Le tonton lourd.
Récit érotique écrit par NinaMetz [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le tonton lourd.
On ne parle pas suffisamment des tontons lourds. Vous savez, ceux qui boivent un peu trop ou qui parlent un peu trop fort. Ceux qui se permettent des réflexions souvent peu constructives ou même peu pertinentes. Bref, je suis à peu près certaine que vous voyez de quel genre de tonton je veux parler.
Et bien, ce genre de tonton, derrière tous ces défauts, cache finalement de grandes qualités.
Laissez-moi vous raconter cette histoire qui s’est déroulée l’été dernier et surtout, laissez-moi vous poser le tableau.
Je m’appelle Nina, j’habite à Metz dans le département de la Moselle. J’ai dix-neuf ans depuis peu et au moment de cette histoire que je m’apprête à vous confier, j’avais dix-huit ans.
Je ne suis pas très grande, 1 mètre 54, merci maman. Je suis plutôt mince, 43 kilos, encore une fois, merci maman. Je suis brune, la peau blanche, laiteuse, les cheveux mi-longs, ondulés mais surtout je fais du 90D. Et là, plus que jamais, merci maman.
Nous sommes début août, il est à peu près six heure du matin. Je suis encore à moitié endormie, entre les songes et l’éveil. Finalement, un bruit sourd et franc me ramène à la réalité. Le coffre vient de se fermer, papa et maman viennent de faire une partie de Tétris des plus magistrale afin de rentrer toutes les valises et tous les paquets à l’arrière de la voiture. C’est parti pour un voyage qui s’annonce long, avec les recommandations de conduite de maman qui ne conduit pas et les chansons que papa décidera d’écouter pour rester alerte durant ce trajet jusqu’à Plan d’Aups Sainte Baume, non loin d’Aix-en-Provence.
Oh,.. vous ne connaissez pas ? C’est normal. C’est un petit village de pas grand chose au milieu d’un grand rien. Autant vous dire que pour une citadine de dix-huit ans, les vacances s’annoncent compliquées.
Mots d’ordre de ces deux semaines de congés ? Famille et repos selon maman.
Au programme : se reconnecter à la famille car d’après maman, toujours, il n’y a rien de plus important. Se détendre et ne penser à rien. Aller barboter dans la piscine de la grande maison typique du Sud que tout le monde a loué, bronzer, lire, faire de la marche, passer de longs déjeuners et d’interminables dîners à table avec toute cette belle équipe et bien-sûr faire semblant d’apprécier tout cela.
Bref, autant vous dire que pour la fille blasée que je peux être par moment, tout cela est déjà un peu trop. Mais je fais bonne figure, je ne veux pas gâcher ces vacances précieuses pour mes parents.
- Ma chérie,.. nous sommes arrivés.. Il est seize heure, il y a eu beaucoup de bouchons, nous sommes en retard, reveille-toi et regarde comme tout est beau.
La voix de maman m’extirpe de mon sommeil. Je n’ai plus de batterie sur mon téléphone, c’est sûrement à cause de cela que je me suis endormie.
Toute cette lumière m’éblouit, les yeux mi-clos, je dois déjà reconnaître qu’elle a raison, il n’y a pas à dire: c’est beau !
Soudainement, la portière s’ouvre et une voix nasillarde se fait entendre.
- Bon, tu vas sortir ? Tu ne vas tout de même pas passer toutes tes vacances sur la banquette arrière de la voiture, si ? Pfff
L’enfer. La tante Isabelle. Pour vous donner une idée, partez du principe qu’elle sait toujours mieux que quiconque, qu’elle a forcément le dernier mot et qu’elle n’est pas vraiment intéressée par vous, même lorsqu’elle vous donne l’impression de l’être.
Physiquement ? Bon… pas très jolie, d’accord, je ne suis pas objective. Le cheveux coupé court, certainement pour éviter toute perte de temps inutile à se coiffer et un visage constamment fermé.
- Ohhh tata, comme je suis contente de te voir. Je ne t’embrasse pas, je suis poisseuse avec ce long voyage, je dis en sortant de la voiture et lui souriant le plus faussement possible.
- Oui, évite s’il te plaît. Surtout que je suis déjà fraîche comme une rose, nous sommes arrivés tôt en début d’après-midi, nous ! Je me suis déjà douché et je suis plus que prête à aller faire toute sorte d’activités ! Évidemment, chacun fera bien comme il le voudra, personne n’est là pour commander qui que ce soit ! Ceci dit, Nina, rentre dans la maison, va au premier étage, ta chambre sera sur ta droite, la troisième porte. Il faut te rafraîchir, dit-elle.
Je la regarde et je souris. Il me semble que c’est ce qu’il y a de mieux à faire. Ni une, ni deux, je m’exécute. J’attrape mon sac et entre dans la grande maison. Directement sur ma droite, il y a le salon avec beaucoup d’assises, un billard et un bar où tous les choix semblent permis. À ma gauche, la cuisine. Mais pas que. Papy est là, attablé avec un café à la main. Mamie est là également tout à côté de lui. Ils écoutent mon cousin Loïc et ma cousine Amandine raconter leur trajet.
Trop tôt pour les bonjours et ne rêvant que d’une bonne douche, je file droit sans même m’arrêter et prends les escaliers. Je tourne à droite, un, deux, troisième porte. Je m’apprête à l’ouvrir quand soudain :
- Mais ce serait pas ma nièce préférée, ça ? Viens là que je te regarde un coup et que j’t’embrasse !
L’oncle. Le vrai, le beauf, le lourd. Tonton Stéphan, le frère de maman est grand, trapu, style rugbyman à la retraite, la cinquantaine mais qui veut rester d’jeuns. C’est le tonton que tu sens pas, drôle mais toujours dans l’excès. Déjà torse nu, habillé de son plus beau bermuda et de ses plus incroyables tongs. Il est là, devant moi. À peine le temps de souffler qu’il est là à m’embrasser les joues, collant son torse contre moi, me prenant dans ses bras épais.
- Tonton,… s’il-te-plaît.. laisse-moi respirer, je dis, le repoussant un peu.
- Toutes mes excuses ma p’tite demoiselle. C’est qu’j’suis vachement content de te voir, ça fait un bail hein ! La dernière fois que je t’ai vu t’avais pas des lolos aussi gros, m’enfin c’est bien profites-en, après ça tombe comme ceux de tata, ricane t-il en lançant un clin d’œil des plus gênants.
- Ah… euh… bah oui, j’imagine que j’ai un peu changé. Bon, tu m’excuses mais là je rêve uniquement d’une douche et de recharger mon téléphone alors, on se voit un peu plus tard, d’accord ? Je dis en m’esquivant et en entrant dans la chambre, refermant instantanément derrière moi.
Quel enfer ! Je me dis.
Bon si je suis totalement franche, il n’est pas méchant, il est juste un peu étrange et beaucoup trop tactile pour être honnête mais bon, maman a dit qu’il fallait resserrer nos liens à tous alors je ne vais pas commencer à faire ma mauvaise tête et je vais prendre sur moi. Et puis finalement, je me rappelle qu’il n’est pas si mauvais que ça comparé à sa folle de femme, ma tante, la nasillarde.
Je pose mon sac sur le lit et en sors mon chargeur de téléphone que je branche sans attendre. Je file sous la douche pendant qu’il recharge.
Une serviette autour de mon corps tenue par mes seins plutôt imposants et une autour de la tête, il est temps pour moi de me poser. Premier réflexe : les applis de rencontre sur le téléphone. Ok pour passer du temps en famille mais je compte bien profiter de ces vacances pour m’éclater un peu. Je suis toujours à la recherche des mêmes profils, les hommes plutôt mûrs et qui veulent uniquement se lâcher avec une petite jeune car trop frustrés avec leur femme.
Il n’y a pas vraiment de profils intéressants à proximité, il fallait s’en douter, le coin est paumé. Qu’à cela ne tienne, je me change les idées en regardant des vidéos sur les réseaux sociaux quand soudain, quelques dizaines de minutes plus tard, je reçois une notification d’une des applis de rencontre que j’utilise surtout pour des plans d’un soir.
Je regarde le profil, le type s’appelle visiblement Marc, est marié, a des enfants et a 54 ans. Parfait pour moi, rien de sérieux en prévision avec un homme marié. Sa photo de profil montre uniquement un gros plan sur un boxer qui semble bien rempli et lourd. Le profil idéal pour moi qui suis plutôt gourmande. Quant à ma photo de profil, elle est assez sobre, je me suis prise en photo assise avec une jupe et un top très décolleté sans soutien-gorge. J’ai pris soin de couper la photo afin qu’on n’y voit pas mon visage, on n’est jamais trop prudente.
Il me demande si ça va, si je suis seulement de passage ou si je suis de la région. Quelles sont mes envies, mes disponibilités. Bref, celui-là ne veut pas perdre de temps et je suis obligée de calmer ses ardeurs en lui rappelant qu’il n’a qu’une photo de profil d’un boxer en gros plan et que selon moi, ce n’est pas suffisant pour déterminer s’il me plaît, premièrement.
- Ah ouais, je vois. Mademoiselle est difficile, ça veut jouer les saintes-nitouches mais les profils comme toi, je les connais, on leur montre un peu plus et ensuite ça disparaît parce que ça a peur des gros calibres. Tiens, pour la peine, voilà quelques photos et on verra si t’as toujours quelque chose à dire, me dit-il par message.
Une, deux, trois, quatre photos. Le choc. Il n’est plus question de gros plan sur un boxer tout d’un coup. L’engin est long, large, veineux, les couilles sont lourdes, imposantes, lisses. Il n’a pas menti et il a vu juste, ça peut effrayer. Mais moi, ça ne m’effraie pas. Au contraire, j’y vois là l’occasion de me faire retourner comme un petit jouet. Cependant, l’homme n’a visiblement pas de visage. Je peux comprendre, il est discret, il est marié, je ne vais pas me formaliser à si peu de chose.
Impressionnée mais pas envie de le montrer, en signe de réponse, je lui envoie deux photos. Une où je suis en string, de face, les seins nus, lourds, bien ronds, la peau laiteuse, les tétons pointés vers le haut, bien roses et petits. Une autre où on y voit clairement ma chatte lisse, bombée et luisante de mouille. Toujours dans un soucis d’égalité, je me garde bien de lui montrer mon visage. Après tout, nous sommes là surtout pour nous amuser.
- Wow, t’as l’air chaude, finalement ma salope. J’te déboite quand ? J’ai jamais baisé une nana de dix-huit ans, normalement c’est celles qui prennent la fuite à la vue du braquemart. Mais toi, j’dirais pas non pour te montrer ce qu’est un vrai mâle, le mec me répond.
- Moi, je ne prends jamais la fuite et j’ai plutôt bien envie de sentir cette énorme queue ouvrir tous mes trous et surtout vider ces énormes couilles qui m’ont l’air beaucoup trop pleines, je réponds sûre de moi.
TOC, TOC, TOC !!
- Chérie, tu viens. Nous t’attendons dans 5 minutes en bas, nous allons nous promener tous ensemble dans le village avant de dîner. On fera un barbecue ce soir dans le jardin, il nous faut de quoi manger ! La voix de maman me fait oublier toutes mes envies de petite cochonne.
- Oui, oui, oui, j’arrive maman. Ohlala, c’est les vacances ou pas ??? Je réponds, saoulée d’être ainsi coupée dans mes rêveries avec cette énorme queue.
Je descends, ils sont tous là. De vrais touristes. Maman sous une couche épaisse de crème solaire, papa avec ses espadrilles et son appareil photo autour du cou, papy et mamie avec leur panier, le cousin et la cousine se chamaillant pour savoir quand est-ce qu’ils auront le droit d’aller dans la piscine, la tante Isabelle un bob vissé sur la tête et le visage déjà rouge de chaleur et l’oncle Stéphan en marcel, fixé sur son téléphone. Un vrai geek celui-là.
Moi, j’ai fait sobre. Tellement sobre que j’ai tout misé sur le minimalisme. Une paire de sandales dorées, une jupette blanche, fluide et courte à travers laquelle on peut clairement voir mon string noir, un débardeur gris sans soutiens gorge en dessous, mes lunettes de soleil et … mon portable.
Allez, en route vers le village. Et à pieds, s’il-vous-plaît !
Tout est petit, le village, le marché des artisans, les commerces. Tout ! Même le parc à côté du centre du village semble rikiki, trois petites cabanes semi-ouvertes protègent les tables de pic-nique qui doivent être là depuis des décennies. Tout le monde semble vivre cette première journée de vacances de la meilleure des manières, ça parle, ça plaisante, ça se charrie, ça se remémore des souvenirs tout en marchant et achetant le dîner. Tout le monde sauf tonton. Un vrai gosse celui-là, ne décrochant qu’un mot de temps à autre et passant son temps le nez sur le téléphone à appuyer énergiquement sur l’écran.
En parlant de téléphone, le mien ne s’arrête plus de vibrer. Coup d’œil rapide, on dirait que mon vieux pervers de l’application a faim. Il s’impatiente. Plusieurs messages non lus.
« Dis-moi où et quand, petite salope et je te donne tout. »
« Déjà plus de réponses ? Tu avais l’air pourtant motivée.. »
« J’arrête pas de regarder tes photos, j’imagine déjà ta petite chatte bien ouverte après mon passage. T’es là ?? »
Je suis obligée de répondre, je ne veux pas prendre le risque de passer à côté d’un étalon pareil.
- Désolée, tu te doutes bien qu’à mon âge, je suis obligée de passer du temps avec mes parents, lol ! Et si on se voyait ce soir ? Mais plutôt tard pour ma part parce que je suis pas certaine que mes parents me laisseront sortir seule dans un endroit que je ne connais pas trop.. car je suis seulement en vacances ici. On pourrait se rejoindre vers minuit vers le parc à coté du village. Vu le nombre d’habitants, il y a peu de chance qu’il y ait du monde hihi ! J’envoie excitée rien qu’à l’idée qu’il puisse dire oui !
- Pas de soucis. On se rejoint à minuit pile dans l’unes des petites cabanes. J’espère que tu vas assumer et vraiment venir. Et j’espère vraiment que t’aimes les vieux pervers qui ont envie de défoncer de la gonzesse parce que je suis chaud comme la braise ! Allez, à toute, qu’il me répond !
Punaise, faites que cette soirée passe vite, je me dis au fond de moi. J’ai tellement hâte d’y aller. Comment sera-t-il ? Aura-t-il une queue aussi belle que sur les photos ? Vais-je vraiment assumer ? Je suis toute excitée par l’inconnu de la situation. Ce n’est pourtant pas la première fois mais là je suis dans une région que je ne connais pas et j’aime ça.
De retour à la maison depuis un moment, nous sommes tous à table, le soleil a laissé place à la lune et nous finissons le repas même si, c’est vrai, moi je n’ai pas vraiment mangé, trop impatiente que tout le monde aille se coucher après cette longue journée. Je regarde l’heure toutes les dix minutes ! 22 heures ! Bon allez, Nina, débrouille-toi mais trouve une solution pour t’esquiver dans ta chambre.
- Bon moi, je vais aller me préparer à dormir, tout le monde! Je suis désolée mais je ne tiens plus là ! Je dors presque assise après cette journée ! Je dis en me levant et faisant coucou de la main !
- Oh mais nous aussi on va aller dormir, jeune fille ! Tu n’es certainement pas la seule à être fatiguée. Et demain, j’ai déjà prévu un programme chargé, sauf si vous voulez faire autre chose évidemment ! Répond instantanément tata Isabelle.
Je ne relève pas et souris, puis tourne les talons et monte dans ma chambre. Je ferme la porte derrière moi et commence à me déshabiller. J’entends les autres débarrasser la table en bas sur la terrasse, ça s’embrasse, ça baille, ça se souhaite bonne nuit !
Vite, je file à la douche et me prépare de partout pour être prête à toute éventualité pour tout à l’heure. Je profite de l’occasion pour me mettre deux doigts sous l’eau bien chaude. Hmm, que c’est bon. Je suis tellement excitée mais je ne peux pas m’éparpiller, je dois faire vite !
Un peu de BB crème, un trait de crayon, du mascara, du blush pêche sur les joues, un rose sur les lèvres, une crème parfumée à la vanille sur tout le corps et me voilà fin prête !
QUOI ?? 23h20 ?? Je dois partir dans 10 minutes sinon trop peur d’arriver en retard à mon rendez-vous. Pas le temps de réfléchir trop, j’enfile une jupe courte à volants, avec des petits fleurs dessus, un débardeur blanc, une paire de sandales et rien de plus. Vraiment rien de plus. Pas de string, pas de tanga, pas de soutiens gorge. Je veux être prête à l’emploi.
Soudainement, j’entends la porte d’entrée en bas s’ouvrir et se refermer ! Ils ne dorment pas tous ? J’ouvre la porte de la chambre, jette un coup d’œil dans le couloir. Toutes les portes des chambres sont fermées et aucune lumière ne filtre en dessous de l’une d’elles ! Bizarre ! Qu’à cela ne tienne, je ne peux plus tarder. Le temps de descendre les escaliers et de passer par la baie vitrée de derrière la maison, celle qui ne fait pas de bruit et de faire le tour afin de regagner le chemin du village il est déjà 23h40 !
Je marche d’un pas décidé, excitée de savoir ce qu’il va m’arriver avec cet inconnu dans cet endroit totalement inconnu. Je sens déjà ma petite chatte chauffer et je pourrais sauter sur le premier homme qui passe, s’il y en avait. Les rues sont désertes, les chemins aussi, les routes encore plus.
J’aperçois le parc à une vingtaine de mètres devant moi. Il est plutôt mal éclairé mais je distingue toutefois les petites cabanes. Je me rapproche, de plus en plus.
Il est là.
Le vieux pervers qui veut déboîter de la petite jeune comme il dit. Il est là. De dos. Solide. Grand. Des épaules larges, un marcel noir. Debout, une jambe bien ancrée dans le sol et l’autre sur le banc de la table de pic-nique.
J’en reviens pas, étant donné son mouvement de bras, de dos, je pense que le mâle est déjà en train de se branler.
- Besoin de se défouler sur une jeune ? Je dis, étant arrivée à environ un mètre derrière lui.
- Ah putain ma salope, il dit avant même de se retourner.
Il s’est retourné ! Mais…
- Nina ??? Mais… qu’est ce que tu fais là ?? Mais.. Nina… il demande avec les yeux exorbités.
- TONTON STEPHAN ??? Oh non c’est pas vrai.. Par pitié, réveillez-moi, mon Dieu. Je veux disparaître, je réponds, choqué de voir mon oncle devant moi.
C’était donc lui. Ça m’apprendra à répondre au premier pervers qui me parle sur l’application. Je ne sais plus où regarder, je ne sais plus quoi faire. Je veux partir mais mes jambes sont tétanisées dans le sol et sans le vouloir mes yeux se posent sur l’engin. Les photos étaient les bonnes. Sa grosse main est encore autour de sa queue. Elle ne fait même pas le tour et je vois ces énormes testicules lisses, qui semblent prêts à exploser.
Sans le vouloir, sans le contrôler, je sens ma chatte commencer à mouiller. Je le sens et je le sais surtout. Je me connais. J’ai bien peur qu’à un moment mon cerveau oublie complètement que cet homme est mon oncle et me pousse à faire des choses interdites avec lui.
- Écoute, je suis,.. je suis vraiment désolé Nina. Je savais pas que je parlais à toi, sinon jamais j’aurais dit tout ça. Jamais j’aurais envoyé ces photos. Je.. suis désolé, j’arrive même pas à débander putain. Dit quelque chose, réagit putain ! Il dit visiblement paniqué par la situation et rangeant son braquemart dans son boxer.
- Je suis tellement mal à l’aise, punaise.. je ne sais même pas quoi dire. J’étais tellement excitée par le fait de me faire baiser ce soir que j’ai même pas voulu demander une photo de la tête.. je suis.. je suis désolée aussi pour les photos, je réponds complètement navrée.
- Non Nina ne soit pas désolée pour les photos, je me suis retenue de me branler et de gicler dessus toute la journée, j’aurais pu carrément te baiser. Enfin non !! C’est pas ce que je voulais dire, si ça n’avait pas été toi, je l’aurais certainement fait, oui, voila ! Et je t’aurais bien défoncer aussi ! Enfin, je veux dire.. euh.. si ça n’avait pas été toi, là encore ! … euh.. bon écoute, je … je vais rentrer et tout de suite, dit-il remontant son bermuda.
Je ne sais pas ce qui m’a pris à ce moment là. Je ne sais pas si c’est l’excitation ou le fait de me dire que la situation ne pourrait pas être pire que ce qu’elle était présentement mais sans réfléchir, sans même m’en rendre compte, je l’ai arrêté avant qu’il ne parte, je l’ai regardé dans les yeux, comme un jouet fragile, j’ai pris sa main et l’ai passé sous ma jupette pour finalement la poser sur ma chatte humide.
- Oh putain, Nina. Non, s’il te plaît.. oh putain, t’es trempée. Fais pas ça, on pourrait avoir des ennuis.. on peut pas.. il a murmuré alors que je gardais sa main tout contre ma chatte en me frottant tout doucement contre sa paume.
- Tonton… je sais pas pourquoi, ni comment mais j’ai vraiment envie.. j’arrive pas à oublier tes photos ni ce que je viens de voir entre tes jambes… je le veux et je sais que tu en as aussi envie… je vois bien que ta bosse ne rétrécie pas et je peux toujours jouer les salopes pour toi… je veux dire maintenant qu’on est là… je répondis sûre de moi.
- Oh putain… et puis merde ! Je te vois jamais et j’ai les burnes pleines et c’est pas ta tante qui va me les vider. Viens là, je vais te faire regretter de chauffer des mecs comme moi, putain !
Sur ces mots, sa main et ses doigts qui étaient sur ma chatte ont commencé à me caresser, énergiquement. Me titiller les lèvres, étaler ma mouille sur toute ma chatte. De son autre main, il commença à me palper les seins, d’abord par dessus mon haut et ensuite en passant sa main dessous. N’écoutant que mon excitation, j’ai retiré mon haut. Il a enlevé aussitôt sa main trempée de ma chatte et m’a palpé de plus en plus fort les seins, se rapprochant, les serrant. Il a commencé à les embrasser, les lécher, étalant ma mouille sur mes tétons.
- Tonton, attends… dis-je en me retirant de ses mains afin de laisser tomber ma jupe par terre et m’offrant complètement nue à lui.
- Oh ma petite salope. T’as envie que tonton te defonce ? Regarde ce qui t’attends ! Répondit-il en enlevant son marcel, son bermuda et son boxer.
Il avait le sexe dur comme de la pierre, qui pointait vers le haut. Sa queue était épaisse, veineuse et son gland luisait déjà d’excitation.
- Tonton oublie qui je suis et baise-moi comme si j’étais rien. Je veux comprendre ce que c’est que d’être une petite chienne…
Au fur et à mesure que je disais ces mots, je me rapprochais de lui et lorsque je suis arrivée vraiment face à lui, j’ai passé mes bras autour de son cou, sur la pointe des pieds et l’ai embrassé. Sa langue est venu fouiller ma bouche. J’ai senti un de ses bras venir me serrer la taille et me coller contre lui. Quant à son autre main, j’ai senti ses doigts venir jouer avec mon anus. Je n’ai pu m’empêcher de gémir à ce moment-là. Il a vite compris que j’aimais ça qu’un homme joue avec tous mes trous car un de ses doigts est entré en moi.
Il a retiré son doigt, est venu porter sa main à ma bouche et m’a fait sucer ses doigts, les enfonçant par moment assez loin dans ma gorge, ce qui me faisait baver de façon incontrôlable.
Une fois ses doigts bien trempés, il est revenu à la charge sur mon anus, plus excité que jamais et a commencé à me doigter. J’étais perdue. Je n’avais plus qu’une chose en tête : devenir la meilleure des salopes pour mon oncle.
Je me cambrais comme il n’était pas permis et me laisser fouiller, d’abord un doigt, puis deux. Il faisait des va-et-vient puissants et profonds.
Mais l’envie était trop forte, je me libéra de ses mains magiciennes et me baissa pour me mettre à genoux devant lui, devant son énorme queue de mâle puissant et supérieur. Je le regardais droit dans les yeux et ouvrit la bouche. Ni une, ni deux, je me retrouva avec son engin dans la bouche. C’était donc ça de sucer son oncle ? Je m’appliquais, prenant son sexe le plus loin possible dans ma bouche, le branlant en même temps d’une main et de l’autre main jouant tantôt avec ses couilles tantôt avec ma chatte, m’enfonçant quelques doigts au passage. Je sentais ses mains se poser sur l’arrière de ma tête, il commençait à me baiser la bouche, ne pensant plus à rien d’autre qu’à son propre plaisir. Ça y est, j’étais devenu son vide-couille.
- Vas-y suce ma salope, montre à tonton comme t’aimes la bite. Hmm, oui comme ça, vas-y, avale la bien. Gobe mes couilles. Si t’es une bonne chienne, je te remplirai la chatte ou le cul et tu me remerciera, qu’il me disait en baisant ma bouche complètement déformée par la taille de son sexe.
- Tonton, j’en peux plus. Je suis trop excitée… baise-moi. Défonce-moi !!! Je suppliais le menton plein de bave, me relevant pour aller me mettre à genoux sur le banc, la poitrine et la tête contre la table, les cuisses bien écartées et mes deux trous bien offerts!
- J’aime quand tu me supplies comme ça, ma salope. Tu vas avoir ce que tu veux, t’inquiète même pas, prépare toi, me répondit-il.
Sa bite était trempée de bave mais ça ne l’a pas empêché de cracher sur mon anus et d’un coup, j’ai senti comme un courant électrique me parcourir le corps. Mélange de la pire douleur qu’il puisse exister et du plus grand plaisir qu’il m’ait été donné de connaître. Sa queue était dans mon petit anus serré. Ses mains sont venu attraper mon cou et il commença a faire des va-et-vient violents, sans ménagement. Ses couilles venaient buter contre ma chatte trempée. Je couinais comme jamais, je n’en pouvais plus, je sentais ma chatte couler, je passais mes mains derrière et les posa sur ses cuisses pour l’encourager à continuer à me baiser comme ça. Je l’entendais grogner de sa voix forte de mâle, ses mains ont attrapés mes hanches. Les miennes sont venu s’agripper à la table, rentrant mes ongles dans le bois sec.
Il me donna des fessées magistrales, j’étais devenu un jouet pour lui, plus rien ne comptait à ses yeux que son propre plaisir mais c’est finalement comme ça que je prenais le mien.
- Putain ma salope, t’as le trou de balle dilaté comme jamais. Vas-y retourne toi, mets- toi sur le dos sur la table et écarte bien tes cuisses de putain. J’vais te remplir ta petite chatte pour marquer mon territoire, dit-il en se retirant de mon petit cul rouge.
Je m’exécuta. J’étais à présent offerte, jambes écartées au maximum, la chatte à disposition, les seins lourds à découvert.
- Tonton, vas-y d’un coup, j’ai jamais été baisée comme ça auparavant !
Sa queue est rentrée d’un coup sec. Je laissa échapper un cri de plaisir! Mes doigts sont instantanément venus titiller mon clito avec fougue pendant que sa queue faisait des dégâts dans ma petite chatte ! J’étais ailleurs, complètement déconnectée de tout, complètement possédée par cet homme de ma famille qui me baisait comme un malade. Ses mains frappaient mes seins et les malaxait. A un moment je reçu même une gifle à laquelle j’ai répondu instinctivement « merci » !
Je sentais tonton aller de plus en plus vite et grogner de plus en plus fort. Et tout d’un coup : son cri… son râle… pas de doutes, je le sentais même de l’intérieur… il était en train de jouir en moi. J’ai jouis presque en même temps, l’orgasme le plus intense de ma vie. Les cuisses paralysées par tant de plaisir.
Il se retira et je senti son jus chaud couler hors de ma chatte.
- Viens laver la queue de tonton, maintenant que t’as été fécondée! Et j’ai pas entendu merci, salope ! Ordonna-t-il.
- Pardon tonton, merci tonton. Merci pour ton jus en moi et de m’avoir élargi de partout, je répondis en venant me mettre à genoux devant lui, difficilement tant mes jambes étaient tremblantes.
Avec ma langue, je léchais tout le jus restant sur sa queue, gobant ses couilles afin de ne rien perdre du sperme qui avait coulé.
- Allez, relève-toi, on se rhabille. On va devoir rentrer, Nina. On sait jamais..
- Nina ?? Je … je suis plus ta salope ? C’est déjà fini ? Je demandais.
- Si tu insistes, tu vas être ma salope pendant deux semaines alors. On va devoir trouver des stratagèmes si on veut refaire ce genre de conneries mais je compte sur toi, si t’es motivée la grande, tu aura de la queue h24. Allez viens, on y va ! Et surtout quand tu rentres, dors avec mon jus en toi, je veux sentir ta chatte pleine de sperme au petit déjeuner demain matin.
Et bien, ce genre de tonton, derrière tous ces défauts, cache finalement de grandes qualités.
Laissez-moi vous raconter cette histoire qui s’est déroulée l’été dernier et surtout, laissez-moi vous poser le tableau.
Je m’appelle Nina, j’habite à Metz dans le département de la Moselle. J’ai dix-neuf ans depuis peu et au moment de cette histoire que je m’apprête à vous confier, j’avais dix-huit ans.
Je ne suis pas très grande, 1 mètre 54, merci maman. Je suis plutôt mince, 43 kilos, encore une fois, merci maman. Je suis brune, la peau blanche, laiteuse, les cheveux mi-longs, ondulés mais surtout je fais du 90D. Et là, plus que jamais, merci maman.
Nous sommes début août, il est à peu près six heure du matin. Je suis encore à moitié endormie, entre les songes et l’éveil. Finalement, un bruit sourd et franc me ramène à la réalité. Le coffre vient de se fermer, papa et maman viennent de faire une partie de Tétris des plus magistrale afin de rentrer toutes les valises et tous les paquets à l’arrière de la voiture. C’est parti pour un voyage qui s’annonce long, avec les recommandations de conduite de maman qui ne conduit pas et les chansons que papa décidera d’écouter pour rester alerte durant ce trajet jusqu’à Plan d’Aups Sainte Baume, non loin d’Aix-en-Provence.
Oh,.. vous ne connaissez pas ? C’est normal. C’est un petit village de pas grand chose au milieu d’un grand rien. Autant vous dire que pour une citadine de dix-huit ans, les vacances s’annoncent compliquées.
Mots d’ordre de ces deux semaines de congés ? Famille et repos selon maman.
Au programme : se reconnecter à la famille car d’après maman, toujours, il n’y a rien de plus important. Se détendre et ne penser à rien. Aller barboter dans la piscine de la grande maison typique du Sud que tout le monde a loué, bronzer, lire, faire de la marche, passer de longs déjeuners et d’interminables dîners à table avec toute cette belle équipe et bien-sûr faire semblant d’apprécier tout cela.
Bref, autant vous dire que pour la fille blasée que je peux être par moment, tout cela est déjà un peu trop. Mais je fais bonne figure, je ne veux pas gâcher ces vacances précieuses pour mes parents.
- Ma chérie,.. nous sommes arrivés.. Il est seize heure, il y a eu beaucoup de bouchons, nous sommes en retard, reveille-toi et regarde comme tout est beau.
La voix de maman m’extirpe de mon sommeil. Je n’ai plus de batterie sur mon téléphone, c’est sûrement à cause de cela que je me suis endormie.
Toute cette lumière m’éblouit, les yeux mi-clos, je dois déjà reconnaître qu’elle a raison, il n’y a pas à dire: c’est beau !
Soudainement, la portière s’ouvre et une voix nasillarde se fait entendre.
- Bon, tu vas sortir ? Tu ne vas tout de même pas passer toutes tes vacances sur la banquette arrière de la voiture, si ? Pfff
L’enfer. La tante Isabelle. Pour vous donner une idée, partez du principe qu’elle sait toujours mieux que quiconque, qu’elle a forcément le dernier mot et qu’elle n’est pas vraiment intéressée par vous, même lorsqu’elle vous donne l’impression de l’être.
Physiquement ? Bon… pas très jolie, d’accord, je ne suis pas objective. Le cheveux coupé court, certainement pour éviter toute perte de temps inutile à se coiffer et un visage constamment fermé.
- Ohhh tata, comme je suis contente de te voir. Je ne t’embrasse pas, je suis poisseuse avec ce long voyage, je dis en sortant de la voiture et lui souriant le plus faussement possible.
- Oui, évite s’il te plaît. Surtout que je suis déjà fraîche comme une rose, nous sommes arrivés tôt en début d’après-midi, nous ! Je me suis déjà douché et je suis plus que prête à aller faire toute sorte d’activités ! Évidemment, chacun fera bien comme il le voudra, personne n’est là pour commander qui que ce soit ! Ceci dit, Nina, rentre dans la maison, va au premier étage, ta chambre sera sur ta droite, la troisième porte. Il faut te rafraîchir, dit-elle.
Je la regarde et je souris. Il me semble que c’est ce qu’il y a de mieux à faire. Ni une, ni deux, je m’exécute. J’attrape mon sac et entre dans la grande maison. Directement sur ma droite, il y a le salon avec beaucoup d’assises, un billard et un bar où tous les choix semblent permis. À ma gauche, la cuisine. Mais pas que. Papy est là, attablé avec un café à la main. Mamie est là également tout à côté de lui. Ils écoutent mon cousin Loïc et ma cousine Amandine raconter leur trajet.
Trop tôt pour les bonjours et ne rêvant que d’une bonne douche, je file droit sans même m’arrêter et prends les escaliers. Je tourne à droite, un, deux, troisième porte. Je m’apprête à l’ouvrir quand soudain :
- Mais ce serait pas ma nièce préférée, ça ? Viens là que je te regarde un coup et que j’t’embrasse !
L’oncle. Le vrai, le beauf, le lourd. Tonton Stéphan, le frère de maman est grand, trapu, style rugbyman à la retraite, la cinquantaine mais qui veut rester d’jeuns. C’est le tonton que tu sens pas, drôle mais toujours dans l’excès. Déjà torse nu, habillé de son plus beau bermuda et de ses plus incroyables tongs. Il est là, devant moi. À peine le temps de souffler qu’il est là à m’embrasser les joues, collant son torse contre moi, me prenant dans ses bras épais.
- Tonton,… s’il-te-plaît.. laisse-moi respirer, je dis, le repoussant un peu.
- Toutes mes excuses ma p’tite demoiselle. C’est qu’j’suis vachement content de te voir, ça fait un bail hein ! La dernière fois que je t’ai vu t’avais pas des lolos aussi gros, m’enfin c’est bien profites-en, après ça tombe comme ceux de tata, ricane t-il en lançant un clin d’œil des plus gênants.
- Ah… euh… bah oui, j’imagine que j’ai un peu changé. Bon, tu m’excuses mais là je rêve uniquement d’une douche et de recharger mon téléphone alors, on se voit un peu plus tard, d’accord ? Je dis en m’esquivant et en entrant dans la chambre, refermant instantanément derrière moi.
Quel enfer ! Je me dis.
Bon si je suis totalement franche, il n’est pas méchant, il est juste un peu étrange et beaucoup trop tactile pour être honnête mais bon, maman a dit qu’il fallait resserrer nos liens à tous alors je ne vais pas commencer à faire ma mauvaise tête et je vais prendre sur moi. Et puis finalement, je me rappelle qu’il n’est pas si mauvais que ça comparé à sa folle de femme, ma tante, la nasillarde.
Je pose mon sac sur le lit et en sors mon chargeur de téléphone que je branche sans attendre. Je file sous la douche pendant qu’il recharge.
Une serviette autour de mon corps tenue par mes seins plutôt imposants et une autour de la tête, il est temps pour moi de me poser. Premier réflexe : les applis de rencontre sur le téléphone. Ok pour passer du temps en famille mais je compte bien profiter de ces vacances pour m’éclater un peu. Je suis toujours à la recherche des mêmes profils, les hommes plutôt mûrs et qui veulent uniquement se lâcher avec une petite jeune car trop frustrés avec leur femme.
Il n’y a pas vraiment de profils intéressants à proximité, il fallait s’en douter, le coin est paumé. Qu’à cela ne tienne, je me change les idées en regardant des vidéos sur les réseaux sociaux quand soudain, quelques dizaines de minutes plus tard, je reçois une notification d’une des applis de rencontre que j’utilise surtout pour des plans d’un soir.
Je regarde le profil, le type s’appelle visiblement Marc, est marié, a des enfants et a 54 ans. Parfait pour moi, rien de sérieux en prévision avec un homme marié. Sa photo de profil montre uniquement un gros plan sur un boxer qui semble bien rempli et lourd. Le profil idéal pour moi qui suis plutôt gourmande. Quant à ma photo de profil, elle est assez sobre, je me suis prise en photo assise avec une jupe et un top très décolleté sans soutien-gorge. J’ai pris soin de couper la photo afin qu’on n’y voit pas mon visage, on n’est jamais trop prudente.
Il me demande si ça va, si je suis seulement de passage ou si je suis de la région. Quelles sont mes envies, mes disponibilités. Bref, celui-là ne veut pas perdre de temps et je suis obligée de calmer ses ardeurs en lui rappelant qu’il n’a qu’une photo de profil d’un boxer en gros plan et que selon moi, ce n’est pas suffisant pour déterminer s’il me plaît, premièrement.
- Ah ouais, je vois. Mademoiselle est difficile, ça veut jouer les saintes-nitouches mais les profils comme toi, je les connais, on leur montre un peu plus et ensuite ça disparaît parce que ça a peur des gros calibres. Tiens, pour la peine, voilà quelques photos et on verra si t’as toujours quelque chose à dire, me dit-il par message.
Une, deux, trois, quatre photos. Le choc. Il n’est plus question de gros plan sur un boxer tout d’un coup. L’engin est long, large, veineux, les couilles sont lourdes, imposantes, lisses. Il n’a pas menti et il a vu juste, ça peut effrayer. Mais moi, ça ne m’effraie pas. Au contraire, j’y vois là l’occasion de me faire retourner comme un petit jouet. Cependant, l’homme n’a visiblement pas de visage. Je peux comprendre, il est discret, il est marié, je ne vais pas me formaliser à si peu de chose.
Impressionnée mais pas envie de le montrer, en signe de réponse, je lui envoie deux photos. Une où je suis en string, de face, les seins nus, lourds, bien ronds, la peau laiteuse, les tétons pointés vers le haut, bien roses et petits. Une autre où on y voit clairement ma chatte lisse, bombée et luisante de mouille. Toujours dans un soucis d’égalité, je me garde bien de lui montrer mon visage. Après tout, nous sommes là surtout pour nous amuser.
- Wow, t’as l’air chaude, finalement ma salope. J’te déboite quand ? J’ai jamais baisé une nana de dix-huit ans, normalement c’est celles qui prennent la fuite à la vue du braquemart. Mais toi, j’dirais pas non pour te montrer ce qu’est un vrai mâle, le mec me répond.
- Moi, je ne prends jamais la fuite et j’ai plutôt bien envie de sentir cette énorme queue ouvrir tous mes trous et surtout vider ces énormes couilles qui m’ont l’air beaucoup trop pleines, je réponds sûre de moi.
TOC, TOC, TOC !!
- Chérie, tu viens. Nous t’attendons dans 5 minutes en bas, nous allons nous promener tous ensemble dans le village avant de dîner. On fera un barbecue ce soir dans le jardin, il nous faut de quoi manger ! La voix de maman me fait oublier toutes mes envies de petite cochonne.
- Oui, oui, oui, j’arrive maman. Ohlala, c’est les vacances ou pas ??? Je réponds, saoulée d’être ainsi coupée dans mes rêveries avec cette énorme queue.
Je descends, ils sont tous là. De vrais touristes. Maman sous une couche épaisse de crème solaire, papa avec ses espadrilles et son appareil photo autour du cou, papy et mamie avec leur panier, le cousin et la cousine se chamaillant pour savoir quand est-ce qu’ils auront le droit d’aller dans la piscine, la tante Isabelle un bob vissé sur la tête et le visage déjà rouge de chaleur et l’oncle Stéphan en marcel, fixé sur son téléphone. Un vrai geek celui-là.
Moi, j’ai fait sobre. Tellement sobre que j’ai tout misé sur le minimalisme. Une paire de sandales dorées, une jupette blanche, fluide et courte à travers laquelle on peut clairement voir mon string noir, un débardeur gris sans soutiens gorge en dessous, mes lunettes de soleil et … mon portable.
Allez, en route vers le village. Et à pieds, s’il-vous-plaît !
Tout est petit, le village, le marché des artisans, les commerces. Tout ! Même le parc à côté du centre du village semble rikiki, trois petites cabanes semi-ouvertes protègent les tables de pic-nique qui doivent être là depuis des décennies. Tout le monde semble vivre cette première journée de vacances de la meilleure des manières, ça parle, ça plaisante, ça se charrie, ça se remémore des souvenirs tout en marchant et achetant le dîner. Tout le monde sauf tonton. Un vrai gosse celui-là, ne décrochant qu’un mot de temps à autre et passant son temps le nez sur le téléphone à appuyer énergiquement sur l’écran.
En parlant de téléphone, le mien ne s’arrête plus de vibrer. Coup d’œil rapide, on dirait que mon vieux pervers de l’application a faim. Il s’impatiente. Plusieurs messages non lus.
« Dis-moi où et quand, petite salope et je te donne tout. »
« Déjà plus de réponses ? Tu avais l’air pourtant motivée.. »
« J’arrête pas de regarder tes photos, j’imagine déjà ta petite chatte bien ouverte après mon passage. T’es là ?? »
Je suis obligée de répondre, je ne veux pas prendre le risque de passer à côté d’un étalon pareil.
- Désolée, tu te doutes bien qu’à mon âge, je suis obligée de passer du temps avec mes parents, lol ! Et si on se voyait ce soir ? Mais plutôt tard pour ma part parce que je suis pas certaine que mes parents me laisseront sortir seule dans un endroit que je ne connais pas trop.. car je suis seulement en vacances ici. On pourrait se rejoindre vers minuit vers le parc à coté du village. Vu le nombre d’habitants, il y a peu de chance qu’il y ait du monde hihi ! J’envoie excitée rien qu’à l’idée qu’il puisse dire oui !
- Pas de soucis. On se rejoint à minuit pile dans l’unes des petites cabanes. J’espère que tu vas assumer et vraiment venir. Et j’espère vraiment que t’aimes les vieux pervers qui ont envie de défoncer de la gonzesse parce que je suis chaud comme la braise ! Allez, à toute, qu’il me répond !
Punaise, faites que cette soirée passe vite, je me dis au fond de moi. J’ai tellement hâte d’y aller. Comment sera-t-il ? Aura-t-il une queue aussi belle que sur les photos ? Vais-je vraiment assumer ? Je suis toute excitée par l’inconnu de la situation. Ce n’est pourtant pas la première fois mais là je suis dans une région que je ne connais pas et j’aime ça.
De retour à la maison depuis un moment, nous sommes tous à table, le soleil a laissé place à la lune et nous finissons le repas même si, c’est vrai, moi je n’ai pas vraiment mangé, trop impatiente que tout le monde aille se coucher après cette longue journée. Je regarde l’heure toutes les dix minutes ! 22 heures ! Bon allez, Nina, débrouille-toi mais trouve une solution pour t’esquiver dans ta chambre.
- Bon moi, je vais aller me préparer à dormir, tout le monde! Je suis désolée mais je ne tiens plus là ! Je dors presque assise après cette journée ! Je dis en me levant et faisant coucou de la main !
- Oh mais nous aussi on va aller dormir, jeune fille ! Tu n’es certainement pas la seule à être fatiguée. Et demain, j’ai déjà prévu un programme chargé, sauf si vous voulez faire autre chose évidemment ! Répond instantanément tata Isabelle.
Je ne relève pas et souris, puis tourne les talons et monte dans ma chambre. Je ferme la porte derrière moi et commence à me déshabiller. J’entends les autres débarrasser la table en bas sur la terrasse, ça s’embrasse, ça baille, ça se souhaite bonne nuit !
Vite, je file à la douche et me prépare de partout pour être prête à toute éventualité pour tout à l’heure. Je profite de l’occasion pour me mettre deux doigts sous l’eau bien chaude. Hmm, que c’est bon. Je suis tellement excitée mais je ne peux pas m’éparpiller, je dois faire vite !
Un peu de BB crème, un trait de crayon, du mascara, du blush pêche sur les joues, un rose sur les lèvres, une crème parfumée à la vanille sur tout le corps et me voilà fin prête !
QUOI ?? 23h20 ?? Je dois partir dans 10 minutes sinon trop peur d’arriver en retard à mon rendez-vous. Pas le temps de réfléchir trop, j’enfile une jupe courte à volants, avec des petits fleurs dessus, un débardeur blanc, une paire de sandales et rien de plus. Vraiment rien de plus. Pas de string, pas de tanga, pas de soutiens gorge. Je veux être prête à l’emploi.
Soudainement, j’entends la porte d’entrée en bas s’ouvrir et se refermer ! Ils ne dorment pas tous ? J’ouvre la porte de la chambre, jette un coup d’œil dans le couloir. Toutes les portes des chambres sont fermées et aucune lumière ne filtre en dessous de l’une d’elles ! Bizarre ! Qu’à cela ne tienne, je ne peux plus tarder. Le temps de descendre les escaliers et de passer par la baie vitrée de derrière la maison, celle qui ne fait pas de bruit et de faire le tour afin de regagner le chemin du village il est déjà 23h40 !
Je marche d’un pas décidé, excitée de savoir ce qu’il va m’arriver avec cet inconnu dans cet endroit totalement inconnu. Je sens déjà ma petite chatte chauffer et je pourrais sauter sur le premier homme qui passe, s’il y en avait. Les rues sont désertes, les chemins aussi, les routes encore plus.
J’aperçois le parc à une vingtaine de mètres devant moi. Il est plutôt mal éclairé mais je distingue toutefois les petites cabanes. Je me rapproche, de plus en plus.
Il est là.
Le vieux pervers qui veut déboîter de la petite jeune comme il dit. Il est là. De dos. Solide. Grand. Des épaules larges, un marcel noir. Debout, une jambe bien ancrée dans le sol et l’autre sur le banc de la table de pic-nique.
J’en reviens pas, étant donné son mouvement de bras, de dos, je pense que le mâle est déjà en train de se branler.
- Besoin de se défouler sur une jeune ? Je dis, étant arrivée à environ un mètre derrière lui.
- Ah putain ma salope, il dit avant même de se retourner.
Il s’est retourné ! Mais…
- Nina ??? Mais… qu’est ce que tu fais là ?? Mais.. Nina… il demande avec les yeux exorbités.
- TONTON STEPHAN ??? Oh non c’est pas vrai.. Par pitié, réveillez-moi, mon Dieu. Je veux disparaître, je réponds, choqué de voir mon oncle devant moi.
C’était donc lui. Ça m’apprendra à répondre au premier pervers qui me parle sur l’application. Je ne sais plus où regarder, je ne sais plus quoi faire. Je veux partir mais mes jambes sont tétanisées dans le sol et sans le vouloir mes yeux se posent sur l’engin. Les photos étaient les bonnes. Sa grosse main est encore autour de sa queue. Elle ne fait même pas le tour et je vois ces énormes testicules lisses, qui semblent prêts à exploser.
Sans le vouloir, sans le contrôler, je sens ma chatte commencer à mouiller. Je le sens et je le sais surtout. Je me connais. J’ai bien peur qu’à un moment mon cerveau oublie complètement que cet homme est mon oncle et me pousse à faire des choses interdites avec lui.
- Écoute, je suis,.. je suis vraiment désolé Nina. Je savais pas que je parlais à toi, sinon jamais j’aurais dit tout ça. Jamais j’aurais envoyé ces photos. Je.. suis désolé, j’arrive même pas à débander putain. Dit quelque chose, réagit putain ! Il dit visiblement paniqué par la situation et rangeant son braquemart dans son boxer.
- Je suis tellement mal à l’aise, punaise.. je ne sais même pas quoi dire. J’étais tellement excitée par le fait de me faire baiser ce soir que j’ai même pas voulu demander une photo de la tête.. je suis.. je suis désolée aussi pour les photos, je réponds complètement navrée.
- Non Nina ne soit pas désolée pour les photos, je me suis retenue de me branler et de gicler dessus toute la journée, j’aurais pu carrément te baiser. Enfin non !! C’est pas ce que je voulais dire, si ça n’avait pas été toi, je l’aurais certainement fait, oui, voila ! Et je t’aurais bien défoncer aussi ! Enfin, je veux dire.. euh.. si ça n’avait pas été toi, là encore ! … euh.. bon écoute, je … je vais rentrer et tout de suite, dit-il remontant son bermuda.
Je ne sais pas ce qui m’a pris à ce moment là. Je ne sais pas si c’est l’excitation ou le fait de me dire que la situation ne pourrait pas être pire que ce qu’elle était présentement mais sans réfléchir, sans même m’en rendre compte, je l’ai arrêté avant qu’il ne parte, je l’ai regardé dans les yeux, comme un jouet fragile, j’ai pris sa main et l’ai passé sous ma jupette pour finalement la poser sur ma chatte humide.
- Oh putain, Nina. Non, s’il te plaît.. oh putain, t’es trempée. Fais pas ça, on pourrait avoir des ennuis.. on peut pas.. il a murmuré alors que je gardais sa main tout contre ma chatte en me frottant tout doucement contre sa paume.
- Tonton… je sais pas pourquoi, ni comment mais j’ai vraiment envie.. j’arrive pas à oublier tes photos ni ce que je viens de voir entre tes jambes… je le veux et je sais que tu en as aussi envie… je vois bien que ta bosse ne rétrécie pas et je peux toujours jouer les salopes pour toi… je veux dire maintenant qu’on est là… je répondis sûre de moi.
- Oh putain… et puis merde ! Je te vois jamais et j’ai les burnes pleines et c’est pas ta tante qui va me les vider. Viens là, je vais te faire regretter de chauffer des mecs comme moi, putain !
Sur ces mots, sa main et ses doigts qui étaient sur ma chatte ont commencé à me caresser, énergiquement. Me titiller les lèvres, étaler ma mouille sur toute ma chatte. De son autre main, il commença à me palper les seins, d’abord par dessus mon haut et ensuite en passant sa main dessous. N’écoutant que mon excitation, j’ai retiré mon haut. Il a enlevé aussitôt sa main trempée de ma chatte et m’a palpé de plus en plus fort les seins, se rapprochant, les serrant. Il a commencé à les embrasser, les lécher, étalant ma mouille sur mes tétons.
- Tonton, attends… dis-je en me retirant de ses mains afin de laisser tomber ma jupe par terre et m’offrant complètement nue à lui.
- Oh ma petite salope. T’as envie que tonton te defonce ? Regarde ce qui t’attends ! Répondit-il en enlevant son marcel, son bermuda et son boxer.
Il avait le sexe dur comme de la pierre, qui pointait vers le haut. Sa queue était épaisse, veineuse et son gland luisait déjà d’excitation.
- Tonton oublie qui je suis et baise-moi comme si j’étais rien. Je veux comprendre ce que c’est que d’être une petite chienne…
Au fur et à mesure que je disais ces mots, je me rapprochais de lui et lorsque je suis arrivée vraiment face à lui, j’ai passé mes bras autour de son cou, sur la pointe des pieds et l’ai embrassé. Sa langue est venu fouiller ma bouche. J’ai senti un de ses bras venir me serrer la taille et me coller contre lui. Quant à son autre main, j’ai senti ses doigts venir jouer avec mon anus. Je n’ai pu m’empêcher de gémir à ce moment-là. Il a vite compris que j’aimais ça qu’un homme joue avec tous mes trous car un de ses doigts est entré en moi.
Il a retiré son doigt, est venu porter sa main à ma bouche et m’a fait sucer ses doigts, les enfonçant par moment assez loin dans ma gorge, ce qui me faisait baver de façon incontrôlable.
Une fois ses doigts bien trempés, il est revenu à la charge sur mon anus, plus excité que jamais et a commencé à me doigter. J’étais perdue. Je n’avais plus qu’une chose en tête : devenir la meilleure des salopes pour mon oncle.
Je me cambrais comme il n’était pas permis et me laisser fouiller, d’abord un doigt, puis deux. Il faisait des va-et-vient puissants et profonds.
Mais l’envie était trop forte, je me libéra de ses mains magiciennes et me baissa pour me mettre à genoux devant lui, devant son énorme queue de mâle puissant et supérieur. Je le regardais droit dans les yeux et ouvrit la bouche. Ni une, ni deux, je me retrouva avec son engin dans la bouche. C’était donc ça de sucer son oncle ? Je m’appliquais, prenant son sexe le plus loin possible dans ma bouche, le branlant en même temps d’une main et de l’autre main jouant tantôt avec ses couilles tantôt avec ma chatte, m’enfonçant quelques doigts au passage. Je sentais ses mains se poser sur l’arrière de ma tête, il commençait à me baiser la bouche, ne pensant plus à rien d’autre qu’à son propre plaisir. Ça y est, j’étais devenu son vide-couille.
- Vas-y suce ma salope, montre à tonton comme t’aimes la bite. Hmm, oui comme ça, vas-y, avale la bien. Gobe mes couilles. Si t’es une bonne chienne, je te remplirai la chatte ou le cul et tu me remerciera, qu’il me disait en baisant ma bouche complètement déformée par la taille de son sexe.
- Tonton, j’en peux plus. Je suis trop excitée… baise-moi. Défonce-moi !!! Je suppliais le menton plein de bave, me relevant pour aller me mettre à genoux sur le banc, la poitrine et la tête contre la table, les cuisses bien écartées et mes deux trous bien offerts!
- J’aime quand tu me supplies comme ça, ma salope. Tu vas avoir ce que tu veux, t’inquiète même pas, prépare toi, me répondit-il.
Sa bite était trempée de bave mais ça ne l’a pas empêché de cracher sur mon anus et d’un coup, j’ai senti comme un courant électrique me parcourir le corps. Mélange de la pire douleur qu’il puisse exister et du plus grand plaisir qu’il m’ait été donné de connaître. Sa queue était dans mon petit anus serré. Ses mains sont venu attraper mon cou et il commença a faire des va-et-vient violents, sans ménagement. Ses couilles venaient buter contre ma chatte trempée. Je couinais comme jamais, je n’en pouvais plus, je sentais ma chatte couler, je passais mes mains derrière et les posa sur ses cuisses pour l’encourager à continuer à me baiser comme ça. Je l’entendais grogner de sa voix forte de mâle, ses mains ont attrapés mes hanches. Les miennes sont venu s’agripper à la table, rentrant mes ongles dans le bois sec.
Il me donna des fessées magistrales, j’étais devenu un jouet pour lui, plus rien ne comptait à ses yeux que son propre plaisir mais c’est finalement comme ça que je prenais le mien.
- Putain ma salope, t’as le trou de balle dilaté comme jamais. Vas-y retourne toi, mets- toi sur le dos sur la table et écarte bien tes cuisses de putain. J’vais te remplir ta petite chatte pour marquer mon territoire, dit-il en se retirant de mon petit cul rouge.
Je m’exécuta. J’étais à présent offerte, jambes écartées au maximum, la chatte à disposition, les seins lourds à découvert.
- Tonton, vas-y d’un coup, j’ai jamais été baisée comme ça auparavant !
Sa queue est rentrée d’un coup sec. Je laissa échapper un cri de plaisir! Mes doigts sont instantanément venus titiller mon clito avec fougue pendant que sa queue faisait des dégâts dans ma petite chatte ! J’étais ailleurs, complètement déconnectée de tout, complètement possédée par cet homme de ma famille qui me baisait comme un malade. Ses mains frappaient mes seins et les malaxait. A un moment je reçu même une gifle à laquelle j’ai répondu instinctivement « merci » !
Je sentais tonton aller de plus en plus vite et grogner de plus en plus fort. Et tout d’un coup : son cri… son râle… pas de doutes, je le sentais même de l’intérieur… il était en train de jouir en moi. J’ai jouis presque en même temps, l’orgasme le plus intense de ma vie. Les cuisses paralysées par tant de plaisir.
Il se retira et je senti son jus chaud couler hors de ma chatte.
- Viens laver la queue de tonton, maintenant que t’as été fécondée! Et j’ai pas entendu merci, salope ! Ordonna-t-il.
- Pardon tonton, merci tonton. Merci pour ton jus en moi et de m’avoir élargi de partout, je répondis en venant me mettre à genoux devant lui, difficilement tant mes jambes étaient tremblantes.
Avec ma langue, je léchais tout le jus restant sur sa queue, gobant ses couilles afin de ne rien perdre du sperme qui avait coulé.
- Allez, relève-toi, on se rhabille. On va devoir rentrer, Nina. On sait jamais..
- Nina ?? Je … je suis plus ta salope ? C’est déjà fini ? Je demandais.
- Si tu insistes, tu vas être ma salope pendant deux semaines alors. On va devoir trouver des stratagèmes si on veut refaire ce genre de conneries mais je compte sur toi, si t’es motivée la grande, tu aura de la queue h24. Allez viens, on y va ! Et surtout quand tu rentres, dors avec mon jus en toi, je veux sentir ta chatte pleine de sperme au petit déjeuner demain matin.
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13 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quelle chance il a ce vieux cochon !...;-)
En tout cas ça m'a vraiment excité !
Bonne continuation.
Roger
En tout cas ça m'a vraiment excité !
Bonne continuation.
Roger
Jolie... j adore
Superbe histoire ... tu n'imagines même pas ce que j'ai fait en te lisant ... quoique, tu ne dois pas avoir trop de mal ... :-)
Au plaisir de converser avec toi ... je suis aussi dans l'Est (près de Thionville)
A bientôt une suite j'espère
Mojo
Au plaisir de converser avec toi ... je suis aussi dans l'Est (près de Thionville)
A bientôt une suite j'espère
Mojo
C'est ce que j'ai lu de plus excitant ici depuis longtemps, et c'est très bien écrit! Bravo!
J si aimer ton histoire
A la deuxième lectrice donc celle après le commentaire de charlotte…
Arrête ton char, on sait tous les deux que ça t’a quand même fait mouiller cette histoire ^^
Arrête ton char, on sait tous les deux que ça t’a quand même fait mouiller cette histoire ^^
Elle est bandante ton histoire. Mais on en attend plus maintenant que tu nous en as mis l’eau à la bouche. Et puis peut-être que tu peux retracer tes sensations seconde par seconde si tu te replonges dans tes souvenirs en les recréant avec tes godes et autres sextoy ?
Faut croire qu'on a de sacrés besoins dans l'est... Très bon début et hâte de la suite.
Récit intéressant, bien écrit, j'aime beaucoup votre plume.
Au plaisir de vous lire de nouveau, ici ou ailleurs ;)
Au plaisir de vous lire de nouveau, ici ou ailleurs ;)
Eh bien, voilà un premier texte qui montre, outre un talent certain de son auteure pour allumer les hommes mûrs, un talent certain pour l'écriture. Le style est bon et l'histoire bien racontée.
Attention cependant aux conjugaisons : "Je laissa échapper un cri", ç'est pas top.
Attention cependant aux conjugaisons : "Je laissa échapper un cri", ç'est pas top.
Nina la coquine !!!!
Vivement une suite aussi osée ...
Lolo.
Vivement une suite aussi osée ...
Lolo.
Donc l’oncle est assez con pour niquer 1 gamine sa nièce en plus sans capotes avec tous les risques encourus grossesse intra familiale et IST !!!
Bravo le mec.
A 18 ans déjà le feu au cul a ce point et a 20 ans elle tournera dans les pornos ou finira sur le trottoir. 🤦♀️
Bravo le mec.
A 18 ans déjà le feu au cul a ce point et a 20 ans elle tournera dans les pornos ou finira sur le trottoir. 🤦♀️
Très bonne entrée en matière, cela demande une suite évidement