Le tour de l’Europe du sexe (2): le trajet vers la Grèce - histoire érotique

Après mes 3 jours de plaisir intense dans le sud de l’Italie en compagnie de la jeune et belle Chiara, je monte sur un bateau direction la Grèce. J’y ai réservé en avance un petit appartement pour quelques jours de détente avant de retourner sur le continent. En plus après avoir un peu discuter par mail, avec la fille des propriétaires, Adria, elle m’a trouvé quelques heures de travail quotidien pour une compagnie de bateau touristique. Ca sera pas très glamour car je devrais nettoyer les bateaux mais au moins ça me fera des sous et ça me permettra de prolonger ce voyage échappatoire.

Avant tout ça je prends un bus pour remonter sur Bari, de là j’ai 16 heures de traversé en bateau avant d’atteindre Heraklion. Le bateau quitte le port à minuit, alors je me dépêches de rejoindre la cabine que je partage avec 3 autres mecs. Je m’installe en choisissant le meilleur lit et quand je sors faire un tour mes compagnons de voyages ne sont toujours pas là. En me baladant, je tombe sur un groupe de 3 femmes d’environ mon âge et qui parlent le français avec un accent. Je reconnais rapidement qu’elles sont belges.

Nous échangeons des regards mais ça ne va pas plus loin. Je me fais le plaisir de m’offrir un verre d’alcool, ça sera pas du luxe pour m’aider à dormir au milieu de 3 inconnus. Je vais profiter de la fraicheur et du calme sur le pont quand j’entends glousser derrière moi, ce sont les 3 belges. Une blonde, presque aussi grande que moi, plutôt fine et avec de jolies formes me demande avec un fort accent:« Are you Italian? » (« Es tu italien? »)Espérant ne pas la vexer, je lui réponds en français:« Non, mais je suis pas belge non plus! »Elles gloussent en même temps.

Nous commençons à discuter et j’apprends qu’elle s’appelle Aline. Sa copine de gauche, une rousse presque aussi grande qu’elle mais avec beaucoup moins de formes, s’appelle Noémie. Celle qui ferme le trio c’est Babet, c’est une brune qui fait une tête de moins que les autres et très plantureuse. Comme moi, elles font un tour d’Europe, sauf que pour elles ce n’est pas à la suite d’un mariage raté mais pour fêter la fin de leurs études.

Nous discutons un moment mais comme mon voyage a démarrer ce matin à 7h, je suis bien fatigué alors je m’excuse rapidement. Quand je rejoins ma cabine, je remarque que je suis seul, il y a ni valise ni sac. Ce n’est pas étonnant vu le peu de monde que j’ai croisé sur le bateau. Pas mécontent d’avoir payer mon billet si peu cher pour me retrouver tranquille, je prends mes aises.

Le lendemain, je me réveille assez tôt. Il est que 7h30 quand je sors de la cabine à la recherche d’un café. Vers 9 heures le soleil tape déjà fort et nous avons encore 7 heures de trajet avant d’atteindre notre destination alors je vais me mettre en maillot de bain. Je tombe en premier sur un slip de bain que j’enfile et qui fait bien apparaitre ma poutre (comme son l’indique).

Je trouve un endroit assez calme, sur un des ponts inférieur, assez ensoleillé et loin de l’agitation des autres passagers. Au bout d’un moment à me faire dorer au soleil, j’entends glousser au dessus de moi. Sans bouger la tête, derrière mes lunettes de soleil, je reconnais Babet, Noémie et Aline en bikini. Elles parlent un moment puis disparaissent, c’est dommage parce que j’aurai bien sympathiser avec l’une d’elles et de préférence la brune. Déjà hier j’avais bien remarqué ses formes mais en maillot de bain, elle est encore plus désirable.

Je replonge dans mes pensées quand j’entends qu’on m’appelle:« Ououh! Romain! C’est nous »Les belges sont non seulement descendues pour être sur le même pont que moi mais maintenant elles exhibent leur poitrine. Babet a de gros seins lourds, qui se balancent à chacun de ses pas, surplombés de larges aréoles aussi foncés que ses cheveux. La rousse à une poitrine aussi plates que le reste de son corps et de minuscules tétines roses. La troisième est vraiment entre les deux.

Quand elles sont presque à ma hauteur elles font, les 3, un tour sur elle même pour me montrer que leurs culottes sont des strings. Leurs culs sont proportionné comme leur seins, décidément la brune m’attire de plus en plus. Je ne peux pas m’empêcher de leur dire:« Vu vos tenues, je suis étonné que les hommes de ce bateau ne vous suivent pas! »Elle rougissent et vient s’installer à côté de moi.

Je sens leurs regards sur moi et sans doute, aussi, sur mon entrejambe. Mon slip est tellement moulant que si je porter rien ça serait la même chose. Il faut que je fasse attention de pas trop m’excité parce que je suis pas sûr qu’il y ait assez de tissu pour cacher une érection. Aline m’aide pas en me disant:« Ecoute Romain, nous avons passé une bonne partie de la nuit à parler de toi et nous espérons que tu baiseras avec l’une ou l’autre d’entre nous avant qu’on arrive. »
Je suis non seulement étonné de la franchise de sa phrase mais aussi de la tournure de leur demande. Pour détendre l’atmosphère, je dis en rigolant:« Et pourquoi pas vous 3 en même temps! »Nous rigolons tous mais la blonde ouvre encore plus ses jambes et enfonce le tissu qui recouvre sa vulve dans sa chatte. Mon cerveau veut dire « Attendez les filles on va se calmer! » mais ma bouche ne fait sortir aucun son.

Pour encore plus m’exciter, Noémie tire sur le tissu de son string et me dévoile sa chatte complètement épilé, même si c’est pas ce que je préfère ça m’excite quand même. Elle brille de cyprine qui dégouline de ses lèvres intimes, je sens ma bite gonflé dans mon minuscule slip de bain. J’essaye de cacher au maximum mon entrejambe alors que je leur dis:« Vous êtes magnifiques mais … »Babet m’interrompt pour me demander:« On ne te plait pas? »
J’ai envie de lui répondre que c’est tout le contraire, surtout pour elle, mais elle est déjà en train de faire rouler le bas de son maillot pour m’exhiber son con surplombé d’un petit ticket de métro foncé. Son nectar commence déjà à perler sur ses cuisses. Ma queue gonfle encore plus et je sens mon gland forcé l’élastique de mon slip. Babet en profite pour venir se coller derrière moi et fait glisser une main le long de mon torse et mon ventre jusqu’à atteindre mon champignon et l’empoigner.

Ses deux copines se déshabillent à leur tour. Leurs monts de Vénus sont, eux aussi, tous différents car celui Aline est recouvert de poils blonds. Elle vient s’agenouiller devant moi et se penche pour lécher la partie de mon sexe toujours recouverte de tissu. Impossible de le cacher, je suis raide comme un piquet. Noémie s’approche de moi, elle aussi est à poil et s’applique à me mettre dans la même tenue.

Je leur demande de se calmer le temps que l’on aille se mettre à l’abri dans ma cabine mais elles m’écoutent pas et continuent. La brune, qui écrase ses gros seins contre mon dos, a encore plus plongé sa main, elle me palpe les couilles. Bien que j’ai passé ma dernière nuit italienne à baiser Chiara, elles ont eu le temps de se remplir. La blonde aspire mon gland et fait tournoyer sa langue autour pendant que la rousse me branle entre la bouche de sa copine et la main de l’autre.

Je prends énormément de plaisir à me faire cajoler le membre par ces 3 belles femmes mais j’ai aussi envie de gouter leurs sexes. Je me dégage et attrape Noémie par la taille, car elle me semble être la plus légère des 3. Je la retourne pour qu’elle est la tête en bas et la maintient avec mes bras qui entourent le haut de ses cuisses. Je plonge ma tête entre ses jambes et commence à lécher sa vulve totalement lisse.

Un peu déstabilisé par la situation, elle attrape ma cuisse avec une main pour se maintenir en équilibre. De l’autre elle empoigne ma bite pour la diriger entres ses lèvres et me gober directement en gorge profonde. Les 2 autres filles se caressent en nous regardant faire ce 69 endiablé et surtout à la vertical. Malgré le travaille dans les champs je commence à fatiguer au bout de quelques minutes alors je la dépose délicatement.

Babet en profite pour empoigner ma bite et m’attirer vers elle. Une fois que je suis bien coincé entre ses bras, elle se met à me sucer aussi en gorge profonde. Elle recrache ma queue, recouverte de sa salive, et viens la glisser au milieu de son énorme poitrine. Elle presse bien ses gros seins autour de mon membre et les remue pour me faire une bonne branlette espagnol.

Elle crache régulièrement sur sa poitrine pour permettre que sa glisse toujours bien et profiter des sorties de mon gland pour le lécher et récupérer mon pré-sperme qui coule de mon méat. Babet me gobe de plus en plus le gland et me fait abandonner sa poitrine. Je sens qu’Aline trépigne d’impatience alors je profite encore des seins de la belle brune puis me retourne vers la blonde.

Elle me demande de la prendre comme je l’ai fait avec sa copine Noémie, du coup je la soulève et elle bloque ses genoux sur mes épaules. Je sais pas si elle s’est beaucoup excitée dans son coin ou si le fait d’avoir la tête en bas la chamboule trop mais en à peine quelques coups de langue, elle abandonne ma bite et hurle son plaisir.

Elle fait tellement de bruit que dès qu’elle reprend ses esprits, je la repose sur le sol. Je leur demande de remettre leurs maillots de bain pour que nous allions dans ma cabine continuer notre moment à 4. Elles se rhabillent rapidement, j’enfile mon petit slip de bain et nous parcourons le bateau rapidement. Toujours pas de compagnons de voyage avec moi, nous avons donc la chambre rien que pour nous. Elles se déshabillent et se rapprochent de moi mais je les arrête:« Mettez vous côte à côte à 4 pattes. »
Sans dire un mot, elles s’exécutent. Je tourne autour d’elles en effleurant les paires de fesses qui se présentent à moi. J’enfile une capote et je viens derrière Babet, j’empoigne ma queue et commence par passer mon gland sur ses lèvres intimes qui dégoulinent déjà de bonheur. Je m’enfonce en elle d’un coup sec, elle est tellement ouverte que je ne rentre sans aucune résistance.

Quand je suis bien au fond de sa grotte et que mes couilles sont contre elle, je m’immobilise pas et la lime directement. J’y vais de plus en plus violemment, je sens sa cyprine venir m’éclabousser. Même si je suis très heureux d’enfin la baiser, je quitte son sexe aussi sèchement que je suis rentré. Je me présente derrière Noémie, sa peau est tacheté de points roux. J’écarte ses fesses, plutôt plates, pour découvrir ses orifices et je me plante en elle.

Je la baise tout aussi vigoureusement que Babet avant de m’occuper d’Aline pour lui faire subir les mêmes assauts que ses copines. Je fais un deuxième tour de ses différentes chattes mais tout aussi accueillantes. Je palpe de plus en plus leurs postérieurs et à la fin de chaque pénétration, mes doigts massent leurs rondelles. Au troisième passage, mon index et mon majeur visite leur cul. Mes doigts tournoient dans leurs entrailles et viennent titiller ma queue de l’autre côté de la paroi.

Quand elles sont, toutes les 3, bien ouvertes je retourne vers la pulpeuse Babet. Je m’enfonce d’un coup sec dans son anus et je la chevauche comme si elle était ma jument. Grace à la mouille qui recouvre ma capote, je glisse en elle très facilement. Elle pousse des petits cris de plaisir qui sont plus fort quand mes couilles viennent taper ses lèvres intimes encore plus dégoulinantes.

Je décule au bout de quelques minutes pour m’occuper du cul de la rousse. Elle est tout aussi ouverte que sa copine du coup j’ai aucun mal à la sodomiser. Ses entrailles sont moins serrés que celles de la brune, j’ai presque les mêmes sensations que lorsque j’étais dans sa moule. Par contre la blonde est beaucoup plus fermée, je dois y aller plus lentement pour l’ouvrir comme il le faut afin de coulisser tranquillement dans son cul.

Je passe d’une paire de fesses à l’autre, elles gémissent de plus en plus fort. Quand je m’occupe de l’une d’elle, les deux autres se caressent, elles se tripotent même pendant que je les sodomise. Je sens leurs muscles se contracter autour de moi. Babet et Noémie jouissent enfin alors que j’ai l’impression qu’Aline atteint l’orgasme à chaque fois que j’envahi son postérieur.

Après avoir fait plusieurs passages dans leur cul, je sens la sauce monter. Je profite encore un peu des belles fesses rebondies de la pulpeuse Babet avant de les prévenir que c’est à mon tour de jouir. Elles se retournent vers moi pendant que je retire le préservatif et une fois à genoux je vois leurs langues sorties. Aline gobe mon gland, Babet lèche ma tige pendant que Noémie avale une couille après l’autre. Elles échangent les rôles à plusieurs reprises.

Quand je sens que j’arrive plus à me retenir, je recule pour les faire arrêter. J’empoigne ma bite et me branle énergiquement devant elles qui attendent bouche ouverte. Je dirige mon gland vers la pulpeuse brune, je sens mes veines se contracter alors j’arrête ma main et serre mes doigts autour de ma tige. Un premier jet se dirige vers sa bouche, il est tellement fourni que j’éclabousse aussi sa joue et son oeil qu’elle ferme au bon moment.

Je déplace ma queue pour faire profiter chacune des droits de mon jus. Cela fait bientôt 2 heures que ses 3 belles belges m’excitent alors mon sperme n’arrête pas de s’évacuer par saccade. A chaque jet je recouvre un peu plus leurs lèvres et leur visage. J’admire mon sperme dégouliner sur leur corps et jouer sur leurs seins. Je jute tellement que j’ai l’impression de ne pas avoir baiser depuis des mois.

Quand la source se tarie enfin, je m’effondre sur le matelas derrière mois. Je crois que nous commençons, tous les 4, à somnoler quand une voix dans les hauts parleurs se met à hurler en italien. Nous sommes surement sur le point d’arriver, elles se dépêchent de remettre leur maillot de bain et retourne à leur cabine. Comme j’ai presque rien sorti, je prends mes affaires de toilettes pour ne pas trop sentir la transpiration.

Sur le quai, je retrouve mes 3 belges, elles me proposent de passer la nuit avec elle mais j’ai encore une heure de route pour arriver à l’appartement que je loue. Nous échangeons nos adresses mails et je les quitte en leur faisant un smack mais je roule une pelle à Babet en caressant ses fesses. Je rejoins la route pour faire du stop, une voiture s’arrête rapidement et le chauffeur, qui parle très bien l’anglais, me propose de me déposer jusqu’à destination. Je fais un message à Adria pour la prévenir que je suis en route…