Le sexe ne manque pas de... selle
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2023 dans la catégorie Plus on est
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Le sexe ne manque pas de... selle
Karine avait fini par céder à une évidence. Pour se déplacer entre son domicile et son cabinet d'architecte d'intérieur, le vélo restait le moyen le plus rapide et le plus agréable. Fini, les longues stations debout dans le métro. Terminé, les odeurs nauséabondes des rames. Ses trois quarts d'heure de trajet, elle les accomplirait sur une selle, dûment équipée, comme le faisait depuis longtemps son associée Gaëlle, qui avait donc fini par la convertir. Elle négligea cependant l'assistance électrique afin de joindre l'utile à l'utile, c'est à dire un exercice physique que ne permet pas l'assistance, d'autant qu'elle n'avait pas de côtes à escalader pour justifier le moindre effort.
Au début, elle trouva le trajet jouissif, au milieu d'une floppée d'autres cyclistes qui lui permettaient parfois un abri rendant l'effort beaucoup plus facile. Les averses de pluie ne la dissuadèrent même pas, bien qu'elle préférât évidemment le grand soleil. Elle éprouvait même un petit plaisir à porter des mini-jupes qui mettaient ses cuisses fuselées en valeur dans ce mouvement particulier de bielles propre au vélocipède. Les regards masculins admiratifs faisait du bien à son égo. Cette belle quadra au corps mince et à la chevelure brune épaisse ne passait pas inaperçue sur cette bécane haute où sa grâce éclatait.
Le seul petit inconvénient est qu'elle commençait à ressentir au niveau de l'entre-cuisses une espèce de picotement qui, à la longue, se transforma en véritable excitation. Le contact prolongé de la selle sur son intimité provoquait une sensation de vide qu'elle ressentait habituellement quand elle avait envie de faire l'amour avec Gaétan, son mari. Mais au boulot, c'était compliqué de se soulager. Elle tenta bien de se masturber dans les toilettes mais c'était plus frustrant qu'autre chose. Un tampon hygiénique ajouté à son slip, bien que n'étant pas dans sa "période", ne produisit pas davantage d'effets, au contraire.
Heureusement, il restait Gaétan. Le soir après le boulot, lorsque son mari rentrait, elle l'attirait dans la chambre conjugale pour un coït bref mais intense. Au début, Gaétan était ravi que son épouse le désire autant et manifeste ce tempérament volcanique qui faisait le sel de leurs relations de couple. Fier de la plastique de son épouse, il n'avait aucun mal à l'honorer, pensant à la jalousie de ses collègues devant la beauté un peu animale de Karine, ses pommettes saillantes, sa grande bouche, ses seins pointus et son fessier bombé.
Néanmoins, la fréquence de ces rapports finit par entamer ses réserves de testostérone. Plus Karine exigeait de lui et moins il éjaculait avec une queue de plus en plus molle. Il finit par demander grâce au désespoir de son épouse, toujours aussi excitée par la selle de son vélo. La frustration la gagnait.
Le pire survenait quand sa collègue Gaëlle, qui lui ressemblait étrangement à l'exception de sa chevelure châtain, convoquait au bureau un amant de circonstance pour des ébats tumultueux dans une petite pièce censée permettre le repos sur un divan. Divorcée et libre, Gaëlle se faisait fort de mener une vie sexuelle active pour "garder la forme", disait-elle. Ses cris de jouissance à travers la cloison touchaient Karine au plus profond lorsque le contact de la selle avait inondé son slip, changé à son arrivée au bureau, encore un effet imprévu. Un midi où elle était allée déjeuner seule parce que Gaëlle "recevait", elle entendit en rentrant au bureau un cri guttural venant la pièce adjacente. Alertée, Karine ouvrit la porte et tomba nez à cul avec celui plantureux de Gaëlle qui cavalait sur une grosse bite noire dure comme du teck. Elle referma précipitamment la porte et courut se masturber dans les toilettes.
Bref, il lui apparut assez vite qu'elle ne pourrait pas travailler normalement en continuant de se déplacer à vélo. A moins que...
*****
Elle s'ouvrit de ses soucis à Gaëlle, qui commença à en rire.
- Au moins, on ne peut pas dire que tu es frigide, rigola-t-elle.
- Ce n'est pas drôle. Je vais être obligée de reprendre le métro et ça me navre.
- Qu'est-ce que tu racontes. C'est une chance d'avoir toujours envie de faire l'amour. Surtout à quarante balais. Beaucoup de femmes t'enviraient.
- Oui mais je suis frustrée.
- Alors ça, ce n'est pas un problème. N'importe quel homme normalement constitué aimerait coucher avec toi. Enfin, quand je dis coucher...
- Mais j'aime Gaétan !
- Et alors ? Il te fait l'amour, très bien, continuez, mais là, il s'agit d'un rapport purement hygiénique. Il s'agit de baiser.
- De le tromper alors ?
- Ne sois pas stupide. Ce n'est pas parce que tu vas tirer un coup que tu vas fiche en l'air ton couple. Au contraire, cela te fera du bien au corps et donc à la tête.
Karine encaissa. L'adultère ne la tentait en rien mais elle en avait un peu assez d'entendre Gaëlle crier de plaisir avec ses amants pendant qu'elle travaillait à ses plans dans la pièce d'à côté, le bas-ventre en feu.
C'est alors que les circonstances la conduisirent sur un chantier dont elle et sa collègue avaient conçu les plans. Elle devait rencontrer les artisans et en particulier leur responsable, un Slave prénommé Oleg, blond aux yeux bleus, athlétique, qui ne l'avait jamais laissée indifférente mais en tout bien tout honneur. Le problème est qu'elle était venue sur le chantier à vélo. La proximité de ce beau mâle la mit en émoi et l'intéressé s'en aperçut. Il y avait dans le regard de Karine, dans sa façon de passer la langue sur les lèvres, de redresser le buste et de tendre la croupe sous son jean serré, quelque chose de provoquant qui interpellait l'artisan. Tout en discutant boulot, ils commencèrent à se frôler et à s'allumer mutuellement, la voix de plus en plus rauque. Depuis qu'il avait rencontré Karine, Oleg rêvait de la baiser car sa vie sexuelle était morne, mais il la jugeait inaccessible. Or, ce jour là, elle lui faisait une véritable parade amoureuse. Etait-ce du lard ou du cochon ?
Lorsque Karine se positionna devant une baie vitrée pour regarder et commenter la vue, il se positionna derrière elle et osa se coller à son corps. Il s'attendait à ce qu'elle se dégage, le gifle peut-être, mais non. Ses fesses virent à la rencontre de sa bite tendue sous le pantalon de travail. Enhardi, il empauma ses seins et sentit les pointes dures sous le mince soutif. Il l'embrassa dans le cou et elle fondit. Elle se retourna et lui roula une pelle comme il n'en avait pas eu depuis longtemps. L'appartement était désert, les ouvriers étant partis déjeuner, mais il était aussi vide. Seule la salle de bains offrait un support. Ils la gagnèrent en titubant, bouche à bouche. Il la fit asseoir sur la planche du lavabo et elle l'aida à la débarrasser de son jean et de son slip tout en ôtant son chemisier et son soutien-gorge. Elle était nue, offerte. Il commença pour lui brouter longuement le minou mais elle l'implora :
- S'il te plait, viens, j'en peux plus...
Il se débarrassa de sa combinaison de travail, exposant son corps sec et musclé mais surtout son glaive, excroissance spectaculaire, tendue, rigide, qu'il positionna sur sa vulve béante de désir. Il la pénétra debout, jubilant du confort intérieur qu'elle lui offrait et de l'enthousiasme qu'elle lui manifestait en martelant ses reins de ses talons. Karine ne pensa pas une seconde à Gaétan mais juste à cette bite qui comblait le vide de son bas-ventre en fusion, à ce corps de mâle qui la faisait sentir femelle de ses cheveux défaits à ses orteils nus. Elle passait de roucoulades en piaillements, se découvrit via le miroir de la salle de bains, prise par derrière en train de baiser comme une chienne en chaleur, se laissa enculer sans sourciller alors qu'elle faisait des manières avec Gaétan, imposa à Oleg de se coucher par terre afin de le chevaucher et de profiter de sa bite comme Gaëlle avait profité de celle du Noir dans la même position et se coucha à son tour pour se faire pilonner jusqu'à l'éjaculation de son amant circonstanciel, qui l'arrosa de son sperme, ce dont elle se réjouit puisqu'il la préservait de toute mauvaise surprise ultérieure...
****
Lorsqu'elle rentra au bureau, elle prit conscience, une fois l'euphorie retombée, de sa transgression. La culpabilité l'envahit vis à vis de Gaétan, qui n'était pour rien dans sa flambée sexuelle. Son premier mouvement fut de remiser son vélo et de reprendre le métro. Mais dès le lendemain, après avoir enduré une grève perlée, elle décida de reprendre sa bécane et advienne que pourra. Gaëlle suivait les événements avec un petit sourire entendu. Karine lui avait raconté l'épisode du chantier avec le beau Oleg et elle lui dit :
- Tu as eu raison mais on peut trouver quelque chose de, disons, plus confortable pour assouvir tes besoins.
Et c'est ainsi qu'un vendredi soir avant de quitter le bureau apparurent deux métis dont celui que Karine avait vu à l'oeuvre avec sa collègue.
- Je te présente Célestin et Barnabé, dit Gaëlle. Excuse-nous mais on va s'isoler dans la pièce d'à côté.
Deux pour elle seule ! Karine en fut presque choquée, bien que plus rien ne l'étonnait chez sa volcanique collègue. La porte fermée, elle imagina ce que les deux garçons pouvaient lui faire. C'était insupportable et elle allait quitter le bureau, son sac à la main, le sexe en fusion, lorsque Gaëlle, entièrement nue, ouvrit la porte de la pièce, et lui dit :
- Ne fais pas l'idiote. Viens donc nous rejoindre, il y en a pour deux.
Et de la prendre par la main pour entrer dans le réduit où les deux Martiniquais, entièrement nus également et en demi érection, attendaient assis sur le sofa. L'un d'eux se releva et approcha Karine pour l'embrasser et la déshabiller. Il s'y prit lentement, laissant la brune prendre acte de ce qui allait se passer. Gaëlle et l'autre garçon avaient entamé un 69 sur le sofa et Karine prit conscience qu'elle allait se faire sauter dans un plan à quatre avec sa propre collègue de travail. Elle se laissa entrainer sur le petit bureau qui servait pour les archives, abandonna au passage jean, slip, chemisier et soutien-gorge et accueillit la bouche experte de celui qui allait lui faire subir la phase 2 de l'adultère. Tout en étant copieusement léchée, elle regardait Gaëlle en train de se faire prendre par derrière sur le sofa, seins ballants, crinière déployée, rictus aux lèvres, célébrant par intermittence l'action du prodigieux pénis qui la fouillait.
Le lécheur était en train de coiffer son préservatif quand Karine, toujours assise sur le bureau, prononça exactement la même phrase que pour Oleg, et dans la même position :
- Viens, j'en peux plus...
Elle accueillit la pénétration massive avec un râle de plaisir mêlé de soulagement. Enfin, elle était remplie. Ses cris de plaisir rejoignirent ceux de Gaëlle. Un intrus dans la pièce aurait découvert un cul d'homme marron s'agitant entre deux cuisses blanches d'un côté, un autre cul d'homme marron pilonnant des fesses blanches de l'autre. Et s'il était resté, il aurait vu les deux couples échanger leur support, Karine se faisant à son tour pilonner sur le sofa tandis que Gaëlle se faisait prendre assise sur le bureau. Tout se poursuivit dans les couinements, les râles et les grognements de ces accouplements bestiaux et néanmoins jouissifs. Karine et Gaëlle eurent leur orgasme, les deux jeunes hommes leur éjaculation capotée, et tout s'acheva, toujours à poil, devant le mini bar du bureau, une canette à la main. Avec promesse de revoyure.
********
Le basculement de Karine dans une vie sexuelle débridée, par le biais de sa selle de vélo, ne se déroula pas sans dommages pour son couple. Gaétan avait fini par avoir des doutes sur la fidélité de son épouse, malgré les dénégations de celle-ci qui l'assurait de son amour, et c'était vrai au fond. Ses besoins étaient purement physiologiques mais elle n'osait pas l'avouer à son mari. Cet épisode lui avait fait découvrir son corps et tout le plaisir qu'elle pouvait en tirer. Elle était un violon dont l'archet était la bite, qui en tirait une musique inédite. Gaétan ne l'écoutait que par intermittence, lorsqu'il bénéficiait de suffisamment d'énergie pour satisfaire la grosse demande de son épouse, dont l'exaltation le rassurait un peu sur le pouvoir de son membre viril.
L'ennuyeux pour leur conjugalité était que Karine avait pris goût aux ébats à quatre. Le cabinet d'architecture était devenu un véritable lupanar, où les plans cul succédaient au plans professionnels de construction. Gaëlle pratiquant volontiers la double pénétration vaginale-anale, elle incita sa collègue à faire de même et celle-ci en conçut une telle jouissance qu'elle faillit défaillir. Un troisième larron vint "renforcer" les deux métis si bien que Karine, à l'instar de Gaëlle, en était arrivée à sucer l'un en chevauchant l'autre et de ne plus goûter que la "pluralité masculine". Elle ne s'appartenait plus vraiment et sa vie menaçait d'être totalement bouleversée par cette frénésie de sexe.
*****
Mais le destin en décida autrement. Un jour qu'elle avait décidé d'enfourcher son vélo malgré un temps pluvieux, un dérapage la précipita au sol et occasionna une fracture de la clavicule. Gaétan en profita pour se débarrasser du vélo, dont il avait compris le rôle pernicieux sur la sexualité de son épouse. Une fois rétablie, Karine fut donc réduite à se déplacer à nouveau en métro et à retrouver une vie sexuelle très conjugale. Elle se sépara en même temps de son associée pour un cabinet en solo, au grand dam de Gaëlle qui, elle, n'avait pas renoncé à sa vie de libertinage. Néanmoins, lorsque Karine projetait de faire l'amour avec son mari, elle trouvait toujours le moyen d'enfourcher un vélo en libre service pour son retour au bercail. Et Gaétan retrouvait le soir sa volcanique épouse dans le lit conjugal.
Au début, elle trouva le trajet jouissif, au milieu d'une floppée d'autres cyclistes qui lui permettaient parfois un abri rendant l'effort beaucoup plus facile. Les averses de pluie ne la dissuadèrent même pas, bien qu'elle préférât évidemment le grand soleil. Elle éprouvait même un petit plaisir à porter des mini-jupes qui mettaient ses cuisses fuselées en valeur dans ce mouvement particulier de bielles propre au vélocipède. Les regards masculins admiratifs faisait du bien à son égo. Cette belle quadra au corps mince et à la chevelure brune épaisse ne passait pas inaperçue sur cette bécane haute où sa grâce éclatait.
Le seul petit inconvénient est qu'elle commençait à ressentir au niveau de l'entre-cuisses une espèce de picotement qui, à la longue, se transforma en véritable excitation. Le contact prolongé de la selle sur son intimité provoquait une sensation de vide qu'elle ressentait habituellement quand elle avait envie de faire l'amour avec Gaétan, son mari. Mais au boulot, c'était compliqué de se soulager. Elle tenta bien de se masturber dans les toilettes mais c'était plus frustrant qu'autre chose. Un tampon hygiénique ajouté à son slip, bien que n'étant pas dans sa "période", ne produisit pas davantage d'effets, au contraire.
Heureusement, il restait Gaétan. Le soir après le boulot, lorsque son mari rentrait, elle l'attirait dans la chambre conjugale pour un coït bref mais intense. Au début, Gaétan était ravi que son épouse le désire autant et manifeste ce tempérament volcanique qui faisait le sel de leurs relations de couple. Fier de la plastique de son épouse, il n'avait aucun mal à l'honorer, pensant à la jalousie de ses collègues devant la beauté un peu animale de Karine, ses pommettes saillantes, sa grande bouche, ses seins pointus et son fessier bombé.
Néanmoins, la fréquence de ces rapports finit par entamer ses réserves de testostérone. Plus Karine exigeait de lui et moins il éjaculait avec une queue de plus en plus molle. Il finit par demander grâce au désespoir de son épouse, toujours aussi excitée par la selle de son vélo. La frustration la gagnait.
Le pire survenait quand sa collègue Gaëlle, qui lui ressemblait étrangement à l'exception de sa chevelure châtain, convoquait au bureau un amant de circonstance pour des ébats tumultueux dans une petite pièce censée permettre le repos sur un divan. Divorcée et libre, Gaëlle se faisait fort de mener une vie sexuelle active pour "garder la forme", disait-elle. Ses cris de jouissance à travers la cloison touchaient Karine au plus profond lorsque le contact de la selle avait inondé son slip, changé à son arrivée au bureau, encore un effet imprévu. Un midi où elle était allée déjeuner seule parce que Gaëlle "recevait", elle entendit en rentrant au bureau un cri guttural venant la pièce adjacente. Alertée, Karine ouvrit la porte et tomba nez à cul avec celui plantureux de Gaëlle qui cavalait sur une grosse bite noire dure comme du teck. Elle referma précipitamment la porte et courut se masturber dans les toilettes.
Bref, il lui apparut assez vite qu'elle ne pourrait pas travailler normalement en continuant de se déplacer à vélo. A moins que...
*****
Elle s'ouvrit de ses soucis à Gaëlle, qui commença à en rire.
- Au moins, on ne peut pas dire que tu es frigide, rigola-t-elle.
- Ce n'est pas drôle. Je vais être obligée de reprendre le métro et ça me navre.
- Qu'est-ce que tu racontes. C'est une chance d'avoir toujours envie de faire l'amour. Surtout à quarante balais. Beaucoup de femmes t'enviraient.
- Oui mais je suis frustrée.
- Alors ça, ce n'est pas un problème. N'importe quel homme normalement constitué aimerait coucher avec toi. Enfin, quand je dis coucher...
- Mais j'aime Gaétan !
- Et alors ? Il te fait l'amour, très bien, continuez, mais là, il s'agit d'un rapport purement hygiénique. Il s'agit de baiser.
- De le tromper alors ?
- Ne sois pas stupide. Ce n'est pas parce que tu vas tirer un coup que tu vas fiche en l'air ton couple. Au contraire, cela te fera du bien au corps et donc à la tête.
Karine encaissa. L'adultère ne la tentait en rien mais elle en avait un peu assez d'entendre Gaëlle crier de plaisir avec ses amants pendant qu'elle travaillait à ses plans dans la pièce d'à côté, le bas-ventre en feu.
C'est alors que les circonstances la conduisirent sur un chantier dont elle et sa collègue avaient conçu les plans. Elle devait rencontrer les artisans et en particulier leur responsable, un Slave prénommé Oleg, blond aux yeux bleus, athlétique, qui ne l'avait jamais laissée indifférente mais en tout bien tout honneur. Le problème est qu'elle était venue sur le chantier à vélo. La proximité de ce beau mâle la mit en émoi et l'intéressé s'en aperçut. Il y avait dans le regard de Karine, dans sa façon de passer la langue sur les lèvres, de redresser le buste et de tendre la croupe sous son jean serré, quelque chose de provoquant qui interpellait l'artisan. Tout en discutant boulot, ils commencèrent à se frôler et à s'allumer mutuellement, la voix de plus en plus rauque. Depuis qu'il avait rencontré Karine, Oleg rêvait de la baiser car sa vie sexuelle était morne, mais il la jugeait inaccessible. Or, ce jour là, elle lui faisait une véritable parade amoureuse. Etait-ce du lard ou du cochon ?
Lorsque Karine se positionna devant une baie vitrée pour regarder et commenter la vue, il se positionna derrière elle et osa se coller à son corps. Il s'attendait à ce qu'elle se dégage, le gifle peut-être, mais non. Ses fesses virent à la rencontre de sa bite tendue sous le pantalon de travail. Enhardi, il empauma ses seins et sentit les pointes dures sous le mince soutif. Il l'embrassa dans le cou et elle fondit. Elle se retourna et lui roula une pelle comme il n'en avait pas eu depuis longtemps. L'appartement était désert, les ouvriers étant partis déjeuner, mais il était aussi vide. Seule la salle de bains offrait un support. Ils la gagnèrent en titubant, bouche à bouche. Il la fit asseoir sur la planche du lavabo et elle l'aida à la débarrasser de son jean et de son slip tout en ôtant son chemisier et son soutien-gorge. Elle était nue, offerte. Il commença pour lui brouter longuement le minou mais elle l'implora :
- S'il te plait, viens, j'en peux plus...
Il se débarrassa de sa combinaison de travail, exposant son corps sec et musclé mais surtout son glaive, excroissance spectaculaire, tendue, rigide, qu'il positionna sur sa vulve béante de désir. Il la pénétra debout, jubilant du confort intérieur qu'elle lui offrait et de l'enthousiasme qu'elle lui manifestait en martelant ses reins de ses talons. Karine ne pensa pas une seconde à Gaétan mais juste à cette bite qui comblait le vide de son bas-ventre en fusion, à ce corps de mâle qui la faisait sentir femelle de ses cheveux défaits à ses orteils nus. Elle passait de roucoulades en piaillements, se découvrit via le miroir de la salle de bains, prise par derrière en train de baiser comme une chienne en chaleur, se laissa enculer sans sourciller alors qu'elle faisait des manières avec Gaétan, imposa à Oleg de se coucher par terre afin de le chevaucher et de profiter de sa bite comme Gaëlle avait profité de celle du Noir dans la même position et se coucha à son tour pour se faire pilonner jusqu'à l'éjaculation de son amant circonstanciel, qui l'arrosa de son sperme, ce dont elle se réjouit puisqu'il la préservait de toute mauvaise surprise ultérieure...
****
Lorsqu'elle rentra au bureau, elle prit conscience, une fois l'euphorie retombée, de sa transgression. La culpabilité l'envahit vis à vis de Gaétan, qui n'était pour rien dans sa flambée sexuelle. Son premier mouvement fut de remiser son vélo et de reprendre le métro. Mais dès le lendemain, après avoir enduré une grève perlée, elle décida de reprendre sa bécane et advienne que pourra. Gaëlle suivait les événements avec un petit sourire entendu. Karine lui avait raconté l'épisode du chantier avec le beau Oleg et elle lui dit :
- Tu as eu raison mais on peut trouver quelque chose de, disons, plus confortable pour assouvir tes besoins.
Et c'est ainsi qu'un vendredi soir avant de quitter le bureau apparurent deux métis dont celui que Karine avait vu à l'oeuvre avec sa collègue.
- Je te présente Célestin et Barnabé, dit Gaëlle. Excuse-nous mais on va s'isoler dans la pièce d'à côté.
Deux pour elle seule ! Karine en fut presque choquée, bien que plus rien ne l'étonnait chez sa volcanique collègue. La porte fermée, elle imagina ce que les deux garçons pouvaient lui faire. C'était insupportable et elle allait quitter le bureau, son sac à la main, le sexe en fusion, lorsque Gaëlle, entièrement nue, ouvrit la porte de la pièce, et lui dit :
- Ne fais pas l'idiote. Viens donc nous rejoindre, il y en a pour deux.
Et de la prendre par la main pour entrer dans le réduit où les deux Martiniquais, entièrement nus également et en demi érection, attendaient assis sur le sofa. L'un d'eux se releva et approcha Karine pour l'embrasser et la déshabiller. Il s'y prit lentement, laissant la brune prendre acte de ce qui allait se passer. Gaëlle et l'autre garçon avaient entamé un 69 sur le sofa et Karine prit conscience qu'elle allait se faire sauter dans un plan à quatre avec sa propre collègue de travail. Elle se laissa entrainer sur le petit bureau qui servait pour les archives, abandonna au passage jean, slip, chemisier et soutien-gorge et accueillit la bouche experte de celui qui allait lui faire subir la phase 2 de l'adultère. Tout en étant copieusement léchée, elle regardait Gaëlle en train de se faire prendre par derrière sur le sofa, seins ballants, crinière déployée, rictus aux lèvres, célébrant par intermittence l'action du prodigieux pénis qui la fouillait.
Le lécheur était en train de coiffer son préservatif quand Karine, toujours assise sur le bureau, prononça exactement la même phrase que pour Oleg, et dans la même position :
- Viens, j'en peux plus...
Elle accueillit la pénétration massive avec un râle de plaisir mêlé de soulagement. Enfin, elle était remplie. Ses cris de plaisir rejoignirent ceux de Gaëlle. Un intrus dans la pièce aurait découvert un cul d'homme marron s'agitant entre deux cuisses blanches d'un côté, un autre cul d'homme marron pilonnant des fesses blanches de l'autre. Et s'il était resté, il aurait vu les deux couples échanger leur support, Karine se faisant à son tour pilonner sur le sofa tandis que Gaëlle se faisait prendre assise sur le bureau. Tout se poursuivit dans les couinements, les râles et les grognements de ces accouplements bestiaux et néanmoins jouissifs. Karine et Gaëlle eurent leur orgasme, les deux jeunes hommes leur éjaculation capotée, et tout s'acheva, toujours à poil, devant le mini bar du bureau, une canette à la main. Avec promesse de revoyure.
********
Le basculement de Karine dans une vie sexuelle débridée, par le biais de sa selle de vélo, ne se déroula pas sans dommages pour son couple. Gaétan avait fini par avoir des doutes sur la fidélité de son épouse, malgré les dénégations de celle-ci qui l'assurait de son amour, et c'était vrai au fond. Ses besoins étaient purement physiologiques mais elle n'osait pas l'avouer à son mari. Cet épisode lui avait fait découvrir son corps et tout le plaisir qu'elle pouvait en tirer. Elle était un violon dont l'archet était la bite, qui en tirait une musique inédite. Gaétan ne l'écoutait que par intermittence, lorsqu'il bénéficiait de suffisamment d'énergie pour satisfaire la grosse demande de son épouse, dont l'exaltation le rassurait un peu sur le pouvoir de son membre viril.
L'ennuyeux pour leur conjugalité était que Karine avait pris goût aux ébats à quatre. Le cabinet d'architecture était devenu un véritable lupanar, où les plans cul succédaient au plans professionnels de construction. Gaëlle pratiquant volontiers la double pénétration vaginale-anale, elle incita sa collègue à faire de même et celle-ci en conçut une telle jouissance qu'elle faillit défaillir. Un troisième larron vint "renforcer" les deux métis si bien que Karine, à l'instar de Gaëlle, en était arrivée à sucer l'un en chevauchant l'autre et de ne plus goûter que la "pluralité masculine". Elle ne s'appartenait plus vraiment et sa vie menaçait d'être totalement bouleversée par cette frénésie de sexe.
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Mais le destin en décida autrement. Un jour qu'elle avait décidé d'enfourcher son vélo malgré un temps pluvieux, un dérapage la précipita au sol et occasionna une fracture de la clavicule. Gaétan en profita pour se débarrasser du vélo, dont il avait compris le rôle pernicieux sur la sexualité de son épouse. Une fois rétablie, Karine fut donc réduite à se déplacer à nouveau en métro et à retrouver une vie sexuelle très conjugale. Elle se sépara en même temps de son associée pour un cabinet en solo, au grand dam de Gaëlle qui, elle, n'avait pas renoncé à sa vie de libertinage. Néanmoins, lorsque Karine projetait de faire l'amour avec son mari, elle trouvait toujours le moyen d'enfourcher un vélo en libre service pour son retour au bercail. Et Gaétan retrouvait le soir sa volcanique épouse dans le lit conjugal.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Gaelle a tort , on fait l'amour avec son mari comme on peut transformer le mari en amant et niquer avec lui.
Très chère, vous répondez à une question que je me suis souvent posée concernant les femmes et la bicyclette...
Dans le même ordre d'idée, je me demande ce qu'il en est de la cavalière trépidant sur son étalon......
Dans le même ordre d'idée, je me demande ce qu'il en est de la cavalière trépidant sur son étalon......
Bravo, c'est frais, léger ça se déguste très vite et avec plaisir et en plus c'est même un brin moral à la fin, on en redemande !!
récit olein d humour bien érit et malgrè son style assez prenant tès bon
Voilà un mode de déplacement "doux" qui a eu des conséquences inattendues sur la libido et la sexualité de Karine! Très intéressant!