Le sexe nippon, bien raffiné !
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le sexe nippon, bien raffiné !
Ma femme est asiatique. Sa soeur aînée nous a invitée à l'accompagner lors d'un voyage au Japon. Si je connais les moeurs de l'Asie du sud-est, le Japon m'est complètement étranger. Ma belle-soeur parle le Japonnais couramment. Après le traditionnel repos dû au décalage horaire, nous sommes allés visiter un temple. Nous avons été reçus par des femmes. L'image de marque du Japon qui l'appelle "le pays du sourire", est on ne peut plus vraie.
Mais, ces sourires cachent quelquefois des pratiques méconnues. Ma belle-soeur m'annonce que, n'étant pas asiatique, je suis censé être impur, pour leur religion. Je dois suivre nos hôtesses, pour prendre un bain de purification, avant de pénêtrer dans ce lieu saint. J'ai dû me déshabiller, dans une pièce peuplée uniquement d'hommes. On m'a donné une serviette, pour couvrir ma nudité.
Les bonzesses, je ne sais toujours pas si on les appelle ainsi, me conduisirent dans une grande salle, occupée principalement par une sorte de piscine pour enfants. On s'arrêta au bord. Les femmes me tournèrent, face à l'eau. Elles se prosternèrent sur le bord, et ôtèrent la serviette. J'entendis des murmures derrière moi. Comme elles me tenaient par les mains, je n'ai pas osé me retourner.
Les femmes m'ont fait glisser dans l'eau. Leurs doigts ont exploré le moindre cetimètre carré de ma peau, le moindre pli. Je suis ressorti de l'eau, assurément plus propre, que quand j'y suis entré. Elle m'ont séché, puis parfumé. Elles m'ont ensuite revêtu d'une espèce de cape, et m'ont conduit dans une sorte de chapelle. Au centre, une espèce de prie-dieu, où elle m'ont fait m'agenouiller. L'endroit où poser les coudes, me semblait bien bas pour prier.
Soudain, on m'a ôté la cape. Des mains m'ont palpé, puis caressé les fesses. Elles me semblaient puissantes pour des mains de femmes. Puis, j'ai senti autre chose glisser sur mes fesses. J'ai identifié tout de suite cette chose. Un sexe !
Une main puissante m'a poussé en avant. Je me suis retrouvé, applati sur le pseudo-accoudoir. Mes poignets étaient emprisonnés dans une énorme paluche. Le sexe s'insinua entre mes globes fessiers et alla se loger sur mon petit trou. J'allais me faire sodomiser. Effectivement, en douceur, mais en puissance, centimètre par centimètre, la bite pénêtrait dans mon cul. Je sentais la musculature des cuisses de mon enculeur contre les miennes. On m'a alors glissé une sorte de cagoule en soie sur la tête. Il n'y avait qu'un trou, au niveau de la bouche. Un gland énorme se fraya un passage entre mes lèvres. Son goût était sirupeux. On eut dit que son propriétaire l'avait trempé dans un liquide sucré.
- Toi, respirer par le nez...Dit une voix nasillarde, mais dans un bon français.
La bite était plutôt longue. Dans ma tête, il se passa un temps infini, avant que mes lèvres touchent les poils pubiens du type que je suçais. Ils se mirent en mouvement de concert. Quand la bite s'enfonçait dans ma gorge, l'autre sortait de mon cul, et inversement. Puis, ils ont inversé leurs mouvements. D'un seul coup, les deux membres étaient plongés dans mon corps.
Au Japon, on dit aussi que le sexe se pratique avec l'inconscient. C'est largement possible. Une image se forma dans mon esprit. Je voyais un cochon transpercé par une broche et rôtissant sur un brasier rougeoyant. Effectivement, écartelés par les membres volumineux fichés dans ma bouche et dans mon cul, mes commissures et mon anus me brûlaient. Pourtant, la douleur était supportable grâce au plaisir sensuel et celui visuellement intérieur, de se savoir possédé.
Je leur ai raconté toutes les sensations que j'ai ressenti. Ils m'ont remercié, avec moult courbettes, de leur avoir donné mon corps. Ils ont ajouté que je serais toujours le bienvenu. Et bien sûr, evec ce sourire énigmatique qui est le symbole du Japon.
Je suis retourné quatre fois dans ce village. C'est même eux qui m'offrent le voyage. Ils m'ont surnommé "honorable cul". Il n'est pas un habitant qui l'ait vu, voire même touché.
A chaque voyage on a rempli mes orifices, et à chaque fois, je suis rentré chez moi, plein de sensations merveilleuses. Ca change des pratiques africaines.
La brutalité a son charme aussi mais on en parlera une autre fois.
Mais, ces sourires cachent quelquefois des pratiques méconnues. Ma belle-soeur m'annonce que, n'étant pas asiatique, je suis censé être impur, pour leur religion. Je dois suivre nos hôtesses, pour prendre un bain de purification, avant de pénêtrer dans ce lieu saint. J'ai dû me déshabiller, dans une pièce peuplée uniquement d'hommes. On m'a donné une serviette, pour couvrir ma nudité.
Les bonzesses, je ne sais toujours pas si on les appelle ainsi, me conduisirent dans une grande salle, occupée principalement par une sorte de piscine pour enfants. On s'arrêta au bord. Les femmes me tournèrent, face à l'eau. Elles se prosternèrent sur le bord, et ôtèrent la serviette. J'entendis des murmures derrière moi. Comme elles me tenaient par les mains, je n'ai pas osé me retourner.
Les femmes m'ont fait glisser dans l'eau. Leurs doigts ont exploré le moindre cetimètre carré de ma peau, le moindre pli. Je suis ressorti de l'eau, assurément plus propre, que quand j'y suis entré. Elle m'ont séché, puis parfumé. Elles m'ont ensuite revêtu d'une espèce de cape, et m'ont conduit dans une sorte de chapelle. Au centre, une espèce de prie-dieu, où elle m'ont fait m'agenouiller. L'endroit où poser les coudes, me semblait bien bas pour prier.
Soudain, on m'a ôté la cape. Des mains m'ont palpé, puis caressé les fesses. Elles me semblaient puissantes pour des mains de femmes. Puis, j'ai senti autre chose glisser sur mes fesses. J'ai identifié tout de suite cette chose. Un sexe !
Une main puissante m'a poussé en avant. Je me suis retrouvé, applati sur le pseudo-accoudoir. Mes poignets étaient emprisonnés dans une énorme paluche. Le sexe s'insinua entre mes globes fessiers et alla se loger sur mon petit trou. J'allais me faire sodomiser. Effectivement, en douceur, mais en puissance, centimètre par centimètre, la bite pénêtrait dans mon cul. Je sentais la musculature des cuisses de mon enculeur contre les miennes. On m'a alors glissé une sorte de cagoule en soie sur la tête. Il n'y avait qu'un trou, au niveau de la bouche. Un gland énorme se fraya un passage entre mes lèvres. Son goût était sirupeux. On eut dit que son propriétaire l'avait trempé dans un liquide sucré.
- Toi, respirer par le nez...Dit une voix nasillarde, mais dans un bon français.
La bite était plutôt longue. Dans ma tête, il se passa un temps infini, avant que mes lèvres touchent les poils pubiens du type que je suçais. Ils se mirent en mouvement de concert. Quand la bite s'enfonçait dans ma gorge, l'autre sortait de mon cul, et inversement. Puis, ils ont inversé leurs mouvements. D'un seul coup, les deux membres étaient plongés dans mon corps.
Au Japon, on dit aussi que le sexe se pratique avec l'inconscient. C'est largement possible. Une image se forma dans mon esprit. Je voyais un cochon transpercé par une broche et rôtissant sur un brasier rougeoyant. Effectivement, écartelés par les membres volumineux fichés dans ma bouche et dans mon cul, mes commissures et mon anus me brûlaient. Pourtant, la douleur était supportable grâce au plaisir sensuel et celui visuellement intérieur, de se savoir possédé.
Je leur ai raconté toutes les sensations que j'ai ressenti. Ils m'ont remercié, avec moult courbettes, de leur avoir donné mon corps. Ils ont ajouté que je serais toujours le bienvenu. Et bien sûr, evec ce sourire énigmatique qui est le symbole du Japon.
Je suis retourné quatre fois dans ce village. C'est même eux qui m'offrent le voyage. Ils m'ont surnommé "honorable cul". Il n'est pas un habitant qui l'ait vu, voire même touché.
A chaque voyage on a rempli mes orifices, et à chaque fois, je suis rentré chez moi, plein de sensations merveilleuses. Ca change des pratiques africaines.
La brutalité a son charme aussi mais on en parlera une autre fois.
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