Le Roy 20 Un quotidien très banal
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Roy 20 Un quotidien très banal
Le Roy 20
Un quotidien très banal
C'était une journée banale, je ne m'enfilais pas un visiteur tous les jours mais ce n'était pas rare. Le plus souvent je me défoulais sur une petite main ou sur mon ange gardien le magnifique Ta Basse. Avec lui au moins je n'avais pas à m'inquiéter qu'il me demande de lui rendre la politesse, il portait un dispositif de chasteté. Il n'y avait donc aucun risque.
Car n'oublions pas que ça c'était pas ma tasse de thé ! Je m'étais déjà fait défoncé le cul mais j'avais pas aimé aussi je préférais ne pas recommencer. Certains d'ailleurs n'hésitaient pas à passer un long moment de détente très intime, s'il venaient à manquer de sexe pendant une longue période … Disons une journée entière !
Oui nous étions dans un monde ou on ne manquait de rien, et surtout pas de sexe. Dans notre position, si on avait envie de se vider les couilles d'une manière ou d'une autre il suffisait de claquer les doigts.
Il y avait Walter, je ne sais pas d'où vient ce nom, c'est un nom assez exotique mais bon c'est pas grave. Walter donc était un garçon magnifique, il était bien membré, bien musclé, il avait la peau très douce, des cheveux couleur de feu et un sourire à tomber à la renverse. Il aimait bien ma queue et rapidement se rapprochait de moi.
Nous passions de nombreux après midi dans la salle des visiteurs à recevoir des requêtes et à nous enrichir. Il avait lui aussi un garde du corps mais n'était pas attiré par lui. Walter aimait bien les mecs avec une queue. Les gardes du corps et les petites mains portaient un dispositif de chasteté, et, s'il remplissait parfaitement sa mission auprès du roi, auprès de ses camarades il aimait bien jouer le rôle du passif autant que de l'actif.
Moi j'étais uniquement actif.
Un jour il m'avait clairement dit.
– Tu sais Flesh, j'aimerais bien que tu me défonces le cul. Si toi tu n'aimes pas promis, je ne te demanderai pas.
Au moins c'était clair.
Quelques instants plus tard nous étions enlacés, nous nous caressions doucement, on bandait, et chacun caressait doucement la queue de l'autre. C'est moi qui avait la plus grosse. Rapidement pour l'encourager, je lui suçait la sienne. Je peux quand même faire un effort pour l'encourager ! Il aimait bien et même si je ne le faisais que rarement on me disait à chaque fois que je faisais ça bien.
Nous vivions nus aussi quand un d'entre nous ressentait quelques émois amoureux pour un de ses ou de nos partenaires ça ne passait jamais inaperçu. Ce jour là aussi, je l'avais vu venir.
Sa queue s'était rapidement relevée sans prévenir, la mienne suivait son exemple et nos caresses réciproques faisaient le reste. On s'était installé dans un salon ouvert. C'est, comment dire, une sorte de salle traversée par un couloir, en général dans la journée il y a du passage mais on ne s'inquiétait pas pour si peu. Il y avait une sorte de canapé pour le confort, on baisait comme on voulait d'autres passaient comme ils voulaient.
Je l'avais sucé en premier puis je l'avais laissé faire. Il était bon, il était très bon, on devinait qu'il aimait sucer. Il ne lui avait fallu que quelques instants pour que ma queue n'en vienne à s'écraser contre le fond de sa gorge. Quelques instants seulement et son nez s'écrasait contre mon ventre, je regardais ça, je n'en revenais pas. J'étais de très belle taille et ma queue toute entière glissait avec fluidité, pour moi ce n'était que douceur, chaleur et humidité. C'était une douceur moite sur mon gland que je ressentais, c'était vraiment bon. Il faisait ça mieux que les petites mains.
Le roi, à la rigueur, faisait ça aussi bien mais il n'étaient pas bien nombreux à sucer aussi bien.
Je lui prenais la tête entre les mains et le tirais vers moi, en même temps je poussais mon bassin, je lui enfonçais ma queue encore un peu plus profond, il ne résistait pas, bien au contraire, il était demandeur. Plus je lui en donnais, plus il en demandait.
J'écartais son visage, je reculais en même temps mon bassin et juste au moment ou mon gland sortait de sa bouche, je le voyais tendre la langue pour sucer encore un peu. Juste à ce moment je le tirais violemment contre moi et j'avançais rapidement mon bassin vers son visage.
Je voyais alors ma queue disparaître, son visage s'écrasait contre mon ventre et le bout de ma queue s'écrasait contre je ne sais quoi. C'était doux, c'était chaud, c'était humide. Je ne sais pas ou j'arrivais, tout ce que je sais c'est que c'était terriblement agréable. Je n'avais pas envie de m'arrêter, je tirais son visage contre moi, le repoussais encore et encore.
Là je ne faisais plus vraiment attention à lui.
Il ne faut pas oublier que c'est lui qui l'avait demandé … Bein oui quoi ! Si on me demande … '' Dis tu veux pas m'enculer ! '' … il ne faut pas venir pleurer après parce qu'on le sent et que ça fait mal … Je suis comme ça moi ! Il avait voulu me sucer et bien il me suçait et moi je lui limais la gorge. C'était rigolo, il faisait des bruits bizarres.
J'avais envie de faire durer le plaisir, on était habitués à juter très vite, je pouvais juter et éjaculer à la tête de quelqu'un en moins de cinq minutes mais on était aussi entraînes à faire durer le plaisir, à se retenir, à juter juste ce qu'il faut et à continuer à bander, à continuer à limer le cul ou la bouche de notre partenaire pendant plus longtemps. A cette époque j'arrivais à faire durer le plaisir pendant presque une heure.
Et une heure à se faire limer le cul avec une grosse bite comme la mienne, je vous jure il faut encaisser … là je me retenais. Je retenais le plaisir. Il savait qu'il devait attendre que j'éjacule avant de tout arrêter mais savait-il combien de temps j'étais capable de tenir ?
Il ne fatiguait pas le mec. Plus je lui en donnais, plus il en demandait.
Je me retirais, me penchais vers lui et l'embrassais.
Tu te retournes maintenant je vais t'enculer …
Il me répondait par un sourire. Il se relevait, il bandait ferme, le lui tripotais la queue quelques instants, j'en profitais pour lui tripoter les couilles, il était bien monté. Enfin je dis des âneries, nous étions tous bien montés, ça faisait partie des critères de sélections.
On se prenait dans les bras, quelques étreintes, quelques baisers, quelques caresses et c'est dans mes bras qui tournait sur lui-même. Je terminais le câlin en lui caressant les couilles et la bite, alors que ma queue glissait entre ses cuisses. Il gémissait alors quand je lui mordillait la nuque. Je le poussait doucement en avant. Il ne résistait pas et c'est en gémissant de plaisir qu'il s'appuyait contre le petit meuble et m'offrait son cul.
Je lui lubrifiais rapidement le cul et je me disais que finalement, c'est lui qui l'avait demandé … je prenais alors position et dans un mouvement fluide et rapide je me glissait en lui.
Il a poussé un long gémissement, pas un cris de douleur, limite peut être remarquez. Mais il n'a pas essayé de se retirer, j'ai senti ses muscles se contracter, même son cul s'est refermé. J'ai senti son cul se resserrer, ma queue n'était pas encore en position, je m'étais arrêté en plein milieu de mon action.
J'ai forcé un bon coup et mon ventre s'est écrasé contre ses fesses.
Là encore il a poussé un cri bizarre mais j'étais passé. J'appuyais mon ventre contre ses fesses, il couinais tout ce qu'il pouvait. Mais je ne me retenais pas, après tout c'est lui qui avait demandé.
Je continuais par des mouvements rapides, très rapides, j'appuyais fort et me retirais légèrement. Progressivement je passais à des mouvements plus lents mais plus amples, de plus en plus amples, de plus en plus lent. Il gémissait de plaisir quand je me retirais totalement de son cul pour y revenir. Je bougeais tout en lenteur, tout en longueur et quand j'arrivais au fond, je terminais par un violent coup de bassin contre ses fesses, lui arrachant ainsi des cris de plaisir.
Il en redemandait, je me préparais à lui en donner.
Je lubrifiais encore, j'y mettais une grosse dose de gel, c'était un truc étonnant, je ne sais pas avec quoi l’apothicaire royal fabriquait cette matière mais avec quelques gouttes d'eau ça devenait incroyablement glissant. J'accélérais alors le mouvement mais toujours avec la même amplitude. Je me retirais totalement et revenais avec force et vigueur bien à fond.
Mon ventre frappait avec régularité contre ses fesses, un petit groupe de spectateurs s'était formé au milieu du passage, c'est normal on était presque dans un couloir …
Par moment je me calmais, j'appuyais alors de toutes mes forces mon ventre contre ses fesses. Il gémissait de plus en plus fort et par moment ce n'étaient plus des gémissements mais de véritables cris qu'il poussait, il commençait à s'agiter.
Il contractait ses muscles mais à ce moment son cul restait très détendu, il ne résistait plus du tout. Ses bras s'agitaient, par moment il glissait un main sur ses fesses pour tenter de me retenir. Je lui saisissais la main et l'utilisait pour le tirer vers moi au moment ou j'avançais mon bassin contre ses fesses. Là on en était arrivé à une certaine violence, mon ventre claquait très fort et les coups se répétaient et résonnaient dans le couloir.
Il râlait de plaisir, peut être un peu de douleur, mais souvent les deux sont proches. Il râlait de douleur mais le plaisir y était aussi, il tentait de se dégager mais je le retenais. Je lui retenais par une main, j'avais aussi passé une main sur son ventre et là aussi le retenait avec force.
Il jutait, je m'en rendais compte, il éjaculait et c'est ce qui m'a fait jouir à mon tour. À cet instant précis, j'ai cessé de me contrôler. Le plaisir est monté et en quelques secondes je jouissais.
Juste le temps de me retirer et j'éjaculais sur son dos, il éjaculait lui aussi. Je me penchais sur lui, le prenais dans mes bras et c'est ensemble qu'on profitait de ce moment.
Une petite main passait pour nous apporter des serviettes. On s'essuyait sous les applaudissements de nos collègues qui passaient par là et s'étaient arrêtés pour regarder le spectacle.
Certains bandaient, d'autres bandaient mou, aucun n'était resté indifférents et ça se voyait.
Walter avait aimé finalement et moi aussi. Il ne m'a jamais demandé de le laisser m'enculer. Il savait que j'étais actif, j'étais un des rares membre du premier cercle à n'être que actif. Nous étions quelques uns dans ce cas. Il y avait tellement de propositions, tellement de candidats que ça ne posait pas de problème.
J'ai bien dormi cette nuit là moi.
Je ne vous ai pas parlé de Jaffa depuis un moment mais ne vous inquiétez pas il n'était jamais bien loin. Il se trouvait facilement un partenaire actif qui savait lui faire passer un bon moment. Il était toujours là quand j'avais besoin de lui. C'est vrai que c'est moi qui le payais.
Les jours passaient, ne se ressemblaient pas toujours. Régulièrement c'était chacun son tour on assurait le service du roi dans la journée. S'il avait envie ou besoin de quelque chose. Un rafraîchissement par exemple … n'importe quoi on ne savait jamais à l'avance ce qu'on allait nous demander. Mais on restait solidaire, si un d'entre nous avait un problème dans le service du roi, chacun devait l'aider. Le service du roi primait sur tout !
D'ailleurs j'étais au service du roi ce jour ou l'accident est arrivé. Le terrible accident qui devait tout changer ...
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Un quotidien très banal
C'était une journée banale, je ne m'enfilais pas un visiteur tous les jours mais ce n'était pas rare. Le plus souvent je me défoulais sur une petite main ou sur mon ange gardien le magnifique Ta Basse. Avec lui au moins je n'avais pas à m'inquiéter qu'il me demande de lui rendre la politesse, il portait un dispositif de chasteté. Il n'y avait donc aucun risque.
Car n'oublions pas que ça c'était pas ma tasse de thé ! Je m'étais déjà fait défoncé le cul mais j'avais pas aimé aussi je préférais ne pas recommencer. Certains d'ailleurs n'hésitaient pas à passer un long moment de détente très intime, s'il venaient à manquer de sexe pendant une longue période … Disons une journée entière !
Oui nous étions dans un monde ou on ne manquait de rien, et surtout pas de sexe. Dans notre position, si on avait envie de se vider les couilles d'une manière ou d'une autre il suffisait de claquer les doigts.
Il y avait Walter, je ne sais pas d'où vient ce nom, c'est un nom assez exotique mais bon c'est pas grave. Walter donc était un garçon magnifique, il était bien membré, bien musclé, il avait la peau très douce, des cheveux couleur de feu et un sourire à tomber à la renverse. Il aimait bien ma queue et rapidement se rapprochait de moi.
Nous passions de nombreux après midi dans la salle des visiteurs à recevoir des requêtes et à nous enrichir. Il avait lui aussi un garde du corps mais n'était pas attiré par lui. Walter aimait bien les mecs avec une queue. Les gardes du corps et les petites mains portaient un dispositif de chasteté, et, s'il remplissait parfaitement sa mission auprès du roi, auprès de ses camarades il aimait bien jouer le rôle du passif autant que de l'actif.
Moi j'étais uniquement actif.
Un jour il m'avait clairement dit.
– Tu sais Flesh, j'aimerais bien que tu me défonces le cul. Si toi tu n'aimes pas promis, je ne te demanderai pas.
Au moins c'était clair.
Quelques instants plus tard nous étions enlacés, nous nous caressions doucement, on bandait, et chacun caressait doucement la queue de l'autre. C'est moi qui avait la plus grosse. Rapidement pour l'encourager, je lui suçait la sienne. Je peux quand même faire un effort pour l'encourager ! Il aimait bien et même si je ne le faisais que rarement on me disait à chaque fois que je faisais ça bien.
Nous vivions nus aussi quand un d'entre nous ressentait quelques émois amoureux pour un de ses ou de nos partenaires ça ne passait jamais inaperçu. Ce jour là aussi, je l'avais vu venir.
Sa queue s'était rapidement relevée sans prévenir, la mienne suivait son exemple et nos caresses réciproques faisaient le reste. On s'était installé dans un salon ouvert. C'est, comment dire, une sorte de salle traversée par un couloir, en général dans la journée il y a du passage mais on ne s'inquiétait pas pour si peu. Il y avait une sorte de canapé pour le confort, on baisait comme on voulait d'autres passaient comme ils voulaient.
Je l'avais sucé en premier puis je l'avais laissé faire. Il était bon, il était très bon, on devinait qu'il aimait sucer. Il ne lui avait fallu que quelques instants pour que ma queue n'en vienne à s'écraser contre le fond de sa gorge. Quelques instants seulement et son nez s'écrasait contre mon ventre, je regardais ça, je n'en revenais pas. J'étais de très belle taille et ma queue toute entière glissait avec fluidité, pour moi ce n'était que douceur, chaleur et humidité. C'était une douceur moite sur mon gland que je ressentais, c'était vraiment bon. Il faisait ça mieux que les petites mains.
Le roi, à la rigueur, faisait ça aussi bien mais il n'étaient pas bien nombreux à sucer aussi bien.
Je lui prenais la tête entre les mains et le tirais vers moi, en même temps je poussais mon bassin, je lui enfonçais ma queue encore un peu plus profond, il ne résistait pas, bien au contraire, il était demandeur. Plus je lui en donnais, plus il en demandait.
J'écartais son visage, je reculais en même temps mon bassin et juste au moment ou mon gland sortait de sa bouche, je le voyais tendre la langue pour sucer encore un peu. Juste à ce moment je le tirais violemment contre moi et j'avançais rapidement mon bassin vers son visage.
Je voyais alors ma queue disparaître, son visage s'écrasait contre mon ventre et le bout de ma queue s'écrasait contre je ne sais quoi. C'était doux, c'était chaud, c'était humide. Je ne sais pas ou j'arrivais, tout ce que je sais c'est que c'était terriblement agréable. Je n'avais pas envie de m'arrêter, je tirais son visage contre moi, le repoussais encore et encore.
Là je ne faisais plus vraiment attention à lui.
Il ne faut pas oublier que c'est lui qui l'avait demandé … Bein oui quoi ! Si on me demande … '' Dis tu veux pas m'enculer ! '' … il ne faut pas venir pleurer après parce qu'on le sent et que ça fait mal … Je suis comme ça moi ! Il avait voulu me sucer et bien il me suçait et moi je lui limais la gorge. C'était rigolo, il faisait des bruits bizarres.
J'avais envie de faire durer le plaisir, on était habitués à juter très vite, je pouvais juter et éjaculer à la tête de quelqu'un en moins de cinq minutes mais on était aussi entraînes à faire durer le plaisir, à se retenir, à juter juste ce qu'il faut et à continuer à bander, à continuer à limer le cul ou la bouche de notre partenaire pendant plus longtemps. A cette époque j'arrivais à faire durer le plaisir pendant presque une heure.
Et une heure à se faire limer le cul avec une grosse bite comme la mienne, je vous jure il faut encaisser … là je me retenais. Je retenais le plaisir. Il savait qu'il devait attendre que j'éjacule avant de tout arrêter mais savait-il combien de temps j'étais capable de tenir ?
Il ne fatiguait pas le mec. Plus je lui en donnais, plus il en demandait.
Je me retirais, me penchais vers lui et l'embrassais.
Tu te retournes maintenant je vais t'enculer …
Il me répondait par un sourire. Il se relevait, il bandait ferme, le lui tripotais la queue quelques instants, j'en profitais pour lui tripoter les couilles, il était bien monté. Enfin je dis des âneries, nous étions tous bien montés, ça faisait partie des critères de sélections.
On se prenait dans les bras, quelques étreintes, quelques baisers, quelques caresses et c'est dans mes bras qui tournait sur lui-même. Je terminais le câlin en lui caressant les couilles et la bite, alors que ma queue glissait entre ses cuisses. Il gémissait alors quand je lui mordillait la nuque. Je le poussait doucement en avant. Il ne résistait pas et c'est en gémissant de plaisir qu'il s'appuyait contre le petit meuble et m'offrait son cul.
Je lui lubrifiais rapidement le cul et je me disais que finalement, c'est lui qui l'avait demandé … je prenais alors position et dans un mouvement fluide et rapide je me glissait en lui.
Il a poussé un long gémissement, pas un cris de douleur, limite peut être remarquez. Mais il n'a pas essayé de se retirer, j'ai senti ses muscles se contracter, même son cul s'est refermé. J'ai senti son cul se resserrer, ma queue n'était pas encore en position, je m'étais arrêté en plein milieu de mon action.
J'ai forcé un bon coup et mon ventre s'est écrasé contre ses fesses.
Là encore il a poussé un cri bizarre mais j'étais passé. J'appuyais mon ventre contre ses fesses, il couinais tout ce qu'il pouvait. Mais je ne me retenais pas, après tout c'est lui qui avait demandé.
Je continuais par des mouvements rapides, très rapides, j'appuyais fort et me retirais légèrement. Progressivement je passais à des mouvements plus lents mais plus amples, de plus en plus amples, de plus en plus lent. Il gémissait de plaisir quand je me retirais totalement de son cul pour y revenir. Je bougeais tout en lenteur, tout en longueur et quand j'arrivais au fond, je terminais par un violent coup de bassin contre ses fesses, lui arrachant ainsi des cris de plaisir.
Il en redemandait, je me préparais à lui en donner.
Je lubrifiais encore, j'y mettais une grosse dose de gel, c'était un truc étonnant, je ne sais pas avec quoi l’apothicaire royal fabriquait cette matière mais avec quelques gouttes d'eau ça devenait incroyablement glissant. J'accélérais alors le mouvement mais toujours avec la même amplitude. Je me retirais totalement et revenais avec force et vigueur bien à fond.
Mon ventre frappait avec régularité contre ses fesses, un petit groupe de spectateurs s'était formé au milieu du passage, c'est normal on était presque dans un couloir …
Par moment je me calmais, j'appuyais alors de toutes mes forces mon ventre contre ses fesses. Il gémissait de plus en plus fort et par moment ce n'étaient plus des gémissements mais de véritables cris qu'il poussait, il commençait à s'agiter.
Il contractait ses muscles mais à ce moment son cul restait très détendu, il ne résistait plus du tout. Ses bras s'agitaient, par moment il glissait un main sur ses fesses pour tenter de me retenir. Je lui saisissais la main et l'utilisait pour le tirer vers moi au moment ou j'avançais mon bassin contre ses fesses. Là on en était arrivé à une certaine violence, mon ventre claquait très fort et les coups se répétaient et résonnaient dans le couloir.
Il râlait de plaisir, peut être un peu de douleur, mais souvent les deux sont proches. Il râlait de douleur mais le plaisir y était aussi, il tentait de se dégager mais je le retenais. Je lui retenais par une main, j'avais aussi passé une main sur son ventre et là aussi le retenait avec force.
Il jutait, je m'en rendais compte, il éjaculait et c'est ce qui m'a fait jouir à mon tour. À cet instant précis, j'ai cessé de me contrôler. Le plaisir est monté et en quelques secondes je jouissais.
Juste le temps de me retirer et j'éjaculais sur son dos, il éjaculait lui aussi. Je me penchais sur lui, le prenais dans mes bras et c'est ensemble qu'on profitait de ce moment.
Une petite main passait pour nous apporter des serviettes. On s'essuyait sous les applaudissements de nos collègues qui passaient par là et s'étaient arrêtés pour regarder le spectacle.
Certains bandaient, d'autres bandaient mou, aucun n'était resté indifférents et ça se voyait.
Walter avait aimé finalement et moi aussi. Il ne m'a jamais demandé de le laisser m'enculer. Il savait que j'étais actif, j'étais un des rares membre du premier cercle à n'être que actif. Nous étions quelques uns dans ce cas. Il y avait tellement de propositions, tellement de candidats que ça ne posait pas de problème.
J'ai bien dormi cette nuit là moi.
Je ne vous ai pas parlé de Jaffa depuis un moment mais ne vous inquiétez pas il n'était jamais bien loin. Il se trouvait facilement un partenaire actif qui savait lui faire passer un bon moment. Il était toujours là quand j'avais besoin de lui. C'est vrai que c'est moi qui le payais.
Les jours passaient, ne se ressemblaient pas toujours. Régulièrement c'était chacun son tour on assurait le service du roi dans la journée. S'il avait envie ou besoin de quelque chose. Un rafraîchissement par exemple … n'importe quoi on ne savait jamais à l'avance ce qu'on allait nous demander. Mais on restait solidaire, si un d'entre nous avait un problème dans le service du roi, chacun devait l'aider. Le service du roi primait sur tout !
D'ailleurs j'étais au service du roi ce jour ou l'accident est arrivé. Le terrible accident qui devait tout changer ...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Génial, j’adore cette histoire.