Le séjour de Monique
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Le séjour de Monique
Pendant nos baises, Yves, mon mari me demande souvent si je ne souhaite pas baiser avec une fille, comme ça, pour changer. Il ne se rend pas compte qu'avec lui seul, mon changement c'est lui. Quand nus dans le lit, n'importe quand dans la journée nous nous donnons entièrement, moi en particulier : j'aime tellement sa queue. Il me fait jouir avec d'une façon remarquable. Il n'est pourtant pas mon premier, j'en ai eu des copains, amants réguliers ou de passage. Sa queue me comble totalement, qu'importe l'endroit où il me la met, où je la veux.
Il n'empêche que depuis qu'il voudrait que je couche avec une autre, je commence à avoir envie d'aller voir ailleurs, avec une autre précisément : je ne connais rien aux caresses entre filles. C'est bon parait-il.
La cousine germaine d'Yves vient passer quelques jours chez nous. Il m'avait bien dit une fois qu'ils avaient eu une aventure chaude bien avant notre mariage. Moi, j'étais curieuse de les voir ensemble, même, pourquoi pas au lit. Voir mon mari pendant qu'il fout une autre que moi ? Insensé et au fond de moi un rêve englouti.
Je reçois donc Monique amicalement, avec au fond de moi la réelle envie de la voir nue avec son cousin, mon mari. La suite dépasse mes attentes. Fatiguée du voyage elle me demande d'aller prendre un bain. Je la laisse seule dans la salle de bain. Par curiosité j'entrouvre la porte pour la voir.
Sa nudité est parfaite. Tellement parfaite qu'elle a le jet de la douche sur la chatte. Là, je me transforme en voyeuse : elle se fait du bien, c'est visible quand elle tend son bas ventre pile sur le jet. Elle me donne envie de me masturber. Tant pis pour elle, le vais dans le séjour, j'enlève le string tout mouillé, la jupe. Assise dans le fauteuil, le grand, j'écarte bien les jambes. Ma main droite se dirige seule sur le chemin qu'elle connaît fort bien : ma chatte.
Les yeux fermés, je pense encore à la scène que j'ai vue.Le clitoris en feu, je le calme avec l'index, puis, comme souvent avec le majeur uni au premier doigt. Je sens monter cette vague du bas ventre qui envahi outre le con, le cul, le bas ventre en entier. Je suis sur le point de jouir. J'en suis empêchée par une douce voix :
Je vais t'aider.
C'est Monique qui regarde ma main et seulement ma main. En moi j'ai un drôle de sentiment (tout se passe vite dans la tête). Ou j'accepte son aide pour me faire partir, pour donner raison à Yves, ou je refuse tout, même de voir les deux cousins s'aimer devant moi.
Avec plaisir.
Mon accord m'étonne par sa rapidité. Monique ne me laisse pas le temps de me raviser. Elle est vite près de moi, sa bouche sur la mienne, une pour remplacer la mienne. Ainsi sans tellement le vouloir je satisfais aux désirs de mon mari de baiser avec une femme. Je le lui raconterais après, quand Monique sera parti, bien après. Elle se débrouille pour me mettre nue. J'ai un peu honte d'être ainsi sa proie.
Elle est courbée sur moi, sa bouche donc sur la mienne, une main sur et maintenant dans le sexe. Elle fait aller et venir ses doigts dans la vulve. Je me sens mouiller encore plus. J'accompagne ses mouvements par ceux de mon bas ventre : je me fais baiser comme avec Yves quand il me la met au même endroit. Et puis, je ne sais trop comment j'ose lui caresser les jambes. Monique n'en fait pas un plat, elle les écarte pour laisser passer ma main et mon bras.
Je trouve sa peau douce, c'est normal, elle vient de sortir du bain. Ce que je découvre est la douceur d'une autre chatte que la mienne. En commençant de moi même la caresse qu'elle désire sans doute je me laisse totalement aller au saphisme. Que c'est bon que de caresser une autre femme. Si mon Yves était là, certainement qu'il voudrait nous baiser ensemble.
Monique geint doucement, je crois que j'en fais autant tellement je me régale, comme un gamin qui déguste son premier sucre d'orge. J'ai envie de son sexe sur ma bouche, à défaut d'avoir du sperme j'aurais au moins de sa cyprine. Qui sait, elle doit avoir bon goût par rapport à la mienne, celle que lèche goulûment la langue de mon mari.
J'allais proposer de la sucer quand elle pose sa bouche sur le con demandeur de caresses ultimes. Mon clitoris est surpris de l’agilité de cette langue féminine là où il n'a connu que celles des hommes. J'en suis transportée dans un monde différent. Au fond de moi se réveille un vieux désir de bisexuelle, ce que je deviens maintenant.
J'écarte les jambes comme si elle allait me mettre une bite monumentale. La tête entre mes mains sait exactement ce qu'il lui faut faire. Je ne suis pas sa première. Je crois qu'en jouissant je lâche une dose de mouille plus intense.
Monique ne tient pas compte de ma jouissance, elle continu le cunnilingus longtemps, assez pour me faire jouir sans cesse. Lentement nous glissons ensemble sur la moquette. Si sa bouche reste collée à celle de ma chatte, elle bouge pour me donner la sienne. Je vois de près une belle moule toute gluante de cyprine, ce qui ne m'empêche pas, au contraire de lui bouffer les lèvres. Je ne suis pas une experte en caresses entre filles. Pourtant je devine ce que je dois faire.
Ma langue et mes lèvres ne suffisent pas à la contenter. J'ajoute comme elle me le fait mes doigts juste au dessus de mon front : j'ai son anus en vue. Je mouille deux doigts que j'entre rapidement dans un cul qui s'ouvre fort vite, trop ?
Nous tournons sur nous même, je me trouve sur elle maintenant. Je ne sens ses seins qu'à cet instant. Ils sont durs sur mon ventre. Je ne peux analyser plus loin ma position quand je sens la bite d'Yves sur mon cul. Il est le bienvenu. Qu'il me sodomise comme j'aime, même si la langue de Monique peut m'oublier un instant pour lécher la colonne de chair dure qui entre en moi. Normalement quand Yves m'encule, je me masturbe, une vieille habitude. Aujourd'hui je n'en ai pas besoin la langue de Monique me fait plus de bien que mes doigts réunis.
Je jouis trop vite, Yves nous tourne encore, cette fois il s'interresse au cul de sa cousine. Je vois la sodomie de fort près, ils m'excitent encore. Je passe ma langue sur la bite, celle qui normalement entre en moi. Je ne suis pas jalouse. Enfin Yves doit être content de me voir me faisant baiser par une autre.
Il sort du cul avant de jouir : il est gentil en me donnant sa queue à lécher juste au moment ou il secrète sa liqueur. Il m'en met plein la bouche. Il me semble qu'elle est plus salée que d'habitude. Je la garde en bouche pour la faire partager à notre amante. Elle ouvre la bouche sachant qu'elle va retrouver le goût de sperme qu'elle connaît depuis longtemps, avant moi en tout cas.
Nous sommes tous crevées, surtout Monique à cause de son voyage et de notre longue baise. Pour être plus à l'aise Yves nous veut toutes les deux sur le lit conjugal.
J'ai envie que nous fassions l'amour à trois : Monique le veut aussi, elle s'installe assise sur le ventre d'Yves, se met elle même, la bite dans le con. Excitée je le regarde baiser sa cousine qui aime ça. Moi aussi j'aime. Je pose mon cul sur la bouche de mon aimé. Il cherche à peine le clitoris pour l'avaler presque. Avant qu'il me fasse jouir, j'ai le temps de trouver le bouton de Monique. Elle se branlait, je lui coupe le désir de continuer en la masturbant jusqu'à ce que nous jouissions les trois ensemble.
D'un coté heureusement que Monique part au bout d'une semaine, nous ne faisions que baiser surtout entre filles. Je la regrette qu'à peine : Yves sait tellement bien me faire l'amour.
Il n'empêche que depuis qu'il voudrait que je couche avec une autre, je commence à avoir envie d'aller voir ailleurs, avec une autre précisément : je ne connais rien aux caresses entre filles. C'est bon parait-il.
La cousine germaine d'Yves vient passer quelques jours chez nous. Il m'avait bien dit une fois qu'ils avaient eu une aventure chaude bien avant notre mariage. Moi, j'étais curieuse de les voir ensemble, même, pourquoi pas au lit. Voir mon mari pendant qu'il fout une autre que moi ? Insensé et au fond de moi un rêve englouti.
Je reçois donc Monique amicalement, avec au fond de moi la réelle envie de la voir nue avec son cousin, mon mari. La suite dépasse mes attentes. Fatiguée du voyage elle me demande d'aller prendre un bain. Je la laisse seule dans la salle de bain. Par curiosité j'entrouvre la porte pour la voir.
Sa nudité est parfaite. Tellement parfaite qu'elle a le jet de la douche sur la chatte. Là, je me transforme en voyeuse : elle se fait du bien, c'est visible quand elle tend son bas ventre pile sur le jet. Elle me donne envie de me masturber. Tant pis pour elle, le vais dans le séjour, j'enlève le string tout mouillé, la jupe. Assise dans le fauteuil, le grand, j'écarte bien les jambes. Ma main droite se dirige seule sur le chemin qu'elle connaît fort bien : ma chatte.
Les yeux fermés, je pense encore à la scène que j'ai vue.Le clitoris en feu, je le calme avec l'index, puis, comme souvent avec le majeur uni au premier doigt. Je sens monter cette vague du bas ventre qui envahi outre le con, le cul, le bas ventre en entier. Je suis sur le point de jouir. J'en suis empêchée par une douce voix :
Je vais t'aider.
C'est Monique qui regarde ma main et seulement ma main. En moi j'ai un drôle de sentiment (tout se passe vite dans la tête). Ou j'accepte son aide pour me faire partir, pour donner raison à Yves, ou je refuse tout, même de voir les deux cousins s'aimer devant moi.
Avec plaisir.
Mon accord m'étonne par sa rapidité. Monique ne me laisse pas le temps de me raviser. Elle est vite près de moi, sa bouche sur la mienne, une pour remplacer la mienne. Ainsi sans tellement le vouloir je satisfais aux désirs de mon mari de baiser avec une femme. Je le lui raconterais après, quand Monique sera parti, bien après. Elle se débrouille pour me mettre nue. J'ai un peu honte d'être ainsi sa proie.
Elle est courbée sur moi, sa bouche donc sur la mienne, une main sur et maintenant dans le sexe. Elle fait aller et venir ses doigts dans la vulve. Je me sens mouiller encore plus. J'accompagne ses mouvements par ceux de mon bas ventre : je me fais baiser comme avec Yves quand il me la met au même endroit. Et puis, je ne sais trop comment j'ose lui caresser les jambes. Monique n'en fait pas un plat, elle les écarte pour laisser passer ma main et mon bras.
Je trouve sa peau douce, c'est normal, elle vient de sortir du bain. Ce que je découvre est la douceur d'une autre chatte que la mienne. En commençant de moi même la caresse qu'elle désire sans doute je me laisse totalement aller au saphisme. Que c'est bon que de caresser une autre femme. Si mon Yves était là, certainement qu'il voudrait nous baiser ensemble.
Monique geint doucement, je crois que j'en fais autant tellement je me régale, comme un gamin qui déguste son premier sucre d'orge. J'ai envie de son sexe sur ma bouche, à défaut d'avoir du sperme j'aurais au moins de sa cyprine. Qui sait, elle doit avoir bon goût par rapport à la mienne, celle que lèche goulûment la langue de mon mari.
J'allais proposer de la sucer quand elle pose sa bouche sur le con demandeur de caresses ultimes. Mon clitoris est surpris de l’agilité de cette langue féminine là où il n'a connu que celles des hommes. J'en suis transportée dans un monde différent. Au fond de moi se réveille un vieux désir de bisexuelle, ce que je deviens maintenant.
J'écarte les jambes comme si elle allait me mettre une bite monumentale. La tête entre mes mains sait exactement ce qu'il lui faut faire. Je ne suis pas sa première. Je crois qu'en jouissant je lâche une dose de mouille plus intense.
Monique ne tient pas compte de ma jouissance, elle continu le cunnilingus longtemps, assez pour me faire jouir sans cesse. Lentement nous glissons ensemble sur la moquette. Si sa bouche reste collée à celle de ma chatte, elle bouge pour me donner la sienne. Je vois de près une belle moule toute gluante de cyprine, ce qui ne m'empêche pas, au contraire de lui bouffer les lèvres. Je ne suis pas une experte en caresses entre filles. Pourtant je devine ce que je dois faire.
Ma langue et mes lèvres ne suffisent pas à la contenter. J'ajoute comme elle me le fait mes doigts juste au dessus de mon front : j'ai son anus en vue. Je mouille deux doigts que j'entre rapidement dans un cul qui s'ouvre fort vite, trop ?
Nous tournons sur nous même, je me trouve sur elle maintenant. Je ne sens ses seins qu'à cet instant. Ils sont durs sur mon ventre. Je ne peux analyser plus loin ma position quand je sens la bite d'Yves sur mon cul. Il est le bienvenu. Qu'il me sodomise comme j'aime, même si la langue de Monique peut m'oublier un instant pour lécher la colonne de chair dure qui entre en moi. Normalement quand Yves m'encule, je me masturbe, une vieille habitude. Aujourd'hui je n'en ai pas besoin la langue de Monique me fait plus de bien que mes doigts réunis.
Je jouis trop vite, Yves nous tourne encore, cette fois il s'interresse au cul de sa cousine. Je vois la sodomie de fort près, ils m'excitent encore. Je passe ma langue sur la bite, celle qui normalement entre en moi. Je ne suis pas jalouse. Enfin Yves doit être content de me voir me faisant baiser par une autre.
Il sort du cul avant de jouir : il est gentil en me donnant sa queue à lécher juste au moment ou il secrète sa liqueur. Il m'en met plein la bouche. Il me semble qu'elle est plus salée que d'habitude. Je la garde en bouche pour la faire partager à notre amante. Elle ouvre la bouche sachant qu'elle va retrouver le goût de sperme qu'elle connaît depuis longtemps, avant moi en tout cas.
Nous sommes tous crevées, surtout Monique à cause de son voyage et de notre longue baise. Pour être plus à l'aise Yves nous veut toutes les deux sur le lit conjugal.
J'ai envie que nous fassions l'amour à trois : Monique le veut aussi, elle s'installe assise sur le ventre d'Yves, se met elle même, la bite dans le con. Excitée je le regarde baiser sa cousine qui aime ça. Moi aussi j'aime. Je pose mon cul sur la bouche de mon aimé. Il cherche à peine le clitoris pour l'avaler presque. Avant qu'il me fasse jouir, j'ai le temps de trouver le bouton de Monique. Elle se branlait, je lui coupe le désir de continuer en la masturbant jusqu'à ce que nous jouissions les trois ensemble.
D'un coté heureusement que Monique part au bout d'une semaine, nous ne faisions que baiser surtout entre filles. Je la regrette qu'à peine : Yves sait tellement bien me faire l'amour.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ce récit illustre le fantasme préféré des hommes. Le mien n'échappe pas à la règle et m'impose
régulièrement une autre fille au lit pour le satisfaire.
régulièrement une autre fille au lit pour le satisfaire.
Partie fine bien décrite; amatrice de gros câlins entre filles, je ne déteste pas la présence d'un homme viril pour pimenter nos ébats.
bravo, agréable récit
bravo, agréable récit