Le temps suspendu, séjour en Bretagne

- Par l'auteur HDS JeanEtMarie -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le temps suspendu, séjour en Bretagne Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2020 dans la catégorie Pour la première fois
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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Le temps suspendu, séjour en Bretagne
Nous formons ma femme Marie et moi un couple banal. Mariés depuis 10 ans, petit à petit, les premières années de folies ont laissées la place a une relation solide bien qu’un peu moins excentrique et sensuelle.
Ma femme est très belle, 1M60, brune, assez mince d’origine Chinoise. Ces deux grossesses n’ont en rien altéré sa grace. C’est la femme de ma vie, et je suis très fier et heureux de me réveiller tout les matins à côtés d’elle. Les robes droites assez courtes, mi-cuisses, avec de hauts talons, la mettent particulièrement en valeur à mes yeux et je ne suis pas le seul.
J'aime d'ailleurs particulièrement voir les hommes se retourner quand elle passe. Est ce que mon fantasme de la partager est né de la. Peut être.
Toujours est il que j'aimerais la voir dans les bras d'un autre homme ou au moins flirter un peu. Fantasme jusque cette aventure.

En ce début de mois de juin, nous avons prévu de passer trois jours sur la cote sauvage en Bretagne. Libérés des enfants, nous avons décidés de nous retrouver dans notre intimité et de redécouvrir la fougue de nos débuts.

Profitant d’un temps particulièrement estival pour un début de mois de juin en Bretagne, je réussi facilement à convaincre Marie de s’habiller légèrement. J’assiste avec plaisir à son essayage. Pour sous vêtement, elle opte, à mon grand enthousiasme, pour un ensemble string et soutien gorge noir transparent avec nœuds roses. Elle s’est épilée intégralement récemment et ces lèvres sont particulièrement visible ainsi. La vue est indécente et affolante pour moi. Je me sens déjà un peu à l’étroit dans mon jean. Elle ne met que rarement des strings qu’elle ne trouve pas très confortable ce qui est de bonne augure pour le reste du week end. Et je m’en réjouis d’avance.
Elle a aussi choisi pour ce premier jour une jupe volante grise assez courte et un tee shirt cache coeur que j’affectionnais particulièrement. Il a tendance à s’ouvrir facilement ce qui permets d’apercevoir quasiment en permanence la dentelle de son soutien gorge. J’aurais aimé compléter cette tenue par une paire de talon haut mais le pragmatisme de ma femme l’a poussé à choisir une paire de basket.

Nous avons prévu de profiter de ce premier jour pour partir sur la côte sauvage du côté de Quiberon et de marcher jusqu’à un restaurant à 7km de la pour se restaurer et faire le chemin inverse dans l’après midi afin de nous ménager, de prendre notre temps, et de s’arreter dans les endroits qui nous plairaient. Bref d’embrasser notre liberté sans se donner d’objectifs ambitieux.

Le paysage est magnifique. Les rayons du soleils donnes une couleurs turquoise à la mer. Nous avons donc marché, main dans la main, bercé par le bruit de la mer, la piaillerie des mouettes et les sons des ondes se brisant sur les pierres. Étonnamment nous ne croisons presque personne pour profiter de ce paysage paradisiaque. Heureusement, car Marie s’est vite rendu compte que la jupe courte volante sous le vent de la côte avait tendance à s’envoler facilement. S’en apercevant elle a d’abord commencé à vouloir la retenir d’une main avant d’abandonner à mon grand plaisir en l’absence d’autres spectateurs.

Devant le restaurant, en bord de mer ne se trouve qu’un parking ou nous ne repérons qu’une seule voiture. En passant devant cette voiture, à quelques mètres, un coup de vent plus fort que les autres retourne complètement la jupe de Marie qui passe plusieurs secondes à essayer de la maîtriser. Ma femme panique un peu et regarde autour d’elle un peu honteusement. Il lui semble apercevoir quelqu’un au volant de la voiture sans certitude. Au moment d’entrer dans le restaurant, nous entendons le bruit d’une porte de voiture qui s’ouvre confirmant ces soupçons. Il est encore tôt et nous sommes les premiers dans le restaurant. Nous nous installons à la table et je la sens embarrassée par son exhibition involontaire.

- Chérie ca va ? J’ai l’impression que tu n’es pas à l’aise.
- Oui ca va mais je crois que la personne dans la voiture a vu.
- A vu quoi ? Quand ta jupe s’est relevée ? Ne t’inquiète pas ce n’était pas volontaire. En plus …je laisse mourir ma phrase
-En plus quoi ?
Je vois son regard amusé, ce qui me rassure. J’aime beaucoup l’idée qu’elle s’exhibe. Mais habituellement elle déteste que j’en parle, ou que je lui fasses remarquer que cela lui plaît aussi . Mais aujourd’hui je la sens joueuse.
- En plus … ça me plaît que tu te montre un peu. Tu crois que c’était un homme ?
- Je crois, oui. Espère de pervers me dit elle d’un ton amusée- Vu l’effet que tu m’as fait ce matin quand tu t’es habillée j’imagine pour lui …
A ce moment, la porte s’ouvre. Je suis dos à la porte je me retourne, je vois un homme la quarantaine, plutôt bien fait de sa personne, sportif, cheveux poivre et sel. Mais ce que je repère surtout ce sont ces yeux d’un bleu pénétrant, qui fait écho aux couleurs de la mer que nous avons contemplée toute la matinée. Son regard fait le tour du restaurant et se fixe sur nous ou plutôt sur Marie je pense. Il esquisse un sourire quand il l’aperçoit. Je regarde dans la même direction et je vois un sourire sur le visage de ma femme aussi. Il part s’installer à une table ou il peut regarder Marie sans trop se faire remarquer.

- Chérie, vu la façon dont cet homme t’a souri je parierai que c’était lui dans la voiture.
- Oui je crois aussi me répond elle.
- On aurait pu tomber moins bien, il est plutôt bel homme, tu ne trouves pas ?
Je la sens gêné de me répondre- Oui enfin oui il est plutôt pas mal murmure t’elle.

Pendant le repas, Marie est un peu absente. Je sens le regard perçant de l’homme la détailler de la tête au pieds. Je vois bien l’insistance avec laquelle il scrute son décolleté et ces jambes mais elle n’a pas cherché comme, cela lui arrivait jusqu’alors, à les dissimuler en tirant sur sa jupe. Elle semblait aimer ce regard qui se pose sur elle et être fière d’offrir à cet inconnu le plaisir de regarder ces cuisses nues. Elle a même fait quelque chose dont elle avait jusque la été incapable. Elle a décroisé ces jambes, les yeux rivés pendant quelques secondes dans les siens. Comme pour le remercier de son témoignage d’attention et lui montrer qu’elle n’est pas indifférente à son attention.
Je suis le témoin de ce jeux entre eux qui me bouleverse. Je suis bien sur un peu jaloux de l’intensité de leur échange non verbal mais surtout je suis extrêmement excité. Je sens mon membre se gonfler de sang et une envie de faire l’amour impérieuse me prend. Notre conversation ne reflète pas du tout ce qui se trame dans le restaurant mais reste assez banal sur les lieux que nous aimerions visiter dans les jours prochains.

A la fin du repas, je propose à ma femme de payer, de passer au toilette et de la rejoindre dehors pour qu’elle profite du soleil. Je profite au passage pour parler avec cet homme à l’insu de ma femme.

Le reste de l’après midi se passe comme un songe. Ma femme est très très câline, m’entoure de ces bras et m’embrasse tout les 10 mètres. Je suis ravi. Nous trouvons une criques magnifique en contrebas de la falaise ou nous descendons avec peine. Arrivé en bas nous profitons du soleil assis sur un rocher. Je la sens excitée depuis le restaurant alors lorsqu’elle m’embrasse, je pose une main sur son genoux et remonte doucement sur sa cuisse. Sa peau est douce. Je sens qu’elle accentue son baiser qui devient franchement fougueux. Je prend ça pour une adhésion. Il faut dire que nous sommes en contrebas de la falaise et que la crique est protégée. Il faudrait descendre ou se pencher très proche de la falaise pour nous apercevoir. Je continue de remonter ma main le long de sa cuisse. Lorsque j’atteins le string, je passe doucement sur son sexe que je sens humide. Elle pose la main sur la bosse turgescente de mon jean. Je délaisse un petit moment ces lèvres et mon exploration pour ouvrir mon jean et le descendre un peu ainsi que mon boxer. Elle attrape immédiatement mon vit et le caresse rapidement. Je la sens en forte demande alors je reprend rapidement ma caresse cette fois directement sur sa chatte en poussant le string sur le côté et je recommence à l’embrasser amoureusement. Nous nous amenons très rapidement à la jouissance en nous masturbant mutuellement. Et lorsqu’elle s’arrête de m’embrasser, j’entends son souffle s’accentuer. Elle n’arrive plus à retenir ces gémissements de plaisir qui marque qu’elle est arrivée à son plaisir. Mon sexe se tend et plusieurs salves de spermes s’étalent sur le sable et sur ces mains. Elle me regarde dans les yeux et lèche ces doigts puis m’embrasse. Ce geste est très érotique, elle n’a jamais été très portée sur le sperme jusque la et ce qu’elle vient de faire m’étonne et je l’admire sous le soleil. Que je l’aime.

Le reste de l’après midi et de la soirée se passe comme dans un charme. Amoureux, les yeux dans les yeux, la main dans la main, des discussions de tout et de rien. On se retrouve comme on se l’était promis et c’est parfait.

Le soir, après une douche, je la retrouve sur notre lit d’hôtel complètement nue. Quand je m’approche du lit en peignoir, elle prend l’initiative de l’ouvrir et de me caresser de nouveau le sexe. Ma femme prend rarement des initiatives au lit d’ordinaire et si elle sait montrer son plaisir et son envie lorsque la température commence à monter, j’ai souvent l’impression que si je ne manifestais pas mon excitation elle pourrait tout simplement se passer de relation sexuelle.
Mais ce soir la donne a changée. je la sens dominante, elle me pousse sur le lit, me chevauche et m’embrasse, je sens sa main attraper mon sexe et le poser sur ces lèvres intimes. Elle se redresse un peu et je m’enfonce en elle. Elle mouille énormément et elle me glisse en elle sans aucun problème.

- Chérie tu avais envie.
- Oui s’il te plait plus fort- C’est l’homme du restaurant qui te fait cet effet
elle ne me répond pas mais accentue les ondulations sur moi.

- J’ai vu votre échange dans le restaurant.

Pour réponse elle me regarde dans les yeux. Elle semble en transe.

Je reprend mes yeux toujours rivés dans ces yeux noisettes.

- Tu sais ça m’a excité de te voir flirter avec lui. Vous aviez tout les deux envies l’un de l’autre et ca se voyait.

Des gémissements de plaisirs me récompense alors. Ils nous arrivent de lire des histoires érotiques mettant en scène des couples avec d’autres personnes dans nos moments intimes. Mais jamais je ne l’avais mis en scène avec quelqu’un de réel.

- Tu avais envie de lui hein ? Ca te plairait qu’il soit à ma place. Que ce soit lui qui se glisse en toi.

Elle gémit comme jamais. Je sens qu’elle se rapproche de sa jouissance et moi aussi mais elle ne répond toujours pas. Ayant peur de ma réaction je pense.

- Moi j’ai envie qu’il t’embrasse, qu’il te prenne profondément devant moi pendant que tu me regardes dans les yeux et que tu me tiennes la main. Toi aussi hein dis le ?

A ce moment je la sens vraiment proche, je sens une digue qui s’écroule et elle me répond
-Oui j’ai envie ...
- de lui ?
- Oui de lui, qu’il me prenne. J’ai envie de goûter sa peau, de goûter sa queue. J’ai envie de son sexe en moi. Encore et encore.
- Tu voudrais que je le fasse venir pour s’occuper de toi.
- Oui
Et la nous partageons un orgasme fulgurant nous laisse tout les deux ko .je sais qu’elle n’assume pas encore à complètement et qu’elle m’a répondu ces phrases tellement exitantes parce qu’il est peu probable que nous le recroisions pendant le reste de notre séjour.

J’essaie de lui parler mais je pense qu’elle s’endort aussitôt, ou feint le sommeil.
Heureux je ne vois pas l’intérêt d’insister et m’endort bientôt collé amoureusement contre elle.

Le lendemain matin, lorsque je me réveille, je sens son odeur prêt de moi. J’ai encore envie d’elle, je me rapproche et commence à lui caresser le dos et à l’embrasser dans le cou. Je la sens se réveiller doucement. J’explore lentement sa peau, profite de ces seins que j’effleure puis saisi plus fortement. Puis ma mains glisse de son dos jusque le galbe de ces fesses. Ma bouche suit le même chemin que ma main et je me retrouve rapidement à embrasser ces fesses. Elle se met alors sur le dos et pousse ma bouche sur son sexe. Je découvre son abricot lisse avec la langue avant de le voir. Et avec ma langue j’écarte doucement ces lèvres pour atteindre son clitoris que je titille bien vite avec la point de ma langue. Elle me maintient en place un appuyant doucement sur ma tête et je l’amène au plaisir grâce à ma langue et me régale de sa liqueur. Elle ne manifeste pas d’envie de me rendre la pareil et je ne le réclame pas. J’ai aimé l’emmener au plaisir et l’entendre jouir. Ca me plaît.

Nous nous préparons donc pour notre seconde journée. La jupe laisse place à un pantalon plus pratique. Mais elle reste très amoureuse. La journée de se passe merveilleusement bien.
Le soir venu je la sens encore câline. Je lui propose alors un préliminaire qu’elle affectionne particulièrement, un massage sensuel. Ma femme s’allonge alors sur le ventre nue sur le lit et m’attend. Je peux apprécier ces courbes, sa nuque m’attire et je dépose quelques baisers dessus. Je descend mes lèvres le longs de son dos, jusque ces fesses que j’embrasse et je mordille et ma main caresse entre ces jambes. Je la sens déjà humide.

- « on avait dit un massage d’abord » me reprend elle.
- « Oui tu as raison. »
Je me déplace prend un masque de sommeil et le passe sur son visage.

- « Pour que tes sensations soient amplifiées » dis je.

Je verse un peu d’huile comestible dans mes mains que je réchauffe en les frictionnant. Lorsque je pose mes main ainsi chauffées sur ces épaules, j’entends son soupir de plaisir.. J’entame alors un massage très professionnel du dos.

Après vingt bonne minutes de massage de la nuque et du dos, je reprend mon massage sur ces jambes. J’essaie de faire oublier à ces muscles les randonnées des dernier jours et je pense y parvenir. Je sens qu’elle se détend complètement. Elle se laisse entièrement faire, alanguie sur le lit.

Je remonte alors à ces fesses que je masses assez énergiquement. Et m’arrête après quelque minutes de ce délicieux traitement.
- Attends je reviens lui dis-je.
Elle m’entend ouvrir une porte, passer au toilette probablement, et revenir.

Elle a envie de sentir ce massage continuer sur ces fesses et aussi oui déborder sur son sexe. Elle sent son excitation monter et le brusque arrêt du massage l’a laissé dans l’expectative.
Lorsque des mains se reposent sur ces fesses, elle soupir d’aise. Les caresses sont moins appuyées car oui maintenant cela s’apparente plus à des caresses qu’à un massage. Les mains passent du bas du dos vers l’extérieur des fesses entrouvrant au passage les deux lobes et laissant un peu d’air plus frais arrivée jusque son sexe s’enflammer. Elle aime ce changement de manière.

Les mains se font plus empressées et les passages de plus en plus proched de son sexe mais tout en l’évitant. Elle a de plus en plus envie de caresse plus précise sur son sexe mais l’approche est très excitante et elle ne brusque pas les choses, laissant son mari faire monter leur excitation commune doucement.

Son mari prend la parole : - tu te souviens hier ? Tu as aimé que le bel homme te couvre de son regard.
Par jeu, se souvenant de l’excitation d’hier, elle réponds :- oui
elle se surprend elle même par les picotements dans son bas que provoque ce simple mot conjugué au massage.

- « Tu m’as dit que tu aimerais qu’il te caresse, qu’il t’embrasse le corps et qu’il t’embrase l’esprit. C’est toujours le cas. »
Elle a envie de jouir rien que d’entendre ces paroles. Elle ne réponds pas.
Elle surprend alors le souffle de son mari près de ces lèvres et il l’embrasse dans un baiser fougueux. Elle sent sa langue, qui effleure ces lèvres puis rentre dans sa bouche et lui caresse maintenant la langue.
Elle a dans le même temps un moment de doute. Sa tête est penché vers la gauche et les caresses sur ces fesses ne ce sont nullement interrompus. Quand elle le réalise. Elle embrasse encore plus fort son mari. Puis lui murmure : - « Que se passe t’il ? Il ne faut pas. Mmmmmmmh c’est bon … »Son mari la rassure d’une voix douce.
- « Ton bel inconnu, à la fin du repas j’ai pris son numéro et lui ai proposé de nous rejoindre ce soir si tu en as envie bien sur. »- « Tu as envie qu'il te caresse ? »Marie: (dans un souffle) « Oui. »Moi : « Tu as envie qu'il t'embrasse et qu'il te lèche. »marie: « Humm !oui. »Moi : « Tu aurais envie de son sexe ? »marie: « Hummm oui »moi : « Dans ta bouche ? »marie:(elle sourie)Moi : « Tu as envie qu'il te baise »marie: (dans un gémissement) « Hummm oui. »Moi: « Tu as envie que je le regarde faire ? »marie:( féline) « Ho ouiii ! Que tu me voies » Le massage sur ces fesses s’interrompt en attente de la réponse.
- « Alors tu veux te laisser aller pour de vrai ? »
Sa moralité lui impose de dire non mais ces sens lui impose de se laisser aller. Elle accepte le baiser de son mari. Elle ne voit alors pas le mouvement de main de son mari à l’attention de son complice. Mais elle sent bien des effleurements le longs de son sexe se produire. Les mouvements de frottement se précise et elle réalise que ce ne sont pas des doigts mais bien un sexe qui se frotte au sien.
Sa respiration s’accelère, elle a envie d’être pénétrer. Sa langue arrête de jouer avec celle de son mari pour laisser passer plusieurs gémissements. Son mari lui prend la main.
Elle sent alors la queue rentrer doucement en elle. Elle a l’air plus grosse que celle de son mari bien que cela peut etre du à l’excitation.
Après un temps qui lui paraît interminable par son envie de plus. Elle sent enfin un pubis cogné ces fesses.

Elle enlève son bandeau des yeux et voit son mari émerveillé par le spectacle.
Quand il croise son regard, il murmure de façon inaudible un je t’aime qui l’encourage à se laisser aller. Elle gémit alors complètement. Elle sent alors son inconnu, dont elle n’a pas encore vu le visage, s’animer en elle.

Les allers-retours sont lents et puissants, délicieux. Elle ne se rend pas compte que ses fesses cherchent maintenant le contact et qu’elle commence alors à prendre à l’acte amoureux, de moins en moins passive.

- « c’est bon chéri il est gros. »- « tu aimes ? »- « Ouuuui »
Notre inconnu sent cet engouement et ne peut résister à l’envie de la prendre plus énergiquement. On entend maintenant ces gémissements et les ahanements de son amant. On entend le claquement du pubis de son partenaire sur ces fesses. Ces bruits d’ordinaire obscène se conjuguent pour l’amener au plaisir. Et lorsqu’elle sent les spammes de la queue de son amant qui éjacule en elle, elle ne peut s’empêcher de jouir intensément.

Elle se retourne alors et adresse à son amant un grand sourire. Ignorant temporairement son mari comme dans une bulle seule avec cet homme.

Reprenant ces esprits elle est contente de se rendre compte qu’il a porté un préservatif. Et son regard s’arrête sur son sexe. Bandant mou, il est tout de même bien plus grand et bien large que celui de son mari quand il est dur. Elle s’étonne même de n’avoir pas eu de mal à l’accueillir en elle. Sans avoir échanger une parole, sa main se tend vers ce sexe qui l’attire, la fascine. Elle le saisi pour le soupeser et se rend compte de l’effet qu’elle a sur lui. Le sexe se tend et grossi encore. Elle retire le préservatif et raffermie sa prise et flatté de cette réaction, elle commence des vas et vient.
L’homme se relève et se positionne près du lit. Elle repends ces mouvements, la queue maintenant au niveau de la tête.
Elle regarde enfin son mari, voit son grand sourire. Et comprend que lui aussi est fasciné par ce moment. Tout en fixant son mari dans les yeux, elle approche ce sexe de sa bouche et l’embrasse puis le mets dans la bouche sensuellement.
Elle qui d’habitude est assez réticent à pratiquer une fellation en a tout simplement envie. Elle se laisse aller à faire monter la tension de son amant.
Elle sent son pouvoir sur ce bel homme, cet étalon. Lorsqu’elle sent qu’il ne va plus pouvoir tenir elle accélère ces mouvements et accueille le nectar dans sa bouche. Elle regarde son mari et déglutis. Elle ne la jamais fait avec lui. Mais la, peut être pour le provoquer suite à ce qu’il lui avait fait faire, ou peut être tout simplement parce qu’elle en a envie.
L’homme s’est rhabillé et est parti aussi vite qu’il était arrivé. Invisible parmi les ombres. Aucune parole n’avait été échangé entre eux. Il n’y en avait pas besoin. Elle avait fait l’amour à son mari par intermédiaire d’un autre.

Cette expérience ne bouleversa pas notre sexualité. Nous n’avons aucun regret de ce qui s’était passsé. Et ce remémorer et nous reparlé de ces moments entraînent souvent des galipettes excitantes. Mais nous n’avons pas ressenti le besoin de repasser à l’acte jusqu’ici. Une agréable parenthèse dans notre amour et notre intimité, un jeu. Rien de plus, rien de moins.

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Texte coquin : Le temps suspendu, séjour en Bretagne
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