Le tombeur de ses dames 3
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 264 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de linsee ont reçu un total de 1 317 515 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 5 521 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le tombeur de ses dames 3
La jouissance d'Éloïse est très forte, son corps secoué de frissons incontrôlables la fait gémir. Thomas félicite sa tante pour ne pas se retenir. Il lui retrousse la nuisette et avec douceur lui ouvre les jambes un peu plus largement. Il avance sa tête entre le compas et hume avec force les effluves odorantes qui émanent du temple ruisselant. Il pose sa bouche sur le fruit qui suinte comme un fruit trop mûr, puis aspire bruyamment le nectar que le fruit rejette en abondance. Éloïse se cabre lorsque le neveu, audacieux, lui enfonce profondément sa langue dans le vagin et le fouille un long moment, le coquin se gave de cyprine. Sa tante grogne de plaisir, à chaque coup de langue du neveu vorace.
Elle souffle comme un dragon, et se cabre brusquement, Thomas vient de lui gober le clitoris, le bougre le suce comme un bonbon. Éloïse gémit en se tortillant comme un reptile, elle comprend maintenant pourquoi, son neveu est si sollicité par certaines femmes du village. Son plaisir est si intense qu'elle lui appuie sur la tête en grognant :
-Oh mon chéri, mon chéri, encore, encore !
Thomas tète le bouton d'amour avec plus de violence, sa tante pousse des gémissements de bêtes blessées, elle agite son bassin, pour enfin se raidir et de jouir une nouvelle fois comme une fontaine intarissable. Thomas se redresse, son visage porte les marques de jouissances de sa tante, il les essuie d'un revers de la main.
Il retire son boxer, sa verge se dresse d'un coup et oscille un moment avant de se stabiliser sur son bas-ventre. Le coquin l'agite fièrement sous Les yeux embués d'Éloïse qui se posent sur l'engin dressé. Elle se dit que son amie Marcelle a dit vrai, le bougre de neveu est bien monté.
Elle regarde un instant le manche de chair, puis se décide de le saisir d'une main, elle le presse comme pour en tester la texture, ses doigts enserrent difficilement l'engin gorgé de sang. Elle sent, au travers des grosses veines apparentes, le sang battre. Elle decalotte, la verge vivante, et de surprise, elle écarquille les yeux. Le gland lui semble monstrueux, elle l'observe un long moment avant d'ouvrir la bouche et de gober le chapeau violacé, en se déboitant presque la mâchoire.
Éloïse suce tant bien que mal l'engin qui lui remplit la bouche, Thomas commence à geindre, sa tante s'évertue du mieux qu'elle peu pour faire la fellation. Sa mâchoire devient douloureuse, elle recrache le gland, sa langue en fait plusieurs fois le tour, titille le frein et lape les perles de rosée qui s'échappent du méat ouvert. Thomas et émerveillé par les coups de langue précis de sa tante, qu'il ravale sa salive.
Elle reprend en bouche le cèpe, et recommence les succions qui font gémir Thomas. Il saisit entre ses mains la tête de sa tante et se met à lui baiser férocement la bouche. Il lui enfonce si loin sa verge dans la gorge que la tante à des hauts le cœur. Mais le calvaire prend fin.
Thomas se bloque et envoie en rugissant un flot de sperme dans la bouche de sa tante qui manque d'étouffer. Elle le repousse brusquement, un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres. La verge laisse échapper quelques gouttes de sperme qui tombe sur le lit. Le neveu amant lui crie :
-Avale ma chérie, avale !
La tante hésite, elle tarde à avaler la semence précieuse que lui, offre si généreusement son neveu. Il réitere sa demande :
-Avale, avale !
Elle deglutie, et finit par tout avaler. Thomas l'embrasse comme pour la remercier pour l'effort qu'elle vient de produire. Il prend place entre les cuisses ouvertes de la tante et présente au cratère en éruption son gland gluant. Il pousse doucement, la bite s'enfonce doucement dans la gaine qu'elle dilate. Éloïse serre les dents, le calibre de la bite de son neveu et bien supérieure que celle de son mari. Lentement, l'engin avance dans le ventre de la tante qui souffle fortement. Thomas s'accroché à ses hanches et pousse sans discontinuer. La bite n'est même pas totalement enfoncée, qu'Éloïse se cabre en grognant. Le gland bute contre le col de son utérus comme pour l'ouvrir. Thomas commence un va-et-vient qui prend de la vitesse rapidement, à chaque enfoncement le gland appuie sur le col comme pour entrer en lui. La tante pousse de gémissements terribles et dit entre deux couinements :
-Mon Dieu Thomas, mon chéri, c'est fabuleux, ce que tu me fais, oui, oui, pilonne-moi encore plus fort, oh, je vais jouir !
Éloïse se tend comme un arc et explose. Thomas la défonce maintenant sans aucune retenue, ses coups de reins redoutables font crier de plaisir la tante. La jouisseuse à plusieurs orgasmes à la suite, son corps et secoué par de violents spasmes, elle s'accroche à son amant comme un animal sur sa proie en gémissant comme une hystérique. Thomas lui donne un coup de reins si puissant que ses couilles frappent la chatte en fusion de sa tante qui hurle comme une bête blessée. Thomas le démonte comme un sauvage pendant un long moment, puis le but recherché arriva. Il se raidit et envoie dans le ventre d'Éloïse un puissant jet de sperme. La douceur de la semence fait re-jouir la tante qui ne cesse de dire :
-Mon chéri, mon chéri, tu me rends folle, oh, je suis à toi corps et âme !
Il retire sa bite du ventre en ébullition et lui murmure à l'oreille :
-Maintenant ma chérie, je vais te sodomiser, mets-toi à quatre pattes !
Éloïse, un peu anxieuse, prend la pose. Thomas lui enfonce deux doigts dans la chatte pour les enduire de sperme. Il badigeonne longuement l'anus, en fait entrer à l'intérieur, en tentant de l'assouplir le plus possible. Il lui ramone avec deux doigts le conduit qu'il envisage de défoncer avec sa queue. Il place sa bite contre l'œillet brun, s'accroche à ses hanches et pousse. Éloïse, serre les dents. L'anneau résiste un petit moment, mais fini par céder et avaler lentement l'engin monstrueux qui s'engage dans le rectum. La douleur est atroce, la tante grimace de douleur. La bite est à moitié dans son rectum, Thomas cesse de pousse, Éloïse souffle comme un bœuf. Sa gaine anale distendue l'a fait horriblement souffrir. Thomas commence un très lent va-et-vient. À chaque avancée du manche dans son fondement, la tante gémit. Petit à petit, Thomas engage sa bite de plus en plus loin dans l'antre de Sodome. Il arrive à enfoncer sa verge complètement dans le cul de sa tante, qui reste la bouche grande ouverte. Avant de reprend le va-et-vient, le neveu reste un moment sans faire de mouvements.
Enfin, il commence à s'agiter, très lentement au début, puis en augmentant au fur et à mesure la cadence. La tante croit mourir, elle craint que son cul ne se déchire. Il faut un long moment à la tante pour que son rectum s'habitue à l'envahisseur. Thomas va de plus en plus vite, Éloïse commence à gémir de plaisir. Le rythme augmente, les gémissements d'Éloïse aussi. La bite voyage de plus en plus aisément dans le cul de la soumise, qui agite maintenant sa croupe. Elle donne, elle aussi, des coups de reins violents pour être empalée totalement. Enfin, le pilonnage intense porte ses fruits. Éloïse se cambre en poussant un hurlement, elle jouit du cul comme une damnée. Thomas ne tarde pas à déverser sa semence dans les entrailles de sa tante qui geint toujours. Enfin, il retire sa verge, elle le regarde et lui dit :
-Mon Dieu mon chéri, c'est monstrueux comme jouissance !
Thomas répond :
-Pour passer à l'étape suivante, il faut être trois ma chérie !
Elle souffle comme un dragon, et se cabre brusquement, Thomas vient de lui gober le clitoris, le bougre le suce comme un bonbon. Éloïse gémit en se tortillant comme un reptile, elle comprend maintenant pourquoi, son neveu est si sollicité par certaines femmes du village. Son plaisir est si intense qu'elle lui appuie sur la tête en grognant :
-Oh mon chéri, mon chéri, encore, encore !
Thomas tète le bouton d'amour avec plus de violence, sa tante pousse des gémissements de bêtes blessées, elle agite son bassin, pour enfin se raidir et de jouir une nouvelle fois comme une fontaine intarissable. Thomas se redresse, son visage porte les marques de jouissances de sa tante, il les essuie d'un revers de la main.
Il retire son boxer, sa verge se dresse d'un coup et oscille un moment avant de se stabiliser sur son bas-ventre. Le coquin l'agite fièrement sous Les yeux embués d'Éloïse qui se posent sur l'engin dressé. Elle se dit que son amie Marcelle a dit vrai, le bougre de neveu est bien monté.
Elle regarde un instant le manche de chair, puis se décide de le saisir d'une main, elle le presse comme pour en tester la texture, ses doigts enserrent difficilement l'engin gorgé de sang. Elle sent, au travers des grosses veines apparentes, le sang battre. Elle decalotte, la verge vivante, et de surprise, elle écarquille les yeux. Le gland lui semble monstrueux, elle l'observe un long moment avant d'ouvrir la bouche et de gober le chapeau violacé, en se déboitant presque la mâchoire.
Éloïse suce tant bien que mal l'engin qui lui remplit la bouche, Thomas commence à geindre, sa tante s'évertue du mieux qu'elle peu pour faire la fellation. Sa mâchoire devient douloureuse, elle recrache le gland, sa langue en fait plusieurs fois le tour, titille le frein et lape les perles de rosée qui s'échappent du méat ouvert. Thomas et émerveillé par les coups de langue précis de sa tante, qu'il ravale sa salive.
Elle reprend en bouche le cèpe, et recommence les succions qui font gémir Thomas. Il saisit entre ses mains la tête de sa tante et se met à lui baiser férocement la bouche. Il lui enfonce si loin sa verge dans la gorge que la tante à des hauts le cœur. Mais le calvaire prend fin.
Thomas se bloque et envoie en rugissant un flot de sperme dans la bouche de sa tante qui manque d'étouffer. Elle le repousse brusquement, un filet de sperme s'échappe à la commissure de ses lèvres. La verge laisse échapper quelques gouttes de sperme qui tombe sur le lit. Le neveu amant lui crie :
-Avale ma chérie, avale !
La tante hésite, elle tarde à avaler la semence précieuse que lui, offre si généreusement son neveu. Il réitere sa demande :
-Avale, avale !
Elle deglutie, et finit par tout avaler. Thomas l'embrasse comme pour la remercier pour l'effort qu'elle vient de produire. Il prend place entre les cuisses ouvertes de la tante et présente au cratère en éruption son gland gluant. Il pousse doucement, la bite s'enfonce doucement dans la gaine qu'elle dilate. Éloïse serre les dents, le calibre de la bite de son neveu et bien supérieure que celle de son mari. Lentement, l'engin avance dans le ventre de la tante qui souffle fortement. Thomas s'accroché à ses hanches et pousse sans discontinuer. La bite n'est même pas totalement enfoncée, qu'Éloïse se cabre en grognant. Le gland bute contre le col de son utérus comme pour l'ouvrir. Thomas commence un va-et-vient qui prend de la vitesse rapidement, à chaque enfoncement le gland appuie sur le col comme pour entrer en lui. La tante pousse de gémissements terribles et dit entre deux couinements :
-Mon Dieu Thomas, mon chéri, c'est fabuleux, ce que tu me fais, oui, oui, pilonne-moi encore plus fort, oh, je vais jouir !
Éloïse se tend comme un arc et explose. Thomas la défonce maintenant sans aucune retenue, ses coups de reins redoutables font crier de plaisir la tante. La jouisseuse à plusieurs orgasmes à la suite, son corps et secoué par de violents spasmes, elle s'accroche à son amant comme un animal sur sa proie en gémissant comme une hystérique. Thomas lui donne un coup de reins si puissant que ses couilles frappent la chatte en fusion de sa tante qui hurle comme une bête blessée. Thomas le démonte comme un sauvage pendant un long moment, puis le but recherché arriva. Il se raidit et envoie dans le ventre d'Éloïse un puissant jet de sperme. La douceur de la semence fait re-jouir la tante qui ne cesse de dire :
-Mon chéri, mon chéri, tu me rends folle, oh, je suis à toi corps et âme !
Il retire sa bite du ventre en ébullition et lui murmure à l'oreille :
-Maintenant ma chérie, je vais te sodomiser, mets-toi à quatre pattes !
Éloïse, un peu anxieuse, prend la pose. Thomas lui enfonce deux doigts dans la chatte pour les enduire de sperme. Il badigeonne longuement l'anus, en fait entrer à l'intérieur, en tentant de l'assouplir le plus possible. Il lui ramone avec deux doigts le conduit qu'il envisage de défoncer avec sa queue. Il place sa bite contre l'œillet brun, s'accroche à ses hanches et pousse. Éloïse, serre les dents. L'anneau résiste un petit moment, mais fini par céder et avaler lentement l'engin monstrueux qui s'engage dans le rectum. La douleur est atroce, la tante grimace de douleur. La bite est à moitié dans son rectum, Thomas cesse de pousse, Éloïse souffle comme un bœuf. Sa gaine anale distendue l'a fait horriblement souffrir. Thomas commence un très lent va-et-vient. À chaque avancée du manche dans son fondement, la tante gémit. Petit à petit, Thomas engage sa bite de plus en plus loin dans l'antre de Sodome. Il arrive à enfoncer sa verge complètement dans le cul de sa tante, qui reste la bouche grande ouverte. Avant de reprend le va-et-vient, le neveu reste un moment sans faire de mouvements.
Enfin, il commence à s'agiter, très lentement au début, puis en augmentant au fur et à mesure la cadence. La tante croit mourir, elle craint que son cul ne se déchire. Il faut un long moment à la tante pour que son rectum s'habitue à l'envahisseur. Thomas va de plus en plus vite, Éloïse commence à gémir de plaisir. Le rythme augmente, les gémissements d'Éloïse aussi. La bite voyage de plus en plus aisément dans le cul de la soumise, qui agite maintenant sa croupe. Elle donne, elle aussi, des coups de reins violents pour être empalée totalement. Enfin, le pilonnage intense porte ses fruits. Éloïse se cambre en poussant un hurlement, elle jouit du cul comme une damnée. Thomas ne tarde pas à déverser sa semence dans les entrailles de sa tante qui geint toujours. Enfin, il retire sa verge, elle le regarde et lui dit :
-Mon Dieu mon chéri, c'est monstrueux comme jouissance !
Thomas répond :
-Pour passer à l'étape suivante, il faut être trois ma chérie !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par linsee
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Qu’est ce que j’aimerais rencontrer ce Thomas!
Linsee, vous avez une imagination coquine débordante....
Vivement la suite !
Vivement la suite !
Hummm j adore. Vivement la suite.