Le Roy 22 Le nouveau roi
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Roy 22 Le nouveau roi
Le Roy 22
Le nouveau roi
Je n'ai pas compris tout de suite ce qui se passait. On m'a expliqué, la règle était simple, la première personne qui rentrait dans la salle ou le roi était mort était nommée roi.
Toutes les personnes présentes étaient rentrée en même temps que le roi, peu après le roi mourait, les docteurs n'ont rien pu faire pour le sauver. Toutes les personnes présentes alors priaient et psalmodiaient en exprimant leur peine.
'' Le roi est mort ! Qui sera notre roi ?''.
A partir de cet instant la première personne qui entrera sera déclarée roi … C'était moi et il me le disaient …
'' Le roi est mort ! TU seras notre roi ! ''.
On ne me demandait pas mon avis, c'était la règle, depuis des siècles c'était ainsi. Je devenait le symbole de l'unité du pays. Il n'y aurait pas de reine, il n'y aurait aucune prise de pouvoir par aucune famille. Le roi était et resterait indépendant.
Il n'y aurait pas de reine, il n'y aura pas de femme et s'il n'y a pas de femme le roi n'avait aucune raison d'être sexuellement actif.
Déjà une petite main, le premier secrétaire au ministère principal, arrivait. Il avait une allure solennelle et portait un plateau dans lequel il y avait un dispositif de chasteté. C'était ma taille.
Là je me suis senti mal, je connaissais la suite. Il faut dire que je comprends vite, je suis un petit malin. Je comprenais que je ne pouvais que me résigner, que je ne pouvais pas refuser. J'étais le nouveau roi.
Ma queue se ratatinait et perdais brusquement deux tailles.
C'est donc sans difficultés que je pouvais enfiler le dispositif. Je passais une couilles, je tremblais, mais c'était une question d'honneur il fallait que je conclue. Personne n'avais jamais refusé cet honneur. C'est en tremblant que je glissais ma queue dans la cage qu'on me présentait. Puis je refermais la cage sur l'anneau.
C'était fait, j'étais sous clé. J'avais comme un nœud dans mon ventre. Je savais que c'était la dernière fois que j'avais vu ma queue libre. Ce n'était pas du tout les projets que j'avais fait pour le reste de a vie. Tous mes projets s'envolaient.
Le premier secrétaire s'exclamait …
'' Le roi est mort, vive le roi ! ''.
Tout le monde reprenait et rapidement ce cri de joie se propageait dans tout le palais.
'' Le roi est mort, vive le roi ! ''.
C'est à ce moment que j'ai compris que j'étais le roi maintenant. Que maintenant je n'aurais plus jamais besoin de travailler et que je vivrais dans un palais royal pour le reste de ma vie en plus.
J'aurais des serviteurs, des conseillers, que la foule se prosternerait devant moi, qu'on m'admirerait qu'on prendrait soin de moi et que … je ne pourrais plus jamais utiliser ma queue pour le reste de ma vie …
C'était horrible.
Je ne montrait rien mais là, à cet instant je paniquait grave dans ma tête.
On me conduisait dans la sale du trône. Il y avait ce siège sur lequel seul le roi avait le droit de s'y asseoir. Il était en hauteur, je me souviens tout se passait comme dans un rêve, enfin un cauchemar, mes souvenir sont flous. Je montais les marches lentement. Maintenant je paniquais encore plus. Mon cœur battait à tout rompre.
Arrivé au niveau du trône, là c'était l'angoisse, je me retrouvais devant un gode et c'est sur ce gode que je devais m'asseoir. Et vous savez que ça, c'est pas pour moi. J'avais une grosse boule dans la gorge en prenant position.
Je n'aime pas me faire défoncer le cul, et maintenant c'était mon avenir. Sans même que j'ai le temps de réagir, une petite main lubrifiait généreusement le gode qui ressortait du siège. Il fallait que me m'asseye dessus. C'était la règle, le protocole, je n'avais plus le choix.
Je prenais position et enfonçait doucement ce gode, il n'était pas énorme mais il était tout de même de belle taille. Ça résistait, je poussais doucement et là c'est une incroyable douleur qui me saisissait. Je poussais un cri,je ne parvenais pas à me retenir.
J'essayais une deuxième fois, c'était toujours aussi douloureux. J'avais toujours été de l'autre côté. C'est moi qui enculais, c'est toujours moi qui enculais là c'est moi qui me ferais enculer, c'est moi qui me ferais toujours enculer …
En plus je n'aimais pas me faire enculer !
Je respirais bien à fond, je me détendais, je détendais surtout mes muscles puis je reprenais. Le gode rentrait lentement, la douleur montait. Je me demandais comment certains arrivent à éprouver du plaisir dans cette position, pour moi c'était l'horreur.
Le gode rentrait lentement, c'est à ce moment que deux petites mains s'approchaient de moi et me donnaient un coup de pied contre mes chevilles, je perdais mon équilibre et je m'effondrais que le trône. Ça y est j'étais empalé sur mon trône, j'étais le roi et j'étais assis sur mon trône.
Deux gardes prenaient place juste derrière moi et me posaient fermement une main sur mes épaules pour m'empêcher de me relever.
Je vous jure c'est pas facile tous les jours d'être roi !
J'aurais donné n'importe quoi pour pouvoir me dégager, on me retenait.
Ensuite c'est le forgeron qui arrivait, il portait une étrange enclume plate qu'il positionnait juste en dessous de mes couilles. Son assistant lui tendait alors une masse.
Là je ne vous dis pas mais j'ai paniqué, il s'apprêtait à m'écraser mes couilles et ma bite. On me retenait.
Le premier secrétaire qui ne s'était pas éloigné me glissait à l'oreille.
– Laissez-vous faire majesté, tout se passera bien ! Maintenant il me disait 'vous'.
Le marteau du forgeron s'écrasait sur ma cage, le choc était violent mais j'étais sain et sauf. C'était une méthode, spectaculaire certes, mais efficace pour sceller la cage. C'était de l'acier d'Extrémasie et je savais que nul ne pourrait l'ouvrir maintenant. J'avais toujours mal au cul et un peu mal aux couilles.
Maintenant j'étais le roi, toute la cour devait venir me saluer et me prêter allégeance. La cérémonie durait jusqu'au soir. J'en pouvais plus j'avais mal au cul, j'avais mal aux couille, et maintenant je bandais et j'avais mal à la bite.
Je vous jure c'est pas facile tous les jours d'être le roi !
Toute la cour était passée devant moi, tous m'avaient salué, les petites mains en premier, ensuite venaient les gardes chastes, ensuite le premier cercle. C'est à ce cercle auquel j'appartenais. Ceux là je les connaissais tous très bien, j'en avais enculé plusieurs, aucun ne m'avait rendu la politesse. A chaque fois j'avais décliné la proposition.
Moi je ne me faisais pas enculer, et maintenant c'étaient eux qui m'enculeraient, je me ferais enculer au moins une fois par jour, sans parler du gode, j'avais mal au cul. L'encadrement continuerait avec ceux qui ce matin encore servaient le roi. J'en faisais partie et on me présentait donc un remplaçant.
C'était l'enfer, j'étais le roi.
On m'invitait à me rendre à la salle de bain. Je me relevais comme je le pouvais, j'avais mal au cul. Une petite main m'essuyait et s'assurait que tout allait bien. Là je me sentais mieux.
Sous la douche il y avait huit mains qui se promenaient sur mon corps, me caressaient. Quelques lèvres m'embrassaient. Je pense que c'était là le meilleur moment de la journée.
On me présentais un harnais et une cape faite avec la peau de cet animal exotique que personne n'a jamais vu. Les marchants appelaient cela une Soie je crois. Sa peau était d'une telle légèreté qu'on avait l'impression de ne rien porter, en plus c'était transparent.
Je me présentais à la fenêtre du palais pour saluer la foule qui m'acclamait.
'' Vive le roi, longue vie à notre roi … ''.
Je saluais avec la main, souvent j'avais vu le roi faire. Je ne disais rien et je redoutais surtout le moment du pal, pardon je voulais dire du gode.
On passait à table, tout se passait normalement, le roi était mort, il y avait un nouveau roi, de nouveaux godes, de nouveau … J'étais avec mon groupe, le matin deux d'entre eux servait le roi, un prenait son service pour quatre jours, un dernier prenait sont service pour deux jours, c'est le temps qu'il me restait.
C'était les membres du premier cercle et pour nous tous cette situation était aussi nouvelle qu'inattendue.
Plus tard on se retrouvait tous dans mon lit. C'était la chambre du roi, c'était ma chambre. Toutes les traces du roi précédent avaient disparues. Un des quatre hommes qui m'accompagnait me disait discrètement.
– Nous avons reçu l'ordre de t'enculer … Tous les quatre … Je sais que tu n'aime pas mais on en a parlé. On n'essayera pas de se retenir, on ne fera pas durer …
Je connaissais bien ce garçon, à plusieurs reprises je l'avais sodomisé. Lui il aime bien.
C'est lui qui commençait, avec une grande douceur il s'allongeait sur moi et me caressait tout le corps. Je tentais de me détendre, je savais que ça allait faire mal, très mal peut être même.
Il prenait position, sa queue juste contre mon anus. J'avais toujours mal au cul. Il lubrifiait très généreusement puis me donnait un baiser sur l'épaule … Ensuite il poussait sa queue dans mon cul. Ça glissait rapidement, il glissait en moi et j'avais envie de hurler.
La sensation était impossible à définir, c'était douloureux mais pas seulement, il y allait doucement. Il était large et je frémissait, j'avais envie de pleurer. Je ne voulais pas de cette vie, mais avais-je vraiment le choix. Un roi avait-il déjà abdiqué ? Nombre de questions tournaient en boucle dans ma tête.
Les caresses étaient agréables, les câlins aussi, et les baisers me réconfortaient. Il a fait comme il avait promis il a fait court. Je l'avais vu au travail il est capable de limer un cul pendant plus d'une heure mais il ne m'a pas infligé un quart d'heure.
Le suivant ne prenait pas plus de temps, lui aussi il expédiait l'affaire rapidement. Avant je l'avais pris dans la bouche, ça non plus je n' aime pas trop mais bon, c'était pas la première fois. Et j'ai déjà donné du plaisir à mes camarades. Plus d'un m'avais déjà juté dans la bouche.
Là non plus je n'étais pas des plus actifs mais ça ne me dérangeais pas.
Le second lui non plus ne m'infligeait pas une longue séance. Je suçais le troisième de mes baiseurs qui passait dans mon cul dès que celui-ci se libérait.
Je respirait fort, je tentais de rester calme, il y allaient doucement pour ne pas me faire mal et finalement cette caresse interne, ce massage dans mes entrailles finissait par devenir agréable, enfin presque agréable.
Quand le dernier des quatre terminait son office j'étais à la limite d'un orgasme douloureux et quand le dernier se retirait j'éjaculais.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Le nouveau roi
Je n'ai pas compris tout de suite ce qui se passait. On m'a expliqué, la règle était simple, la première personne qui rentrait dans la salle ou le roi était mort était nommée roi.
Toutes les personnes présentes étaient rentrée en même temps que le roi, peu après le roi mourait, les docteurs n'ont rien pu faire pour le sauver. Toutes les personnes présentes alors priaient et psalmodiaient en exprimant leur peine.
'' Le roi est mort ! Qui sera notre roi ?''.
A partir de cet instant la première personne qui entrera sera déclarée roi … C'était moi et il me le disaient …
'' Le roi est mort ! TU seras notre roi ! ''.
On ne me demandait pas mon avis, c'était la règle, depuis des siècles c'était ainsi. Je devenait le symbole de l'unité du pays. Il n'y aurait pas de reine, il n'y aurait aucune prise de pouvoir par aucune famille. Le roi était et resterait indépendant.
Il n'y aurait pas de reine, il n'y aura pas de femme et s'il n'y a pas de femme le roi n'avait aucune raison d'être sexuellement actif.
Déjà une petite main, le premier secrétaire au ministère principal, arrivait. Il avait une allure solennelle et portait un plateau dans lequel il y avait un dispositif de chasteté. C'était ma taille.
Là je me suis senti mal, je connaissais la suite. Il faut dire que je comprends vite, je suis un petit malin. Je comprenais que je ne pouvais que me résigner, que je ne pouvais pas refuser. J'étais le nouveau roi.
Ma queue se ratatinait et perdais brusquement deux tailles.
C'est donc sans difficultés que je pouvais enfiler le dispositif. Je passais une couilles, je tremblais, mais c'était une question d'honneur il fallait que je conclue. Personne n'avais jamais refusé cet honneur. C'est en tremblant que je glissais ma queue dans la cage qu'on me présentait. Puis je refermais la cage sur l'anneau.
C'était fait, j'étais sous clé. J'avais comme un nœud dans mon ventre. Je savais que c'était la dernière fois que j'avais vu ma queue libre. Ce n'était pas du tout les projets que j'avais fait pour le reste de a vie. Tous mes projets s'envolaient.
Le premier secrétaire s'exclamait …
'' Le roi est mort, vive le roi ! ''.
Tout le monde reprenait et rapidement ce cri de joie se propageait dans tout le palais.
'' Le roi est mort, vive le roi ! ''.
C'est à ce moment que j'ai compris que j'étais le roi maintenant. Que maintenant je n'aurais plus jamais besoin de travailler et que je vivrais dans un palais royal pour le reste de ma vie en plus.
J'aurais des serviteurs, des conseillers, que la foule se prosternerait devant moi, qu'on m'admirerait qu'on prendrait soin de moi et que … je ne pourrais plus jamais utiliser ma queue pour le reste de ma vie …
C'était horrible.
Je ne montrait rien mais là, à cet instant je paniquait grave dans ma tête.
On me conduisait dans la sale du trône. Il y avait ce siège sur lequel seul le roi avait le droit de s'y asseoir. Il était en hauteur, je me souviens tout se passait comme dans un rêve, enfin un cauchemar, mes souvenir sont flous. Je montais les marches lentement. Maintenant je paniquais encore plus. Mon cœur battait à tout rompre.
Arrivé au niveau du trône, là c'était l'angoisse, je me retrouvais devant un gode et c'est sur ce gode que je devais m'asseoir. Et vous savez que ça, c'est pas pour moi. J'avais une grosse boule dans la gorge en prenant position.
Je n'aime pas me faire défoncer le cul, et maintenant c'était mon avenir. Sans même que j'ai le temps de réagir, une petite main lubrifiait généreusement le gode qui ressortait du siège. Il fallait que me m'asseye dessus. C'était la règle, le protocole, je n'avais plus le choix.
Je prenais position et enfonçait doucement ce gode, il n'était pas énorme mais il était tout de même de belle taille. Ça résistait, je poussais doucement et là c'est une incroyable douleur qui me saisissait. Je poussais un cri,je ne parvenais pas à me retenir.
J'essayais une deuxième fois, c'était toujours aussi douloureux. J'avais toujours été de l'autre côté. C'est moi qui enculais, c'est toujours moi qui enculais là c'est moi qui me ferais enculer, c'est moi qui me ferais toujours enculer …
En plus je n'aimais pas me faire enculer !
Je respirais bien à fond, je me détendais, je détendais surtout mes muscles puis je reprenais. Le gode rentrait lentement, la douleur montait. Je me demandais comment certains arrivent à éprouver du plaisir dans cette position, pour moi c'était l'horreur.
Le gode rentrait lentement, c'est à ce moment que deux petites mains s'approchaient de moi et me donnaient un coup de pied contre mes chevilles, je perdais mon équilibre et je m'effondrais que le trône. Ça y est j'étais empalé sur mon trône, j'étais le roi et j'étais assis sur mon trône.
Deux gardes prenaient place juste derrière moi et me posaient fermement une main sur mes épaules pour m'empêcher de me relever.
Je vous jure c'est pas facile tous les jours d'être roi !
J'aurais donné n'importe quoi pour pouvoir me dégager, on me retenait.
Ensuite c'est le forgeron qui arrivait, il portait une étrange enclume plate qu'il positionnait juste en dessous de mes couilles. Son assistant lui tendait alors une masse.
Là je ne vous dis pas mais j'ai paniqué, il s'apprêtait à m'écraser mes couilles et ma bite. On me retenait.
Le premier secrétaire qui ne s'était pas éloigné me glissait à l'oreille.
– Laissez-vous faire majesté, tout se passera bien ! Maintenant il me disait 'vous'.
Le marteau du forgeron s'écrasait sur ma cage, le choc était violent mais j'étais sain et sauf. C'était une méthode, spectaculaire certes, mais efficace pour sceller la cage. C'était de l'acier d'Extrémasie et je savais que nul ne pourrait l'ouvrir maintenant. J'avais toujours mal au cul et un peu mal aux couilles.
Maintenant j'étais le roi, toute la cour devait venir me saluer et me prêter allégeance. La cérémonie durait jusqu'au soir. J'en pouvais plus j'avais mal au cul, j'avais mal aux couille, et maintenant je bandais et j'avais mal à la bite.
Je vous jure c'est pas facile tous les jours d'être le roi !
Toute la cour était passée devant moi, tous m'avaient salué, les petites mains en premier, ensuite venaient les gardes chastes, ensuite le premier cercle. C'est à ce cercle auquel j'appartenais. Ceux là je les connaissais tous très bien, j'en avais enculé plusieurs, aucun ne m'avait rendu la politesse. A chaque fois j'avais décliné la proposition.
Moi je ne me faisais pas enculer, et maintenant c'étaient eux qui m'enculeraient, je me ferais enculer au moins une fois par jour, sans parler du gode, j'avais mal au cul. L'encadrement continuerait avec ceux qui ce matin encore servaient le roi. J'en faisais partie et on me présentait donc un remplaçant.
C'était l'enfer, j'étais le roi.
On m'invitait à me rendre à la salle de bain. Je me relevais comme je le pouvais, j'avais mal au cul. Une petite main m'essuyait et s'assurait que tout allait bien. Là je me sentais mieux.
Sous la douche il y avait huit mains qui se promenaient sur mon corps, me caressaient. Quelques lèvres m'embrassaient. Je pense que c'était là le meilleur moment de la journée.
On me présentais un harnais et une cape faite avec la peau de cet animal exotique que personne n'a jamais vu. Les marchants appelaient cela une Soie je crois. Sa peau était d'une telle légèreté qu'on avait l'impression de ne rien porter, en plus c'était transparent.
Je me présentais à la fenêtre du palais pour saluer la foule qui m'acclamait.
'' Vive le roi, longue vie à notre roi … ''.
Je saluais avec la main, souvent j'avais vu le roi faire. Je ne disais rien et je redoutais surtout le moment du pal, pardon je voulais dire du gode.
On passait à table, tout se passait normalement, le roi était mort, il y avait un nouveau roi, de nouveaux godes, de nouveau … J'étais avec mon groupe, le matin deux d'entre eux servait le roi, un prenait son service pour quatre jours, un dernier prenait sont service pour deux jours, c'est le temps qu'il me restait.
C'était les membres du premier cercle et pour nous tous cette situation était aussi nouvelle qu'inattendue.
Plus tard on se retrouvait tous dans mon lit. C'était la chambre du roi, c'était ma chambre. Toutes les traces du roi précédent avaient disparues. Un des quatre hommes qui m'accompagnait me disait discrètement.
– Nous avons reçu l'ordre de t'enculer … Tous les quatre … Je sais que tu n'aime pas mais on en a parlé. On n'essayera pas de se retenir, on ne fera pas durer …
Je connaissais bien ce garçon, à plusieurs reprises je l'avais sodomisé. Lui il aime bien.
C'est lui qui commençait, avec une grande douceur il s'allongeait sur moi et me caressait tout le corps. Je tentais de me détendre, je savais que ça allait faire mal, très mal peut être même.
Il prenait position, sa queue juste contre mon anus. J'avais toujours mal au cul. Il lubrifiait très généreusement puis me donnait un baiser sur l'épaule … Ensuite il poussait sa queue dans mon cul. Ça glissait rapidement, il glissait en moi et j'avais envie de hurler.
La sensation était impossible à définir, c'était douloureux mais pas seulement, il y allait doucement. Il était large et je frémissait, j'avais envie de pleurer. Je ne voulais pas de cette vie, mais avais-je vraiment le choix. Un roi avait-il déjà abdiqué ? Nombre de questions tournaient en boucle dans ma tête.
Les caresses étaient agréables, les câlins aussi, et les baisers me réconfortaient. Il a fait comme il avait promis il a fait court. Je l'avais vu au travail il est capable de limer un cul pendant plus d'une heure mais il ne m'a pas infligé un quart d'heure.
Le suivant ne prenait pas plus de temps, lui aussi il expédiait l'affaire rapidement. Avant je l'avais pris dans la bouche, ça non plus je n' aime pas trop mais bon, c'était pas la première fois. Et j'ai déjà donné du plaisir à mes camarades. Plus d'un m'avais déjà juté dans la bouche.
Là non plus je n'étais pas des plus actifs mais ça ne me dérangeais pas.
Le second lui non plus ne m'infligeait pas une longue séance. Je suçais le troisième de mes baiseurs qui passait dans mon cul dès que celui-ci se libérait.
Je respirait fort, je tentais de rester calme, il y allaient doucement pour ne pas me faire mal et finalement cette caresse interne, ce massage dans mes entrailles finissait par devenir agréable, enfin presque agréable.
Quand le dernier des quatre terminait son office j'étais à la limite d'un orgasme douloureux et quand le dernier se retirait j'éjaculais.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quelle chance d’être roi !
Merci
La suite la suite....
Je trouve ce récit extraordinaire.
J’attends avec impatience la suite.
Bravo Charly
J’attends avec impatience la suite.
Bravo Charly