidement je bandais. Quand j'avais le dispositif sur moi je bandais tout le temps mais maintenant que je ne le portais plus il me fallait une stimulation. Ça me semblait une réaction étrange mais c'était normal.
Au bout de quelques instants je bandais ferme et ma queue s'enfonçait dans sa gorge, je l'encourageait en appuyant tout doucement sur sa tête. Mes camarade nous regardaient au début puis sont passé à un câlin, ils se sont regroupés, l'un prenait dans sa bouche la queue de l'autre, l'autre prenait la queue du suivant. Ils se mélangeaient et recommençaient. Chacun s'en donnait à cœur joie et moi je sentais la langue de Jaffa sur ma bite.
Je ne sais pas si c'était une impression mais il me semblait qu'il suçait encore mieux qu'avant cette période de chasteté. C'est vrai que lui avait continué à s'entraîner.
Sans prévenir ni demander quoi que ce soit un de mes camarade se lubrifiait généreusement la queue, se glissait derrière Jaffa et la lui enfonçait en un mouvement rapide et efficace. Jaffa à bien gémi un peu, mais n'a pas essayé de se dégager. Il a continuer à me sucer, et toujours avec la même conviction.
Il avalait mon pénis jusqu'à la gorge, je gémissais et me tordais de plaisir, il se tordait lui aussi de plaisir mais ça, c'était à cause de notre camarade qui lui défonçait le cul. Nous savons depuis longtemps que Jaffa aime se faire défoncer le cul. Le le prendrai comme second époux quand nous seront revenus à la maison. Je prendrai une femme et un époux … Je vous l'ai déjà dit je crois, je ne sais plus. Mais vous savez si le second époux porte une cage de chasteté en permanence, c'est autorisé !
Je sentais Jaffa qui bougeait d'avant en arrière, notre ami le tirait en arrière quand il lui enfonçait sa bite dans le cul et le repoussait en avant quand il se retirait, et il accélérait de plus en plus.
J'attendais mon tour pour le limer également mais on ne m'en laissait pas le temps, quand le gars se retirait, il jutait abondamment sur les fesses de Jaffa, et était remplacé immédiatement.
Le dernier de nos camarades jutait tout seul, il s'était branlé, il avait lui aussi été bien sucé par celui qui à ce moment défonçait le cul de Jaffa.
Comme je vous le disait ils se mélangeaient et s'enculaient ou se suçaient, ils échangeaient les rôles et recommençaient.
Jaffa était enfin libre, enfin je veux dire, son cul était libre. Je le tirais vers moi et lui demandais de s'asseoir sur moi. Il se présentait de face et s'empalait sur ma queue. J'avais déjà joui mais j'avais les couilles bien pleines et je continuais à bander.
Je repliais les jambes en tailleur, il s'enfonçait doucement sur moi. Ma queue le pénétrait lentement, c'était un plaisir. Pour moi c'était un plaisir intense que j'avais presque oublié, je frémissais de plaisir.
Il repliais ses bras autour de moi, j'en faisait autant et on se caressait. Je sautillait sur mes fesses, je sautillais en bougeant mes genoux. Il resserrait les cuisses autour de mon ventre et se retenait, il se retenait quand il retombait sur moi. J'avais presque oublié que j'avais une aussi grosse queue.
On se couvrait de baisers puis, la fièvre est monté, il respirait de plus en plus fort, de plus en plus vite. J'en faisais de même et je rajoutais un mouvement de bassin, il gémissait. C'est vrai que trois hommes venaient de l'enculer les uns avec les autres, il était stimulé et réagissait très bien.
J'ai joui, j'ai juté, je le tenais très serré dans mes bras, il en faisait de même. Après on ne bougeait plus.
Nos camarades s'étaient couché, ils nous regardaient.
Jaffa s'est allongé à côté de moi, c'est dans ses bras que je me suis réveillé. Le douanier venait nous chercher, on devait se faire beau pour être présenté au roi. On ne porterait rien sur nous, nous serions absolument nus. Ça faisait des semaines que nous portions un dispositif de chasteté et que nous n'étions jamais nus, jamais totalement nus. C'est sans doute pour ça que nous bandions, que nous bandions tous. Jaffa aussi bandait.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
L'oracle
L'officiel était le douanier et c'est à la douane qu'il nous conduisait pour une inspection, tout comme nous il était nu, on le suivait. Ma queue protestait comme jamais dans sa cage ce devait être ses fesses. Ce mec avait de très belles fesses, un cul de prince je vous dit et comme moi ça faisait un moment que ma queue se ratatinait dans une cage microscopique …
J'avais une violente envie de lui défoncer le cul. Ma cage se relevait, je ne bandais pas vraiment, non. Ça je ne pouvait pas mais ma queue essayait tout de même. Personne ne s'occupait de moi, de ma cage trop petite, de ma queue qui hurlait, c'est vrai que tout le monde parmi mon groupe était dans le même état que moi. Même ceux qui s'était fait défoncé le cul la veille était dans le même état que moi. J'en concluais que ça ne servait à rien et que donc j'avais bien fait de ne pas céder .
Nous arrivions au poste de douane, le douanier se retournait vers nous.
– Bon maintenant fouille intégrale, pour savoir si vous ne cachez rien sur vous ! Déclarait-il sur un ton très autoritaire.
Nous étions tous à poil, on se regardait les uns les autres. Il pouffait de rire.
– J'adore dire ça. Rajoutais le douanier. On va vous conduire au palais, tout s'est bien passé ?
On était tombé sur un comique du coin ...
Il discutait avec nous pendant un moment, chacun d'entre nous devait normalement rester cinq ans, c'était la durée de notre contrat. Il faisait connaissance avec le les futurs membres du premier cercle. On ne sait jamais, nous serions conduit à côtoyer le roi et à le voir tous les jours.
Ensuite on nous conduisait au palais. Passé l'entrée monumentale, nous traversions une cour carrée, c'était le domaine des visiteurs. Nous entrions ensuite dans un bâtiment, une très grande salle avec un plafond très haut, un hôtel pour faire des sacrifices. Bah tant que le sacrifice ce ne serait pas nous, tout allait bien. On nous faisait asseoir sur un large banc. Puis arrivait un petit homme gris, avec des cheveux gris, une barbe grise mal taillée. Il devait être vieux, et n'avait aucun avantages. Il était terriblement laid.
Il venait s'asseoir sur un petit siège devant l'hôtel et nous faisait signe.
– Le premier de ces messieurs ! Disait-il sur un ton neutre, gris lui aussi.
Celui qui était tout à droite se levait et avançait vers le vieux monsieur.
Ce dernier le regardait du haut en bas avec un regard perçant. Il semblait comme regarder au travers de notre camarade et nous nous sentions soudain mal à l'aise. Ce vieux monsieur mettait tout le monde mal à l'aise. Notre camarade ne savait plus quoi faire …
– Es tu pure ? Demandait le vieux monsieur.
– Pure ? Je ne sais pas ! Répondait notre camarade en hésitant.
– As tu déjà touché une femme intimement ?
– Non ça jamais ! Je suis vierge des femmes !
Le vieux monsieur se levait regardait dans les yeux de notre camarade qui commençait à transpirer et à trembler.
– Tu dis vrai ! Sois le bienvenu dans le premier cercle.
Notre camarade retournait à sa place, il avait l'air bouleversé. Le suivant s'approchait du vieux monsieur.
La même scène se produisait et avait la même conclusion. Puis c'était le troisième d'entre nous. Puis c'était mon tour …
– Es-tu pur ? Me demandait le vieux monsieur.
– Oui je le suis.
Comme mes camarades qui étaient passé avant moi, je transpirais, un peu comme si je mentais. Mais je savais bien moi que je ne mentais pas, ce personnage gris me mettait mal à l'aise, très mal à l'aise. Je tremblais, comme si j'étais pris en faute. Allait-il me croire, je devinais que ce monsieur avait le pouvoir de rejeter n'importe lequel d'entre nous.
– Tu dis vrai, retourne t'asseoir !
J'ai bien cru que j'allais m'évanouir. La tête me tournais. Le suivant prenait ma place.
– Es-tu pur ?
– Oui je le suis ! Répondait mon camarade sur un ton serein.
Les yeux du vieux monsieur devenait tout rond, un éclair de lumière semblait en sortir et le vieux monsieur se redressait alors avec force. Il était tout petit mais à cet instant il semblait plus grand que mon camarade.
– MENTEUR !
Mon camarade chancelait et tombait assis sur le sol.
– C'ÉTAIT IL Y A BIEN LONGTEMPS MAIS ÇA NE CHANGE RIEN AU FAIT ! S'exclamait le vieux monsieur.
Sur le sol notre camarade ne bougeait plus, il pleurait. Il pleurait à chaude larmes. Il gémissait en pleurant.
– Tu te souviens de ta cousine ? Lui demandait le vieux monsieur. Tu n'avais pas plus de douze ans et elle à peine. Tu te souviens, pendant des semaines vous aviez eu peur d'avoir un enfant. TU TE SOUVIENS MAINTENANT ?
Je ne vous dis pas mais là, il avait plombé l'ambiance. Plus personne ne bougeait, on avait même l'impression que plus personne ne respirait. On entendait des pas qui s'approchaient, c'était la garde externe. Les soldats soulevaient notre camarade, et l'emmenaient. Un soldat prenait son balluchon, nous en avions tous un et tout ce que nous possédions était dedans.
Nous ne l'avons jamais revu, on nous a dit qu'il avait été chassé, qu'il ne retirerait jamais son dispositif de chasteté, qu'il était devenu un paria, qu'il n'aurait plus jamais le droit de séjourner dans une ville … On nous a dit beaucoup de conneries …
Jaffa passait en dernier. Le vieux monsieur lui demandait comme pour chacun d'entre nous s'il était pur.
– Oui je le suis ! Répondait Jaffa sur un ton résigné.
– Tu dis vrai, tu es pur mais tu ne le resteras pas et tu auras une grande descendance.
Jaffa ne comprenait pas, il n'avait pas la clé de son dispositif et personne ne pouvait le lui retirer. Mais comme lui disait un des gardes qui nous accompagnait vers la seconde salle.
– L'oracle a parlé, on dit qu'il ne se trompe jamais !
La salle suivante était l'armurerie, c'est là qu'on nous retirait nos dispositifs de chasteté. Je me sentais mieux, je me sentais soudainement bien mieux. Ce qui était étrange c'est que je bandais pas, on me disait que c'est normal qu'il faut quelques heures pour le corps comprenne.
Nous étions désormais quatre nouveau membres du premier cercle royal et mon camarade Jaffa. On nous invitait à passer la nuit et à nous restaurer dans le quartier des gardes. On a bien mangé et on s'est retrouver ensuite dans notre chambre, cinq lits. Jaffa continuait à me suivre, ou j'étais reçu, il l'était.
Le soir on discutait, on parlait de cul pour être précis et rapidement Jaffa était sollicité. Il s'en amusait mais c'est à moi qu'il voulait faire plaisir. Il savait comment ça m'avait manqué, on s'était déjà pratiqué dans le passé.
Il se penchait sur moi et prenait ma queue toute molle dans la bouche. C'était doux, c'était humide, c'était chaud, c'était agréable et rapidement mon corps se souvenait, rapidement je bandais. Quand j'avais le dispositif sur moi je bandais tout le temps mais maintenant que je ne le portais plus il me fallait une stimulation. Ça me semblait une réaction étrange mais c'était normal.
Au bout de quelques instants je bandais ferme et ma queue s'enfonçait dans sa gorge, je l'encourageait en appuyant tout doucement sur sa tête. Mes camarade nous regardaient au début puis sont passé à un câlin, ils se sont regroupés, l'un prenait dans sa bouche la queue de l'autre, l'autre prenait la queue du suivant. Ils se mélangeaient et recommençaient. Chacun s'en donnait à cœur joie et moi je sentais la langue de Jaffa sur ma bite.
Je ne sais pas si c'était une impression mais il me semblait qu'il suçait encore mieux qu'avant cette période de chasteté. C'est vrai que lui avait continué à s'entraîner.
Sans prévenir ni demander quoi que ce soit un de mes camarade se lubrifiait généreusement la queue, se glissait derrière Jaffa et la lui enfonçait en un mouvement rapide et efficace. Jaffa à bien gémi un peu, mais n'a pas essayé de se dégager. Il a continuer à me sucer, et toujours avec la même conviction.
Il avalait mon pénis jusqu'à la gorge, je gémissais et me tordais de plaisir, il se tordait lui aussi de plaisir mais ça, c'était à cause de notre camarade qui lui défonçait le cul. Nous savons depuis longtemps que Jaffa aime se faire défoncer le cul. Le le prendrai comme second époux quand nous seront revenus à la maison. Je prendrai une femme et un époux … Je vous l'ai déjà dit je crois, je ne sais plus. Mais vous savez si le second époux porte une cage de chasteté en permanence, c'est autorisé !
Je sentais Jaffa qui bougeait d'avant en arrière, notre ami le tirait en arrière quand il lui enfonçait sa bite dans le cul et le repoussait en avant quand il se retirait, et il accélérait de plus en plus.
J'attendais mon tour pour le limer également mais on ne m'en laissait pas le temps, quand le gars se retirait, il jutait abondamment sur les fesses de Jaffa, et était remplacé immédiatement.
Le dernier de nos camarades jutait tout seul, il s'était branlé, il avait lui aussi été bien sucé par celui qui à ce moment défonçait le cul de Jaffa.
Comme je vous le disait ils se mélangeaient et s'enculaient ou se suçaient, ils échangeaient les rôles et recommençaient.
Jaffa était enfin libre, enfin je veux dire, son cul était libre. Je le tirais vers moi et lui demandais de s'asseoir sur moi. Il se présentait de face et s'empalait sur ma queue. J'avais déjà joui mais j'avais les couilles bien pleines et je continuais à bander.
Je repliais les jambes en tailleur, il s'enfonçait doucement sur moi. Ma queue le pénétrait lentement, c'était un plaisir. Pour moi c'était un plaisir intense que j'avais presque oublié, je frémissais de plaisir.
Il repliais ses bras autour de moi, j'en faisait autant et on se caressait. Je sautillait sur mes fesses, je sautillais en bougeant mes genoux. Il resserrait les cuisses autour de mon ventre et se retenait, il se retenait quand il retombait sur moi. J'avais presque oublié que j'avais une aussi grosse queue.
On se couvrait de baisers puis, la fièvre est monté, il respirait de plus en plus fort, de plus en plus vite. J'en faisais de même et je rajoutais un mouvement de bassin, il gémissait. C'est vrai que trois hommes venaient de l'enculer les uns avec les autres, il était stimulé et réagissait très bien.
J'ai joui, j'ai juté, je le tenais très serré dans mes bras, il en faisait de même. Après on ne bougeait plus.
Nos camarades s'étaient couché, ils nous regardaient.
Jaffa s'est allongé à côté de moi, c'est dans ses bras que je me suis réveillé. Le douanier venait nous chercher, on devait se faire beau pour être présenté au roi. On ne porterait rien sur nous, nous serions absolument nus. Ça faisait des semaines que nous portions un dispositif de chasteté et que nous n'étions jamais nus, jamais totalement nus. C'est sans doute pour ça que nous bandions, que nous bandions tous. Jaffa aussi bandait.
A suivre
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