Le sapin de Noel

- Par l'auteur HDS les-jacanas -
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Récit libertin : Le sapin de Noel Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Le sapin de Noel
Récit inspiré de situations réelles, les noms sont modifiés
C’est la période de noël le capitaine Galot président de l’amicale du régiment veut effectuer une commande groupée de sapins pour noël auprès d’un producteur qui a proposé un prix préférentiel pour des sapins de 1m à 2m50. Le capitaine délègue cette mission à l’adjudant célibataire de 31 ans Éric Colin chef de section adjoint.
Dans un premier temps le sous-officier collecte les désidératas de chacun en matière de taille de façon à établir la commande. L’adjudant a eu le matin même une altercation avec le lieutenant Moreau un jeune officier sous contrat de vingt-six ans imbu de sa personne, le sous-officier expérimenté décide de se venger en modifiant de 1m50 à 2m50 la taille du sapin commandé par le lieutenant. Le pépiniériste effectue la livraison à la caserne le lundi suivant et chacun vient chercher son sapin en général entre 1m50 et 2m. Le mardi à seize heures il ne reste que trois arbres dont celui du lieutenant qui mesure exactement 2m70.
Le lieutenant convoque le sous-officier dans son bureau à dix-huit heures :
« Mon adjudant, je pars ce soir en mission à Coêtquidan pour trois jours, pouvez-vous livrer le sapin chez moi demain dans la matinée. »
« Affirmatif mon lieutenant »
Déçu de ne pouvoir remettre directement le sapin à l’officier l’adjudant Colin se console en imaginant le savon que sa femme va lui passer quand il rentrera. Le lendemain dès la fin de la cérémonie des couleurs, vers huit heures quinze, l’adjudant charge le sapin dans le fourgon de la compagnie avec l’aide d’Hakim, un caporal de vingt ans solide gaillard petit-fils de harki. Ils partent vers huit heures quinze, un quart d’heure plus tard ils sont devant le logement du lieutenant qui habite au deuxième étage. Ils sonnent après quelques secondes la porte s’ouvre sur une jeune femme en peignoir satin blanc, brune plutôt mignonne d’un mètre soixante-dix, elle a un mouvement de recul :
« Qu’est-ce que c'est ? »
« Madame Moreau ? »
La femme en peignoir répond par l’affirmative,
« Je suis l’adjudant Colin, Le lieutenant nous a demandé de vous livrer le sapin qu’il a commandé »
En voyant sur le pallier la taille du sapin dont la cime est recourbée elle explose.
« Mais il est con ce mec jamais il ne logera dans l’appartement, c’est pas possible quel abruti je lui avais dit 1m50 ! Il fait quelle taille ce sapin?»
« Il fait un peu plus des 2m50 demandés par le lieutenant! Si ça vous pose un problème on peut couper le pied à 1m50 si vous avez une scie !»
« Excusez-moi je râle mais vous n’y êtes pour rien, entrez ! Je vais chercher si nous avons une scie »
Quelques minutes plus tard elle revient avec une scie à métaux émoussée « c’est tout ce que j’ai trouvé »
« Nous allons faire avec, si vous pouviez mettre une couverture pour protéger la table car nous allons prendre appui dessus»
Pendant que la femme recouvre la table d’une couverture épaisse les militaires tombent la veste de treillis pour être à l’aise. La femme demande si cela est suffisant
« Oui madame Moreau ça va aller, je vous remercie »
« Vous pouvez m’appeler Sofia »
Le caporal, aidé de l’adjudant, entreprend le sciage du pied du sapin. Avec un outil non adapté et dans l’environnement d’une salle à manger cela n’est pas aisé, le sapin bouge beaucoup. La femme du lieutenant pleine de bonne volonté décide d’aider pour immobiliser l’arbre. Soudain le sapin pivote brusquement et une branche au passage déchire le peignoir et râpe la hanche de la belle qui crie de douleur ou de surprise. L’adjudant se porte au niveau de la femme qui se tient la hanche cachant ainsi sa blessure.
« Vous êtes blessée Sofia ? »
« Ce n’est pas grave juste une éraflure ! »
« Il est quand même préférable de désinfecter la plaie, vous avez ce qu’il faut ? »
« Oui dans la salle de bain suivez-moi adjudant »
« Si je vous appelle Sofia appelez-moi Éric !»
Éric suit Sofia, dans la salle d’eau, elle sort le désinfectant des compresses et des pansements de la pharmacie et se tourne vers Éric qui découvre la déchirure du peignoir mais aussi de la nuisette rose en dessous. Cette déchirure découvre largement la hanche de Sofia. Le militaire s’empare d’une compresse qu’il imbibe et demande à la femme de s’assoir sur le bord de la baignoire. Il se penche et désinfecte consciencieusement la plaie superficielle mais le produit pique ce qui provoque un mouvement de recul du bassin de la dame découvrant ainsi son entrejambe toiletté. Le militaire n’est pas de bois et son regard s’attarde sur la vue de l’attrayant sexe féminin et sa main glisse de la hanche vers le triangle intime de la dame.
« Éric vous êtes distrait ce n’est pas là que ma plaie se trouve »
« Excusez-moi Sofia je n’ai pas résisté à un si beau spectacle ! Je vous mets un pansement ! »
L’adjudant se ressaisi il pose un pansement sur l’éraflure, il se redresse et observe avec satisfaction la hanche soignée, la femme le remercie. Le militaire s’approche encore d’elle et la regarde dans les yeux
« Vous ne pouvez pas rester ainsi il vaut mieux vous changer car votre tenue est devenue impudique et tentatrice»
« Vous avez raison Éric je vais régler ce détail »
En un tour de main elle retire son peignoir, sa nuisette et se retrouve nue devant le subordonné de son mari, Éric n’en revient pas surtout que la jeune femme est plutôt belle et bien faite. Éric détaille le corps harmonieux qui provoque en lui un certain émoi. Sofia le regarde et constate l’effet de sa nudité sur son soigneur dont l’érection est visible malgré le pantalon de treillis. Elle se colle à lui en posant la main sur sa bosse de son bas ventre.
« Éric je vois que je vous trouble je peux vous soulager si je peux compter sur votre discrétion »
« Bien sûr madame euh Sofia »
Elle l’entraine dans la chambre attrapant son sac à main dans le couloir au passage. Sofia se charge de dévêtir Éric qui retire ses rangers (il peut remercier le bottier qui les a modifiés avec la pose d’une fermeture éclair). Rapidement il est aussi nu que la femme de son lieutenant. Le sexe de belle taille et triomphant attire la main de Sofia elle prend Éric dans ses bras et l’embrasse en collant son bas ventre à celui de l’homme pour sentir son désir. Elle attrape un préservatif dans son sac et pousse le sous-officier sur le lit.
Elle couvre le sexe bandé et s’empale sur la bite dressée d’Éric. Le militaire désireux de dominer la femme de son supérieur la bascule pour la baiser énergiquement en position du missionnaire. Sofia mouille beaucoup et exprime son plaisir bruyamment. Elle jouit deux fois avant que l’adjudant garnisse la capote au fond de son ventre.
« Alors Sofia cela vous a plu »
« C’était très bon Éric, vous êtes plein de ressources »
Le militaire se débarrasse du préservatif, il est prêt à retourner aider son caporal mais la femme s’empare de la queue avec sa bouche ce qui provoque une nouvelle érection. Le sous-officier demande alors à la femme volage :
« Tu en veux encore ? Mets-toi en position je vais te baiser comme une chienne. »
« Je n’ai plus de préservatif »
« T’inquiètes ! Je suis sain le suivi médical du militaire c’est sérieux ! »
Il se positionne derrière elle, il lui baise nouveau la chatte en lui malaxant les seins, la femme infidèle se donne sans retenue ce qui encourage l’adjudant à lui doigter le cul. Après un puis deux doigts c’est elle qui demande à être sodomisée. Colin met un point d’honneur à satisfaire le vœu de la dame. Le chemin est bien ouvert il passe à l’assaut et s’engage dans le passage étroit qu’il alèse à bonne cadence. Cet assaut n’est pas pour déplaire à Sofia qui couine de plus en plus fort ce qui ne manque pas d’éveiller la curiosité du caporal. Éric n’a cure des cris de la femme adultère qui une nouvelle fois jouit bruyamment.
Lorsqu’elle se retourne pour embrasser son amant Sofia découvre sur le côté dans l’embrasure de la porte restée entrouverte le caporal qui branle un chibre de taille conséquente. Découvert celui-ci annonce
« C’est fini mon adjudant le sapin est coupé qu’est-ce que je fais maintenant ? »
Éric regarde le caporal et le voyant la bite à la main il sourit et observe la jeune femme, qui semble quand même un peu paniquée, et lui pose la question
« Sofia à toi de décider pour le caporal si tu te venges un peu plus de ton mari qui, entre nous, au boulot est un connard»
« Caporal je vois que vous avez sorti votre arme alors joignez-vous à nous »
« Sofia le caporal se prénomme Hakim vous pouvez vous appeler par vos prénoms puisque vous êtes intimes maintenant »
Hakim se met nu et s’approche du lit et vient présenter son gros sexe à la bouche de cette femelle docile et gourmande.
« Hakim tu as une belle bite qui doit plaire aux filles »
La femme de l’officier suce la queue épaisse et longue du caporal qui maintenant baise vigoureusement la bouche féminine.
« Sofia vous sucez comme une reine, ça me plait. »
Éric, toujours logé dans le fondement de la débauchée et accroché à ses hanches, pilonne avec ardeur le terrain privé de son ennemi. La belle gémit de plaisir la bouche occupée par la queue d’Hakim.
« Je ne pensais pas baiser et enculer la femme de Moreau aujourd’hui pour me venger de ce connard. C’est une bonne cochonne ! T’en pense quoi Hakim ? »
« Elle est bonne la garce, c’est une vengeance agréable surtout qu’elle ne se plaint pas la poulette, elle a même plutôt l’air d’aimer ça la salope »
« Oh ! Les gars je suis là, j’entends ce que vous dites »
« Et tu en penses quoi Sofia ? »
« Éric je comprends que tu n’aimes pas le lieutenant mais même si c’est un oxymore je dis que j’aime mon mari et qu’en même temps je prends beaucoup de plaisir avec vous. C’est son foutu sapin de 2m50 qui a tout déclenché en déchirant mes vêtements. En plus depuis une semaine il a trop de travail il n’a pas le temps de baiser »
Éric encule avec bonheur la femme de son officier et jouit enfin dans son intestin. Il est vite remplacé par Hakim qui fait jouir du cul cette dévergondée avant, lui aussi, de lui remplir le cul de foutre.
A dix heures trente les deux hommes sont encore occupés à baiser la femme de leur supérieur. Ils prennent l’infidèle en double lorsque le téléphone sonne. Hakim donne le combiné à Sofia qui bien que secouée s’efforce de répondre c’est son mari qui se renseigne si elle a reçu le sapin.
« Oui ils l’ont amené vers huit heures trente je l’ai mis comme prévu. Non ça, va c’est que je fais ma gym. Tu me rappelle ce soir vers huit heures. Ok bisou »
Les deux militaires entendaient à peu près ce que disait le lieutenant et sachant que le cocu ignorait son infortune ils étaient morts de rire et secouaient encore plus la femme infidèle. Quand elle raccroche elle les réprimande.
« Vous êtes fou il aurait pu vous entendre»
« Tu ne peux pas savoir le plaisir qu’on éprouve quand le mec que tu détestes parle à son épouse qu’il croit féale et que tu es en train de la baiser »
Les deux militaires partent vers onze heures mission accomplie au-delà des directives reçues. Sofia les remercie et satisfaite du service elle demande même discrètement à l’adjudant Colin de passer refaire le pansement le soir vers vingt et une heure. Le sous-officier ne s’est pas fait prier et a profité de la nuit complète pour assouvir sa vengeance et son plaisir.
Selon sa femme le lieutenant n’a jamais rien su de son infortune

Les avis des lecteurs

Sofia est une sacrée cochonne!

Histoire Libertine
C’est juste prendre son mari pour 1 con pour prétendre aimer son mari et le tromper surtout avec 1 collègue
Surtout qu’en tant que militaire si le respect est mort ça peut être dangereux au combat.

Bref rien de bien nouveau la.



Texte coquin : Le sapin de Noel
Histoire sexe : Une rose rouge
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