Le Transexuel FIN
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le Transexuel FIN
Assis dans un fauteuil, je contemple le tableau vivant. Personne ne semble se préoccuper de ma personne. J’ai sorti ma queue et lentement je la caresse sans excès afin de maintenir le plus longtemps possible mon plaisir.
Ma femme est lascive, le regard brillant. Je me demande si elle réalise qu’elle est en train de sucer la bite d’une personne mi homme mi femme. Un homme qu’elle a au préalable identifié comme une femme, sucé ses seins et maintenant avec sa bite dans sa bouche. Excitée, elle ne marque aucun signe de rejet et prend plaisir à cette situation. Quand je repense à sa réaction le soir du vernissage !
Par instants, Gloria sort sa bite raide de la bouche devant elle et passe son gland sur le visage d’ange de ma chérie. Il laisse derrière lui sur son passage une trace brillante de mouille et de salive. Puis, l’homme le plonge à nouveau dans la bouche restée béante de la femme docile.
- Alors petite bourgeoise, tu aimes bien sucer ma bite de trans !
Pour toute réponse, ma femme le regarde dans les yeux et lui lance un sourire qui en dit long sur ce qu’elle pense.
Toujours agenouillé sur le divan, encadrant les cuisses de ma femme, ses couilles pendent au dessus de ses seins. Une main de Didier caresse un nichon, l’autre les couilles de son modèle. Ses yeux affichent son excitation alors que son sexe reste flasque.
Youssouf, le serviteur qui vient d’entrer reste légèrement à l’écart comme à disposition de son maître. Un détail, il est entièrement nu et arbore un sexe noir dressé vers le ciel, d’une taille exceptionnelle. Épais et long, il lui recouvre le ventre bien au delà du nombril ! Celui de Gloria est déjà de belle dimension, mais ne souffre d’aucune comparaison avec celle de l’africain. Quant à la mienne, j’ai envie de la cacher…D’un simple geste de la main, Didier appelle le noir à venir près de lui. Il s’agenouille devant sa bite pendante et la prend entre ses doigts avec la ferme intention de la faire bander. En même temps, il reste le regard fixé sur la bite du trans qui baise la bouche de ma femme. Ses yeux marquent une excitation sans retenue. Je devine que déjà il s’imagine comment il va pouvoir la baiser comme Didier l’a promis. D’un geste le noir comprend que Didier lui demande toucher la femme entre ses cuisses ouvertes à ses côtés. Sans se faire prier, il s’empare de la vulve ruisselante de mouille et entreprend de la branler. Ma femme après un petit mouvement de surprise, s’abandonne à ce nouveau contact.
- C’est ça, Didier, travaille-la bien. Elle est déjà chaude mais on la veut brûlante.
L’homme noir, habile, caresse alternativement les lèvres, titille le clitoris gorgé de sang avant de pénétrer la vulve d’un puis deux et enfin trois doigts soutirant des soupirs de plaisir à la femme doigtée. Je suis surpris de constater qu’elle tend son corps en avant pour accompagner main qui la fouille.
Gloria baise de plus en plus violemment la bouche de sa proie. De ses deux mains plaquées derrière sa tête, il lui applique le rythme de sa baise. Ma femme s’abandonne et laisse échapper par moments des petits cris de jouissance comme pour accompagner le clapotis de ses sécrétions, battues par les doigts du noir dans sa vulve. L’image est terriblement excitante.
Toujours à l’écart, je contemple le tableau de luxure. Je croise alors le regard de Didier, plein de mépris, de condescendance et de triomphe. Il jette un œil à ma main qui cache ma bite en partie et s’adressant à ma femme, il lui dit : - Ma pauvre chérie tu es affublée d’un petit mâle ! Il ne doit pas te faire jouir tous les jours avec sa petite bite !
Il ponctue ces mots avec un petit rire humiliant au possible. Je suis sur le point de lui cracher que ma petite bite, elle bande, elle ! Mais je me tais pour ne pas risquer de briser le tableau torride qui s’étale devant moi.
Il ne fait plus aucun doute maintenant que ma femme prend du plaisir dans cette débauche. Je la vois soudain abandonner les fesses de Gloria qu’elle maintenait, pour lever ses mains et les plaquer sur la poitrine devant elle. Elle caresse les seins de l’homme/femme avec une infinie douceur, s’attardant à en faire rouler les tétons. Je réalise qu’en cet instant elle s’intègre sexuellement à cette ambiguïté nouvelle pour elle. Le sens de cette caresse lesbienne ne peut lui échapper, révélant des tendances saphiques. Elle suce la queue bien dressée d’un mâle dans sa bouche et caresse les seins d’une femelle. Le tout dans un seul et unique corps.
Les doigts du noir sont maintenant dans sa vulve et s’appliquent, comme on le lui a demandé, à « travailler » la belle selon les désirs de son patron.
C’est Didier qui donne le signe de bouger. Le noir et Gloria libèrent ma femme. Elle reste affalée cuisses ouvertes, la chatte béante toute dégoulinante de mouille, les cheveux en bataille, les seins rougis par les caresses de Didier. Sa bouche déborde de salive, mais elle ne fait rien pour s’en débarrasser. Didier qui me surprend en train de m’astiquer le manche, m’invite à s’approcher de ma chérie. Je ne comprends pas ce qu’il attend de moi.
- Vient ici petit PD. Tu veux la faire baiser par un trans ? Et bien arrive.
Le salaud, il m’accable en révélant mon fantasme à ma douce. Trop excitée, elle ne réagit pas.
Il invite alors Gloria à reprendre place entre les cuisses de ma chérie, mais à genoux au pied du divan cette fois. Il me demande de me placer de l’autre côté, tout près de celle qui ne daigne même pas m’adresser le moindre regard ! L’homme lui prend les cuisses et attire le corps nu au bord du divan. Sa bite toute raide et encore lubrifiée de salive, est à moins de deux centimètres de la chatte toute brillante entre les cuisses écartées. Il la maintien fermement aux cuisses.
- Elle, ou il, excuse moi, a une belle queue non ? Bien plus belle que la tienne. Tu vois combien elle est chaude ta femelle, elle n’attend qu’à être prise comme une chienne. Tu ne t’imaginais pas que ta belle, ta chérie pourrait un jour se comporter comme une salope, hein ? Une chaudasse, une jouisseuse ? Nous on le savait !
Ces mots me rendent fou. Je suis bien obligé de constater qu’il a raison. Et au lieu de me consterner, cela m’excite. J’aime toujours ma femme, ce pur objet sexuel, mais les images se bousculent dans ma tête. Et depuis quand ils savaient ?
- Alors tu vas la baiser, mais avec la queue de Gloria ! Oui, tu vas l’introduire dans sa chatte et tu vas donner toi même le rythme des mouvements de cette belle queue qui va faire jouir ta chérie.
Alors comme un automate, je m’exécute. Je saisis entre mes doigts cette bite dont je constate la dureté et la douceur de la peau. C’est la première fois que je ressens ce contact d’une autre bite que la mienne.
Tremblant, je la présente devant la grotte qui était mienne (du moins je le crois), depuis toujours et lentement je l’introduis dans ma femme. Il est très gros et l’introduction est difficile malgré le vagin très lubrifié. Elle grimace. De douleur, de plaisir ? Au fur et à me sure que le bâton de chair avance, elle halète de plus en plus fort. Plus de doute, maintenant c’est de jouissance.
Je l’accompagne jusqu’à ce que les couilles viennent buter contre les fesses féminines. Le baiseur marque une pause, planté au fond du vagin pour laisser la femelle s’habituer à la taille de son mandrin. Je me surprends même à appuyer sur ses fesses comme si cela l’emmenait à aller plus loin dans le ventre chéri.
Je ne réalise aucunement que ce rapport n’est pas protégé. Ni ma douce d’ailleurs qui se laisse pénétrer par ce sexe au dessus duquel se balance une paire de seins magnifiques et naturels. Elle a saisi son amant par les hanches et accompagne les coups de reins de plus en plus violents. Son visage grimace, se crispe de jouissance. Qu’elle est belle quand elle prend du plaisir.
Ça y est ! Mon fantasme se réalise ! Ma femme se fait baiser par un transexuel ! Et quel tableau ! Le noir se branle lentement en attendant son tour, le sexe toujours mou du peintre dans sa main libre. Ce dernier s’est emparé des lèvres de ma chérie et ils échangent un baiser profond, langues emmêlées. Elle si avare de baisers ! Je mate, à quelques centimètres des acteurs. L’odeur qui se dégage des corps en furie est enivrante mélange de mouille, de sueur.
Gloria lime le con de ma femme de plus en plus vite, entrecoupé de poses pour reprendre sa respiration. Enfin, je le sens se crisper, la libération approche.
- Je vais jouir, salope. Je vais t’engrosser, t’ensemencer car je suis bien un homme viril ! Mon sperme est fécondant. Jouis, jouis.
Et dans un râle puissant il donne les derniers coups de reins qui accompagnent son éjaculation. Ma femme pousse des cris de plaisir signifiant clairement son orgasme. Jamais je ne l’ai vue s’exprimer aussi intensément. Ça y est, son corps est définitivement imprégné du sperme d’un autre ! Toutes les cellules de son corps sont marquées à jamais par celles d’un transexuel. Elle n’est plus mon exclusivité. Je suis bouleversé.
Les deux corps se relâchent, repus. Un silence de luxure s’installe.
Pour moi, le spectacle est trop fort. Même si je tente de maîtriser ma jouissance, à mon tour je sens mon éjaculation proche. Je suis soudain pris d’une envie folle. Je prends ma bite dans ma main et la présente au dessus de la tête de la femme baisée. Elle reprend doucement son souffle, les yeux fermés. La voix de Didier me parvient au moment de ma propre jouissance.
- Allez, petit PD laisse toi aller à jouir. Tu vas maculer le corps de ta belle. Recouvre le visage et les seins de ta chérie avec ton sperme. C’est tout ce que tu pourras obtenir ce soir.
Et c’est vrai ! Instantanément, j’accélère ma masturbation, dirige ma bite en direction du visage de ma chérie, visant ses yeux, ses lèvres ses seins. La première giclée atterrit dans ses cheveux, la seconde, toute aussi abondante, sur ses yeux qu’elle ferme instantanément. Une autre sur ses lèvres, une autre sur ses seins.
Je jouis de la souiller, de salir cette épouse aimée. Je suis complètement fou. Je suis un autre ! Mais je me rends compte qu’elle aussi est une autre. Désormais plus rien ne sera comme avant ! Mais par cet acte n’ai-je pas voulu marquer ma possession sur cette femelle ? La marquer d’une autre manière ?
La dernière goutte récoltée, je me retire dans ma cachette. Je suis bouleversé par ce que je viens de faire. Souiller, salir la femme de ma vie, sans aucun respect pour sa personne, avec ce qui est le plus symbolique en amour, en union… ma semence.
Mais la fête n’est pas terminée.
Ma femme maculée de mon sperme, remplie par celui de son amant qui s’écoule lentement de sa vulve, semble épuisée par tant de ferveur.
- J’ai soif, dit-elle simplement. Je voudrais m’essuyer.
Le noir, la queue toujours bandée, lui apporte un verre de champagne et des mouchoirs. Elle se relève pour boire. Elle est belle dans sa nudité. Pour la première fois elle m’adresse un regard sans aucune expression. Elle semble réfléchir tout en buvant son champagne. Puis elle doit prendre conscience de la situation, et se tournant vers Didier et Gloria elle leur adresse un sourire plein de tendresse, de reconnaissance. Sourire qui aurait dû m’être destiné, moi son mari, moi son amour. Soudain, j’ai peur, peur de la perdre.
- Vous êtes tous des cochons finit-elle par dire, d’une voix qui se veut câline.
Sans aucun doute, à tort ou à raison, je me sens exclu de cette réflexion.
- Tu as aimé ma chérie ?
Ma chérie ! Ce salaud l’appelle « ma chérie » ! Ce Didier se l’est déjà appropriée.
- Follement, oui ! Je ne savais pas qu’une telle jouissance pouvait être possible ? J’ai ressenti un orgasme fantastique comme jamais.
Et elle disait cela le plus naturellement du monde, ignorant ma présence.
- Attend, ce n’est pas fini. Youssef, je te l’offre, fait la jouir avec ta grosse bite ! Défonce lui la chatte et si tu le peux je t’autorise de lui prendre le cul. Fait en sorte qu’elle n’ait plus jamais envie de la petite bite de son PD de mari.
Le black lui prend la main et l’attire à lui et l’allonge sur la moquette devant le divan. Gloria prend place dessus pour assister au spectacle. Le peintre s’étend aux côtés de la jeune femme, lui caressant amoureusement le visage, la couvrant par instants de petits baisers furtifs sur les joues et sur les lèvres. Sans aucun doute un couple dont le mari amoureux offre sa femme amoureuse à un inconnu, sauf que le mari c’est moi ! Je comprends en cet instant que ces deux là s’aiment.
Les mains de Youssouf sur les seins de ma femme étendue me sortent de mes noires pensées. Il la caresse avec fougue et une certaine fermeté. L’homme ne semble pas vouloir s’encombrer de délicatesse. Il malaxe les seins plutôt que les caresser, en pince plus ou moins fortement les pointes sensibles. Une fois la surprise passée mon épouse semble apprécier ces caresses sauvages. Elle se love contre l’épaule de Didier tout contre lui. Tandis qu’elle reçoit les coups de queue de son amant noir, il lui caresse tendrement le visage comme pour l’apaiser devant la brutalité de l’assaut. Cette image me trouble, il existe une sentiment entre ces deux là ! L’africain est tellement pressé de la prendre qu’elle se retrouve les jambes portées sur les épaules du mâle et sa queue au fond de son con. Elle encaisse cette nouvelle bite encore plus grosse que la précédente sans broncher. Au contraire son visage marque son plaisir d’être prise et parfaitement remplie par ce gros mandrin. Et déjà il la pilonne farouchement, les mains en appui sur ses seins. Didier a investi la bouche de la jeune femme, étouffant ses cris de jouissance. Gloria se caresse les seins en branlant son sexe au dessus du couple en train de forniquer. Malgré mes peurs, je suis pris d’une nouvelle érection.
Ma femme halète déjà sous les coups de son baiseur manifestement excitée par cette fougue. En effet, le bougre se met à râler aussitôt annonçant sa jouissance.
Alors je me sens pris d’une pulsion soudaine, folle, incohérente. D’un bon je rejoins le couple adultérin, je prendre le noir par la taille et lui dis : - Viens, donne moi ta bite !
Surpris, le black est coupé dans son élan. L’œil mauvais de le priver de son plaisir, il finit par accéder à sa demande. D’autorité devant les yeux étonnés des témoins, je le pousse au dessus du visage de ma femme. Alors fou d’excitation, je me saisis de son sexe et le branle avec énergie. Tous ont compris que je veux encore plus avilir mon amour. C’est moi qui branle cette queue afin qu’elle libère sa semence sur le corps, le visage de ma chérie. Je veux reproduire ce qui m’a tant excité tout à l’heure. Je tire avec brusquerie sur cette queue noire découvrant un gland brun foncé gorgé de sang. Bien entendu, le black déjà bien excité finit par jouir et maculer le corps de mon épouse pour la seconde fois. Les jets de sperme nombreux et fournis explosent dans ses cheveux sa bouche ses yeux. Maculée de traces blanchâtres épaisses et odorantes, elle semble goûter ce nouveau bain de sperme.
A mon tour j’ai joui une seconde fois sans même me toucher. Je reste prostré devant le corps de ma chérie, le sexe noir encore dans ma main, en train de soutirer les dernières gouttes de liqueur. Je me retire encore une fois dans mon refuge pour redevenir transparent.
- Et bien, mon salaud tu aimes couvrir ta douce de sperme.
C’est Didier qui vient de parler - Bon, mais Youssef a encore des ressources, non ?
Le black ne se le fait pas dire deux fois. Sans attendre que la belle se soit nettoyée, il se couche sur elle et introduit une nouvelle fois sa grosse bite toujours droite dedans le sexe de ma femme. Le diable est déjà de nouveau prêt pour la saillie. Après quelques minutes de pilonnage, Gloria se lève et entend participer. Il demande au black de se coucher sous la belle et de la placer sur lui cul en l’air pour la posséder une nouvelle fois. Il, s’agenouille contre les rondeurs offertes et je devine immédiatement son dessein. Il veut l’enculer. Ce qu’il ignore c’est que ma femme est vierge du petit trou. Elle s’est toujours refusée à la sodomie, malgré mes nombreuses tentatives. Mais là, elle se laisse tenter par une queue plus grosse que la mienne. Je m’approche pour mater. Le gland tout gonflé se présente et pousse sur le petit trou.
- Doucement Gloria, cela me fait mal.
Le trans arrête sa poussée. Il crache un peu de salive entre les fesses qu’il maintient ouvertes de ses deux mains. Le filet liquide glisse le long de la raie et vient lubrifier le cul convoité. L’homme présente à nouveau son gland devant le trou sombre et d’un coup s’introduit dans les entrailles féminines. Je réalise simplement que Gloria doit avoir de nombreux rapports homosexuels et qu’enculer et se faire enculer fait partie de ses activités sexuelles. Bloqué, immobile, il sait attendre que les sphincters se relâchent.
Alors, lentement il entreprend ses va et viens en les synchronisant avec ceux du black qui occupe déjà le vagin. Je n’en reviens pas qu’elle ait pu encaisser deux si grosses bites en elle. Très vite elle commence à geindre, tout en roulant des pelles à Didier. Je remarque que ce dernier a une légère érection. Il se lève et présente sa bite à moitié bandée devant la bouche de la jeune femme qui la gobe sans hésiter pour lui administrer une pipe magistrale. La colonne de chair qui prend du volume au contact de la langue, étouffe ses cris de jouissance. Ils la pilonnent de concert tous les trois l’utilisant comme une poupée de sexe, poussant des cris sauvages. Et soudain, quand les trois bites éjaculent en elle, je crois bien la voir perdre connaissance tant son orgasme est fort.
Moi je me mets à sangloter, tant je suis convaincu que je viens de perdre la femme de ma vie.
Repus, essoufflés ses amants se laissent tomber autour de son corps nu. Quand ils la libèrent, du sperme s’écoule de ses trois orifices. Un sourire aux lèvres destiné à ses trois amants elle demande.
- Elle se trouve où la salle de bain ?
Quand elle se lève pour aller se laver, tous, on admire sa plastique sans défaut.
- Bon, mon vieux, me dit Didier. Le jeu est fini. Il faut la choyer et l’aimer maintenant. Je sais qu’elle t’aime, tu ne l’as pas perdue mais tu dois la rassurer que toi tu l’aimes toujours malgré l’avoir vue dans cette dépravation sexuelle. Tu te dois de la mériter. Je la connais bien même si rien ne s’est passé entre nous, jusqu’à ce soir. C’est une amie et j’ai voulu réaliser ton fantasme sous mon contrôle pour la protéger et te protéger. C’est pourquoi quand Gloria m’a montré les photos et dit ton projet, j’ai organisé cette soirée. Ta femme s’est livrée en confiance, un peu aidée par le champagne. Sois conscient tout de même que tu as joué à un jeu dangereux. Méfie toi des mecs qui voudraient la séduire. Au fait rasure toi pour les rapports non protégés. Nous sommes tous les trois cleans. Quant à vous… Comme il terminait sa phrase, ma douce est entrée dans le salon, nue, les cheveux mouillés, seulement vêtue d’une serviette qui cache son intimité, laissant ses jolis seins en pleine lumière. Elle est détendue, souriante. Rien ne semble polluer son bonheur. Car je la sens heureuse ce qui déclenche chez moi un sentiment de jalousie.
Gloria avec beaucoup de tendresse l’aide à remettre sa robe. Elle omet les sous vêtements. Elle me regarde et me sourit avec beaucoup de tendresse cette fois. Et ce sourire je le prends pour de l’amour pour me signifier son bonheur.
Le black a disparu. Didier s’approche d’elle et lui dépose un chaste baiser sur les lèvres alors que je lui passe son manteau sur les épaules. Aucun échange de paroles. Juste un baiser.
Une fois dehors, seuls, je la prends dans mes bras pour l’embrasser avec toute la passion que je suis capable d’exprimer. Elle me rend mon baiser, quelque peu retenu. Je sais alors que je devrais batailler dur pour la conserver et la rendre heureuse. Mais cela ne me fait pas peur.
FIN
Ma femme est lascive, le regard brillant. Je me demande si elle réalise qu’elle est en train de sucer la bite d’une personne mi homme mi femme. Un homme qu’elle a au préalable identifié comme une femme, sucé ses seins et maintenant avec sa bite dans sa bouche. Excitée, elle ne marque aucun signe de rejet et prend plaisir à cette situation. Quand je repense à sa réaction le soir du vernissage !
Par instants, Gloria sort sa bite raide de la bouche devant elle et passe son gland sur le visage d’ange de ma chérie. Il laisse derrière lui sur son passage une trace brillante de mouille et de salive. Puis, l’homme le plonge à nouveau dans la bouche restée béante de la femme docile.
- Alors petite bourgeoise, tu aimes bien sucer ma bite de trans !
Pour toute réponse, ma femme le regarde dans les yeux et lui lance un sourire qui en dit long sur ce qu’elle pense.
Toujours agenouillé sur le divan, encadrant les cuisses de ma femme, ses couilles pendent au dessus de ses seins. Une main de Didier caresse un nichon, l’autre les couilles de son modèle. Ses yeux affichent son excitation alors que son sexe reste flasque.
Youssouf, le serviteur qui vient d’entrer reste légèrement à l’écart comme à disposition de son maître. Un détail, il est entièrement nu et arbore un sexe noir dressé vers le ciel, d’une taille exceptionnelle. Épais et long, il lui recouvre le ventre bien au delà du nombril ! Celui de Gloria est déjà de belle dimension, mais ne souffre d’aucune comparaison avec celle de l’africain. Quant à la mienne, j’ai envie de la cacher…D’un simple geste de la main, Didier appelle le noir à venir près de lui. Il s’agenouille devant sa bite pendante et la prend entre ses doigts avec la ferme intention de la faire bander. En même temps, il reste le regard fixé sur la bite du trans qui baise la bouche de ma femme. Ses yeux marquent une excitation sans retenue. Je devine que déjà il s’imagine comment il va pouvoir la baiser comme Didier l’a promis. D’un geste le noir comprend que Didier lui demande toucher la femme entre ses cuisses ouvertes à ses côtés. Sans se faire prier, il s’empare de la vulve ruisselante de mouille et entreprend de la branler. Ma femme après un petit mouvement de surprise, s’abandonne à ce nouveau contact.
- C’est ça, Didier, travaille-la bien. Elle est déjà chaude mais on la veut brûlante.
L’homme noir, habile, caresse alternativement les lèvres, titille le clitoris gorgé de sang avant de pénétrer la vulve d’un puis deux et enfin trois doigts soutirant des soupirs de plaisir à la femme doigtée. Je suis surpris de constater qu’elle tend son corps en avant pour accompagner main qui la fouille.
Gloria baise de plus en plus violemment la bouche de sa proie. De ses deux mains plaquées derrière sa tête, il lui applique le rythme de sa baise. Ma femme s’abandonne et laisse échapper par moments des petits cris de jouissance comme pour accompagner le clapotis de ses sécrétions, battues par les doigts du noir dans sa vulve. L’image est terriblement excitante.
Toujours à l’écart, je contemple le tableau de luxure. Je croise alors le regard de Didier, plein de mépris, de condescendance et de triomphe. Il jette un œil à ma main qui cache ma bite en partie et s’adressant à ma femme, il lui dit : - Ma pauvre chérie tu es affublée d’un petit mâle ! Il ne doit pas te faire jouir tous les jours avec sa petite bite !
Il ponctue ces mots avec un petit rire humiliant au possible. Je suis sur le point de lui cracher que ma petite bite, elle bande, elle ! Mais je me tais pour ne pas risquer de briser le tableau torride qui s’étale devant moi.
Il ne fait plus aucun doute maintenant que ma femme prend du plaisir dans cette débauche. Je la vois soudain abandonner les fesses de Gloria qu’elle maintenait, pour lever ses mains et les plaquer sur la poitrine devant elle. Elle caresse les seins de l’homme/femme avec une infinie douceur, s’attardant à en faire rouler les tétons. Je réalise qu’en cet instant elle s’intègre sexuellement à cette ambiguïté nouvelle pour elle. Le sens de cette caresse lesbienne ne peut lui échapper, révélant des tendances saphiques. Elle suce la queue bien dressée d’un mâle dans sa bouche et caresse les seins d’une femelle. Le tout dans un seul et unique corps.
Les doigts du noir sont maintenant dans sa vulve et s’appliquent, comme on le lui a demandé, à « travailler » la belle selon les désirs de son patron.
C’est Didier qui donne le signe de bouger. Le noir et Gloria libèrent ma femme. Elle reste affalée cuisses ouvertes, la chatte béante toute dégoulinante de mouille, les cheveux en bataille, les seins rougis par les caresses de Didier. Sa bouche déborde de salive, mais elle ne fait rien pour s’en débarrasser. Didier qui me surprend en train de m’astiquer le manche, m’invite à s’approcher de ma chérie. Je ne comprends pas ce qu’il attend de moi.
- Vient ici petit PD. Tu veux la faire baiser par un trans ? Et bien arrive.
Le salaud, il m’accable en révélant mon fantasme à ma douce. Trop excitée, elle ne réagit pas.
Il invite alors Gloria à reprendre place entre les cuisses de ma chérie, mais à genoux au pied du divan cette fois. Il me demande de me placer de l’autre côté, tout près de celle qui ne daigne même pas m’adresser le moindre regard ! L’homme lui prend les cuisses et attire le corps nu au bord du divan. Sa bite toute raide et encore lubrifiée de salive, est à moins de deux centimètres de la chatte toute brillante entre les cuisses écartées. Il la maintien fermement aux cuisses.
- Elle, ou il, excuse moi, a une belle queue non ? Bien plus belle que la tienne. Tu vois combien elle est chaude ta femelle, elle n’attend qu’à être prise comme une chienne. Tu ne t’imaginais pas que ta belle, ta chérie pourrait un jour se comporter comme une salope, hein ? Une chaudasse, une jouisseuse ? Nous on le savait !
Ces mots me rendent fou. Je suis bien obligé de constater qu’il a raison. Et au lieu de me consterner, cela m’excite. J’aime toujours ma femme, ce pur objet sexuel, mais les images se bousculent dans ma tête. Et depuis quand ils savaient ?
- Alors tu vas la baiser, mais avec la queue de Gloria ! Oui, tu vas l’introduire dans sa chatte et tu vas donner toi même le rythme des mouvements de cette belle queue qui va faire jouir ta chérie.
Alors comme un automate, je m’exécute. Je saisis entre mes doigts cette bite dont je constate la dureté et la douceur de la peau. C’est la première fois que je ressens ce contact d’une autre bite que la mienne.
Tremblant, je la présente devant la grotte qui était mienne (du moins je le crois), depuis toujours et lentement je l’introduis dans ma femme. Il est très gros et l’introduction est difficile malgré le vagin très lubrifié. Elle grimace. De douleur, de plaisir ? Au fur et à me sure que le bâton de chair avance, elle halète de plus en plus fort. Plus de doute, maintenant c’est de jouissance.
Je l’accompagne jusqu’à ce que les couilles viennent buter contre les fesses féminines. Le baiseur marque une pause, planté au fond du vagin pour laisser la femelle s’habituer à la taille de son mandrin. Je me surprends même à appuyer sur ses fesses comme si cela l’emmenait à aller plus loin dans le ventre chéri.
Je ne réalise aucunement que ce rapport n’est pas protégé. Ni ma douce d’ailleurs qui se laisse pénétrer par ce sexe au dessus duquel se balance une paire de seins magnifiques et naturels. Elle a saisi son amant par les hanches et accompagne les coups de reins de plus en plus violents. Son visage grimace, se crispe de jouissance. Qu’elle est belle quand elle prend du plaisir.
Ça y est ! Mon fantasme se réalise ! Ma femme se fait baiser par un transexuel ! Et quel tableau ! Le noir se branle lentement en attendant son tour, le sexe toujours mou du peintre dans sa main libre. Ce dernier s’est emparé des lèvres de ma chérie et ils échangent un baiser profond, langues emmêlées. Elle si avare de baisers ! Je mate, à quelques centimètres des acteurs. L’odeur qui se dégage des corps en furie est enivrante mélange de mouille, de sueur.
Gloria lime le con de ma femme de plus en plus vite, entrecoupé de poses pour reprendre sa respiration. Enfin, je le sens se crisper, la libération approche.
- Je vais jouir, salope. Je vais t’engrosser, t’ensemencer car je suis bien un homme viril ! Mon sperme est fécondant. Jouis, jouis.
Et dans un râle puissant il donne les derniers coups de reins qui accompagnent son éjaculation. Ma femme pousse des cris de plaisir signifiant clairement son orgasme. Jamais je ne l’ai vue s’exprimer aussi intensément. Ça y est, son corps est définitivement imprégné du sperme d’un autre ! Toutes les cellules de son corps sont marquées à jamais par celles d’un transexuel. Elle n’est plus mon exclusivité. Je suis bouleversé.
Les deux corps se relâchent, repus. Un silence de luxure s’installe.
Pour moi, le spectacle est trop fort. Même si je tente de maîtriser ma jouissance, à mon tour je sens mon éjaculation proche. Je suis soudain pris d’une envie folle. Je prends ma bite dans ma main et la présente au dessus de la tête de la femme baisée. Elle reprend doucement son souffle, les yeux fermés. La voix de Didier me parvient au moment de ma propre jouissance.
- Allez, petit PD laisse toi aller à jouir. Tu vas maculer le corps de ta belle. Recouvre le visage et les seins de ta chérie avec ton sperme. C’est tout ce que tu pourras obtenir ce soir.
Et c’est vrai ! Instantanément, j’accélère ma masturbation, dirige ma bite en direction du visage de ma chérie, visant ses yeux, ses lèvres ses seins. La première giclée atterrit dans ses cheveux, la seconde, toute aussi abondante, sur ses yeux qu’elle ferme instantanément. Une autre sur ses lèvres, une autre sur ses seins.
Je jouis de la souiller, de salir cette épouse aimée. Je suis complètement fou. Je suis un autre ! Mais je me rends compte qu’elle aussi est une autre. Désormais plus rien ne sera comme avant ! Mais par cet acte n’ai-je pas voulu marquer ma possession sur cette femelle ? La marquer d’une autre manière ?
La dernière goutte récoltée, je me retire dans ma cachette. Je suis bouleversé par ce que je viens de faire. Souiller, salir la femme de ma vie, sans aucun respect pour sa personne, avec ce qui est le plus symbolique en amour, en union… ma semence.
Mais la fête n’est pas terminée.
Ma femme maculée de mon sperme, remplie par celui de son amant qui s’écoule lentement de sa vulve, semble épuisée par tant de ferveur.
- J’ai soif, dit-elle simplement. Je voudrais m’essuyer.
Le noir, la queue toujours bandée, lui apporte un verre de champagne et des mouchoirs. Elle se relève pour boire. Elle est belle dans sa nudité. Pour la première fois elle m’adresse un regard sans aucune expression. Elle semble réfléchir tout en buvant son champagne. Puis elle doit prendre conscience de la situation, et se tournant vers Didier et Gloria elle leur adresse un sourire plein de tendresse, de reconnaissance. Sourire qui aurait dû m’être destiné, moi son mari, moi son amour. Soudain, j’ai peur, peur de la perdre.
- Vous êtes tous des cochons finit-elle par dire, d’une voix qui se veut câline.
Sans aucun doute, à tort ou à raison, je me sens exclu de cette réflexion.
- Tu as aimé ma chérie ?
Ma chérie ! Ce salaud l’appelle « ma chérie » ! Ce Didier se l’est déjà appropriée.
- Follement, oui ! Je ne savais pas qu’une telle jouissance pouvait être possible ? J’ai ressenti un orgasme fantastique comme jamais.
Et elle disait cela le plus naturellement du monde, ignorant ma présence.
- Attend, ce n’est pas fini. Youssef, je te l’offre, fait la jouir avec ta grosse bite ! Défonce lui la chatte et si tu le peux je t’autorise de lui prendre le cul. Fait en sorte qu’elle n’ait plus jamais envie de la petite bite de son PD de mari.
Le black lui prend la main et l’attire à lui et l’allonge sur la moquette devant le divan. Gloria prend place dessus pour assister au spectacle. Le peintre s’étend aux côtés de la jeune femme, lui caressant amoureusement le visage, la couvrant par instants de petits baisers furtifs sur les joues et sur les lèvres. Sans aucun doute un couple dont le mari amoureux offre sa femme amoureuse à un inconnu, sauf que le mari c’est moi ! Je comprends en cet instant que ces deux là s’aiment.
Les mains de Youssouf sur les seins de ma femme étendue me sortent de mes noires pensées. Il la caresse avec fougue et une certaine fermeté. L’homme ne semble pas vouloir s’encombrer de délicatesse. Il malaxe les seins plutôt que les caresser, en pince plus ou moins fortement les pointes sensibles. Une fois la surprise passée mon épouse semble apprécier ces caresses sauvages. Elle se love contre l’épaule de Didier tout contre lui. Tandis qu’elle reçoit les coups de queue de son amant noir, il lui caresse tendrement le visage comme pour l’apaiser devant la brutalité de l’assaut. Cette image me trouble, il existe une sentiment entre ces deux là ! L’africain est tellement pressé de la prendre qu’elle se retrouve les jambes portées sur les épaules du mâle et sa queue au fond de son con. Elle encaisse cette nouvelle bite encore plus grosse que la précédente sans broncher. Au contraire son visage marque son plaisir d’être prise et parfaitement remplie par ce gros mandrin. Et déjà il la pilonne farouchement, les mains en appui sur ses seins. Didier a investi la bouche de la jeune femme, étouffant ses cris de jouissance. Gloria se caresse les seins en branlant son sexe au dessus du couple en train de forniquer. Malgré mes peurs, je suis pris d’une nouvelle érection.
Ma femme halète déjà sous les coups de son baiseur manifestement excitée par cette fougue. En effet, le bougre se met à râler aussitôt annonçant sa jouissance.
Alors je me sens pris d’une pulsion soudaine, folle, incohérente. D’un bon je rejoins le couple adultérin, je prendre le noir par la taille et lui dis : - Viens, donne moi ta bite !
Surpris, le black est coupé dans son élan. L’œil mauvais de le priver de son plaisir, il finit par accéder à sa demande. D’autorité devant les yeux étonnés des témoins, je le pousse au dessus du visage de ma femme. Alors fou d’excitation, je me saisis de son sexe et le branle avec énergie. Tous ont compris que je veux encore plus avilir mon amour. C’est moi qui branle cette queue afin qu’elle libère sa semence sur le corps, le visage de ma chérie. Je veux reproduire ce qui m’a tant excité tout à l’heure. Je tire avec brusquerie sur cette queue noire découvrant un gland brun foncé gorgé de sang. Bien entendu, le black déjà bien excité finit par jouir et maculer le corps de mon épouse pour la seconde fois. Les jets de sperme nombreux et fournis explosent dans ses cheveux sa bouche ses yeux. Maculée de traces blanchâtres épaisses et odorantes, elle semble goûter ce nouveau bain de sperme.
A mon tour j’ai joui une seconde fois sans même me toucher. Je reste prostré devant le corps de ma chérie, le sexe noir encore dans ma main, en train de soutirer les dernières gouttes de liqueur. Je me retire encore une fois dans mon refuge pour redevenir transparent.
- Et bien, mon salaud tu aimes couvrir ta douce de sperme.
C’est Didier qui vient de parler - Bon, mais Youssef a encore des ressources, non ?
Le black ne se le fait pas dire deux fois. Sans attendre que la belle se soit nettoyée, il se couche sur elle et introduit une nouvelle fois sa grosse bite toujours droite dedans le sexe de ma femme. Le diable est déjà de nouveau prêt pour la saillie. Après quelques minutes de pilonnage, Gloria se lève et entend participer. Il demande au black de se coucher sous la belle et de la placer sur lui cul en l’air pour la posséder une nouvelle fois. Il, s’agenouille contre les rondeurs offertes et je devine immédiatement son dessein. Il veut l’enculer. Ce qu’il ignore c’est que ma femme est vierge du petit trou. Elle s’est toujours refusée à la sodomie, malgré mes nombreuses tentatives. Mais là, elle se laisse tenter par une queue plus grosse que la mienne. Je m’approche pour mater. Le gland tout gonflé se présente et pousse sur le petit trou.
- Doucement Gloria, cela me fait mal.
Le trans arrête sa poussée. Il crache un peu de salive entre les fesses qu’il maintient ouvertes de ses deux mains. Le filet liquide glisse le long de la raie et vient lubrifier le cul convoité. L’homme présente à nouveau son gland devant le trou sombre et d’un coup s’introduit dans les entrailles féminines. Je réalise simplement que Gloria doit avoir de nombreux rapports homosexuels et qu’enculer et se faire enculer fait partie de ses activités sexuelles. Bloqué, immobile, il sait attendre que les sphincters se relâchent.
Alors, lentement il entreprend ses va et viens en les synchronisant avec ceux du black qui occupe déjà le vagin. Je n’en reviens pas qu’elle ait pu encaisser deux si grosses bites en elle. Très vite elle commence à geindre, tout en roulant des pelles à Didier. Je remarque que ce dernier a une légère érection. Il se lève et présente sa bite à moitié bandée devant la bouche de la jeune femme qui la gobe sans hésiter pour lui administrer une pipe magistrale. La colonne de chair qui prend du volume au contact de la langue, étouffe ses cris de jouissance. Ils la pilonnent de concert tous les trois l’utilisant comme une poupée de sexe, poussant des cris sauvages. Et soudain, quand les trois bites éjaculent en elle, je crois bien la voir perdre connaissance tant son orgasme est fort.
Moi je me mets à sangloter, tant je suis convaincu que je viens de perdre la femme de ma vie.
Repus, essoufflés ses amants se laissent tomber autour de son corps nu. Quand ils la libèrent, du sperme s’écoule de ses trois orifices. Un sourire aux lèvres destiné à ses trois amants elle demande.
- Elle se trouve où la salle de bain ?
Quand elle se lève pour aller se laver, tous, on admire sa plastique sans défaut.
- Bon, mon vieux, me dit Didier. Le jeu est fini. Il faut la choyer et l’aimer maintenant. Je sais qu’elle t’aime, tu ne l’as pas perdue mais tu dois la rassurer que toi tu l’aimes toujours malgré l’avoir vue dans cette dépravation sexuelle. Tu te dois de la mériter. Je la connais bien même si rien ne s’est passé entre nous, jusqu’à ce soir. C’est une amie et j’ai voulu réaliser ton fantasme sous mon contrôle pour la protéger et te protéger. C’est pourquoi quand Gloria m’a montré les photos et dit ton projet, j’ai organisé cette soirée. Ta femme s’est livrée en confiance, un peu aidée par le champagne. Sois conscient tout de même que tu as joué à un jeu dangereux. Méfie toi des mecs qui voudraient la séduire. Au fait rasure toi pour les rapports non protégés. Nous sommes tous les trois cleans. Quant à vous… Comme il terminait sa phrase, ma douce est entrée dans le salon, nue, les cheveux mouillés, seulement vêtue d’une serviette qui cache son intimité, laissant ses jolis seins en pleine lumière. Elle est détendue, souriante. Rien ne semble polluer son bonheur. Car je la sens heureuse ce qui déclenche chez moi un sentiment de jalousie.
Gloria avec beaucoup de tendresse l’aide à remettre sa robe. Elle omet les sous vêtements. Elle me regarde et me sourit avec beaucoup de tendresse cette fois. Et ce sourire je le prends pour de l’amour pour me signifier son bonheur.
Le black a disparu. Didier s’approche d’elle et lui dépose un chaste baiser sur les lèvres alors que je lui passe son manteau sur les épaules. Aucun échange de paroles. Juste un baiser.
Une fois dehors, seuls, je la prends dans mes bras pour l’embrasser avec toute la passion que je suis capable d’exprimer. Elle me rend mon baiser, quelque peu retenu. Je sais alors que je devrais batailler dur pour la conserver et la rendre heureuse. Mais cela ne me fait pas peur.
FIN
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