Le Traducteur
Récit érotique écrit par lelivredejeremie [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Traducteur
Oleg se tortille devant moi, ses jambes nouées sur ma taille, une main posée sur mon flanc, l’autre agitée sur sa jolie queue dont le prépuce dévoile le gland suintant de présperme à chaque aller-retour de ses doigts sur sa hampe délicate. La pression de ses talons sur mes fesses, et ses gestes de plus en plus désordonnés annoncent son éjaculation proche, l’humiliation de Zinoviev sera totale, un homme qui a beaucoup perdu – surtout le jouet de sa virilité - est déjà à moitié brisé.
La guerre change les hommes, ce n’est pas un cliché. Prenez… moi, tiens ! Objectivement en léger déficit musculaire, réfractaire à une vie de privations, avec une très faible résistance à la douleur, un physique aux antipodes de celui de mes rudes camarades de régiment, je me suis engagé. Comme traducteur, il faut dire, sur l’insistance de maman, fière nationaliste bien qu’elle soit née en Russie, qui s’est appliquée à me faire atteindre son niveau de bilinguisme. ‘’Ça te sera utile dans ta vie professionnelle, Oleksei.’’ Disons que ça a surtout augmenté mon capital de séduction auprès des étudiants Russes à l’université de Kiev, avant tout ceci…
Puis aussi, alors que plusieurs d’entre eux m’avaient assuré que j’avais le rectum le plus accueillant de la capitale, qu’on m’explique ce que je fous, la queue plantée dans le cul du jeune soldat couché sur la table de la salle d’interrogatoire, sous le regard révulsé de son supérieur menotté à la chaise.
Qui n’est clairement pas que son officier.
Quand ils sont arrivés au camp, le chef de notre bataillon m’a glissé que le minet pouvait être assez important, vu que Zinoviev le gardait près de lui, et l’avait plus protégé que le reste de ses hommes, qu’il envoyait sans remord se faire dézinguer. Ça, plus le fait que le garçon, vraiment trop joli pour son bien, avait survécu à la dedovshchina - le bizutage rituel dans l’armée russe, en clair le viol collectif répété des plus jeunes et faibles - puis à plus d’un an de mobilisation, en plutôt bon état, malgré qu’il eût tout pour être la pute de son régiment… Seule explication possible, le joli Oleg était celle, exclusive, de Zinoviev.
Et là, je lui lime le cul.
Sauf que non, pas trop vite, de la psychologie, Oleksei…
Une fois l’officier entravé au fond de la pièce, j’ai fait venir le garçon pour lui ordonner de se déshabiller. Sans réticence, il s’est exécuté puis penché, le ventre sur la table. Je l’ai patiemment préparé en lui léchant la rondelle - le ‘’Qu’est-ce-que… Oh oui’’ qu’il a murmuré m’a confirmé qu’il était plus habitué à se faire prendre à la hussarde - avant de lentement m’enfoncer en lui pour n’en tirer qu’un long gémissement, du genre que son capitaine n’avait pas dû entendre souvent, vu son regard incrédule.
Mais le spectacle était incomplet, de son point de vue, son vide-couilles subissait malgré lui juste une sodo de plus, je devais le persuader d’au moins un peu participer. J’ai intimé à Oleg de se retourner sur le dos, avant de faire repasser mon gland et juste quelques centimètres de ma queue dans le sphincter béant, pour doucement reprendre ma possession du garçon, sans violence, en lui appliquant un massage plus localisé sur sa prostate, ce qui a fini par l’inciter à spontanément et désormais activement me garder en lui de ses jambes nouées.
J’ai pris du pouce et de l’index un filet du présperme qui suintait de son gland, pour l’étirer entre mes doigts que j’ai léchés, le regard dans celui de l’officier
Je me suis redressé et dégagé de la prise du garçon, dont j’ai arraché les doigts de sa queue, et j’ai exposé la mienne, légèrement brunie au regard de Zinoviev.
- Nooon, encooore, a grogné Oleg, frustré.
- C’est bon ?
- Différent… Reviens !
- Différent… comment ? ai-je minaudé en passant le gland sur le sphincter presque palpitant. ‘’Tu peux être honnête, mon égo n’en souffrira pas, je jouirai quand même en toi, et ton capitaine ne te touchera plus jamais.’’
- Tu promets ? Alors, oui, c’est meilleur ! Plus doux… Et ainsi, de face… Puis ce que tu as fait, juste avant de te retirer, je n’avais jamais… Viens, je veux ça, encore, je veux enfin connaitre…
- Enfin ? Il ne te donne pas la même jouissance ?
- La… ? Non, il me prend à quatre pattes, comme l’animal qu’il est ! Et il jouit trop vite…
- Le sexe est un jeu de patience, capitaine, ai-je glissé à Zinoviev, avec un sourire, avant de prendre les chevilles d’Oleg, de coller ses jambes à mon torse, et de me renfoncer en lui.
La courte pause m’avait permis de retrouver ma maitrise et de récupérer assez d’endurance que pour amener le garçon à reprendre son gémissement, vite remplacé par des couinements, alors que je tournais la tête à gauche et à droite pour embrasser ses pieds nus, avant de revenir fixer l’officier.
Il a gardé son regard dans le mien, avant de le porter sur Oleg, dont la main s’agitait à nouveau sur son sexe. Le corps du jeune soldat s’est arqué, alors qu’il jetait trois… quatre traits de semence sur son ventre.
- C’est beau, non, capitaine ? ai-je soufflé, avant d’enfoncer mes seize centimètres, et d’exercer des pénétrations profondes dans le rectum que je sentais légèrement tressaillir sous l’effet des répliques du plaisir du jeune soldat, ce qui a provoqué mon éjaculation, avec un grognement un peu exagéré.
Mon sexe toujours dressé, mon gland bavant les dernières gouttes de sperme qui ont rejoint sur la table la coulée nacrée qui suintait de l’anus béant d’Oleg, j’ai souri à un Zinoviev cramoisi.
- Je ne mentais pas, tu ne le toucheras plus jamais, s’il le veut, je me le garde. Et toi, tu as le choix, soit tu me donnes des informations sur les mouvements de ton armée et tu participes au prochain échange de prisonniers pour retourner baiser d’autres jeunes culs, soit tu finis un mètre sous la terre de mon pays, ta queue coupée dans la bouche.
OK, côté psychologie, on peut faire mieux, mais j’étais néanmoins satisfait du niveau d’humiliation que j’avais imposé à Zinoviev, et du deal que je l’imaginais mal refuser.
- Oleg, laissons-le réfléchir à ses options, la tienne est de me suivre pour une douche.
Je m’y suis déshabillé avant de le rejoindre, agenouillé. ‘’Que fais-tu ?’’
- Je… Eh bien… te… nettoyer la… a-t-il bafouillé avant d’ouvrir la bouche.
- Mais j’ai la bite souillée de… C’est juste dégueulasse ! Il… il t’imposait de… ?
- Oui… a soufflé le garçon.
Une fois séchés de la même serviette règlementaire un peu rugueuse, je l’ai amené à ma chambre ; avant de rejoindre la salle d’interrogatoire.
- Alors, capitaine, tu as réfléchi ? Les informations, l’échange de prisonniers et les nouvelles recrues, ou le plan B ?
Son sourire vicieux m’aurait donné envie de lui mettre une balle dans le front si j’avais été armé…
Si les renseignements que Zinoviev a donnés n’ont finalement été que peu utiles, ma hiérarchie m’a pourtant autorisé à m’adjoindre Oleg comme aide, sans trop s’attarder sur le reste de nos activités.
Trois mois plus tard, il maitrisait notre langue, du moins assez bien pour prononcer, un peu inquiet, ‘’C’était vraiment bon, Oleksei ?’’, agenouillé entre mes jambes encore tremblantes, alors que je joue du bout du doigt dans le sperme que j’ai projeté sur mon bas-ventre.
Il me reste encore à travailler son assurance, vu qu’il a un coup de queue diablement efficace, pour le passif qu’il avait été et qui me rend, de temps en temps, l’envie de l’être à nouveau.
La guerre change les hommes, ce n’est pas un cliché. Prenez… moi, tiens ! Objectivement en léger déficit musculaire, réfractaire à une vie de privations, avec une très faible résistance à la douleur, un physique aux antipodes de celui de mes rudes camarades de régiment, je me suis engagé. Comme traducteur, il faut dire, sur l’insistance de maman, fière nationaliste bien qu’elle soit née en Russie, qui s’est appliquée à me faire atteindre son niveau de bilinguisme. ‘’Ça te sera utile dans ta vie professionnelle, Oleksei.’’ Disons que ça a surtout augmenté mon capital de séduction auprès des étudiants Russes à l’université de Kiev, avant tout ceci…
Puis aussi, alors que plusieurs d’entre eux m’avaient assuré que j’avais le rectum le plus accueillant de la capitale, qu’on m’explique ce que je fous, la queue plantée dans le cul du jeune soldat couché sur la table de la salle d’interrogatoire, sous le regard révulsé de son supérieur menotté à la chaise.
Qui n’est clairement pas que son officier.
Quand ils sont arrivés au camp, le chef de notre bataillon m’a glissé que le minet pouvait être assez important, vu que Zinoviev le gardait près de lui, et l’avait plus protégé que le reste de ses hommes, qu’il envoyait sans remord se faire dézinguer. Ça, plus le fait que le garçon, vraiment trop joli pour son bien, avait survécu à la dedovshchina - le bizutage rituel dans l’armée russe, en clair le viol collectif répété des plus jeunes et faibles - puis à plus d’un an de mobilisation, en plutôt bon état, malgré qu’il eût tout pour être la pute de son régiment… Seule explication possible, le joli Oleg était celle, exclusive, de Zinoviev.
Et là, je lui lime le cul.
Sauf que non, pas trop vite, de la psychologie, Oleksei…
Une fois l’officier entravé au fond de la pièce, j’ai fait venir le garçon pour lui ordonner de se déshabiller. Sans réticence, il s’est exécuté puis penché, le ventre sur la table. Je l’ai patiemment préparé en lui léchant la rondelle - le ‘’Qu’est-ce-que… Oh oui’’ qu’il a murmuré m’a confirmé qu’il était plus habitué à se faire prendre à la hussarde - avant de lentement m’enfoncer en lui pour n’en tirer qu’un long gémissement, du genre que son capitaine n’avait pas dû entendre souvent, vu son regard incrédule.
Mais le spectacle était incomplet, de son point de vue, son vide-couilles subissait malgré lui juste une sodo de plus, je devais le persuader d’au moins un peu participer. J’ai intimé à Oleg de se retourner sur le dos, avant de faire repasser mon gland et juste quelques centimètres de ma queue dans le sphincter béant, pour doucement reprendre ma possession du garçon, sans violence, en lui appliquant un massage plus localisé sur sa prostate, ce qui a fini par l’inciter à spontanément et désormais activement me garder en lui de ses jambes nouées.
J’ai pris du pouce et de l’index un filet du présperme qui suintait de son gland, pour l’étirer entre mes doigts que j’ai léchés, le regard dans celui de l’officier
Je me suis redressé et dégagé de la prise du garçon, dont j’ai arraché les doigts de sa queue, et j’ai exposé la mienne, légèrement brunie au regard de Zinoviev.
- Nooon, encooore, a grogné Oleg, frustré.
- C’est bon ?
- Différent… Reviens !
- Différent… comment ? ai-je minaudé en passant le gland sur le sphincter presque palpitant. ‘’Tu peux être honnête, mon égo n’en souffrira pas, je jouirai quand même en toi, et ton capitaine ne te touchera plus jamais.’’
- Tu promets ? Alors, oui, c’est meilleur ! Plus doux… Et ainsi, de face… Puis ce que tu as fait, juste avant de te retirer, je n’avais jamais… Viens, je veux ça, encore, je veux enfin connaitre…
- Enfin ? Il ne te donne pas la même jouissance ?
- La… ? Non, il me prend à quatre pattes, comme l’animal qu’il est ! Et il jouit trop vite…
- Le sexe est un jeu de patience, capitaine, ai-je glissé à Zinoviev, avec un sourire, avant de prendre les chevilles d’Oleg, de coller ses jambes à mon torse, et de me renfoncer en lui.
La courte pause m’avait permis de retrouver ma maitrise et de récupérer assez d’endurance que pour amener le garçon à reprendre son gémissement, vite remplacé par des couinements, alors que je tournais la tête à gauche et à droite pour embrasser ses pieds nus, avant de revenir fixer l’officier.
Il a gardé son regard dans le mien, avant de le porter sur Oleg, dont la main s’agitait à nouveau sur son sexe. Le corps du jeune soldat s’est arqué, alors qu’il jetait trois… quatre traits de semence sur son ventre.
- C’est beau, non, capitaine ? ai-je soufflé, avant d’enfoncer mes seize centimètres, et d’exercer des pénétrations profondes dans le rectum que je sentais légèrement tressaillir sous l’effet des répliques du plaisir du jeune soldat, ce qui a provoqué mon éjaculation, avec un grognement un peu exagéré.
Mon sexe toujours dressé, mon gland bavant les dernières gouttes de sperme qui ont rejoint sur la table la coulée nacrée qui suintait de l’anus béant d’Oleg, j’ai souri à un Zinoviev cramoisi.
- Je ne mentais pas, tu ne le toucheras plus jamais, s’il le veut, je me le garde. Et toi, tu as le choix, soit tu me donnes des informations sur les mouvements de ton armée et tu participes au prochain échange de prisonniers pour retourner baiser d’autres jeunes culs, soit tu finis un mètre sous la terre de mon pays, ta queue coupée dans la bouche.
OK, côté psychologie, on peut faire mieux, mais j’étais néanmoins satisfait du niveau d’humiliation que j’avais imposé à Zinoviev, et du deal que je l’imaginais mal refuser.
- Oleg, laissons-le réfléchir à ses options, la tienne est de me suivre pour une douche.
Je m’y suis déshabillé avant de le rejoindre, agenouillé. ‘’Que fais-tu ?’’
- Je… Eh bien… te… nettoyer la… a-t-il bafouillé avant d’ouvrir la bouche.
- Mais j’ai la bite souillée de… C’est juste dégueulasse ! Il… il t’imposait de… ?
- Oui… a soufflé le garçon.
Une fois séchés de la même serviette règlementaire un peu rugueuse, je l’ai amené à ma chambre ; avant de rejoindre la salle d’interrogatoire.
- Alors, capitaine, tu as réfléchi ? Les informations, l’échange de prisonniers et les nouvelles recrues, ou le plan B ?
Son sourire vicieux m’aurait donné envie de lui mettre une balle dans le front si j’avais été armé…
Si les renseignements que Zinoviev a donnés n’ont finalement été que peu utiles, ma hiérarchie m’a pourtant autorisé à m’adjoindre Oleg comme aide, sans trop s’attarder sur le reste de nos activités.
Trois mois plus tard, il maitrisait notre langue, du moins assez bien pour prononcer, un peu inquiet, ‘’C’était vraiment bon, Oleksei ?’’, agenouillé entre mes jambes encore tremblantes, alors que je joue du bout du doigt dans le sperme que j’ai projeté sur mon bas-ventre.
Il me reste encore à travailler son assurance, vu qu’il a un coup de queue diablement efficace, pour le passif qu’il avait été et qui me rend, de temps en temps, l’envie de l’être à nouveau.
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