Le serveur
Récit érotique écrit par Docteurgay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2005 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Le serveur
Lors d’un voyage, je m’étais pris une chambre dans un grand hôtel. A cause de la monotonie de la salle à manger, je me faisais servir tous les repas dans ma chambre. Très vite, je remarquais que j’étais toujours servi par le même type. Il était pas mal, grand, musclé et les épaules carrées. Une sorte d’armoire à glace reconvertie en serveur sans doute. Mais toutefois très beau gosse.
A chaque fois que je le voyais, une érection se manifestait tant il me faisait envie. Mais je ne pouvais savoir s’il était intéressé ou pas.
Un jour pourtant, j’eus l’occasion de le tenter. Je revenais d’une excursion en ville et je l’entendis dire à une cliente : « je suis désolé Mme, c’était mon dernier service. Je vous enverrais quelqu’un d’autre. »
Dès qu’il s’éloigna de cette dernière, je l’appelais et lui dit : « pouvez-vous me monter mon repas ? »Sans broncher, il agréa. Un tour de main, je me mis nu et me coucha sur le lit en mettant bien en évidence mon cul.
Quant il frappa, et que je ne répondis pas il se décida au bout d’un moment à entrer. J’entendis le chariot rouler jusqu'à hauteur de mon lit. Mon cœur battait la chamade.
Allait-il répondre ou pas ?
Le suspense dura 5 bonnes minutes.
Enfin je le sentis me caresser le fesses en se précisant sur ma raie. Mon plan fonctionnait. Je me mis à me réjouir de ses caresses. Mais il s’arrêta. Tout sembla perdu.
Il vint pourtant m’ouvrir les cuisses et je ne pus retenir un gémissement quand je sentis sa langue sur mon trou. Je levai ma tête et je voyais la sienne s’activait entre mes jambes.
Je me retournais et il se leva aussitôt.
Je compris pourquoi il avait attendu avant de me toucher : il s’était mis tout nu. Son corps était comme je l’imaginais, athlétique, biceps gros, pectoraux parfaits, abdos saillants et surtout une belle bite à moitié en érection présentant un gland tout gros, tout rose.
Je me couchais sur le dos, les jambes repliées, le cul ouvert. Il se mit en 69 présentant sa queue à ma bouche et sa langue s’occupant de mon trou. Je le suçais, le décalottait et sa teub prenait sa position d’attaque. Elle était devenue si grosse que je n’arrivais plus à l’avoir en bouche toute entière. De temps à autre, ses doigts venaient juger de l’état de dilatation de mon cul. Quand il le trouva prêt, il roula sur le lit et se coucha sur le dos. Je saisis le message. Je me levais et venais m’empaler sur sa hampe. L’entrée du gland m’arracha des cris de douleur. La progression fut lente et superbe. Il me prit par les hanches et commença à me faire monter et descendre. La fréquence était lente et langoureuse. Quand la douleur s’estompa et que je n’eut plus que du plaisir, je chevauchais de moi-même cette bite et à un rythme , Plus rapide.
Au bout d’un moment, Il décula, me mit à 4 pattes et m’encula de nouveau. Très endurant il me prit dans d’autres positions et me fit jouir du cul plusieurs fois.
Les jambes repliées sur la poitrine, il me baisait comme un forcené et au moment où je m’y attendais le moins, de puissants et généreux jets de sperme inondèrent mon cul. Le contact violent de son sperme sur mon sphincter me fut jouissif. Dans un râle sourd, je me déversais sur ma poitrine et son ventre. Il se baissa et m’embrassaIl ne décula pas aussitôt. Il resta en moi et quand il se sentit ramollir, il se retira, s’habilla et s’en alla en me disant seulement : « je vous monterais vos repas, à chaque fois que vous le voudrez ! »Je ne connaissais même pas son nom.
Ceci est encore un de mes phantasmes purement sortis de mon imagination, écrivez-moi !
A chaque fois que je le voyais, une érection se manifestait tant il me faisait envie. Mais je ne pouvais savoir s’il était intéressé ou pas.
Un jour pourtant, j’eus l’occasion de le tenter. Je revenais d’une excursion en ville et je l’entendis dire à une cliente : « je suis désolé Mme, c’était mon dernier service. Je vous enverrais quelqu’un d’autre. »
Dès qu’il s’éloigna de cette dernière, je l’appelais et lui dit : « pouvez-vous me monter mon repas ? »Sans broncher, il agréa. Un tour de main, je me mis nu et me coucha sur le lit en mettant bien en évidence mon cul.
Quant il frappa, et que je ne répondis pas il se décida au bout d’un moment à entrer. J’entendis le chariot rouler jusqu'à hauteur de mon lit. Mon cœur battait la chamade.
Allait-il répondre ou pas ?
Le suspense dura 5 bonnes minutes.
Enfin je le sentis me caresser le fesses en se précisant sur ma raie. Mon plan fonctionnait. Je me mis à me réjouir de ses caresses. Mais il s’arrêta. Tout sembla perdu.
Il vint pourtant m’ouvrir les cuisses et je ne pus retenir un gémissement quand je sentis sa langue sur mon trou. Je levai ma tête et je voyais la sienne s’activait entre mes jambes.
Je me retournais et il se leva aussitôt.
Je compris pourquoi il avait attendu avant de me toucher : il s’était mis tout nu. Son corps était comme je l’imaginais, athlétique, biceps gros, pectoraux parfaits, abdos saillants et surtout une belle bite à moitié en érection présentant un gland tout gros, tout rose.
Je me couchais sur le dos, les jambes repliées, le cul ouvert. Il se mit en 69 présentant sa queue à ma bouche et sa langue s’occupant de mon trou. Je le suçais, le décalottait et sa teub prenait sa position d’attaque. Elle était devenue si grosse que je n’arrivais plus à l’avoir en bouche toute entière. De temps à autre, ses doigts venaient juger de l’état de dilatation de mon cul. Quand il le trouva prêt, il roula sur le lit et se coucha sur le dos. Je saisis le message. Je me levais et venais m’empaler sur sa hampe. L’entrée du gland m’arracha des cris de douleur. La progression fut lente et superbe. Il me prit par les hanches et commença à me faire monter et descendre. La fréquence était lente et langoureuse. Quand la douleur s’estompa et que je n’eut plus que du plaisir, je chevauchais de moi-même cette bite et à un rythme , Plus rapide.
Au bout d’un moment, Il décula, me mit à 4 pattes et m’encula de nouveau. Très endurant il me prit dans d’autres positions et me fit jouir du cul plusieurs fois.
Les jambes repliées sur la poitrine, il me baisait comme un forcené et au moment où je m’y attendais le moins, de puissants et généreux jets de sperme inondèrent mon cul. Le contact violent de son sperme sur mon sphincter me fut jouissif. Dans un râle sourd, je me déversais sur ma poitrine et son ventre. Il se baissa et m’embrassaIl ne décula pas aussitôt. Il resta en moi et quand il se sentit ramollir, il se retira, s’habilla et s’en alla en me disant seulement : « je vous monterais vos repas, à chaque fois que vous le voudrez ! »Je ne connaissais même pas son nom.
Ceci est encore un de mes phantasmes purement sortis de mon imagination, écrivez-moi !
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