Le roy 23 Un début de règne

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le roy 23 Un début de règne Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le roy 23 Un début de règne
Le roy 23
Un début de règne


Le lendemain on m'épargnait la sodomie matinal. Les petites mains me surveillaient. Ce serait ainsi pour toujours. On m'a dit qu'on s'y habituait, je ne sais pas mais pour le moment je n'étais pas convaincu.

Je passais sous la douche, un nouveau partenaire de quatre jours m'était présenté, lui aussi je le connaissais, il était du premier cercle. La règle était simple, tous les matin un partait et un arrivait pour quatre jours. On prenait soin de moi sous la douche.

Puis comme tous les jours on m'habillait, un harnais, une tunique courte, une tunique ouverte ou encore juste une cape … c'est moi qui choisissais. J'avais encore ce privilège.

On me donnait une sorte de chapeau, ça c'était uniquement pour sortir et la cérémonie de crémation du précédent roi décédé la veille. Je choisissais la sobriété, je ne porterais aucun vêtement.

Ensuite on passait à la salle du trône. Il y avait ce trône avec ce gode, il me semblait plus petit que la veille. On me confirmait que en effet il y avait plusieurs taille et que pour ce début de règne on avait décidé d'y fixer la plus petite taille. Le temps que je m'habitue à ces trucs.

C'était l'horreur, il m'a fallu un petit moment avant de pouvoir me l'enfiler sur toute sa longueur. Je recevais ensuite les condoléances, de tous les quartiers de la ville. Tous les représentants passaient devant moi, je les saluais ils me saluaient, ils me faisaient un petit discours, je les remerciais et le suivant prenait la place …

C'était ça la vie d'un roi, c'était pas vraiment passionnant.

Et puis j'avais mal au cul. Je ne sais pas si ça venait de ça mais ma bite, par contre, me laissait étonnement tranquille. Je n'avais aucune érection importune qui pourrait vite devenir désagréable. Mon corps me laissait tranquille au moins su ce point, c'était déjà ça.

Il y avait la cérémonie de crémation. Les rois sont incinérés, c'est la tradition. Tout d'abord on rends les cadavres présentables, mon prédécesseur n'avait pas trente ans, il faisait du sport et comme, vous le savez maintenant il ne pouvait que sortir des rangs du premier cercle. Et la sélection pour entrer dans le premier cercle est avant tout plastique. Très beau corps, belle gueule, belle queue, oui enfin ça, on pouvait l'oublier.

Son successeur sortait du même moule, beau corps, musclé, sportif et aussi une très belle queue mais enfin ça, je pouvais l'oublier. Le successeur, c'était moi. Je décidais de ne porter qu'un couvre chef léger pour me protéger du soleil.

Il y avait un tas de bois incroyable qui avait été dressé, en son sommet, à plus de un mètre cinquante, le corps était posé. Ensuite on continuait à monter le tas de bois, le corps se retrouvait entièrement recouvert de bois.

Je n'étais pas vraiment dans une position confortable. On m'avait déplacé en chaise à porteur, et comme vous le savez elle est équipée d'un gode …

Rapidement je décidais de me relever et de rester debout. J'étais très applaudi, on prenait cela pour une marque de respect pour mon prédécesseur, il y avait bien un peu de ça mais il y avait aussi la recherche d'un certain confort. J'avais vraiment du mal à garder un gode pendant des heures.

Je mettais moi même le feux au bûché, j'allumais un petit feu à chaque coin puis je reprenais place, toujours debout en retrait.

La cérémonie à duré plus d'une heure, au bout d'une heure le bois brûlait toujours, on le laissait terminer de se consumer. Chacun avait le droit de se recueillir. Je m'étais retiré, c'est avec une certaine douleur que j'avais repris place sur ma chaise à porteur.

Puis le roi se retirait pour méditer, dans ses appartements, depuis sa chambre il pouvait voir le bûché et il s'était confortablement installé sur un gros gode …

Enfin ça c'était la version officielle parce, pour ce qui est de ' confortablement ', là je sais de quoi je parle, mais c'était pas ça !

Seul un groupe de petites mains méditait auprès de moi, j'avais l'impression d'être prisonnier et je n'avais pas choisi le gode. On me disait que le plaisir viendrait plus tard, mais qu'il viendrait, et plus il mettrait du temps à venir, plus intense il serait.

Ils devaient savoir de quoi ils parlaient les petites mains, ils se faisaient défoncer le cul par n'importe quel ' Premier cercle ', j'en avait pratiqué plus d'un moi-même. C'est vrai qu'ils semblaient aimer.

Je me suis senti mieux quand on m'a autorisé à me dégager. Pardon je voulais dire quand le protocole m'autorisait à me redresser .

J'avais mal au cul. Mais c'est vrai que je sentais comme un mieux. Je pouvait supporter un peu plus chaque jour les godes. Pour les nuits, on demandait à au moins deux des mes serviteurs premier cercle de m'enculer chaque nuit. Le ministre avait dit … '' Sa majesté doit respecter le protocole qui le concerne au plus vite ''…

Il est marrant le ministre, comme si lui il serait capable … Bon je retire mon commentaire. En effet le ministre est capable, je l'ai vu dans une soirée se faire défoncer le cul par cinq premiers cercles, un après l'autre on lui est passé dessus. J'étais le deuxième et je ne vous dis pas je me suis donné, mon but était de la faire couiner …

Et il a couiné !

Maintenant c'est moi qui serait le passif principal, je serais LE passif. Je faisais le calcul et en moyenne je passais facilement cinq à six heures par jour avec un de ces truc dans le cul. Il n'y avait pas de week-end ou de vacances.

Et la constitution de ce royaume ne prévoyait pas l'abdication.

Au bout de quelques semaines, je parvenais à m'asseoir sans difficultés sur mon trône. Les matins devenaient agréables. Je n'avais pas le temps d'ouvrir les yeux que déjà je sentais des mains, des caresses et des baisers sur tout mon corps.

Je me retournais et les caresses suivaient. Des corps nus se collaient contre le mien et la seule chose qui se glissait entre eux et moi était ma cage, eux n'en avaient pas.

J'aimais particulièrement quand, allongé sur le ventre, je sentais un de mes anciens camarades du premier cercle s'allonger à mes côtés, presque sur moi. Je sentais son sexe encore à moitié mou qui me caressait. Je sentais le reste de son corps chaud et terriblement doux qui glissait contre le mien.

Suivaient les caresses, un deuxième corps, un troisième, après il n'y avait plus de place pour le dernier. Il pouvait prendre place devant moi et au moment ou je me relevais sur mes bras il me glissait sa queue dans la bouche. Première fellation du matin. Il ne me ménageait pas, il me prenait fermement ma tête avec ses mains et me retenait avec force en poussant sa queue contre ma gorge.

Dans le passé je n'étais pas fan de cette pratique, enfin en tant que suceur bien sûr. J'étais le sucé et moi aussi je ne marquais aucune tendresse envers le roi. Il était là pour encaissé et je n'avais plus qu'a encaisser. J'ai appris à le faire, j'y ai même prix goût.

Même allongé sur le dos on ne m'épargnait rien, un de mes partenaires se plaçait alors les jambes bien écartées juste au dessus de mon visage, il appuyait sur sa bite, la penchant vers le bas, puis il me l'enfonçait avec une grande détermination. Je lui suçais le gland alors que ses couilles roulait sur mes yeux.

Nous avions été formé pour ne surtout pas étouffer le roi et je pouvais constater que mes anciens camarade du premier cercle étaient toujours attentifs à mes réactions. Et puis il y avait toujours les petites mains, toutes ces petites mains, tous ces voyeurs qui nous observaient. Ils avaient eux aussi des cages à bite et ils devaient bien s'exciter en me regardant me faire prendre par tous les orifices.

J'en prenais plein la bouche, plein la gorge et rapidement, j'avais encore le droit de le choisir ou au moins d'en choisir un parmi ceux qui m'enculeraient. Pour le reste c'était les petites mains. Eux avait plein pouvoir pour décider si il y en aurait un ou plus qui devraient me défoncer le cul.

Je sentais toujours ces corps nus et beau qui glissaient contre le mien. Les mains, les doigts qui glissaient sur mes fesses et finalement sur mon cul. On me lubrifiait, je laissais faire. Il y avait souvent plusieurs mains à la fois, et je ne savais pas, je ne cherchais même à savoir à qui était cette main ou l'autre.

Ensuite c'était un doigt qui glissait, pas seulement entre mes fesses mais dans mon cul. Un doigt, puis deux, trois même. Là le dernier appartenait à une autre main. On continuait à me caresser les reins, le dos et je sentais toujours des baisers de plus en plus insistants.

Un de mes partenaire s'allongeait sur mon dos et me pénétrait. Au début, je me retenais de hurler de douleur mais de plus en plus je me retenait maintenant de ne pas hurler de plaisir. J'avais encore ce droit.

Si on m'avait allongé sur le dos, la procédure était la même. On m'écartait les cuisses, on me relevait les jambes et un de mes partenaires se glissait en moi. Je prenais de plus en plus de plaisir dans cette position. C'était en train de devenir ma position préférée.

Dans les deux cas on me limait le cul rapidement avec force. Quelquefois même avec violence. Les coups contre mes fesses résonnaient fort dans la salle ou personne ne parlait, pourtant il y avait du monde. Il n'y avait pas pour autant de commentaire, de bruit, les participants était mes quatre hommes de compagnie, le premier cercle, et toutes les petites mains qui pouvaient avoir une raison, ou pas, de se retrouver là. Seuls les membres du premier cercle ne portaient pas de cage à bite.

Quelquefois j'imaginais la frustration qu'ils devaient ressentir. C'était sans doutes pire que ma propre frustration. Moi je parvenais à jouir, certes on ne me stimulait pas la queue mais la prostate, par contre, ça, oulala.

C'était particulièrement vrai quand on me limait plus lentement. Les mouvements amples et lents procuraient également un plaisir intense qui montait très haut.

Rien ne changeait d'un jour à l'autre, ensuite on passait sous la douche, nous étions cinq, mes quatre partenaires du premier cercle et moi. Suivaient je ne sais combien de petites mains. Il fallait bien porter les serviette, le savon, le shampooing … enfin tout ça quoi …

Jaffa n'était jamais bien loin le matin. C'est vrai que je ne vous parlais plus de lui mais il ne me quittait pas. Au contraire, il s'était rapproché de moi, il était au plus près, parmi mes plus proches serviteurs. C'est moi qui le payait, c'est vrai et il était question de décider de son statut d'ici peu.

J'avais encore quelques droits, quelques libertés. Je disposais de la cassette royale, une somme non négligeable dont je pouvais disposer sans rendre de compte.

Après la douche un nouveau enculeur, un nouveau proche pour quatre jours m'était présenté et je disais au revoir à celui qui avait passé quatre jour avec moi. Il ne partait pas bien loin, il retournait à ces activité de membre du premier cercle et il reviendrait dans mon lit quelques semaines plus tard.

Il y avait des jours ou on recevait des marchands comme vous le savez mais ce jour là c'était une surprise qui m'attendait. Il y avait plusieurs marchands dont une vieille connaissance.

C'était celui qui était venu dans mon village, qui m'avait vendu mon harnais ainsi que quelques bricoles, et surtout ma première cage à bite. C'est lui qui avait acheté Jaffa et se faisait passer pour son père, car acheter un enfant était interdit.

C'est lui avait imposé à Jaffa le port permanent d'une cage à bite.

On me le présentais, j'étais confortablement installé sur mon trône, il ne me reconnaissait pas …


A suivre


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