Le sexe anti stress
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le sexe anti stress
Le sexe serait-il un bon moyen de combattre le stress ? Plusieurs femmes, de professions différentes, l'expérimentent souvent. Petit florilège.
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CAROLINE
Caroline est animatrice d'une émission de télévision célèbre. Cette belle quadragénaire mince et blonde, toujours bien sapée et très BCBG, parait sûre d'elle-même à l'écran mais avant de passer sur le plateau recevoir ses invités en direct, elle est morte de trouille. Alors qu'elle est en train de se faire maquiller, elle passe un coup de fil à son mari. "Viens vite, j'en ai besoin". Il comprend tout de suite et heureusement, il ne travaille pas loin de son épouse. A peine arrivé, le couple s'enferme dans le bureau de Caroline. Elle ôte sa robe pour ne pas la froisser, évidemment slip et soutien-gorge mais conserve parfois ses bas.
Après avoir vérifié de la bouche l'érection de son mari, elle se met à genoux sur le fauteuil de son bureau et se fait prendre par derrière, sa position préférée. Son mari lui met une rafale de coups de bite qui la fait presque défaillir mais elle tient à ce qu'il jouisse. Il la "termine" sur son bureau, lui debout bien campé sur ses jambes, très excité par sa position écartelée, pointes de seins dressées, le verbe cru, et son sperme fait "floc" en tombant sur le carrelage. Mais on frappe à la porte : "Caroline, c'est à toi, dépêche-toi", lui dit son assistante, parfaitement au courant de la scène à l'intérieur. L'animatrice se rhabille en catastrophe, oublie parfois de remettre son slip et se rue en escarpins sur la plateau en vérifiant son maquillage dans son petit miroir. Mais son stress a disparu. Et c'est un visage souriant et détendu que découvriront téléspectateur et invités.
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NATHALIE
Nathalie est une femme politique qui vient de passer la barre des cinquante ans. C'est une blonde mince et élancée qui "en jette" et elle se sert de son physique dans ses fonctions pour séduire. Au Sénat, elle est souvent amenée à intervenir dans son domaine de prédilection, l'agriculture. Avant de monter prendre la parole devant le président assis derrière elle, un doute l'assaille. Sera-t-elle à la hauteur ? Divorcée, sexuellement disponible et pas particulièrement farouche, elle fait alors appel à son assistant parlementaire qui est aussi son amant occasionnel mais seulement à Paris. Un gars de trente ans, vigoureux et ambitieux. Nathalie dispose dans une annexe du Sénat d'une toute petite chambre avec un canapé clic-clac.
Ludovic, l'assistant, est convoqué en express une heure avant son intervention. Elle porte un ensemble classique tailleur-pantalon qui voltige dès que l'assistant entre dans le réduit. Elle lui ouvre fébrilement la braguette en espérant qu'il va bander rapidement. Heureusement, Ludovic adore baiser sa sénatrice. Elle le change des mijaurées qui exercent la même profession que lui. Ils copulent avec ardeur sur le clic clac, arrivent même à changer de position et le coït s'achève en général à même le sol où Nathalie se fait crucifier par la grosse bite de Ludovic. Quand il constate qu'elle jouit, il lâche tout, mission accomplie.
Court passage dans les toilettes pour la sénatrice avant de réintégrer son tailleur-pantalon devant son miroir et se donner un ultime coup de peigne. C'est bon, elle est prête à entrer dans la fosse aux lions.
*****
BLANDINE
Blandine, une blonde menue d'a peine 60 kilos, dirige d'une main de fer une grosse pharmacie. D'un abord aimable avec la clientèle, elle perd vite son calme avec ses subordonnés en période de forte activité. Ses yeux bleus jettent des éclairs dès qu'elle est stressée. Un jour qu'elle a un peu dépassé les bornes des réprimandes, un de ses préparateurs, un Antillais prénommé Célestin, ôte sa blouse, la jette au sol et fiche le camp, laissant Blandine stupéfaite. Elle réagit, lui court après sur le trottoir et lui dit :
- Ne fais pas l'idiot. Excuse-moi. Allez, reviens au boulot.
Et d'un même mouvement, l'embrasse sur la bouche.
C'est au tour de Célestin d'être stupéfait. Ce petit corps nerveux cacherait-t-il une femme sensuelle ? De fait, il ne le sait pas mais sa patronne a depuis le début de leur collaboration envie de lui. Divorcée et en manque de sexe car elle n'a que 38 ans, elle se défoule dans le travail pour anesthésier ses pulsions. Mais cette fois, elle a franchi un pas et quand, après la fermeture, elle invite Célestin dans son bureau, elle ferme la porte derrière lui et lui roule une pelle sauvage en fourrageant dans sa braguette. Elle extrait une grosse bite d'Antillais en phase verticale car Célestin ne voit plus sa patronne mais une poupée blonde bien roulée en train de se mettre à poil. Et ça fait un bail qu'il n'a pas tiré son coup.
- Baise moi, j'en ai besoin, souffle-t-elle en baissant jean et slip, assise sur son bureau, seins nus.
Il s'enfonce en elle après avoir reconnu le terrain du doigt et la pilonne debout, de face puis par derrière et encore de face, museau contre museau. Elle le maintient solidement en elle en le verrouillant de ses mollets. "Oui oui encore encore t'arrête pas surtout" gémit-elle sur le chemin d'un orgasme qu'elle n'a pas vécu depuis des lustres. Il l'écrase sur le bureau en éjaculant.
- Mmmm merci c'était super dit-elle ensuite en se rhabillant avant de le congédier parce qu'elle a du travail administratif.
Il la retrouvera le lendemain comme d'habitude, pète sec et prête à un nouveau stress. Et peut-être à un nouveau coït sauvage.
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VIVIANE
Viviane est aide soignante dans un service hospitalier. Elle a 49 ans, des cheveux frisés, une bouche gourmande et des seins lourds. Elle ne s'est jamais mariée et a beaucoup baisé dans sa vie. Notamment dans son hôpital. C'est la femme anti stress par excellence auprès d'un personnel mâle surmené. Quand un collègue infirmier est tout près de péter un câble, elle l'entraine dans le local de pharmacie, baisse son pantalon et lui taille une pipe, qu'il soit marié ou pas. Et il se laisse faire car la collègue est une experte.
Si elle est en service de nuit, donc plus tranquille, elle peut aller jusqu'à la cravate de notaire au creux de sa généreuse poitrine, voire carrément jusqu'au coït mais seulement avec le médecin de garde car elle a le sens des privilèges hiérarchiques. Viviane se met à quatre pattes à même le sol du local après avoir ôté le pantalon réglementaire, présente son cul replet et reçoit les assauts claquants du praticien, souvent un jeune interne trop heureux de profiter d'une aussi belle croupe entre deux visites. Mais son trou du cul est interdit, à une notable exception près : le grand patron du service, son épouse étant rétive à la sodomie.
Cet alerte quinquagénaire a toujours fait en sorte que Viviane ne quitte pas son service car il sait combien elle est précieuse pour canaliser la nervosité de ses infirmiers, même si les infirmières, en revanche, n'arrêtent pas de baver sur son compte. Du moins celles qui ne baisent pas car Viviane n'est pas la seule à baisser culotte dans la tension ambiante. Quand le grand patron encule Viviane, ce qu'il ne fait jamais à sa femme, il s'assure de ne pas être dérangé dans son bureau en mobilisant un infirmier complice devant sa porte. L'aide soignante agrémente la sodomie par un massage de couilles, voire de prostate, ce qui fait immanquablement gicler le ponte dans son rectum. Qui n'oublie jamais Viviane au moment de décerner les primes de fin d'année.
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SANDRINE
Sandrine est libraire. Cette quadragénaire au corps pulpeux et aux cheveux très courts, prématurément gris, n'exerce pas un métier stressant. Mais ce qui crée une extrême tension dans son esprit, c'est la visite de son comptable, qui lui annonce qu'elle ne pourra pas longtemps conserver son commerce vu le déficit qu'il engendre. Amazon est en train de le tuer lentement. Voilà pourquoi elle rentre désespérée chez elle pour retrouver son mari et ses deux enfants adolescents. Ce cocon familial lui fait certes du bien, mais la tension demeure. Le seul moyen qu'elle a trouvé, hors pharmacie qu'elle proscrit, de faire tomber ce stress, c'est le sexe. Conjugal.
Après la télévision qu'elle regarde avec son mari d'un oeil distrait, elle lui annonce qu'elle va se coucher et qu'elle l'attend. Et quand il rejoint la chambre après être passé par la salle de bain, il trouve Sandrine allongée nue sur le lit, toutes lumières allumées. Le fait qu'elle ne porte ni pyjama ni chemise de nuit est le signal : elle a envie de faire l'amour. Et même de baiser car elle se sent l'humeur cochonne. Le mari bande instantanément car il aime le corps de sa femme, son opulente poitrine qu'elle aime mettre en valeur par de profonds décolletés à la librairie, son pubis fourni, ses cuisses larges, sa croupe joufflue qu'elle est justement en train de lui montrer en se retournant car elle en sait l'attrait sur son mari.
Nu à son tour, il parcourt son dos de sa langue jusqu'à la raie des fesses qu'il écarte pour titiller son petit trou (où il va tenter d'entrer si elle est bien mûre) et la vulve déjà bien humide de désir. Elle se retourne à nouveau, s'écarte les jambes et il la lèche encore. Elle aime les longs préliminaires. Il attend son signal, le moment où elle lui dira "viens maintenant". Ce soir, elle a moins envie de faire l'amour que de baiser. Elle veut faire sortir la bête qui est en elle et qu'elle refoule constamment, par convention sociale mais aussi conjugale. Etre bestiale, c'est évacuer son stress. Cela tombe bien, son mari est en forme, subjugué par ce corps voluptueux qui, sous ses assauts, fait vibrer ses fesses et agiter ses nichons. Elle lui impose sa loi en le chevauchant, pieds sur le matelas pour allonger la bite, lui soufflant des mots peu littéraires mezzo voce pour ne pas réveiller la maisonnée et l'exciter, passant d'une levrette à un 69 pour faire durer le plaisir. Il comprend que sa femme baise et d'ailleurs, elle le lui dit : "je baise".
Pris dans leur frénésie érotique, il lui demande si elle veut "se faire enculer". Il a "envie de son cul". Elle lui dit "oui, fais moi jouir mais jouis en même temps". Bien cambrée, elle l'accueille facilement, elle n'est pas rétive du petit trou et la jouissance anale ne lui est pas étrangère. Ce sera l'apothéose de leur coït vespéral. Elle retournera le lendemain à sa librairie, un peu mâchée mais sexuellement et conjugalement satisfaite. Jusqu'au moment où ses comptes s'imposeront à nouveau à son esprit...
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CORALIE
Coralie est responsable du secrétariat de rédaction d'un quotidien. Un boulot particulièrement stressant, jusque tard dans la soirée. La trentaine, grande et solidement charpentée, un visage un peu masculin qu'elle féminise par son opulente chevelure, elle vit en couple, sans enfants, incompatibles avec son métier. C'est un couple plutôt libéral qui ne fait pas de la fidélité l'alpha et l'oméga de leur union. Coralie "baise utile" c'est à dire qu'elle visite en fin de soirée le bureau du directeur de la rédaction pour lui rendre compte du journal du lendemain puis lui ouvrir sa braguette pour lui tailler une pipe, histoire de faire tomber la pression de la journée, pour elle comme pour lui. Un service non payant mais pas tout à fait gratuit pour sa carrière. Si le directeur est bien dur et dans de bonnes dispositions morales, Coralie ne fait pas de manière. Elle fait passer son tee shirt par-dessus sa tête, dégage ses melons de son soutif, baisse son pantalon et son slip, fait valser ses chaussures, s'assoit au bord du bureau directorial et dit :
- Maintenant, monsieur le directeur, à votre disposition.
Devant ce corps aussi appétissant, aussi ouvert, aussi disponible, difficile de rester insensible. Le directeur, un quadragénaire marié mais ambitieux, le pénètre debout, pantalon aux chevilles. Affalée sur le bureau au milieu des papiers, ses jambes maintenues ouvertes par ses bras, Coralie encaisse les assauts en haletant, laissant parfois échapper un couinement de plaisir car si, à l'évidence, elle se fait baiser, c'est nullement contrainte et forcée. Elle aime le sexe brut, à la hussarde, sauvage et cru et le directeur se régale de l'entendre vanter sa bite "bien dure et bien longue". Le coït sera aussi intense que rapide. Il se retirera vivement pour éjaculer dans la bouche de Coralie qui s'est relevée tout aussi vivement du bureau, selon un code bien rodé entre eux.
Coralie n'est pas dupe. Elle sait qu'elle n'est pas la seule à bénéficier du privilège directorial. Une documentaliste et une journaliste se font aussi tringler par le patron. Mais peu importe. Il évacue son stress grâce à elle et elle évacue le sien aussi avant de rentrer chez elle. Et sa nuit ne s'en portera que mieux.
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FABIEN
Il ne faut évidemment pas croire que la chasse au stress n'est que l'apanage des femmes. Les hommes aussi, bien sûr. Nous sélectionnerons juste Fabien, un policier de la brigade anticriminalité contraint à des rondes de nuit pour débusquer les délinquants. Et parfois même, pour compléter les effectifs, autour des manifestations afin de réprimer les casseurs. Un travail très stressant parce qu'exposé aux coups, aux bombes incendiaires et autres joyeusetés. Fabien a 32 ans, il est célibataire contraint et forcé car ses compagnes éphémères n'ont pas supporté ses absences fréquentes. Il pourrait "aller aux putes" ou fréquenter les sites de rencontre mais il a trouvé mieux. Par suite d'une blessure en cours de manif qui a occasionné des douleurs à une jambe, il a été amené à se faire constituer des semelles orthopédiques pour rééquilibrer son bassin. Une podologue spécialisée s'en est chargée et une relation particulière s'en est suivie.
Particulière parce que Magali, c'est son prénom, a soixante ans. Un rapport de mère à fils aurait pu exister entre elle et Fabien vu la différence d'âge mais il n'en a rien été. Le policier a d'emblée été attiré par cette petite femme tonique, volubile, au corps resté encore ferme par une pratique assidue de l'exercice physique, portant chignon mais détachant ses cheveux à peine grisonnants à l'occasion. Une sexa sexy. Magali étant divorcée de longue date, elle n'oppose pas systématiquement à une drague éventuelle une conjugalité dissuasive. Elle précise juste qu'elle est grand-mère, histoire de ne pas induire en erreur. Mais devant ce jeune homme bien bâti, et même viril, elle ressent dans son tréfonds une onde de chaleur qui ne l'a jamais vraiment quittée car, il faut le préciser, Magali baise.
Elle ne s'est d'ailleurs jamais arrêtée de baiser, ce qui explique sa longévité sexuelle et son physique quasi intact. Deux anciens amants, à la queue un peu molle, viennent parfois combler un appétit resté vivace malgré les ans. Mais la perspective de s'envoyer en l'air avec Fabien constitue pour elle une chance à ne pas laisser échapper. Un corps musclé, une bite dure et durable, voilà un bail qu'elle n'a pas eu ça dans son lit. Elle sait que le temps lui est compté, que la nature finira par se venger et qu'elle doit profiter de l'attrait qu'elle exerce encore sur certains hommes que son âge ne repousse pas, bien au contraire.
Un soir, après une manif particulièrement houleuse, Fabien a sonné à sa porte, sachant qu'elle loge au-dessus de son cabinet.
- J'ai besoin de parler, lui a-t-il confié à l'interphone.
Elle a ouvert sa grille, un peu étonnée de la démarche du policier, et s'est présentée non cette fois vêtue de sa blouse habituelle mais dans un négligé qu'elle porte chez elle, sous lequel elle est nue. Fabien décèle d'emblée les petits seins pointant sous l'étoffe légère, les cuisses généreusement découvertes et l'ombre du pubis brun. Magali ne cherche pas à recouvrir sa tenue par un autre vêtement. L'entrée du beau mâle dans son appartement la ravit parce qu'il va occuper une soirée solitaire, rien de plus pour l'instant. Elle l'écoute avec attention, assise sur son canapé, dérouler son discours d'homme stressé. Et plus il parle en face de Magali, moins ses genoux se serrent. Fabien ne tarde pas à percevoir l'ombre de son sexe tandis qu'elle lui sourit, le chignon défait, une lueur de désir dans le regard. Plus il exprime ses états d'âme et plus Magali a envie de l'avoir entre ses cuisses. Mais il s'épanche tellement qu'elle finit par comprendre que c'est à elle de prendre l'initiative, ce qui ne lui a d'ailleurs jamais fait peur.
Alors, elle se lève et va s'asseoir sur son giron.
- Je crois que tu as besoin d'une bonne détente, dit-elle en le tutoyant pour la première fois.
Et elle l'embrasse sur la bouche. Elle sent le pénis se durcir sous ses fesses. Elle lève les bras, signal pour lui de la débarrasser de son déshabillé, ce qu'il fait illico. Il lui lèche les seins à hauteur de la bouche. Ils sont petits mais les pointes sont dures. Et elle est ultra sensible de là.
- Viens dans ma chambre, on sera plus à l'aise, lui dit-elle, la voix rauque.
Et il suit son petit popotin dénudé et mouvant, la queue déjà bien dure.
La suite est tumultueuse. Fabien se rend vite compte que la podologue n'a pas grand chose à voir au plumard avec ses anciennes maitresses. Elle se sert de sa langue et de ses doigts avec maestria, jouant avec son corps d'homme comme d'un instrument. Elle s'enduit le sexe et l'anus de gel intime et elle le prévient :
- On va baiser et ça va te faire beaucoup de bien. Ne me ménage pas, je ne suis pas en sucre. Défoule-toi. Oublie tes soucis et fais moi jouir.
Magali cavale, tressaute, se cabre, déploie une énergie stupéfiante pour un aussi petit corps, sexagénaire de surcroit. Elle réclame, exhorte, stimule, dévore, bref baise. Et Fabien baise une femme qui baise. Une vraie chienne qui lui fait lever les jambes, met le doigt dans son anus et presse sa prostate en gobant ses couilles. On ne lui a jamais fait ça, au policier. Il a complètement oublié qu'elle a deux fois son âge parce qu'elle lui procure un plaisir inouï. Il a surtout complètement oublié la raison de sa visite : son stress.
Elle le fait gicler une première fois, le ranime et il remet le couvert en l'écartelant sur son plumard dévasté. Il l'encule à sa demande, ce qui est une première pour lui et jouit dans son cul. Et le tout lumière allumée. Quand elle baise, le visage de Magali rajeunit mais après le sexe, il se creuse. La fatigue l'assaille soudain et elle s'endort comme une masse, à plat ventre, cuisses ouvertes, cheveux étalés.
Il prend une douche chez elle, constate qu'elle dort encore, et s'en va discrètement en la couvrant d'un drap et en éteignant la lumière. Son stress a totalement disparu. Il a un peu mal à la bite, c'est tout. Il téléphonera demain à Magali pour s'assurer qu'elle va bien.
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CAROLINE
Caroline est animatrice d'une émission de télévision célèbre. Cette belle quadragénaire mince et blonde, toujours bien sapée et très BCBG, parait sûre d'elle-même à l'écran mais avant de passer sur le plateau recevoir ses invités en direct, elle est morte de trouille. Alors qu'elle est en train de se faire maquiller, elle passe un coup de fil à son mari. "Viens vite, j'en ai besoin". Il comprend tout de suite et heureusement, il ne travaille pas loin de son épouse. A peine arrivé, le couple s'enferme dans le bureau de Caroline. Elle ôte sa robe pour ne pas la froisser, évidemment slip et soutien-gorge mais conserve parfois ses bas.
Après avoir vérifié de la bouche l'érection de son mari, elle se met à genoux sur le fauteuil de son bureau et se fait prendre par derrière, sa position préférée. Son mari lui met une rafale de coups de bite qui la fait presque défaillir mais elle tient à ce qu'il jouisse. Il la "termine" sur son bureau, lui debout bien campé sur ses jambes, très excité par sa position écartelée, pointes de seins dressées, le verbe cru, et son sperme fait "floc" en tombant sur le carrelage. Mais on frappe à la porte : "Caroline, c'est à toi, dépêche-toi", lui dit son assistante, parfaitement au courant de la scène à l'intérieur. L'animatrice se rhabille en catastrophe, oublie parfois de remettre son slip et se rue en escarpins sur la plateau en vérifiant son maquillage dans son petit miroir. Mais son stress a disparu. Et c'est un visage souriant et détendu que découvriront téléspectateur et invités.
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NATHALIE
Nathalie est une femme politique qui vient de passer la barre des cinquante ans. C'est une blonde mince et élancée qui "en jette" et elle se sert de son physique dans ses fonctions pour séduire. Au Sénat, elle est souvent amenée à intervenir dans son domaine de prédilection, l'agriculture. Avant de monter prendre la parole devant le président assis derrière elle, un doute l'assaille. Sera-t-elle à la hauteur ? Divorcée, sexuellement disponible et pas particulièrement farouche, elle fait alors appel à son assistant parlementaire qui est aussi son amant occasionnel mais seulement à Paris. Un gars de trente ans, vigoureux et ambitieux. Nathalie dispose dans une annexe du Sénat d'une toute petite chambre avec un canapé clic-clac.
Ludovic, l'assistant, est convoqué en express une heure avant son intervention. Elle porte un ensemble classique tailleur-pantalon qui voltige dès que l'assistant entre dans le réduit. Elle lui ouvre fébrilement la braguette en espérant qu'il va bander rapidement. Heureusement, Ludovic adore baiser sa sénatrice. Elle le change des mijaurées qui exercent la même profession que lui. Ils copulent avec ardeur sur le clic clac, arrivent même à changer de position et le coït s'achève en général à même le sol où Nathalie se fait crucifier par la grosse bite de Ludovic. Quand il constate qu'elle jouit, il lâche tout, mission accomplie.
Court passage dans les toilettes pour la sénatrice avant de réintégrer son tailleur-pantalon devant son miroir et se donner un ultime coup de peigne. C'est bon, elle est prête à entrer dans la fosse aux lions.
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BLANDINE
Blandine, une blonde menue d'a peine 60 kilos, dirige d'une main de fer une grosse pharmacie. D'un abord aimable avec la clientèle, elle perd vite son calme avec ses subordonnés en période de forte activité. Ses yeux bleus jettent des éclairs dès qu'elle est stressée. Un jour qu'elle a un peu dépassé les bornes des réprimandes, un de ses préparateurs, un Antillais prénommé Célestin, ôte sa blouse, la jette au sol et fiche le camp, laissant Blandine stupéfaite. Elle réagit, lui court après sur le trottoir et lui dit :
- Ne fais pas l'idiot. Excuse-moi. Allez, reviens au boulot.
Et d'un même mouvement, l'embrasse sur la bouche.
C'est au tour de Célestin d'être stupéfait. Ce petit corps nerveux cacherait-t-il une femme sensuelle ? De fait, il ne le sait pas mais sa patronne a depuis le début de leur collaboration envie de lui. Divorcée et en manque de sexe car elle n'a que 38 ans, elle se défoule dans le travail pour anesthésier ses pulsions. Mais cette fois, elle a franchi un pas et quand, après la fermeture, elle invite Célestin dans son bureau, elle ferme la porte derrière lui et lui roule une pelle sauvage en fourrageant dans sa braguette. Elle extrait une grosse bite d'Antillais en phase verticale car Célestin ne voit plus sa patronne mais une poupée blonde bien roulée en train de se mettre à poil. Et ça fait un bail qu'il n'a pas tiré son coup.
- Baise moi, j'en ai besoin, souffle-t-elle en baissant jean et slip, assise sur son bureau, seins nus.
Il s'enfonce en elle après avoir reconnu le terrain du doigt et la pilonne debout, de face puis par derrière et encore de face, museau contre museau. Elle le maintient solidement en elle en le verrouillant de ses mollets. "Oui oui encore encore t'arrête pas surtout" gémit-elle sur le chemin d'un orgasme qu'elle n'a pas vécu depuis des lustres. Il l'écrase sur le bureau en éjaculant.
- Mmmm merci c'était super dit-elle ensuite en se rhabillant avant de le congédier parce qu'elle a du travail administratif.
Il la retrouvera le lendemain comme d'habitude, pète sec et prête à un nouveau stress. Et peut-être à un nouveau coït sauvage.
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VIVIANE
Viviane est aide soignante dans un service hospitalier. Elle a 49 ans, des cheveux frisés, une bouche gourmande et des seins lourds. Elle ne s'est jamais mariée et a beaucoup baisé dans sa vie. Notamment dans son hôpital. C'est la femme anti stress par excellence auprès d'un personnel mâle surmené. Quand un collègue infirmier est tout près de péter un câble, elle l'entraine dans le local de pharmacie, baisse son pantalon et lui taille une pipe, qu'il soit marié ou pas. Et il se laisse faire car la collègue est une experte.
Si elle est en service de nuit, donc plus tranquille, elle peut aller jusqu'à la cravate de notaire au creux de sa généreuse poitrine, voire carrément jusqu'au coït mais seulement avec le médecin de garde car elle a le sens des privilèges hiérarchiques. Viviane se met à quatre pattes à même le sol du local après avoir ôté le pantalon réglementaire, présente son cul replet et reçoit les assauts claquants du praticien, souvent un jeune interne trop heureux de profiter d'une aussi belle croupe entre deux visites. Mais son trou du cul est interdit, à une notable exception près : le grand patron du service, son épouse étant rétive à la sodomie.
Cet alerte quinquagénaire a toujours fait en sorte que Viviane ne quitte pas son service car il sait combien elle est précieuse pour canaliser la nervosité de ses infirmiers, même si les infirmières, en revanche, n'arrêtent pas de baver sur son compte. Du moins celles qui ne baisent pas car Viviane n'est pas la seule à baisser culotte dans la tension ambiante. Quand le grand patron encule Viviane, ce qu'il ne fait jamais à sa femme, il s'assure de ne pas être dérangé dans son bureau en mobilisant un infirmier complice devant sa porte. L'aide soignante agrémente la sodomie par un massage de couilles, voire de prostate, ce qui fait immanquablement gicler le ponte dans son rectum. Qui n'oublie jamais Viviane au moment de décerner les primes de fin d'année.
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SANDRINE
Sandrine est libraire. Cette quadragénaire au corps pulpeux et aux cheveux très courts, prématurément gris, n'exerce pas un métier stressant. Mais ce qui crée une extrême tension dans son esprit, c'est la visite de son comptable, qui lui annonce qu'elle ne pourra pas longtemps conserver son commerce vu le déficit qu'il engendre. Amazon est en train de le tuer lentement. Voilà pourquoi elle rentre désespérée chez elle pour retrouver son mari et ses deux enfants adolescents. Ce cocon familial lui fait certes du bien, mais la tension demeure. Le seul moyen qu'elle a trouvé, hors pharmacie qu'elle proscrit, de faire tomber ce stress, c'est le sexe. Conjugal.
Après la télévision qu'elle regarde avec son mari d'un oeil distrait, elle lui annonce qu'elle va se coucher et qu'elle l'attend. Et quand il rejoint la chambre après être passé par la salle de bain, il trouve Sandrine allongée nue sur le lit, toutes lumières allumées. Le fait qu'elle ne porte ni pyjama ni chemise de nuit est le signal : elle a envie de faire l'amour. Et même de baiser car elle se sent l'humeur cochonne. Le mari bande instantanément car il aime le corps de sa femme, son opulente poitrine qu'elle aime mettre en valeur par de profonds décolletés à la librairie, son pubis fourni, ses cuisses larges, sa croupe joufflue qu'elle est justement en train de lui montrer en se retournant car elle en sait l'attrait sur son mari.
Nu à son tour, il parcourt son dos de sa langue jusqu'à la raie des fesses qu'il écarte pour titiller son petit trou (où il va tenter d'entrer si elle est bien mûre) et la vulve déjà bien humide de désir. Elle se retourne à nouveau, s'écarte les jambes et il la lèche encore. Elle aime les longs préliminaires. Il attend son signal, le moment où elle lui dira "viens maintenant". Ce soir, elle a moins envie de faire l'amour que de baiser. Elle veut faire sortir la bête qui est en elle et qu'elle refoule constamment, par convention sociale mais aussi conjugale. Etre bestiale, c'est évacuer son stress. Cela tombe bien, son mari est en forme, subjugué par ce corps voluptueux qui, sous ses assauts, fait vibrer ses fesses et agiter ses nichons. Elle lui impose sa loi en le chevauchant, pieds sur le matelas pour allonger la bite, lui soufflant des mots peu littéraires mezzo voce pour ne pas réveiller la maisonnée et l'exciter, passant d'une levrette à un 69 pour faire durer le plaisir. Il comprend que sa femme baise et d'ailleurs, elle le lui dit : "je baise".
Pris dans leur frénésie érotique, il lui demande si elle veut "se faire enculer". Il a "envie de son cul". Elle lui dit "oui, fais moi jouir mais jouis en même temps". Bien cambrée, elle l'accueille facilement, elle n'est pas rétive du petit trou et la jouissance anale ne lui est pas étrangère. Ce sera l'apothéose de leur coït vespéral. Elle retournera le lendemain à sa librairie, un peu mâchée mais sexuellement et conjugalement satisfaite. Jusqu'au moment où ses comptes s'imposeront à nouveau à son esprit...
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CORALIE
Coralie est responsable du secrétariat de rédaction d'un quotidien. Un boulot particulièrement stressant, jusque tard dans la soirée. La trentaine, grande et solidement charpentée, un visage un peu masculin qu'elle féminise par son opulente chevelure, elle vit en couple, sans enfants, incompatibles avec son métier. C'est un couple plutôt libéral qui ne fait pas de la fidélité l'alpha et l'oméga de leur union. Coralie "baise utile" c'est à dire qu'elle visite en fin de soirée le bureau du directeur de la rédaction pour lui rendre compte du journal du lendemain puis lui ouvrir sa braguette pour lui tailler une pipe, histoire de faire tomber la pression de la journée, pour elle comme pour lui. Un service non payant mais pas tout à fait gratuit pour sa carrière. Si le directeur est bien dur et dans de bonnes dispositions morales, Coralie ne fait pas de manière. Elle fait passer son tee shirt par-dessus sa tête, dégage ses melons de son soutif, baisse son pantalon et son slip, fait valser ses chaussures, s'assoit au bord du bureau directorial et dit :
- Maintenant, monsieur le directeur, à votre disposition.
Devant ce corps aussi appétissant, aussi ouvert, aussi disponible, difficile de rester insensible. Le directeur, un quadragénaire marié mais ambitieux, le pénètre debout, pantalon aux chevilles. Affalée sur le bureau au milieu des papiers, ses jambes maintenues ouvertes par ses bras, Coralie encaisse les assauts en haletant, laissant parfois échapper un couinement de plaisir car si, à l'évidence, elle se fait baiser, c'est nullement contrainte et forcée. Elle aime le sexe brut, à la hussarde, sauvage et cru et le directeur se régale de l'entendre vanter sa bite "bien dure et bien longue". Le coït sera aussi intense que rapide. Il se retirera vivement pour éjaculer dans la bouche de Coralie qui s'est relevée tout aussi vivement du bureau, selon un code bien rodé entre eux.
Coralie n'est pas dupe. Elle sait qu'elle n'est pas la seule à bénéficier du privilège directorial. Une documentaliste et une journaliste se font aussi tringler par le patron. Mais peu importe. Il évacue son stress grâce à elle et elle évacue le sien aussi avant de rentrer chez elle. Et sa nuit ne s'en portera que mieux.
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FABIEN
Il ne faut évidemment pas croire que la chasse au stress n'est que l'apanage des femmes. Les hommes aussi, bien sûr. Nous sélectionnerons juste Fabien, un policier de la brigade anticriminalité contraint à des rondes de nuit pour débusquer les délinquants. Et parfois même, pour compléter les effectifs, autour des manifestations afin de réprimer les casseurs. Un travail très stressant parce qu'exposé aux coups, aux bombes incendiaires et autres joyeusetés. Fabien a 32 ans, il est célibataire contraint et forcé car ses compagnes éphémères n'ont pas supporté ses absences fréquentes. Il pourrait "aller aux putes" ou fréquenter les sites de rencontre mais il a trouvé mieux. Par suite d'une blessure en cours de manif qui a occasionné des douleurs à une jambe, il a été amené à se faire constituer des semelles orthopédiques pour rééquilibrer son bassin. Une podologue spécialisée s'en est chargée et une relation particulière s'en est suivie.
Particulière parce que Magali, c'est son prénom, a soixante ans. Un rapport de mère à fils aurait pu exister entre elle et Fabien vu la différence d'âge mais il n'en a rien été. Le policier a d'emblée été attiré par cette petite femme tonique, volubile, au corps resté encore ferme par une pratique assidue de l'exercice physique, portant chignon mais détachant ses cheveux à peine grisonnants à l'occasion. Une sexa sexy. Magali étant divorcée de longue date, elle n'oppose pas systématiquement à une drague éventuelle une conjugalité dissuasive. Elle précise juste qu'elle est grand-mère, histoire de ne pas induire en erreur. Mais devant ce jeune homme bien bâti, et même viril, elle ressent dans son tréfonds une onde de chaleur qui ne l'a jamais vraiment quittée car, il faut le préciser, Magali baise.
Elle ne s'est d'ailleurs jamais arrêtée de baiser, ce qui explique sa longévité sexuelle et son physique quasi intact. Deux anciens amants, à la queue un peu molle, viennent parfois combler un appétit resté vivace malgré les ans. Mais la perspective de s'envoyer en l'air avec Fabien constitue pour elle une chance à ne pas laisser échapper. Un corps musclé, une bite dure et durable, voilà un bail qu'elle n'a pas eu ça dans son lit. Elle sait que le temps lui est compté, que la nature finira par se venger et qu'elle doit profiter de l'attrait qu'elle exerce encore sur certains hommes que son âge ne repousse pas, bien au contraire.
Un soir, après une manif particulièrement houleuse, Fabien a sonné à sa porte, sachant qu'elle loge au-dessus de son cabinet.
- J'ai besoin de parler, lui a-t-il confié à l'interphone.
Elle a ouvert sa grille, un peu étonnée de la démarche du policier, et s'est présentée non cette fois vêtue de sa blouse habituelle mais dans un négligé qu'elle porte chez elle, sous lequel elle est nue. Fabien décèle d'emblée les petits seins pointant sous l'étoffe légère, les cuisses généreusement découvertes et l'ombre du pubis brun. Magali ne cherche pas à recouvrir sa tenue par un autre vêtement. L'entrée du beau mâle dans son appartement la ravit parce qu'il va occuper une soirée solitaire, rien de plus pour l'instant. Elle l'écoute avec attention, assise sur son canapé, dérouler son discours d'homme stressé. Et plus il parle en face de Magali, moins ses genoux se serrent. Fabien ne tarde pas à percevoir l'ombre de son sexe tandis qu'elle lui sourit, le chignon défait, une lueur de désir dans le regard. Plus il exprime ses états d'âme et plus Magali a envie de l'avoir entre ses cuisses. Mais il s'épanche tellement qu'elle finit par comprendre que c'est à elle de prendre l'initiative, ce qui ne lui a d'ailleurs jamais fait peur.
Alors, elle se lève et va s'asseoir sur son giron.
- Je crois que tu as besoin d'une bonne détente, dit-elle en le tutoyant pour la première fois.
Et elle l'embrasse sur la bouche. Elle sent le pénis se durcir sous ses fesses. Elle lève les bras, signal pour lui de la débarrasser de son déshabillé, ce qu'il fait illico. Il lui lèche les seins à hauteur de la bouche. Ils sont petits mais les pointes sont dures. Et elle est ultra sensible de là.
- Viens dans ma chambre, on sera plus à l'aise, lui dit-elle, la voix rauque.
Et il suit son petit popotin dénudé et mouvant, la queue déjà bien dure.
La suite est tumultueuse. Fabien se rend vite compte que la podologue n'a pas grand chose à voir au plumard avec ses anciennes maitresses. Elle se sert de sa langue et de ses doigts avec maestria, jouant avec son corps d'homme comme d'un instrument. Elle s'enduit le sexe et l'anus de gel intime et elle le prévient :
- On va baiser et ça va te faire beaucoup de bien. Ne me ménage pas, je ne suis pas en sucre. Défoule-toi. Oublie tes soucis et fais moi jouir.
Magali cavale, tressaute, se cabre, déploie une énergie stupéfiante pour un aussi petit corps, sexagénaire de surcroit. Elle réclame, exhorte, stimule, dévore, bref baise. Et Fabien baise une femme qui baise. Une vraie chienne qui lui fait lever les jambes, met le doigt dans son anus et presse sa prostate en gobant ses couilles. On ne lui a jamais fait ça, au policier. Il a complètement oublié qu'elle a deux fois son âge parce qu'elle lui procure un plaisir inouï. Il a surtout complètement oublié la raison de sa visite : son stress.
Elle le fait gicler une première fois, le ranime et il remet le couvert en l'écartelant sur son plumard dévasté. Il l'encule à sa demande, ce qui est une première pour lui et jouit dans son cul. Et le tout lumière allumée. Quand elle baise, le visage de Magali rajeunit mais après le sexe, il se creuse. La fatigue l'assaille soudain et elle s'endort comme une masse, à plat ventre, cuisses ouvertes, cheveux étalés.
Il prend une douche chez elle, constate qu'elle dort encore, et s'en va discrètement en la couvrant d'un drap et en éteignant la lumière. Son stress a totalement disparu. Il a un peu mal à la bite, c'est tout. Il téléphonera demain à Magali pour s'assurer qu'elle va bien.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Micky,
ce concept d'historiettes est excellent et permet en effet de démontrer que le sexe est une bonne thérapie contre le stress.
Utile thérapie que je ne peux que confirmer évidemment...
Didier
ce concept d'historiettes est excellent et permet en effet de démontrer que le sexe est une bonne thérapie contre le stress.
Utile thérapie que je ne peux que confirmer évidemment...
Didier
On dit bien saynète Olga, merci du compliment. Et pertinente allusion à une activité nette de dépense autre qu'hormonale...
De jolies saynètes (ou bien dit-on scénettes) érotiques. Micky a raison: le sexe et baiser pour dire les choses directement, est un excellent remède. Qui plus est, non seulement ça fait beaucoup de bien, mais en plus ça ne creuse pas la dette publique!:-)