Le train des plaisirs
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le train des plaisirs
Au cours d'un voyage en train de nuit, Karine a en face d'elle, un homme aux tempes grisonnantes, avec un charisme incontestable. Ils sont seuls dans le wagon. L'homme ne cesse de la dévisager.
Karine tire en vain sur sa jupe trop courte, pour tenter de cacher ses cuisses à demi dévoilées, mais le tissu ne s'allonge pas. Donc, elle doit supporter le regard gênant de l'homme.
Elle sort de son sac un livre, car le voyage risque d'être long. L'homme chausse de grosses lunettes, ouvre un journal, et se met à lire. Souvent le bougre jette un regard par-dessus son journal, en admirant les jambes aux galbes parfait de Karine. De longues minutes passent, trop prise par la lecture de son Livre, qui semble intéressant, elle en oublie le voyageur.
Quelques fois, elle croise les jambes, découvrant totalement ses cuisses. L'homme baisse doucement son journal, rajuste ses lunettes et contemple les cuisses admirables de la femme qui pourrait être sa fille.
En tournant une page du livre, le regarde de Karine, se pose sur l'homme. Elle remarque une grosse bosse qui déforme son pantalon. L'homme croise son regard et rapidement, pose le journal sur son bas-ventre pour cacher l'érection grandissante.
Karine décroise les jambes, pendant le mouvement même s'il fut rapide, l'homme a pu apercevoir la culotte de dentelle de Karine.
Il se cabre en serrant les dents. Karine reprend la lecture de son livre, en se pinçant les lèvres. Puis, elle décide d'allumer l'homme. Elle ouvre lentement les cuisses, laissant ainsi l'homme lui dévorer des yeux sa culotte. L'homme ne quitte pas des yeux l'entrejambe, il salive grandement. Karine ouvre largement les jambes en faisant semblant de lire. L'homme s'agite sur son siège.
De temps en temps, elle jette un coup d'œil rapide sur le voyeur involontaire. Elle décide de passer à l'étape supérieure. Elle se lève, pose son livre sur la banquette, prend son sac à main et se dirige vers la toilette. Elle revient après quelques minutes et se
rassoit, et reprend son livre. Elle l'ouvre et reprend sa lecture. Puis progressivement ouvre ses jambes.
L'homme sursaute, Karine n'a plus de culotte, l'homme voit le sexe bien rasé aux fines lèvres bien dessinées. Karine vicieusement ouvre au maximum ses cuisses. L'homme défaille, sa queue est raide comme du bois. Il passe la main sous son journal, et commence à se tripoter la queue. Karine, tout en faisant semblent de lire, agite doucement son bassin. L'homme n'en peut plus, il repousse son journal, et extirpe de son pantalon sa verge. Sans se soucier des
conséquences, il commence une masturbation d'enfer, sans quitter des yeux le sexe de Karine.
À chaque descente du poignet, il décalotte le gland violacé. Le branlage est vigoureux. Karine pose son livre et regarde l'homme qui agite nerveusement sa bite, elle se trouble, a coquine est prise à son propre jeu. Elle écarquille les yeux, sa chatte commence à suinter légèrement. Mais plus l'homme geint, plus elle s'excite. Elle ne peut contrôler le jus que sa chatte laisse échapper. Inconsciemment, elle retrousse sur le haut de ses cuisses sa jupe, et pose sa main sur sa fente qui fuit.
Les deux se masturbent en ne se quittant pas des yeux. Ils prennent même beaucoup de plaisir à le faire. Sans honte, les deux personnages se branlent en geignant fortement. Soudain, l'homme se cabre et envoie dans les airs plusieurs jets de sperme, qui retombent sur son pantalon et englue ses doigts. Karine voit le sperme jaillir avec force de la hampe forte, épaisse du branleur. Elle accélère sa masturbation en grinçant des dents, elle se malmène le clito. Son branlage est féroce. Soudainement, elle l'écrase, se cabre et jouit en soufflant terriblement.
Les deux garent un moment leur main sur leur sexe en se regardant intensément. Sans savoir pourquoi, Karine se lève, s'agenouille devant l'inconnu, et lui ouvre totalement la braguette, sort les couilles du carcan de tissu, et saisit la bite gluante d'une main. Elle commence un branlage terrible, même violent. L'homme gémit en fermant les yeux. Subitement, Karine décalotte le gland et sans se poser de questions le gobe. Les aspirations qu'elle fait sur le large cèpe fait geindre l'inconnu, qui ne peut retenir :
-Oh la vache, tu es le démon réincarné, vas-y suce salope, je vais te remplir la gueule de mon foutre, suce, suce pouffiasse ça vient !
La grossièreté de l'homme semble exciter Karine, qui s'acharne sur le gland comme une affamée. Tout en le sauçant, elle lui triture les couilles. L'homme pâme de bonheur, en gémissant comme une bête blessée. Il se raidit et la récompense qu'attendait Karine arrive, un flot gluant de sperme lui remplit la bouche. En lui caressant les cheveux, l'homme dit :
-Avale, avale ma chérie !
Karine délaisse la verge et avale jusqu'à la dernière goutte la crème onctueuse. Karine se redresse et rejoint sa place. L'homme se lève et lui aussi se met à genoux face à Karine, il lui dit :
- À mon tour, je vais te faire jouir, ouvre tes cuisses !
Karine, chaude comme de la braise, ouvre les cuisses et en s'avançant sur le bord du siège, lui offre son coquillage. Le bouge avide de l'homme se pose sur la fente dégoulinante, la langue glisse plusieurs fois sur les grandes lèvres, avant de l'enfoncer profondément dans le vagin. La langue agile fouille chaque recoin, sans en omettre. Il aspire le jus suave que la chatte en feu ne peut retenir. Karine se cabre en poussant un gémissement, l'homme vient de lui aspirer le clito. Il suce et tète la boule fortement gonflée.
Karine, souffle comme un dragon, elle appuie sur la tête de l'inconnu en marmonnant :
-Oui, oui, encore, oh mon Dieu, je vais jouir !
Une sorte de brulure intense lui traverse le ventre, elle se cabre et en poussant un long râle, jouit. Elle se laisse retomber sur la banquette en respirant rapidement. L'homme se redresse et reste face à Karine, qui regarde l'engin qui est pris de soubresauts continuels, quelques gouttes de semence s'échappent du méat entrouvert. Il avance doucement sa queue vers le temple brûlant de Karine, qui ne se dérobe pas. Il prend sans brusquerie les jambes de Karine, et les pose sur ses épaules. Il place doucement son gland contre les grandes lèvres, et en s'accrochant sur le haut des cuisses de Karine, pousse.
La verge puissante s'engage lentement dans le puits débordant de cyprine. La verge, large et épaisse, progresse dans le ventre de Karine qui grogne de plaisir. Une fois que les couilles butent contre la chatte, l'inconnu commence un va-et-vient. Karine s'agrippe à son siège, et subit avec plaisir les assauts répétés de l'homme. La bite puissante qui racle les parois sensibles de la gaine, fait geindre Karine comme une agonisante. Une jouissante terrible la terrasse, elle est sans force. L'homme lui ne baisse pas les bras, il lui pilonne le ventre jusqu'à ce qu'il lui remplisse de sa semence.
L'homme donne encore quelques estocades avant de retirer se bite gluante du ventre de la soumise. Soudain un applaudissement se fait entendre, c'est le contrôleur qui la verge hors du pantalon, dit en souriant :
-Est-ce que je peux me joindre à vous, moi aussi, j'ai soif de sexe et vous avoir épié depuis un long moment, j'ai besoin de me dégorger le poireau !
L'homme regarde Karine, qui hausse les épaules, ne faisant une moue. L'inconnu dit :
-Approchez, madame accepte votre compagnie, je crois que nous ne serons pas trop de deux pour assouvir les besoins sexuels de madame !
Le contrôleur s'approche et dit :
-Le prochain arrêt est dans deux heures et demie, donc nous avons le temps d'honorer madame !
Les deux hommes, avant de se dévêtir totalement, mettent nue Karine.
L'inconnu lui malaxe les seins, lui fait durcir les mamelons avant de les gober. Le contrôleur, lui, lui dévore la chatte, il aspire le jus visqueux que l'homme a offert à Karine. La soumise est aux anges, jamais, elle n'aurait imaginé un tel voyage. Les bouches s'acharnent sur elle, elle jouit encore une fois en gémissant fortement. La langue du contrôleur, passe plusieurs fois sur son anus, à chaque passage sur son muscle rectal, Karine geint. Il est temps de la prendre. L'homme s'allonge dur la banquette et invite Karine de venir s'empaler sur sa queue.
Une fois bien embrochée, Karine sait qu'elle va recevoir dans le cul la bite du contrôleur. Elle se plaque contre le torse de l'inconnu et attend. Elle sent contre son anus le frottement du gland. Elle prend une grande aspiration et serre les dents. Lentement, le mandrin de l'employé de la SNCF s'enfonce dans son rectum. Bien que ce soit douloureux, Karine adore la sodomie.
La paroi qui sépare les deux orifices est si fine, que Karine croit que les deux verges sont dans le même trou. Les deux hommes se mettent en action, la synchronisation est parfaite, les bites agissent comme deux pistons dans leur cylindre. Les deux hommes donnent tout ce qu'ils ont en eux. Les coups de reins sont terribles, le va-et-vient super bien dosé, fait jouir Karine comme une dingue, elle hurle à chaque jouissance.
Les deux baiseurs la défoncent comme de beaux diables, les bites voyagent dans les orifices de Karine en la faisant délirer.
-Oui, oui, mes chéris, plus fort, plus fort, ouh-là, ça revient, oui, oui, encore, encore !
Une jouissance encore plus forte que les autres, fait cabrer Karine comme un cheval qui rue. Les eux hommes déversent leur sperme épais dans les entrailles brûlantes de Karine. Qui s'agite sur les queues plantées dans son corps. Au cours du voyage, les hommes échangent plusieurs fois de place. C'est à dix minutes de la gare, qu'ils renfilent leurs vêtements. Pour remercier ses deux hommes d'un soir, Karine leur fait une ultime fellation.
Karine tire en vain sur sa jupe trop courte, pour tenter de cacher ses cuisses à demi dévoilées, mais le tissu ne s'allonge pas. Donc, elle doit supporter le regard gênant de l'homme.
Elle sort de son sac un livre, car le voyage risque d'être long. L'homme chausse de grosses lunettes, ouvre un journal, et se met à lire. Souvent le bougre jette un regard par-dessus son journal, en admirant les jambes aux galbes parfait de Karine. De longues minutes passent, trop prise par la lecture de son Livre, qui semble intéressant, elle en oublie le voyageur.
Quelques fois, elle croise les jambes, découvrant totalement ses cuisses. L'homme baisse doucement son journal, rajuste ses lunettes et contemple les cuisses admirables de la femme qui pourrait être sa fille.
En tournant une page du livre, le regarde de Karine, se pose sur l'homme. Elle remarque une grosse bosse qui déforme son pantalon. L'homme croise son regard et rapidement, pose le journal sur son bas-ventre pour cacher l'érection grandissante.
Karine décroise les jambes, pendant le mouvement même s'il fut rapide, l'homme a pu apercevoir la culotte de dentelle de Karine.
Il se cabre en serrant les dents. Karine reprend la lecture de son livre, en se pinçant les lèvres. Puis, elle décide d'allumer l'homme. Elle ouvre lentement les cuisses, laissant ainsi l'homme lui dévorer des yeux sa culotte. L'homme ne quitte pas des yeux l'entrejambe, il salive grandement. Karine ouvre largement les jambes en faisant semblant de lire. L'homme s'agite sur son siège.
De temps en temps, elle jette un coup d'œil rapide sur le voyeur involontaire. Elle décide de passer à l'étape supérieure. Elle se lève, pose son livre sur la banquette, prend son sac à main et se dirige vers la toilette. Elle revient après quelques minutes et se
rassoit, et reprend son livre. Elle l'ouvre et reprend sa lecture. Puis progressivement ouvre ses jambes.
L'homme sursaute, Karine n'a plus de culotte, l'homme voit le sexe bien rasé aux fines lèvres bien dessinées. Karine vicieusement ouvre au maximum ses cuisses. L'homme défaille, sa queue est raide comme du bois. Il passe la main sous son journal, et commence à se tripoter la queue. Karine, tout en faisant semblent de lire, agite doucement son bassin. L'homme n'en peut plus, il repousse son journal, et extirpe de son pantalon sa verge. Sans se soucier des
conséquences, il commence une masturbation d'enfer, sans quitter des yeux le sexe de Karine.
À chaque descente du poignet, il décalotte le gland violacé. Le branlage est vigoureux. Karine pose son livre et regarde l'homme qui agite nerveusement sa bite, elle se trouble, a coquine est prise à son propre jeu. Elle écarquille les yeux, sa chatte commence à suinter légèrement. Mais plus l'homme geint, plus elle s'excite. Elle ne peut contrôler le jus que sa chatte laisse échapper. Inconsciemment, elle retrousse sur le haut de ses cuisses sa jupe, et pose sa main sur sa fente qui fuit.
Les deux se masturbent en ne se quittant pas des yeux. Ils prennent même beaucoup de plaisir à le faire. Sans honte, les deux personnages se branlent en geignant fortement. Soudain, l'homme se cabre et envoie dans les airs plusieurs jets de sperme, qui retombent sur son pantalon et englue ses doigts. Karine voit le sperme jaillir avec force de la hampe forte, épaisse du branleur. Elle accélère sa masturbation en grinçant des dents, elle se malmène le clito. Son branlage est féroce. Soudainement, elle l'écrase, se cabre et jouit en soufflant terriblement.
Les deux garent un moment leur main sur leur sexe en se regardant intensément. Sans savoir pourquoi, Karine se lève, s'agenouille devant l'inconnu, et lui ouvre totalement la braguette, sort les couilles du carcan de tissu, et saisit la bite gluante d'une main. Elle commence un branlage terrible, même violent. L'homme gémit en fermant les yeux. Subitement, Karine décalotte le gland et sans se poser de questions le gobe. Les aspirations qu'elle fait sur le large cèpe fait geindre l'inconnu, qui ne peut retenir :
-Oh la vache, tu es le démon réincarné, vas-y suce salope, je vais te remplir la gueule de mon foutre, suce, suce pouffiasse ça vient !
La grossièreté de l'homme semble exciter Karine, qui s'acharne sur le gland comme une affamée. Tout en le sauçant, elle lui triture les couilles. L'homme pâme de bonheur, en gémissant comme une bête blessée. Il se raidit et la récompense qu'attendait Karine arrive, un flot gluant de sperme lui remplit la bouche. En lui caressant les cheveux, l'homme dit :
-Avale, avale ma chérie !
Karine délaisse la verge et avale jusqu'à la dernière goutte la crème onctueuse. Karine se redresse et rejoint sa place. L'homme se lève et lui aussi se met à genoux face à Karine, il lui dit :
- À mon tour, je vais te faire jouir, ouvre tes cuisses !
Karine, chaude comme de la braise, ouvre les cuisses et en s'avançant sur le bord du siège, lui offre son coquillage. Le bouge avide de l'homme se pose sur la fente dégoulinante, la langue glisse plusieurs fois sur les grandes lèvres, avant de l'enfoncer profondément dans le vagin. La langue agile fouille chaque recoin, sans en omettre. Il aspire le jus suave que la chatte en feu ne peut retenir. Karine se cabre en poussant un gémissement, l'homme vient de lui aspirer le clito. Il suce et tète la boule fortement gonflée.
Karine, souffle comme un dragon, elle appuie sur la tête de l'inconnu en marmonnant :
-Oui, oui, encore, oh mon Dieu, je vais jouir !
Une sorte de brulure intense lui traverse le ventre, elle se cabre et en poussant un long râle, jouit. Elle se laisse retomber sur la banquette en respirant rapidement. L'homme se redresse et reste face à Karine, qui regarde l'engin qui est pris de soubresauts continuels, quelques gouttes de semence s'échappent du méat entrouvert. Il avance doucement sa queue vers le temple brûlant de Karine, qui ne se dérobe pas. Il prend sans brusquerie les jambes de Karine, et les pose sur ses épaules. Il place doucement son gland contre les grandes lèvres, et en s'accrochant sur le haut des cuisses de Karine, pousse.
La verge puissante s'engage lentement dans le puits débordant de cyprine. La verge, large et épaisse, progresse dans le ventre de Karine qui grogne de plaisir. Une fois que les couilles butent contre la chatte, l'inconnu commence un va-et-vient. Karine s'agrippe à son siège, et subit avec plaisir les assauts répétés de l'homme. La bite puissante qui racle les parois sensibles de la gaine, fait geindre Karine comme une agonisante. Une jouissante terrible la terrasse, elle est sans force. L'homme lui ne baisse pas les bras, il lui pilonne le ventre jusqu'à ce qu'il lui remplisse de sa semence.
L'homme donne encore quelques estocades avant de retirer se bite gluante du ventre de la soumise. Soudain un applaudissement se fait entendre, c'est le contrôleur qui la verge hors du pantalon, dit en souriant :
-Est-ce que je peux me joindre à vous, moi aussi, j'ai soif de sexe et vous avoir épié depuis un long moment, j'ai besoin de me dégorger le poireau !
L'homme regarde Karine, qui hausse les épaules, ne faisant une moue. L'inconnu dit :
-Approchez, madame accepte votre compagnie, je crois que nous ne serons pas trop de deux pour assouvir les besoins sexuels de madame !
Le contrôleur s'approche et dit :
-Le prochain arrêt est dans deux heures et demie, donc nous avons le temps d'honorer madame !
Les deux hommes, avant de se dévêtir totalement, mettent nue Karine.
L'inconnu lui malaxe les seins, lui fait durcir les mamelons avant de les gober. Le contrôleur, lui, lui dévore la chatte, il aspire le jus visqueux que l'homme a offert à Karine. La soumise est aux anges, jamais, elle n'aurait imaginé un tel voyage. Les bouches s'acharnent sur elle, elle jouit encore une fois en gémissant fortement. La langue du contrôleur, passe plusieurs fois sur son anus, à chaque passage sur son muscle rectal, Karine geint. Il est temps de la prendre. L'homme s'allonge dur la banquette et invite Karine de venir s'empaler sur sa queue.
Une fois bien embrochée, Karine sait qu'elle va recevoir dans le cul la bite du contrôleur. Elle se plaque contre le torse de l'inconnu et attend. Elle sent contre son anus le frottement du gland. Elle prend une grande aspiration et serre les dents. Lentement, le mandrin de l'employé de la SNCF s'enfonce dans son rectum. Bien que ce soit douloureux, Karine adore la sodomie.
La paroi qui sépare les deux orifices est si fine, que Karine croit que les deux verges sont dans le même trou. Les deux hommes se mettent en action, la synchronisation est parfaite, les bites agissent comme deux pistons dans leur cylindre. Les deux hommes donnent tout ce qu'ils ont en eux. Les coups de reins sont terribles, le va-et-vient super bien dosé, fait jouir Karine comme une dingue, elle hurle à chaque jouissance.
Les deux baiseurs la défoncent comme de beaux diables, les bites voyagent dans les orifices de Karine en la faisant délirer.
-Oui, oui, mes chéris, plus fort, plus fort, ouh-là, ça revient, oui, oui, encore, encore !
Une jouissance encore plus forte que les autres, fait cabrer Karine comme un cheval qui rue. Les eux hommes déversent leur sperme épais dans les entrailles brûlantes de Karine. Qui s'agite sur les queues plantées dans son corps. Au cours du voyage, les hommes échangent plusieurs fois de place. C'est à dix minutes de la gare, qu'ils renfilent leurs vêtements. Pour remercier ses deux hommes d'un soir, Karine leur fait une ultime fellation.
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14 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Linsee, voilà encore une histoire chaude...
Du vécu ?
Karine a bien pris son pied...
Lolo
Du vécu ?
Karine a bien pris son pied...
Lolo
C'est un cadre érotique toujours excitant, le voyage en train! Merci pour ce récit!
Merci de vos commentaires
Un train comme il n'y a que Très rarement, bon trio
Loïc
Loïc
J'ADORE
Tout est dit, et tout est écrit, bravo
Julien
Julien
Je veux être dans ce train
Encore une bonne jouissance que je te dois Linsee merci
Solange du Mans
Solange du Mans
Merveilleux, vite la suite
Ludo
Ludo
Comment ne pas aimer ce recit.
Roger de l' Oise
Roger de l' Oise
Genial
Gisele
Gisele
La pression monte.
Francie et luc
Francie et luc
Comme dab, j'ai mal ma main
Vieux lecteur veuf, encore vigoureux.
Vieux lecteur veuf, encore vigoureux.
Cela s'annonce terrible