Le roy 16 La vie à la cour

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le roy 16 La vie à la cour Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le roy 16 La vie à la cour
Le roy 16
La vie à la cour


Nous étions tous les quatre membres du premier cercle. On nous raccompagnait à notre chambre, c'était une cellule qui n'avait pas de porte, un lit et un petit coffre pour ranger nos affaires. Dans la mienne ils avaient pensé à y placer une second petit lit, une couchette, réservée à Jaffa. Personne ne l'avait oublié celui-là.

Dans le palais les membres du premier cercle avait droit de cuissage sur toutes les petites mains, ceux qui portaient un dispositif de chasteté. Jaffa en portait un et de fait, même s'il était à mon service, je n'aurais pas l'exclusivité sur son cul. Il y avait soixante membres, soixante jeunes hommes, beaux comme des dieux, virils comme des taureaux, qui étaient les seuls dans toute l'enceinte du palais à pouvoir être actif sexuellement, les autres ne pouvaient qu'être passifs. Ça ne veut pas dire qu'ils n'avaient aucune activité sexuelle, simplement pour eux c'était … dans le cul !

Pour les gardes c'était pareil, la garde rapprochée du Roi portait également un dispositif de chasteté, son service devait durer cinq ans également. Ensuite les gardes recevaient une promotion et partaient diriger diverses casernes, corps d'armée, ils retiraient alors leur cage à bite, comme certains appelaient le dispositif.

Nous avions également droit de cuissage sur leur cul, quand ils n'étaient pas de service.

On était au service du roi mais on était des princes. Dans les jours qui suivaient on nous affectait au service témoin du Roi. On n'avait rien de spécial à faire sinon être présent presque en permanence, on observait et on apprenait.

Je me souviens bien le lendemain au réveil du roi. J'étais avec mes camarades, on nous avait fait venir très tôt pour le lever du roi. Il dormait profondément quand on arrivait dans sa chambre. Comme le prévoyait le protocole, nous restions en retrait et on regardait.

La fenêtre et les rideaux était ouverte en grand. La lumière inondait la chambre. Le roi dormait au milieu d'un lit d'au moins trois mètres de diamètre, il était circulaire et autour de lui quatre corps nus et superbes apparaissaient. C'était le service de nuit du premier cercle.

Tous s'approchaient alors du roi et commençaient à le caresser avec la plus grande douceur. Le but était de le réveiller et ça ne traînait pas. Le roi tendait un bras et caressait de la main le premier torse qu'il rencontrait. Les quatre hommes continuaient à s'approcher du roi et le couvraient de baiser et de caresses.

Le roi se penchait vers le sexe de l'un d'entre eux et le caressait avant de le masturber doucement. Il faisait ensuite de même avec un des autres hommes. Venait ensuite le troisième puis le dernier, il n'en oubliait aucun. Pendant un moment ce n'était que douceur, caresses et baisers.

Le roi, n'avait toujours pas ouvert les yeux, il se concentrait sur le plaisir du toucher. Les peaux étaient douces, certains hommes étaient entièrement épilés, d'autres avaient gardé leur fourrure naturelle.

Mes trois camarades et moi bandions à ce moment et je m'inquiétait de l'image que je devais donner. Un des petites mains, passait alors devant moi, il avait deviné ma gêne. Il me caressait rapidement la queue en me disant … '' Bien, très bien, tu as le droit de bander mais tu ne te masturbes et pas de sexe avant ce soir, ou avant que tu as fini ton service auprès du roi. ''.

Seule la masturbation était interdite, j'avais le droit de bander et de me balader ainsi, c'était pas comme dans mon village.

Nous regardions et nous apprenions comment nous comporter en présence du roi.

Au milieu de son lit il y avait maintenant comme un tas de corps magnifique qui glissaient les uns contres les autres mais surtout qui s’agrippaient au roi, le caressaient, et glissaient contre lui. Les gardes qui entouraient le lit ne semblaient pas tous à leur aise. Les regards se croisaient, certains semblaient m'appeler au secours. Un jeune garde en particulier, de l'autre côté du lit, il devait être plus jeune que moi, il était particulièrement beau, sa cage se balançait au rythme de son cœur. Il ne bougeait pas mais je croisait son regard à plusieurs reprises, il posait les yeux du milieu de la scène, le roi qui se réveillait au milieu de son lit, puis regardait mon corps, du haut en bas en marquant une pause sur mon sexe … Ou alors je me faisais des idées.

Le roi s'était allongé sur un de ses serviteur, il suçait goulûment sa queue. On pouvait deviner que c'était un expert. Le garçon gémissait de plaisir et caressait les cheveux du roi. Il ne le traitait pas comme on devrait traiter un roi à cet instant, il le traitait comme un vide couilles.

Un autre homme prenait position juste à côté su premier et le roi changeait de queue, il suçait la seconde qu'on lui présentait. Le roi était allongé sur le ventre, il repliait les jambes et en faisant cela il soulevait son cul, en position, très offert, très accessible, très salope.

Plusieurs mains lui caressait alors le cul, d'autres se glissaient entre ses cuisses et semblaient s'amuser avec ses couilles. Le roi continuait à sucer les queue qu'on lui présentait, il en était à son troisième partenaire de la nuit. Par moment le roi semblait parler à ses partenaires mais nous ne pouvions rien entendre.

Un d'entre eux prenait position, ses genoux entre les genoux du roi, il se lubrifiait généreusement la queue puis sans faire plus de manière, il la glissait avec un geste rapide et fluide, bien à fond dans le cul du roi.

Celui-ci relevait la tête et gémissait un '' - Oh oui, c'est bon ! ''.

J'étais terrifié, par la facilité avec laquelle le roi avait reçu la queue de son serviteur. Moi je me disait qu'à sa place j'aurais hurlé de douleur et que ensuite, je serais mort. C'est vrai que le gars était bien monté.

Le roi continuait à sucer toutes les queues qu'on lui présentait. Uniquement bien sûr, les queues des hommes qui avaient partagé sa nuit. Il faut savoir rester sage. Dans la salle il n'y avait que huit hommes qui pouvaient bander. Les quatre hommes qui avaient partagé la nuit avec le roi, mes trois camarades et moi. Pourtant il y avait bien plus de monde, au moins dix gardes et je ne sais combien de petites mains, il étaient discrets et parfois il en apparaissait un là où il n'y avait personne la seconde d'avant.

Le roi se faisait enculer, paisiblement, sans s'agiter. L'homme lui enfonçait sa queue sur toute sa longueur avec facilité mais aussi avec douceur. Pourtant je me disait que ça devait bien se sentir passer une truc pareil. Je voyais sa queue s'enfoncer et ressortir avec régularité.

Le roi suçait toujours la queue qu'on lui avait proposé. Il soulevait la tête et poussait un long gémissement, devant lui l'homme lui prenait la tête avec force et la tirait vers lui, il lui enfonçait alors sa queue jusque dans la gorge. Le roi semblait bien résister un peu mais personne ne bronchait. Et le roi se faisait alors baiser par la bouche, sans qu'on ne lui demande ce qu'il en pensait, sans que personne n'intervienne pour le secourir.

Et dans son cul une grosse bite glissait de plus en plus vite, avec de plus en plus de force. Devant lui l'homme qu'il suçait laissait sa place à son camarade et le roi reprenait. C'est une autre queue qui glissait avec force dans sa bouche, contre sa langue, et s'enfonçait dans sa gorge. J'avais l'impression que son cou devenait plus épais quand la queue disparaissait totalement, et je ne vous cacherai pas que ça me faisait de l'effet, un peu la peur de voir ça, je m'imaginais à sa place mais ça ne me faisait pas débander. Mais ça m'excitait aussi de lui faire subir un jour ce traitement.

Le roi faisait des bruits bizarres avec sa bouche. Mais aussi avec ses fesses, le ventre de l'enculateur frappait ses fesses avec forces et chaque coup claquait bruyamment. On voyait clairement le roi trembler de plaisir, il ne faiblissait pas mais il frémissait.

Il poussait un long gémissement de plaisir quand on lui enfonçait une troisième queue dans la gorge. Comme pour les autres, elle était de belle taille mais il la prenait sans difficultés. Le gars lui appuyait sur la tête et lui enfonçait sa queue directement dans la gorge, et lui limait la bouche.

Le premier lui limait toujours le cul, les trois autres lui avaient bien limé la gorge. J'étais retourné, terriblement excité, j'avais du mal à me retenir de me tripoter la bite mais la règle semblait formelle, les petites bites veillaient.

Les gardes eux aussi devenaient fébriles et on voyait leurs cages se relever et se balancer en suivant les battements de leurs cœurs.

Les trois hommes que le roi avait sucé se masturbaient en cœur, un avec la bouche du roi, les deux autres devant le visage du roi. Le dernier, qui enculait avec force le roi s'agitait également, il donnait des coups particulièrement violent. Il se retirait et jutais sur le dos du roi. Quelques instants plus tard, ses camarades éjaculaient également en éjaculant sur le visage du roi et sur ses cheveux.

Là je vous jure que tout le monde était parfaitement réveillé. Un protocolaire petite main annonçait …

La douche du roi !

Le roi et ses quatre baiseurs se levaient et se rendaient dans les douches. Nous suivions. Nous restions toujours en retrait.

Les quatre hommes qui venaient de baiser le roi le lavaient, ils l'arrosaient avec de l'eau tiède, et lui frictionnait le corps avec des savons qui dégageaient une odeur fruitée et très agréable. Ils n'oubliaient pas non plus de lui laver le cul en y glissant deux ou trois doigts qu'ils retournaient, arrachant encore quelques gémissements de plaisir de la part du roi.

Personne ne se pressait, il y avait toujours le protocolaire petite main, qui surveillait et qui faisait des signes discrets quand il trouvait que les choses n'avançaient pas assez vite, mais c'était des signes qu'il fallait suivre. Le roi devait être prêt dans les temps.

Ensuite on l'essuyait, on le séchait puis on l'habillait.

On lui passait un harnais du meilleur goût.

Le roi se regardait dans un miroir, je vous laisse imaginer le truc que c'était, on pouvait se voir en entier dans ce miroir, je ne savais même pas que ça existait des miroirs de cette taille, c'est vous dire le niveau du luxe de ce palais. Des rideaux, des dorures, du marbre et ce gigantesque miroir …

Nous ne mettrons pas de harnais ce matin ! Déclarait le roi.

On le lui retirait. On lui présentait une cape, puis une autre. Il choisissait finalement la troisième qui était presque transparente, de la couleur des rois, rouge, mais on voyait parfaitement au travers.

Pour terminer on lui posait sa couronne sur la tête. Et c'est dans cette tenue que le roi se rendait à sa table de banquer.

Un repas complet mais pas trop lourd lui était servi. Des fruits et du lait.

Il était encore tôt quand le roi sortait de ses appartements. Nos quatre camarades du premier cercle qui avaient dormi avec le roi le suivait, trois d'entre eux seulement dormiraient avec lui la nuit suivante, un nouveau remplacerait celui qui partirait.

Une chaise à porteur était apportée. Elle était porté par huit petites mains. Il y avait un siège sur le dessus, bien en vue et au milieu un gode se relevait, lui aussi était bien en vue.

Le roi s'installait et s'empalait sur le manche qui dépassait à la verticale. On soulevait alors le tout et on emmenait ainsi le roi faire le tour des remparts.

Il était acclamé, à plusieurs moment il se relevait pour saluer la foule et à chaque fois qu'il s'asseyait on pouvait voir le gode pénétrer dans son cul, la foule l'acclamait encore plus. C'était une ovation.

Nous étions restés en retrait mais nous pouvions voir la cérémonie dans ses moindres détails.


A suivre


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