Le string de trop
Récit érotique écrit par J-M [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le string de trop
Suite de l’autre fois, toujours une histoire vraie (je n’ai juste pas eu trop le temps de raconter mais il m’est arrivé une troisième histoire qui m’a remémoré celle-ci), j’espère que ça vous plaira…
On avait donc passé une soirée (et une matinée du coup) assez torride et dans le kit de lingerie que je lui ai acheté il y’avait un string ouvert que j’avais délibérément oublié de lui fournir pour la soirée précédente.
A ce niveau-là on ne peut même pas vraiment parler de lingerie ; vraiment trois bouts de ficelles juste divisés en deux à l’endroit stratégique. Quand je lui ai montré le lendemain de notre soirée elle m’a même fait la réflexion que j’avais bien fait de ne pas le mettre dans la boite parce que : « tant qu’à faire alors autant de rien mettre ! »
Malgré tout je le « rangeais » dans son tiroir juste à côté de son vibro et du plug anal, histoire de lui faire un rappel régulier et dans l’idée qu’elle se décide sans que je réclame (j’aime bien quand elle prend des initiatives dans ce genre-là).
Ma récompense vint quelques temps plus tard quand, sur la route pour retrouver des amis en soirée, elle m’explique qu’elle a enfilé le string et que c’est le seul sous-vêtement qu’elle porte sous sa robe. Immédiatement un sursaut d’excitation supplémentaire me surprend; le premier étant survenu quand je l’ai vu arriver dans cette fameuse robe : une petite robe noire assez moulante qui lui arrive à mi-cuisses, avec un joli décolleté (je savais déjà qu’elle n’a pas de soutien-gorge vu que la robe ne s’y prête pas mais elle lui fait de jolis seins), sexy sans être vulgaire…
Je m’arrête donc sur le parking du bar et je l’embrasse assez chaudement mais elle me calme en me promettant que si je reste patient pendant la soirée, je serai largement récompensé en rentrant à la maison…
On rentre dans le bar, on retrouve sa meilleure amie et quelques potes, on salue le barman, on boit quelques verres en papotant avec les autres ; bref soirée somme toute classique… Sauf qu’on n’arrête pas de se chercher du regard, je n’arrive pas à oublier ni ce qu’elle a sous sa robe, ni ce qu’elle m’a promis. Elle passe son temps à me frôler « sans le faire exprès »,… Une vraie torture.
Elle commence même à danser assez langoureusement avec sa meilleure amie. Il ne s’est jamais rien passé mais quand elles ont bu un coup elles ont tendance à être assez tactiles l’une envers l’autre. Peut-être un jour ça ira plus loin et je reste ouvert à l’idée mais je ne pousse pas dans cette direction, je pense qu’il faut que ça reste « spontané ». Elle me regarde en dansant et en se collant à son amie et elle me chauffe avec ses déhanchés et ses regards incendiaires.
C’est à ce moment-là que j’ai décidé de riposter : pendant notre soirée précédente j’avais pris quelques photos d’elle dans des postures assez compromettantes, photos qu’elle avait regardées quelques jours plus tard en se caressant doucement, juste assez pour faire monter la pression. Je décide de lui envoyer les photos sur son téléphone et de voir sa réaction. Autant vous dire que je n’ai pas été déçu de ma vengeance…
Elle voit que je lui ai envoyé un message et me souris (elle sait très bien que dans mon état mental actuel, si je lui envoie un message au lieu de lui parler directement c’est que c’est coquin) ; sourire vite effacé quand elle voit les photos que je lui ai envoyé (à mon tour de sourire), elle devient rouge et se fige en faisant défiler les photos. Comble de jubilation diabolique, sa meilleure amie, sentant un changement dans son attitude, regarde par-dessus son épaule pour voir ce qui a bien pu la bloquer comme ça. Ce n’est qu’au bout de trois ou quatre défilements de photos qu’elle se rend compte que son amie regarde ces fameuses photos et cache son téléphone de manière assez maladroite. Je ne l’ai jamais vue aussi rouge de toute ma vie et son amie a ce petit sourire complice et goguenard qui me fait savourer ma vengeance encore plus.
Le retour de bâton pour moi est cependant beaucoup moins amusant…
Elle reprend un peu ses esprits, dit quelque chose à son amie que je n’entends pas avec la musique et s’approche de moi en dansant. Elle vient se coller à moi :
« Enfoiré, je ne m’attendais pas à ça ! En plus Marie les a vues, c’est la honte, je ne lui avais pas raconté ce détail de notre soirée »
« Désolé mais tu me chauffes depuis tout à l’heure, il fallait bien que je riposte »
« Ouais ben maintenant que tu m’as excitée encore plus tu vas te faire pardonner. Avant d’enfiler le string, je me suis mis le plug anal dont je pensais te faire la surprise en rentrant ; je vais me coller à toi et tu vas jouer un peu avec à travers ma robe histoire de bien m’ouvrir le cul pour quand on sera rentrés ! »
Elle colle donc son petit cul contre moi et fait mine de danser doucement en sirotant son verre, ce qui a l’avantage de cacher le fait que je bande fort. Le seul signe extérieur de ce qui se passe ce sont ses tétons qui essaient de transpercer sa robe. Je glisse une main ferme sur ses fesses et je cherche le plug anal en essayant de rester le plus discret possible. Je trouve le contour en métal et je commence de petits vas et viens d’abord doucement, je lui fais faire des ronds pour bien lui faire de l’effet et je l’enlève presque en entier pour le rentrer et appuyer dessus pour qu’il rentre plus profond. Au feeling des mouvements amples que je peux faire avec le plug, je prends la mesure de son excitation. Elle se dandine de plus en plus et son amie vient la voir en croyant qu’elle veut recommencer à danser. Devant son refus de bouger, son amie comprend ce qu’il se passe et souris en demandant si elle peut s’installer avec nous pour boire un verre. Contrairement à mon amie qui ne tient plus en place et qui veut refuser gentiment, je lui propose donc de se joindre à nous et je lui commande à boire. Les deux filles papotent et rigolent faisant toutes deux semblant d’ignorer que je continue à jouer de plus en plus fort avec le plug. Ce petit jeu et la situation font leur effet et mon amie se retourne brutalement, et, sous prétexte de me faire un câlin, cache son visage dans mon cou et jouis sans bouger et quasiment sans bruits, seuls quelques gémissements arrivent à mes oreilles. Je regarde Marie qui détourne les yeux, faisant semblant de ne pas comprendre ce qu’il vient de se passer mais qui a ce petit sourire qui prouve qu’elle sait mais aussi avec une lueur de tristesse et d’envie. Elle est célibataire depuis longtemps et je me promets de lui présenter un bon pote avec qui ça devrait coller.
Après cet orgasme discret je sens mon amie groggy d’avoir joui et en même temps je sens bien qu’elle en veut plus. Sous prétexte qu’elle ne se sent pas bien je lui propose, avec un petit sourire, de rentrer. Marie a bien compris notre manège et les autres sont dans l’ambiance fête, personne ne fera la différence si l’on s’en va…
Manteaux, payer, dire au revoir, on expédie la soirée et on se retrouve dans la voiture. À peine dans l’auto je l’attrape par la nuque et je l’embrasse à pleine bouche pendant un long moment. Les vitres sont recouvertes de buée et on rigole :
« On jouera à Titanic une autre fois, je préfère rentrer et que tu t’occupes de moi pour de vrai »
Comme toujours dans ces cas-là, je ne discute pas (je suis plutôt du genre dominant mais ce genre de requêtes ne se refuse pas).
On a quelques kilomètres à faire et je n’ai quasiment rien bu pour rester en forme mais elle est bien partie et il ne faut pas longtemps avant qu’elle ne mette un pied sur le siège de la voiture et relève sa robe pour se caresser doucement. Elle a des bas auto-fixant et la ficelle du string fait juste une barre noire sur le plug anal. Elle passe doucement ses doigts dans l’ouverture du string. J’ en profite pour l’attraper fermement par la nuque ou les cheveux et pour masser ses seins à travers la robe, l’autre main sur le volant et le regard sur la route.
« Quand on rentre je veux que tu me penches sur la table et que tu relèves juste assez ma robe pour me prendre » « Je veux que tu me suces les seins » « Je veux que tu m’enlèves le plug et que tu me bouffe la chatte et le cul jusqu’à ce que je jouisse encore ».
Elle profite de la route pour se caresser et dire toutes les choses qui lui passent par la tête. Tout en sachant très bien qu’une fois arrivés ce sera quand même moi qui déciderait et qu’elle préfère que ça se passe comme ça.
Enfin on est à la maison ! J’ai les mains qui tremblent en essayant d’ouvrir la porte et elle se frotte à moi comme une chatte en chaleur ce qui ne m’aide pas. La porte est ouverte et je peux enfin me déchainer. D’une main je l’attrape par les cheveux pour la mettre à genoux pendant que de l’autre j’ouvre et baisse pantalon et caleçon. Elle sait ce qu’elle doit faire et elle apprécie ce manque de douceur… Je ne la laisse pas me sucer trop longtemps parce que je veux plus. Une main sur la nuque je la guide jusqu’au tapis du salon où je la fait mettre à quatre pattes. Elle relève sa robe et je ne peux m’empêcher de lui mettre quelques fessées qu’elle attendait sûrement avec impatience au vu de sa réaction. J’ essaye une nouveauté et mets quelques fessées, d’abord pas trop fortes, directement sur le plug. Elle met ses mains sur ses fesses et les écartent en me demandant d’y aller plus fort ; bonne idée que j’ai eu là et je la garde en mémoire pour d’autres occasions.
Je profite de sa position obscène et qu’elle maintienne toujours ses fesses écartées pour l’attraper par les hanches et enfin la pénétrer en profondeur. Je l’attrape rapidement par les cheveux pour lui tirer la tête en arrière et la baiser assez fort. J’ ai l’impression qu’elle lâche tous les cris et les gémissements qu’elle a retenus au café.
« Putain défonce moi, je suis ta salope, une grosse cochonne qui ne mérite que d’être baisée violement sur le sol comme la dernière des putes. Claque-moi le cul ! Plus fort bordel ! »
J’arrache ce string qui finalement nous ennuie plus qu’autre chose, de toutes façons il n’était pas vraiment beau, c’était plutôt l’ensemble avec lequel il était assorti qui me plaisait.
Je donne tout ce que j’ai pour ne pas baisser le rythme et je suis au bord de la crise cardiaque tellement je m’active. Je ne sais plus où donner de la tête entre lui agripper les cheveux, la gorge, les seins, lui mettre des fessées, jouer avec le plug. Elle a une main sur le clitoris et l’autre qui pétrit durement un sein et je me force à continuer sur le même rythme jusqu’à ce qu’elle jouisse et que je puisse enfin me lâcher.
Raté je viens avant elle mais elle me supplie :
« Encore quelques coups, s’il te plait, le fait de te vider au fonds de ma chatte va me faire partir »
La queue très sensible après cette soirée très chaude, j’essaye un maximum de faire ce qu’elle me demande et je l’encourage à se laisser aller
« Jouis pour moi ma cochonne, tu m’as bien vidé, tu mérites de jouir. Jouis pour moi je t’ai dit ! Tout de suite ! »
Le ton autoritaire, une dernière fessée, les quelques coups de reins malgré tout affaiblis et ses mains toujours actives lui font atteindre cet orgasme dévastateur…
Elle est allongée sur le tapis du salon, complétement KO, le maquillage et les cheveux ravagés, sa tenue qui n’a plus de sens, les bouts de ficelles du string sur le sol. Je vais chercher une crème intime et je lui enlève doucement le plug, ce qui lui arrache un faible gémissement. J’applique en douceur la crème sur son petit trou et sa chatte (tous deux très dilatés). La fraicheur de la crème et la délicatesse des mouvements la font ronronner. Je m’applique à faire retomber la pression…
On s’embrasse tendrement avant d’aller se coucher et on s’aime tellement !
On avait donc passé une soirée (et une matinée du coup) assez torride et dans le kit de lingerie que je lui ai acheté il y’avait un string ouvert que j’avais délibérément oublié de lui fournir pour la soirée précédente.
A ce niveau-là on ne peut même pas vraiment parler de lingerie ; vraiment trois bouts de ficelles juste divisés en deux à l’endroit stratégique. Quand je lui ai montré le lendemain de notre soirée elle m’a même fait la réflexion que j’avais bien fait de ne pas le mettre dans la boite parce que : « tant qu’à faire alors autant de rien mettre ! »
Malgré tout je le « rangeais » dans son tiroir juste à côté de son vibro et du plug anal, histoire de lui faire un rappel régulier et dans l’idée qu’elle se décide sans que je réclame (j’aime bien quand elle prend des initiatives dans ce genre-là).
Ma récompense vint quelques temps plus tard quand, sur la route pour retrouver des amis en soirée, elle m’explique qu’elle a enfilé le string et que c’est le seul sous-vêtement qu’elle porte sous sa robe. Immédiatement un sursaut d’excitation supplémentaire me surprend; le premier étant survenu quand je l’ai vu arriver dans cette fameuse robe : une petite robe noire assez moulante qui lui arrive à mi-cuisses, avec un joli décolleté (je savais déjà qu’elle n’a pas de soutien-gorge vu que la robe ne s’y prête pas mais elle lui fait de jolis seins), sexy sans être vulgaire…
Je m’arrête donc sur le parking du bar et je l’embrasse assez chaudement mais elle me calme en me promettant que si je reste patient pendant la soirée, je serai largement récompensé en rentrant à la maison…
On rentre dans le bar, on retrouve sa meilleure amie et quelques potes, on salue le barman, on boit quelques verres en papotant avec les autres ; bref soirée somme toute classique… Sauf qu’on n’arrête pas de se chercher du regard, je n’arrive pas à oublier ni ce qu’elle a sous sa robe, ni ce qu’elle m’a promis. Elle passe son temps à me frôler « sans le faire exprès »,… Une vraie torture.
Elle commence même à danser assez langoureusement avec sa meilleure amie. Il ne s’est jamais rien passé mais quand elles ont bu un coup elles ont tendance à être assez tactiles l’une envers l’autre. Peut-être un jour ça ira plus loin et je reste ouvert à l’idée mais je ne pousse pas dans cette direction, je pense qu’il faut que ça reste « spontané ». Elle me regarde en dansant et en se collant à son amie et elle me chauffe avec ses déhanchés et ses regards incendiaires.
C’est à ce moment-là que j’ai décidé de riposter : pendant notre soirée précédente j’avais pris quelques photos d’elle dans des postures assez compromettantes, photos qu’elle avait regardées quelques jours plus tard en se caressant doucement, juste assez pour faire monter la pression. Je décide de lui envoyer les photos sur son téléphone et de voir sa réaction. Autant vous dire que je n’ai pas été déçu de ma vengeance…
Elle voit que je lui ai envoyé un message et me souris (elle sait très bien que dans mon état mental actuel, si je lui envoie un message au lieu de lui parler directement c’est que c’est coquin) ; sourire vite effacé quand elle voit les photos que je lui ai envoyé (à mon tour de sourire), elle devient rouge et se fige en faisant défiler les photos. Comble de jubilation diabolique, sa meilleure amie, sentant un changement dans son attitude, regarde par-dessus son épaule pour voir ce qui a bien pu la bloquer comme ça. Ce n’est qu’au bout de trois ou quatre défilements de photos qu’elle se rend compte que son amie regarde ces fameuses photos et cache son téléphone de manière assez maladroite. Je ne l’ai jamais vue aussi rouge de toute ma vie et son amie a ce petit sourire complice et goguenard qui me fait savourer ma vengeance encore plus.
Le retour de bâton pour moi est cependant beaucoup moins amusant…
Elle reprend un peu ses esprits, dit quelque chose à son amie que je n’entends pas avec la musique et s’approche de moi en dansant. Elle vient se coller à moi :
« Enfoiré, je ne m’attendais pas à ça ! En plus Marie les a vues, c’est la honte, je ne lui avais pas raconté ce détail de notre soirée »
« Désolé mais tu me chauffes depuis tout à l’heure, il fallait bien que je riposte »
« Ouais ben maintenant que tu m’as excitée encore plus tu vas te faire pardonner. Avant d’enfiler le string, je me suis mis le plug anal dont je pensais te faire la surprise en rentrant ; je vais me coller à toi et tu vas jouer un peu avec à travers ma robe histoire de bien m’ouvrir le cul pour quand on sera rentrés ! »
Elle colle donc son petit cul contre moi et fait mine de danser doucement en sirotant son verre, ce qui a l’avantage de cacher le fait que je bande fort. Le seul signe extérieur de ce qui se passe ce sont ses tétons qui essaient de transpercer sa robe. Je glisse une main ferme sur ses fesses et je cherche le plug anal en essayant de rester le plus discret possible. Je trouve le contour en métal et je commence de petits vas et viens d’abord doucement, je lui fais faire des ronds pour bien lui faire de l’effet et je l’enlève presque en entier pour le rentrer et appuyer dessus pour qu’il rentre plus profond. Au feeling des mouvements amples que je peux faire avec le plug, je prends la mesure de son excitation. Elle se dandine de plus en plus et son amie vient la voir en croyant qu’elle veut recommencer à danser. Devant son refus de bouger, son amie comprend ce qu’il se passe et souris en demandant si elle peut s’installer avec nous pour boire un verre. Contrairement à mon amie qui ne tient plus en place et qui veut refuser gentiment, je lui propose donc de se joindre à nous et je lui commande à boire. Les deux filles papotent et rigolent faisant toutes deux semblant d’ignorer que je continue à jouer de plus en plus fort avec le plug. Ce petit jeu et la situation font leur effet et mon amie se retourne brutalement, et, sous prétexte de me faire un câlin, cache son visage dans mon cou et jouis sans bouger et quasiment sans bruits, seuls quelques gémissements arrivent à mes oreilles. Je regarde Marie qui détourne les yeux, faisant semblant de ne pas comprendre ce qu’il vient de se passer mais qui a ce petit sourire qui prouve qu’elle sait mais aussi avec une lueur de tristesse et d’envie. Elle est célibataire depuis longtemps et je me promets de lui présenter un bon pote avec qui ça devrait coller.
Après cet orgasme discret je sens mon amie groggy d’avoir joui et en même temps je sens bien qu’elle en veut plus. Sous prétexte qu’elle ne se sent pas bien je lui propose, avec un petit sourire, de rentrer. Marie a bien compris notre manège et les autres sont dans l’ambiance fête, personne ne fera la différence si l’on s’en va…
Manteaux, payer, dire au revoir, on expédie la soirée et on se retrouve dans la voiture. À peine dans l’auto je l’attrape par la nuque et je l’embrasse à pleine bouche pendant un long moment. Les vitres sont recouvertes de buée et on rigole :
« On jouera à Titanic une autre fois, je préfère rentrer et que tu t’occupes de moi pour de vrai »
Comme toujours dans ces cas-là, je ne discute pas (je suis plutôt du genre dominant mais ce genre de requêtes ne se refuse pas).
On a quelques kilomètres à faire et je n’ai quasiment rien bu pour rester en forme mais elle est bien partie et il ne faut pas longtemps avant qu’elle ne mette un pied sur le siège de la voiture et relève sa robe pour se caresser doucement. Elle a des bas auto-fixant et la ficelle du string fait juste une barre noire sur le plug anal. Elle passe doucement ses doigts dans l’ouverture du string. J’ en profite pour l’attraper fermement par la nuque ou les cheveux et pour masser ses seins à travers la robe, l’autre main sur le volant et le regard sur la route.
« Quand on rentre je veux que tu me penches sur la table et que tu relèves juste assez ma robe pour me prendre » « Je veux que tu me suces les seins » « Je veux que tu m’enlèves le plug et que tu me bouffe la chatte et le cul jusqu’à ce que je jouisse encore ».
Elle profite de la route pour se caresser et dire toutes les choses qui lui passent par la tête. Tout en sachant très bien qu’une fois arrivés ce sera quand même moi qui déciderait et qu’elle préfère que ça se passe comme ça.
Enfin on est à la maison ! J’ai les mains qui tremblent en essayant d’ouvrir la porte et elle se frotte à moi comme une chatte en chaleur ce qui ne m’aide pas. La porte est ouverte et je peux enfin me déchainer. D’une main je l’attrape par les cheveux pour la mettre à genoux pendant que de l’autre j’ouvre et baisse pantalon et caleçon. Elle sait ce qu’elle doit faire et elle apprécie ce manque de douceur… Je ne la laisse pas me sucer trop longtemps parce que je veux plus. Une main sur la nuque je la guide jusqu’au tapis du salon où je la fait mettre à quatre pattes. Elle relève sa robe et je ne peux m’empêcher de lui mettre quelques fessées qu’elle attendait sûrement avec impatience au vu de sa réaction. J’ essaye une nouveauté et mets quelques fessées, d’abord pas trop fortes, directement sur le plug. Elle met ses mains sur ses fesses et les écartent en me demandant d’y aller plus fort ; bonne idée que j’ai eu là et je la garde en mémoire pour d’autres occasions.
Je profite de sa position obscène et qu’elle maintienne toujours ses fesses écartées pour l’attraper par les hanches et enfin la pénétrer en profondeur. Je l’attrape rapidement par les cheveux pour lui tirer la tête en arrière et la baiser assez fort. J’ ai l’impression qu’elle lâche tous les cris et les gémissements qu’elle a retenus au café.
« Putain défonce moi, je suis ta salope, une grosse cochonne qui ne mérite que d’être baisée violement sur le sol comme la dernière des putes. Claque-moi le cul ! Plus fort bordel ! »
J’arrache ce string qui finalement nous ennuie plus qu’autre chose, de toutes façons il n’était pas vraiment beau, c’était plutôt l’ensemble avec lequel il était assorti qui me plaisait.
Je donne tout ce que j’ai pour ne pas baisser le rythme et je suis au bord de la crise cardiaque tellement je m’active. Je ne sais plus où donner de la tête entre lui agripper les cheveux, la gorge, les seins, lui mettre des fessées, jouer avec le plug. Elle a une main sur le clitoris et l’autre qui pétrit durement un sein et je me force à continuer sur le même rythme jusqu’à ce qu’elle jouisse et que je puisse enfin me lâcher.
Raté je viens avant elle mais elle me supplie :
« Encore quelques coups, s’il te plait, le fait de te vider au fonds de ma chatte va me faire partir »
La queue très sensible après cette soirée très chaude, j’essaye un maximum de faire ce qu’elle me demande et je l’encourage à se laisser aller
« Jouis pour moi ma cochonne, tu m’as bien vidé, tu mérites de jouir. Jouis pour moi je t’ai dit ! Tout de suite ! »
Le ton autoritaire, une dernière fessée, les quelques coups de reins malgré tout affaiblis et ses mains toujours actives lui font atteindre cet orgasme dévastateur…
Elle est allongée sur le tapis du salon, complétement KO, le maquillage et les cheveux ravagés, sa tenue qui n’a plus de sens, les bouts de ficelles du string sur le sol. Je vais chercher une crème intime et je lui enlève doucement le plug, ce qui lui arrache un faible gémissement. J’applique en douceur la crème sur son petit trou et sa chatte (tous deux très dilatés). La fraicheur de la crème et la délicatesse des mouvements la font ronronner. Je m’applique à faire retomber la pression…
On s’embrasse tendrement avant d’aller se coucher et on s’aime tellement !
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