Le Soutiens-gorge rouge
Récit érotique écrit par Lida [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le Soutiens-gorge rouge
Le soutien-gorge rouge
Nous sommes un couple mature, Lida, asiatique, petite, BCBG, très bien conservée et sexy, gros seins un peu pendants ornés de grosses auréoles marron, chatte poilue, anus naturellement sans poil, Moi Michel, français, candauliste convaincu et bi.
Nous venons d’avoir la visite de Bernard un ami de longue date. Il est un peu plus âgé que nous. Lida travaillait avec lui il y a plusieurs années quand il était pépiniériste.
Un jour Lida est rentrée du travail en me disant :
-Tiens, Bernard m’a dit te passer cette enveloppe, je crois que ce sont de magazines.
Intrigué, j’ouvre l’enveloppe et y trouve trois bouquins porno un peu anciens, type années 60, coquins mais gentils… J’avoue que je ne suis pas indifférent à ces belles femmes un peu plantureuses de cette époque, gros culs, chattes poilues, grosses mamelles portant des gaines moulantes et de gros soutien-gorge.
Ce qui m’intrigue, c’est quand même pourquoi il m’a envoyé cela alors que je ne me souviens pas lui avoir parler d’un de mes passe-temps favoris la pornographie…Me poser la question m’excite énormément. Après une nuit de réflexion, Je me dis qu’après tout, je vais jouer son jeu et lui rendre la gentillesse en lui prêtant quelques bouquins de mon extensive collection. Je prépare une petite variété (Hétéro, homo, Bi, bondage) que je vais remettre à Lida pour qu’elle les lui passe. Avant de fermer l’enveloppe, je me décide à glisser discrètement dans l’un des magazines trois photos très intimes de Lida, L’une debout en soutien-gorge rouge chatte poilue à l’aire, la seconde allongée sur le lit jambes grandes ouvertes montrant sa chatte grande ouverte et ses grosses lèvres marron bien mouillées, la troisième en levrette prise de derrière sa main écartant ses fesses pour montrer son anus et sa chatte, son visage bien reconnaissable sur les trois photos.
-Tiens tu donneras cela à Bernard en lui disant que cela lui donnera de bonnes idées.
Je suis quand même inquiet que Lida trouve les trois photos d’elle si elle se décide de fouiller dans l’enveloppe.
J’attends avec impatience et excitation une réaction venant de Bernard. Une semaine passe et toujours rien. Je commence à croire que Bernard n’a pas trouvé les photos ou qu’elles ont glissé du magazine au fond de l’enveloppe. Ou tout simplement, il n’est pas intéressé bien que je le soupçonne d’être très vicieux avec ses petits yeux pétillants.
Lida rentre un soir en me disant :
-Tu sais ce que tu sais ce que Bernard m’a demandé aujourd’hui ?
-Aucune idée
Il m’a demandé :
-Tu portes ton soutien-gorge rouge aujourd’hui ?
-Je lui ai dit que non, et que j’en avais un blanc aujourd’hui. Mais comment sais-tu que j’ai un soutien-gorge rouge?
Il m’a dit en souriant :
-Je sais, Je sais tout….
-Je ne comprends pas, je n’ai jamais mis mon soutien-gorge rouge au travail. Comment le sait-il ?
Bernard avait donc visiblement étudié les photos en détails, et s’il connaissait l’existence du soutien-gorge rouge, il avait également dû se branler en étudiant la chatte, le cul et les nichons de Lida. Cela m’excitait terriblement de savoir qu’un de mes meilleurs amis connaissait ma femme dans son intimité.
Qu’allait-il faire maintenant ? Mon espoir était qu’il essaye d’aller plus loin et de baiser Lida.
J’ai tout d’un coup réalisé qu’il y avait quelque d’anormal dans ma réaction. Alors que je devais être jaloux, je voulais au contraire que ma femme se fasse baiser par un autre homme.
C’est à cet instant que j’ai découvert mon penchant pour le candaulisme.
Quelques jours plus tard, Lida est rentrée en me disant :
-Bernard était complètement gaga aujourd’hui, il me faisait même un peu peur. J’étais seul dans le tunnel où nous faisons germer les graines de palmiers quand il est arrivé. Il faisait sombre et j’étais au fond travaillant sur une table. Il tourner en rond et faisait semblant s’occuper.
Il m’a alors demandé :
-Est-ce que vous êtes échangistes ?
-Qu’est-ce que c’est ?
-Est-ce que vous faites l’amour avec d’autres hommes ou couples.
-Non définitivement pas
-Vous devriez essayer, c’est très enrichissant !
-Il est venu derrière moi et s’est alors plaqué contre moi. Ses mains ont alors saisi mes seins alors qu’il appuyait son bassin contre mes fesses. Je sentais sa queue bandée au travers de son short appuyer entre mes fesses. Je me suis alors énervée et je lui dit de se calmer. Ce qu’il a fait immédiatement. Il n’est pas revenu à la charge sur le coup et m’a laissé tranquille.
Dix ans plus tard Bernard est toujours notre ami et est donc venu nous rendre visite hier. Quand elle a entendu sa voiture arriver Lida a disparu dans la chambre pour se changer. Quand elle en est ressortie, elle était ravissante et portait une superbe mini robe large et assez transparente avec des manches très amples qui laisser deviner toutes ses généreuses formes. Je remarquais notamment sa poitrine bien relevée. Sa manche entrouverte me révéla un soutien-gorge rouge, un La Perla que je venais de lui acheter. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir au travers du tissu de la robe qu’elle ne portait pas de culotte sous sa robe. Je pouvais en effet deviner l’ombre de sa touffe et le clivage de ses fesses.
Bernard lui de ses yeux pétillants ne perdait pas un instant du spectacle et je suis sure qu’il avait lui aussi repéré le soutien-gorge rouge et deviné la touffe de sa chatte. C’était un retour 10 ans en arrière !
J’avais bien du mal à contenir mon excitation et je crois que lui aussi.
Quand il est reparti hier soir, j’ai demandé à Lida :
-Dis-moi, le soutien-gorge rouge, tu l’avais fait exprès ?
-Oui probablement. Tu as aimé ?
-Oui et je crois que Bernard aussi, il ne t’a pas quitté des yeux de tout l’après-midi. Cela a dû lui rappeler des souvenirs…
-Oui, c’est ce que je voulais et je voulais également profiter du moment pour te faire une révélation
-Révélation de quoi ?
-Quand je travaillais chez lui, tu sais le jour où il a essayé de me sauter dans le tunnel, et bien il m’a effectivement sautée, il était absolument déchainé ce jour là et bien plus fort que moi. Il a réussi à me déshabiller, arracher mon soutien-gorge et ma culotte avant de me pénétrer sauvagement la chatte. Il avait une queue pas très épaisse mais très longue qu’il a déchargée en moi. Il ne s’est pas contenté de cela, le lendemain, il a recommencé mais cette fois, il m’a enculée.
Et cela a duré encore pendant les six mois suivants où j’ai travaillé chez lui. J’y avais droit pratiquement tous les après-midi après que les autres employés soient partis. Je travaillais en général dans la grande serre parmi les palmiers avancés. Bernard arrivait et me coinçait contre la table avant de me demander en souriant la couleur de mon soutien-gorge. Il me demandait de le lui montrer. C’était devenu un peu un jeu entre nous. J’ouvrais mon corsage pour lui révéler mes charmes. Il regardait longuement mes seins mais n’y touchait pas. Puis il me retournait et me faisait appuyer mes mains sur le rebord de la table et cambrer ma croupe. Je sentais monter son excitation. Tout allait alors très vite. Il baissait alors mon pantalon et ma culotte qu’il descendait à mes pieds, m’écartait les cuisses, me prenait par les hanches avant de forcer d’un seul coup de rein sa longue queue dans ma chatte. Il commençait alors à me saillir à grands coups de reins butant dans mon utérus. Au bout de plusieurs minutes je sentais son corps se raidir avant qu’il ne décharge plusieurs jets de sperme en moi. Certains jours, il préférait prendre mon anus mais il y mettait un peu plus de douceur au début de sa pénétration, mais dès qu’il sentait que son gland avait passé mes sphincters, rien ne l’arrêtait plus jusqu’à ce qu’il inonde mon fondement de son sperme. Il se retirait alors, je me rhabillais avant de rentrer chez nous.
Je ne voulais pas t’en parler car j’avais peur que tu réagisses mal. Maintenant tu le sais… J’avoue que je commençais à apprécier ces petites sessions surtout quand tu étais absent en déplacements pour plusieurs semaines.
-Rassure-toi, je ne t’en veux pas. Je me doutais qu’il se passait quelque chose et cela m’excitait de le savoir. J’y ai probablement contribué un peu.
-Qu’est-ce que tu veux dire ?
-Non rien…
A suivre (Peut-être ?)
Nous sommes un couple mature, Lida, asiatique, petite, BCBG, très bien conservée et sexy, gros seins un peu pendants ornés de grosses auréoles marron, chatte poilue, anus naturellement sans poil, Moi Michel, français, candauliste convaincu et bi.
Nous venons d’avoir la visite de Bernard un ami de longue date. Il est un peu plus âgé que nous. Lida travaillait avec lui il y a plusieurs années quand il était pépiniériste.
Un jour Lida est rentrée du travail en me disant :
-Tiens, Bernard m’a dit te passer cette enveloppe, je crois que ce sont de magazines.
Intrigué, j’ouvre l’enveloppe et y trouve trois bouquins porno un peu anciens, type années 60, coquins mais gentils… J’avoue que je ne suis pas indifférent à ces belles femmes un peu plantureuses de cette époque, gros culs, chattes poilues, grosses mamelles portant des gaines moulantes et de gros soutien-gorge.
Ce qui m’intrigue, c’est quand même pourquoi il m’a envoyé cela alors que je ne me souviens pas lui avoir parler d’un de mes passe-temps favoris la pornographie…Me poser la question m’excite énormément. Après une nuit de réflexion, Je me dis qu’après tout, je vais jouer son jeu et lui rendre la gentillesse en lui prêtant quelques bouquins de mon extensive collection. Je prépare une petite variété (Hétéro, homo, Bi, bondage) que je vais remettre à Lida pour qu’elle les lui passe. Avant de fermer l’enveloppe, je me décide à glisser discrètement dans l’un des magazines trois photos très intimes de Lida, L’une debout en soutien-gorge rouge chatte poilue à l’aire, la seconde allongée sur le lit jambes grandes ouvertes montrant sa chatte grande ouverte et ses grosses lèvres marron bien mouillées, la troisième en levrette prise de derrière sa main écartant ses fesses pour montrer son anus et sa chatte, son visage bien reconnaissable sur les trois photos.
-Tiens tu donneras cela à Bernard en lui disant que cela lui donnera de bonnes idées.
Je suis quand même inquiet que Lida trouve les trois photos d’elle si elle se décide de fouiller dans l’enveloppe.
J’attends avec impatience et excitation une réaction venant de Bernard. Une semaine passe et toujours rien. Je commence à croire que Bernard n’a pas trouvé les photos ou qu’elles ont glissé du magazine au fond de l’enveloppe. Ou tout simplement, il n’est pas intéressé bien que je le soupçonne d’être très vicieux avec ses petits yeux pétillants.
Lida rentre un soir en me disant :
-Tu sais ce que tu sais ce que Bernard m’a demandé aujourd’hui ?
-Aucune idée
Il m’a demandé :
-Tu portes ton soutien-gorge rouge aujourd’hui ?
-Je lui ai dit que non, et que j’en avais un blanc aujourd’hui. Mais comment sais-tu que j’ai un soutien-gorge rouge?
Il m’a dit en souriant :
-Je sais, Je sais tout….
-Je ne comprends pas, je n’ai jamais mis mon soutien-gorge rouge au travail. Comment le sait-il ?
Bernard avait donc visiblement étudié les photos en détails, et s’il connaissait l’existence du soutien-gorge rouge, il avait également dû se branler en étudiant la chatte, le cul et les nichons de Lida. Cela m’excitait terriblement de savoir qu’un de mes meilleurs amis connaissait ma femme dans son intimité.
Qu’allait-il faire maintenant ? Mon espoir était qu’il essaye d’aller plus loin et de baiser Lida.
J’ai tout d’un coup réalisé qu’il y avait quelque d’anormal dans ma réaction. Alors que je devais être jaloux, je voulais au contraire que ma femme se fasse baiser par un autre homme.
C’est à cet instant que j’ai découvert mon penchant pour le candaulisme.
Quelques jours plus tard, Lida est rentrée en me disant :
-Bernard était complètement gaga aujourd’hui, il me faisait même un peu peur. J’étais seul dans le tunnel où nous faisons germer les graines de palmiers quand il est arrivé. Il faisait sombre et j’étais au fond travaillant sur une table. Il tourner en rond et faisait semblant s’occuper.
Il m’a alors demandé :
-Est-ce que vous êtes échangistes ?
-Qu’est-ce que c’est ?
-Est-ce que vous faites l’amour avec d’autres hommes ou couples.
-Non définitivement pas
-Vous devriez essayer, c’est très enrichissant !
-Il est venu derrière moi et s’est alors plaqué contre moi. Ses mains ont alors saisi mes seins alors qu’il appuyait son bassin contre mes fesses. Je sentais sa queue bandée au travers de son short appuyer entre mes fesses. Je me suis alors énervée et je lui dit de se calmer. Ce qu’il a fait immédiatement. Il n’est pas revenu à la charge sur le coup et m’a laissé tranquille.
Dix ans plus tard Bernard est toujours notre ami et est donc venu nous rendre visite hier. Quand elle a entendu sa voiture arriver Lida a disparu dans la chambre pour se changer. Quand elle en est ressortie, elle était ravissante et portait une superbe mini robe large et assez transparente avec des manches très amples qui laisser deviner toutes ses généreuses formes. Je remarquais notamment sa poitrine bien relevée. Sa manche entrouverte me révéla un soutien-gorge rouge, un La Perla que je venais de lui acheter. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir au travers du tissu de la robe qu’elle ne portait pas de culotte sous sa robe. Je pouvais en effet deviner l’ombre de sa touffe et le clivage de ses fesses.
Bernard lui de ses yeux pétillants ne perdait pas un instant du spectacle et je suis sure qu’il avait lui aussi repéré le soutien-gorge rouge et deviné la touffe de sa chatte. C’était un retour 10 ans en arrière !
J’avais bien du mal à contenir mon excitation et je crois que lui aussi.
Quand il est reparti hier soir, j’ai demandé à Lida :
-Dis-moi, le soutien-gorge rouge, tu l’avais fait exprès ?
-Oui probablement. Tu as aimé ?
-Oui et je crois que Bernard aussi, il ne t’a pas quitté des yeux de tout l’après-midi. Cela a dû lui rappeler des souvenirs…
-Oui, c’est ce que je voulais et je voulais également profiter du moment pour te faire une révélation
-Révélation de quoi ?
-Quand je travaillais chez lui, tu sais le jour où il a essayé de me sauter dans le tunnel, et bien il m’a effectivement sautée, il était absolument déchainé ce jour là et bien plus fort que moi. Il a réussi à me déshabiller, arracher mon soutien-gorge et ma culotte avant de me pénétrer sauvagement la chatte. Il avait une queue pas très épaisse mais très longue qu’il a déchargée en moi. Il ne s’est pas contenté de cela, le lendemain, il a recommencé mais cette fois, il m’a enculée.
Et cela a duré encore pendant les six mois suivants où j’ai travaillé chez lui. J’y avais droit pratiquement tous les après-midi après que les autres employés soient partis. Je travaillais en général dans la grande serre parmi les palmiers avancés. Bernard arrivait et me coinçait contre la table avant de me demander en souriant la couleur de mon soutien-gorge. Il me demandait de le lui montrer. C’était devenu un peu un jeu entre nous. J’ouvrais mon corsage pour lui révéler mes charmes. Il regardait longuement mes seins mais n’y touchait pas. Puis il me retournait et me faisait appuyer mes mains sur le rebord de la table et cambrer ma croupe. Je sentais monter son excitation. Tout allait alors très vite. Il baissait alors mon pantalon et ma culotte qu’il descendait à mes pieds, m’écartait les cuisses, me prenait par les hanches avant de forcer d’un seul coup de rein sa longue queue dans ma chatte. Il commençait alors à me saillir à grands coups de reins butant dans mon utérus. Au bout de plusieurs minutes je sentais son corps se raidir avant qu’il ne décharge plusieurs jets de sperme en moi. Certains jours, il préférait prendre mon anus mais il y mettait un peu plus de douceur au début de sa pénétration, mais dès qu’il sentait que son gland avait passé mes sphincters, rien ne l’arrêtait plus jusqu’à ce qu’il inonde mon fondement de son sperme. Il se retirait alors, je me rhabillais avant de rentrer chez nous.
Je ne voulais pas t’en parler car j’avais peur que tu réagisses mal. Maintenant tu le sais… J’avoue que je commençais à apprécier ces petites sessions surtout quand tu étais absent en déplacements pour plusieurs semaines.
-Rassure-toi, je ne t’en veux pas. Je me doutais qu’il se passait quelque chose et cela m’excitait de le savoir. J’y ai probablement contribué un peu.
-Qu’est-ce que tu veux dire ?
-Non rien…
A suivre (Peut-être ?)
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Donc la femme baise sans capotes tranquille !!!
La suite arrivera quand les poules auront des dents c'est ça !!!
La suite arrivera quand les poules auront des dents c'est ça !!!
Très excitant car je visualise très bien toutes les scènes, bravo à vous deux.
C'est Michel et Lida ici. Il y a eu effectivement une suite reel et nous ne tarderons pas a la publier sur ce site
pourquoi peut-etre?, on y tient à la suite.