Le stagiaire de ma femme

- Par l'auteur HDS Ratus -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Le stagiaire de ma femme Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le stagiaire de ma femme
Les faits que je vais vous raconter se sont dérouler de mi juillet à mi septembre de cette année.
Ma femme est infirmière libérale depuis de nombreuses années. Et à ce titre elle prend en stage plusieurs fois par an des élèves infirmières et parfois des élèves infirmiers, ce qui fut le cas lors du dernier stage.
Pour que vous puissiez bien être au fait des choses, je vous précise que nous sommes en couples depuis une quinzaine d'années, toujours très amoureux et toujours heureux au lit ! Ma femme a 35 ans, mesure 1,69 m pour une corpulence normale et arbore un très beau 95C.
Revenons en aux faits qui nous intéressent... En ce lundi de juillet, ma femme, Lindsay, accueille un stagiaire de 3ème année, il s'appelle Johan et il a 22 ans. Je l'ai aperçu une fois au début de son stage, il doit faire 1,75m, 70kg, chatain clair, l'air assez sportif.
Vous devez savoir aussi que tout ce que je vous raconter ici est la retranscription de ce que m'a avoué ma femme après que j'ai découvert ses petites cachoteries.

Le temps des doutes

Je vais vous expliquer comment j'ai compris qu'il se passait quelque chose et comment elle s'est retrouvée contrainte de me dire la vérité.
Lindsay apprécie la plupart des stagiaires qu'elle reçoit en stage. Elle adore transmettre sa passion du métier et sa bonne humeur. Et oui si vous connaissiez ma femme, vous sauriez qu'elle est un vrai rayon de soleil tant sa joie de vivre est communicative.
Et avec Johan, j'ai compris dès le début qu'elle l'appréciait car quand on discutait de nos journées, elle était toujours pleine de compliments pour "son jeune stagiaire de 3ème année". Sympa, rigolo, dynamique... Bref, ça matchait !
Un week-end alors que je prenais sa voiture pour aller chercher une baguette de pain, je remarque quelques traces blanches sur le siège passager. Je me demande machinalement qu'est-ce qu'elle a pu renverser qui ait pu tâcher son siège. Je rentre à la maison avec ma baguette et ne pense plus vraiment à cela. Mais lorsque j'arrive je l'entends rieuse au téléphone dire "Oui donc on se donne RDV à 6 heures demain matin à ton appart', allez bises à demain !". Je ferme la porte. Elle me regarde et me dit d'un air que je trouve géné (mais peut être est-ce mon imagination)
- "Ah tu es déjà de retour ?"
- "Oui la boulangerie n'est pas si loin", dis-je un peu ironiquement, "tu parlais avec qui ?"
- "Ah non c'était juste Djo enfin... Johan tu sais le stagiaire, je le récupère chez lui demain car sa voiture est en panne".
Je ne sais pas pourquoi mais sa voix me paraissait pas très sûre de ce qu'elle disait.
Elle file à la douche.
Je repense à ces tâches blanchâtres et cette conversation très cordiale dira-t-on et je commence à me faire un film... non je ne peux pas le croire, c'est impossible, il faut que j'arrête avec mon imagination. Ces tâches sont le résultat d'un produit qu'elle aura renversé, une crème ou une pommade bref les produits qu'elles transportent et qui peuvent avoir causé cela ne manquent pas.
Mais quand même, je ne peux pas m'empêcher de repenser à son ton très chaleureux, sans une certaine distance que l'on peut imaginer naturelle avec un stagiaire qui est là depuis quelques semaines.
Je m'empare alors un peu honteux de son téléphone pour jeter un oeil à ses messages, rien de méchant juste un petit coup d'oeil... Et là surprise, elle a changé le schéma de vérouillage de l'écran ! Mais alors si elle a fait ça c'est qu'elle a quelque chose à me cacher ? Je fulmine, si je lui dis cela je lui avoue que j'ai essayé de fouiller dans son téléphone et elle me le pardonnerait difficilement. Elle sort de la douche, je repose le téléphone et j'essaie de faire comme si de rien était. Je dois me calmer et repenser calemement à tout cela. Il est évident que je me fais un film et que mon imagination met ensemble des coïncidences pour en faire une histoire improbable.
Oui je ne vous ai pas dit mais cet épisode s'est déroulé l'avant dernière semaine du stage, c'était début septembre.
Bref, je passe la nuit à cogiter un peu pendant qu'elle dort sur ses deux oreilles... Le lendemain matin je l'entends prendre sa douche et s'habiller puis partir directement. Je n'ai pas l'impression qu'elle ait pris de petit déjeuner. Elle déjeune souvent léger mais c'est rare qu'elle parte le ventre vide. Et puis mince il faut vraiment que j'arrête de voir des choses bizarres partout... Je deviens parano et je dois me resaisir. Je ne suis pas d'un naturel jaloux et je ne comprends pas comment j'en suis arrivé à être omnibuler par cette histoire que je fabrique avec des déductions très tirées par les cheveux.
6h15 je me lève à mon tour, les idées toujours un peu embrumées mais en me disant que je dois arrêter ma parano. Je lui envoie un sms :
"Cc chérie, bien dormie ? Pas eu le temps de dej ce mat ?"
Je prends mon petit déj et je file à la salle de bains. Il est 6h30. Tiens je n'ai pas eu de réponse à mon texto. Non faut vraiment que j'arrête avec mes idées plus tordues les unes que les autres. Elle est en soin et donc elle ne peut pas répondre tout simplement, ni plus ni moins.
Je rentre sous la douche. Tiens elle m'a répondu ;-)
"Dsl pas vu ton texto, non pas très faim ce matin. bisous"
Je suis pas un peu surpris par son texto, d'ailleurs habituellement elle m'aurait plutôt appelé mais bon...
En enfilant mon boxer, mon regard se porte machinalement sur le tiroir de ses sous-vêtements qui est resté entrouvert. Une idée traverse furtivement mon esprit... Je me dis que faire cela c'est continuer dans mon délire paranoïaque mais je ne résiste pas et j'ouvre le tiroir. Mon idée est d'essayer de deviner avec quelle culotte elle est partie travailler. Oui je sais ce que vous pensez. Bref, je jette un oeil au linge sale puis je reviens au tiroir. J'ai beau regarder et réfléchir, pas évident de se rappeler de toutes ses culottes ! Enfin pas évident de se rappeler de toute sauf une... Pour pimenter quelques fois notre couple, Lindsay s'était acheté une culotte "ouverte". Un peu à la manière d'un slip kangourou, mais en beaucoup plus sexy et en dentelles, cette culotte permettait d'accèder à son petit abricot sans qu'il soit besoin de la quitter mais juste en écartant les deux parties qui se chevauchaient. Et alors que je cherchais du regard celle-ci, mon coeur battait de plus en plus fort. C'était un fait, elle ne s'y trouvait pas. Une seule solution, soit elle est rangée ailleurs, soit elle l'a sur elle en ce moment (ou pas sur elle d'ailleurs...).
Je m'attaque aux tiroirs du dressing et je les passe tous en revue mais pas la moindre trace de cette maudite culotte. J'enrage. C'est sûr elle l'a sur elle. Ou alors s'en est-elle débarrassé ? C'est peut-être juste cela. Il est vrai que la routine aidant, il y a bien longtemps qu'elle ne l'a pas mise. Je veux en voir le coeur net. Il faut que je mette un stratagème en place pour le découvrir à son retour du travail.
Je dois me débrouiller pour la voir se déshabiller ce soir quand elle ira à la douche. Et si en temps normal la chose serait aisée, je pense bien que si elle la porte bien comme je le crois elle va faire en sorte que je ne sois pas dans la salle de bains quand elle se déshabillera. Je dois trouver un moyen infaillible d'y parvenir, si je rate cette occasion de la démasquer, je n'en aurai peut être pas d'autre !
Je ne vois pas trente six solutions. Je dois filer au plus vite dans un magasin hifi pour acheter une petite caméra de surveillance autonome. Ainsi je la cacherai dans le meuble de la salle de bains qui fait face à la douche et pourrai contrôler l'image sur mon téléphone en wifi ! J'étais tout sourire et assez fier de mon idée ! Me voilà parti. Je demande des renseignements à un vendeur d'une caméra à batteries mais très discrètes, officiellement pour surveille l'entrée de la maison lorque l'on s'absente pour la soirée. Je trouve mon bonheur. Ni une ni deux, me voilà de retour à la maison.
Je dois installer la caméra à un endroit où elle ne pourra pas la voir et en même temps qui me permettre d'avoir une vue sur la douche. Ce sera donc dans le tiroir de mes sous-vêtements. Quelques essais et j'arrive à visionner sur mon téléphone l'endroit tant souhaité. Reste plus qu'à attende. Les 2 heures à l'attendre me semble une éternité. Je suis à la fois excité par mon plan de génie et inquiet de pouvoir découvrir un indice de plus qui viendrait conforter mes soupçons.
20h30, voici enfin Lindsay qui arrive... On va être fixé !
Je l'accueille en essayant d'être le plus naturel possible.
"Ca va ma chérie, pas trop dure la journée ?"
"Oh si on avait beaucoup de patients à voir aujourd'hui, la journée a été longue"
"Et encore heureusement que tu avais ton Johan pour t'aider !"
"Oui Djo enfin Johan est super", "bon allez je file direct à la douche".
Mon cœur va exploser, je vais enfin savoir. Je me rue sur mon smartphone. Superbe technologie ! je la vois rentrer dans la salle de bains, elle se tient debout. Elle est face à la caméra mais je ne la vois que des hanches aux genoux car elle est trop près. Elle doit être en train de se démaquiller. Ca y est, elle se retourne et s'éloigne vers la cabine de douche. Elle est dos à la caméra et je peux la voir presque entièrement. Elle s'apprête à retirer sa robe... qui laisse apparaître la fameuse culotte ! Mes doutes étaient fondés. Je ne sais pas comment je dois réagir. Je reste là à regarder. Elle laisse glisser sa culotte le long de ses jambes puis dégraphe son soutien gorge et le jette par terre. Elle se dirige maintenant totalement nue vers la cabine de douche et y entre puis referme. Je passe les 10 minutes qui suivent à regarder la vidéo mais l'eau sur les parois ne laisse qu'une image floue. Je suis tétanisé. Je n'avais pas réfléchi à ce qui allait se passer si je découvrais le pot aux roses... La cabine s'ouvre, elle sort. Je la trouve toujours aussi belle et sexy... Tiens je m'aperçois qu'elle a taillé son petit "ticket de métro" bien plus fin qu'à son habitude. Enfin, je crois que maintenant je n'ai plus besoin d'indice, les choses me paraissent claires. Je dois trouver comment lui faire tout avouer, et je dois le faire maintenant.



Le temps des aveux

Je vais à la salle de bains. Je sors de la panière de linge salle, la culotte qui constitue ma principale pièce à conviction dans mon enquête.
Je vais vers elle.
"Tu peux m'expliquer ça ?" (je tends la culotte devant son visage)
Elle est très gênée mais fait mine de ne pas se démonter.
"Quoi ça ?"
"Pourquoi tu avais cette culotte aujourd'hui ? Pourquoi ?"
"Je n'avais pas cette culotte, je l'avais simplement mis au lavage pour la mettre ce week-end et te faire une surprise..." Je l'interromps.
"Ne mens pas, je t'ai vu la quittée. J'ai installé une caméra dans le meuble de la salle de bains et j'ai tout vu..." Elle m'interrompt.
"Quoi ? Tu m'espionnes ? Tu n'as pas honte ?" Elle prend un air furieuse qui me déstabilise un instant.
"N'inverse pas les rôles, je sais que tu as un amant et je crois que c'est Johan".
"Mais n'importe quoi arrête d'inventer des choses pareilles. C'est un petit jeune en stage. Ne me fais une crise de jalousie, tu es ridicule."
"Ah oui et tu crois que je n'ai pas remarqué les traces blanches sur le siège passager de ta voiture ? Et tu peux me dire pourquoi tu as changé le schéma de déverouillage de ton téléphone ?"
"Ah parce qu'en plus tu fouilles mon téléphone ?" me dit d'un air outré pour tenter de reprendre la situation en main.
"Oui enfin j'essaie... puisque désormais je ne connais pas ton nouveau code de déverouillage !".
Je continue, je dois la faire avouer, je vois qu'elle est rouge et remuée par la situation.
"Alors et tu peux m'expliquer le fait que tu te sois épilée le maillot autant ? Ce n'est pas ton habitude ? Je peux tout entendre mais je t'en supplie ne mens pas !"
Un long silence, puis je la vois prendre un grand soupir. Elle relève les yeux et me dit en fixant mon regard :
"Tu as raison, il y a bien quelque chose mais ce n'est pas ce que tu crois. Enfin pas exactement".
J'ai les jambes en coton. Je crois que c'est autant la tension qui retombe que la crainte de ce que je vais entendre.
"Disons que j'ai une aventure mais que techniquement je ne te trompe pas vraiment." Je suis interloqué mais aucun mot ne peut sortir de ma bouche. Elle continue.
"Je crois qu'en fait il faut que je te dise toute la vérité. Je t'aime trop pour te tromper et pour cela je te dois la vérité. Et j'en assumerais bien sûr les conséquences. Je respeterai tes choix quoiqu'il m'en coûte. Car tu le sais et je le redis, je t'aime et tu es et tu resteras l'homme de ma vie." J'écoute sans un mot et je comprends qu'elle est sincère, peut être plus sincère qu'elle ne l'a jamais été.
"Alors comme je t'aime je vais te raconter tout ce qui s'est passé."
Je lui coupe la parole.
"Je te demande cette fois d'être honnête avec mois et de me dire TOUT ce qui s'est passé. Si tu veux garder l'espoir que je puisse avoir encore confiance en toi, il faudra que tu me dis absolument tout. Est-ce que c'est clair ?
"Je te le promets mon amour".
Lindsay commence alors son récit en ayant pris soin de me demander de ne l'interrompre sous aucun prétexte.
"Johan a commencé son stage le lundi 13 juillet comme tu le sais. Il est en 3ème année et il a tout de suite été à l'aise et a pris des initiatives à bon essient.
Nous nous sommes tout de suite bien entendu et une complicité naturelle est née entre nous. Nous aimons rire et avons une façon de voir le métier très semblable. Nos soins chez les patients se déroulent dans la bonne humeur pour leur plus grand bonheur. Et pendant 4 semaines, tout s'est déroulé dans cette ambiance bon enfant.
Et puis un matin, il y a 2 semaines, alors que nous roulions vers le domicile d'un patient un peu excentré, j'ai remarqué du coin de l'oeil que Djo... Johan regarder avec insitance mes cuisses et détouner rapidement le regard dès lors que je tournai la tête vers lui. Au début, je n'y ai pas prêté plus attention que cela. Cette journée d'été s'annonçant comme très chause, j'avais revêtue ma petite robe légère dans laquelle je suis très à l'aise. Elle est assez ample et je m'aperçus que Johan l'avait remarqué. Dès qu'il pensait que je ne le voyais pas, son regard se portait tantôt sur mes cuisses et tantôt sur mon décoletté. Après quelques minutes j'avais bien cerné son petit manège et je cherchais une petite phrase pour le remettre gentillement en place.
Et alors que j'allais lui parler et lui faire comprendre qu'il fallait qu'il calme ses ardeurs, mon regard s'est porté macchinalement vers son entrejambe et j'ai cru y déceler une bosse. Pas une bosse "normale", non une bosse qui trahissait un membre gonflé à bloc. Cela me coupa dans mon élan et aucun son ne sortit de ma bouche.
Au contraire je fus surprise et terriblement génée de ressentir que cela commençait à me chatouiller outrageusement au niveau de mon entrejambe cette fois-ci.
Ma confusion fut momentanément stoppée. Nous étions chez le patient. Nous montons réaliser son soin. Puis son reprenons la voiture. Cela me chatouillait toujours terriblement et maintenant j'étais comme une sotte à chercher furivement du regard toute trace sur son pantalon qui laisserait deviner un sexe en pleine érection. J'avais un peu honte, un peu peur de me faire prendre au petit jeu que j'avais failli lui reprocher quelques minutes auparavant. J'avais un peu honte et un peu peur mais surtout je controlais de moins en moins mon excitation. Je sentais maintenant bien que ma culotte était complètement détrempée. Et tu n'y es pour rien mais la veille au soir tu t'étais endormi très tôt et j'avais très envie de faire l'amour. Je crois que cette envie frustrée est remontée ce matin là. Je tentais pas tous les moyens de reprendre mes esprits. C'est alors que j'ai vu que son petit jeu recommençait. Il mattait clairement mes cuisses et mes seins dès qu'il le pouvait.
J'étais tellement excitée que d'un seul coup je me suis adressée à lui et je lui ai dit : Qu'est-ce que tu regardes comme ça ? Très géné il m'a répondu rien Lindsay, rien je regarde la route. C'est perdu ici mais les paysages sont magnifiques. Sa voix un peu tremblante trahissait sa gêne. De mon côté au contraire mon excitation me transcendait. "Dis moi plutôt que tu mattes mes cuisses ! Elles te plaisent n'est-ce pas ? " Il ne répondait pas. "Tu n'a pas besoin de répondre, ta "bosse" parle pour toi !". J'étais comme dans un état second, complètement déshinnibée. Et tout en attrapant sa main pour la poser sur ma cuisse et l'encourageant à explorer sous ma robe, je lui dis "Tu es très excité et moi aussi, alors vas y fais toi plaisir explore ma jolie vallée humide avec ta main. Elle n'attend que ça."
Je me suis garée dans un chemin de terre et j'ai fermé les yeux. Il a commencé à me carresser avec une habileté ennivrante, je me tortillais de bonheur. Mon stagiaire avait des doigts experts que je n'aurais jamais soupçonnais. Je me cambrais comme rarement je l'avais été. Avec son autre main, il attrapa mes seins un par un et les fit sortir de mon décelotté pour les offrir à sa vue avant de commencer à y frotter son visage puis à lécher mes tétons durcis par l'excitation qu'il faisait monter en moi. J'étais entièrement à lui. Il commença à déboutonner son pantalon et laissa dresser fièrement son sexe dont la raideur faisait apparaître des veines gorgées de sang. Sans être disproportionné sa verge maintenant libérée laissait apprécier des proportions très avantageuses.
Alors qu'il me carressait, il commença à m'attraper par les hanches pour me diriger vers lui et qu'il puisse empaler mon petit abricot détrempée sur son chibre au summum de l'excitation.
Je le repoussai. Je suis désolé Johan. Je suis mariée. Je ne veux pas faire cela. Vexé, il retira sa main de ma culotte et avec un certain énervement commença à se reboutonner.
Je culpabilisais. Je le laissai là dans sa frustration alors que lui m'avait menée à la jouissance avec une telle adresse... J'ai repoussé alors sa main et j'ai attrapé son sexe à pleine main. Il m'a regardé un peut interloqué. Alors je lui ai dit : "Je suis mariée et je suis désolée mais tu ne me pénètreras pas avec ton sexe. Je réserve cela à mon mari. Par contre, je peux essayer de te rendre un peu du plaisir que tu m'as donné..." C'est alors que je me suis penchée vers son sexe et que je 'ai commencé à le sucer.
Lindsay me regarda. "Voilà tu sais à peu près tout".
J'étais un peu KO et je mis quelques secondes à réagir. "Je ne veux pas savoir à peu près tout. Je veux TOUT savoir ! C'est une condition non négociable pour que je puisse décider de l'avenir de notre couple !"
"Très bien, si c'est ton souhait, je vais tout te dire mais je ne peux pas te garantir que ça ne te fasse pas plus de mal."
"Ne me cache plus rien, tu m'entends ? Plus rien."
"J'ai donc commencé à le sucer et à lécher son chibre dont la raideur m'impressionnait tant il avait l'air vigoureux. Il commençait à appuyer sur ma tête pour que je rentre plus de longueur mais c'était pas facile car comme je te l'ai dit, il était plutôt très gâté par la nature. Je fasais le maximum pour engloutir toute sa queue et il accompagnait les va et vient en pressant ma tête sur son sexe. Je m'appliquais le plus possible pour lui procurer un maximum de plaisir car il m'en avait tellement donné quelques minutes auparavant. Je m'activais du mieux que je pouvais en alternant un peu, quelques allers retours puis je le branlais un peu puis je lèchais goulument son gland bien rouge d'excitation. Il faut croire que je faisais de cela de belle manière car au moment où je ne m'y attendais pas, il explosa de plaisir et sa jouissance vint remplir mon palais. J'ai eu un réflexe de recul et un peu de sperme à dégouliné le long de son sexe. Je suis vite descendu le long de son sexe encore bien dur pour lécher sa semance avant qu'elle vienne salir mon siège... Tu l'auras compris un peu de semance a réussi à se faufiler laissant les traces que tu as découvertes. J'ai terminé en aspirant au maximum et jusqu'à la dernière goutte de sperme qui sortait de ce membre si majestueux qui dégonflait maintenant, je me relevais avec le sentiment que nous étions quittes...
Chacun de nous réajustions nos habits pour reprendre la route et je lui ai alors dit : "Tu sais Johan, tu ne me pénètreras jamais avec ton sexe mais je n'avale jamais quand je fais une fellation à mon mari". Je ne sais pas pourquoi je lui ai dit ça. Peut être pour lui dire que ça compensait un peu ! Bref nous avons fini la tournée comme si de rien était. Joyeusement."
"OK mais il y en a eu d'autres car aujourd'hui par exemple tu avais mis cette culotte destinées à des jeux sexuels ?"
"Oui depuis, et je suis désolée de te le dire, mais nous avons recommencé tous les jours, parfois plusieurs fois dans la journée. Je ne sais pas comment te l'expliquer. Cette envie est plus forte et je n'ai pas la volonté d'y résister. Mais comme je te l'ai dit il ne m'a jamais prise et en contrepartie je l'ai toujours soulagé jusqu'au bout avec d'autres parties."
"comment ça ? Je t'ai demandé de tout me dire !"
"Oui je vais le faire. Plusieurs fois nous sommes allés à son appartement et une fois au cabinet aussi. Il m'a fait des cunnilingus d'une incroyable habileté, sa langue, son nez jouait avec moi comme une marionnette, j'étais en transe, j'étais sa chose. C'est pour lui que j'ai épilée aussi court mon maillot en ne laissant qu'un minuscule ticket de métro. Il me l'a demandé et je ne pouvais pas lui refuser tu comprends ? Quand il me prend en main je suis totalement possédée par lui. Et je dois te dire que j'ai fait avec lui des choses que je ne ferai jamais avec toi. Alors même qu'il ne me le demandait pas mais j'étais dans un état que je ne me connaissais pas."
"Et ce matin quand je t'ai envoyé un message tu étais en train de... enfin tu vois quoi ?"
"Oui j'étais chez lui. IL m'avait demandé de mettre des sous vêtements sexy, donc j'ai mis la culotte la plus torride que j'avais. Je n'ai pas été déçue, il a dégusté mon petit abricot comme personne avant et m'a fait jouir plusieurs fois avec sa langue et ses doigts. J'ai chevauché son visage, sa bouche et je me suis déhanchée pour arrivait une troisème fois à l'orgasme en une demi heure ! Alors j'ai bien vu ton message mais je devais d'abord lui rendre un peu du plaisir qu'il m'avait procuré. je me suis agenouillée devant lui et j'ai commencé par branler son superbe membre entre mes seins puis en le suçant de temps en temps et quand j'ai senti que son excitation montait j'ai fini en bralant son sexe frénétiquement bouche grande ouverte devant lui pour recevoir sa jouissance telle un bouquet final de feux d'artifice, le laissaint arroser ma langue, mon visage, mes seins de sa jouissance... ".
Lindsay me regarda à nouveau. J'ai profité du moment pour reprendre la parole.
"Bon eh bien je vais essayer maintenant d'accepter le fait que cette histoire appartient au passé. Et si tu m'aimes toujours comme tu me l'as dit nous pourrons peut être passer à autre chose."
Lindsay me regarda et ajouta :
"Je ne vais pas te mentir, il reste une semaine de stage à Johan puis il repartira dans le nord où il veut retourner car il y a sa famille. Il faut que tu saches que nous avons convenu tous les deux que tout cela serait totalement terminé après le stage et que nous n'aurions plus jamais de contact. Mais dans les quelques jours qui restent, je vais continuer à m'offrir à Johan selon les règles que nous avons établies entre nous. Ensuite, si tu le veux, nous reprendrons notre vie comme avant et comme si rien de tout cela n'avait existé."
Lindsay a alors quitté la pièce après avoir pris soin de me montrer le schéma de déverrouillage de son téléphone et me l'avoir tendu.

Tous leurs messages corroborer son histoire. Lindsay lui disant qu'elle refuserait toujours de laisser son pénis la pénétrer et lui "likant" la photo de sa petite chatte fraichement épilée, envoyée pour le "mettre en appétit" selon les mots de Lindsay. Lui lui promettant un bonheur intense avec ses doigts habiles le lendemain et elle lui promettant de le remercier en se délectant de sa semance jusqu'à la dernière goutte... C'en était assez. Lindsay avait tout raconté et la lecture des messages ne disait pas le contraire. Maintenant la balle était dans mon camp... Accepter ou partir ?

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Cette femme est une salope dire à son mari qu elle n à jamais autant jouie qu avec son amant avaler son sperme alors qu elle ne veux pas le faire à son mari recommencer tous les jours et en
Plus dire qu elle va continuer a baiser avec son stagiaire toute une semaine c est vraiment prendre son mari pour un con mais comme il est déjà cocu ce sera la totale.elle n à aucun respect ni amour véritable pour son mari.Il ne reste qu une seul solution c est le divorce sans retour possible.Maintenant qu elle a goûtée au savoir faire de son amant faire l amour avec son mari lui paraîtra bien fade et lui sera toujours à penser qu elle peut le cocufer à n importe quel moment et quand ils feront l amouril ne pourra pas s empêcher de penser qu elle pense à son amant pendant leurs états. C est foutu .

Histoire Erotique
Cruel dilemme que voilà!
Mais je trouve quand même que la femme prend l'histoire un peu trop à la légère.
Lui aurait elle dit s'il n'avait pas découvert l'adultère?
N'ira-t-elle pas plus loin que la limite fixée?
Ne recommencera-t-elle pas?
Personnellement j'aurai dû mal partirai pendant la semaine.
Soit elle ne recommence pas avec lui et j'essaierai de reconstruire ce qui est possible.
Soit elle continue et je la quitterai.
Je ne sais pas si nous connaîtrons la suite de l'histoire mais je n'aimerai pas être à la
place du mari.



Texte coquin : Le stagiaire de ma femme
Histoire sexe : Une rose rouge
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