Le transport en commun
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le transport en commun
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Quand je suis seul et que j'ai le temps, je prends un bus pour me promener au centre ville. Et pas n'importe lequel. Celui-ci n'a que deux arrêts. Le départ, et l'arrivée. Il fait le voyage aller-retour, trois fois par jour. Au début, j'ai rechigné à le prendre, parce qu'il était bondé. Puis un jour, ma voiture est tombée en panne, et je n'ai pas eu le choix. J'attendais à l'arrêt quand une dizaine de voyageurs m'ont rejoints.
Deux sont montés par l'arrière, les autres, dont moi, par l'avant, comme c'est la règle. Quand mon tour est venu de monter, les premières places assises étaient occupées. A mesure que j'avançais dans l'allée centrale, ceux qui étaient assis redescendaient du bus et allaient s'asseoir sur les sièges du fond. Derrière moi, deux jeunes, plus grands et plus costauds que moi, me barraient le passage. Finalement, je me suis retrouvé au fond. Le bus a démarré. Tous les jeunes étaient revenus à l'arrière. Sur le coup, je n'ai pas prêté attention à ces manoeuvres. C'est après ce qui s'est passé, que j'y ai repensé.
Je voulais aller me caler contre la carrosserie, mais le nombre de voyageurs m'en ont empêché. Moins d'une minute après le départ, j'ai senti un bras me prendre par la taille. Une main dans le dos, m'a courbé en avant. J'avais essayé de me retourner, mais je n'ai pas pu. Une autre main est venue me fermer la bouche. Une voix grave, m'a soufflé dans l'oreille.
- Regardes devant toi !
Au bout du bras qui me ceinturait, il y avait un couteau. Un autre gars m'attrapa par les cheveux et releva ma tête. Devant mes yeux, un mec avait sorti sa bite, et la tendait vers ma bouche. La voix ajouta :
- Je vais retirer ma main. Au lieu de crier, je veux te voir sucer cette bite !
Je n'avais pas le choix. Pendant que le gland franchissait mes lèvres, Le mec collé à mon cul, dégraffait mon short. Il passa ses deux mains dans mon slip, empoigna mes fesses et les pétrit. Puis, il baissa le short et le slip.
- J'en étais sûr. Quel cul ! Marmonna-t-il.
Et, à moi,
- Je vais t'exploser la boîte, grogna-t-il.
Doucement, il sortit sa pine, et promena son gland le long de ma raie. Lentement, il appuya la poussée pour trouver le chemin de mon trou du cul. Le gland écartait mes fesses jusqu'à se poser sur mon anus. Le mec derrière moi enfonçait sa bite avec lenteur. Bientôt, je sentis lses poils sur mes fesses.
Comme s'ils s'étaient concertés, ils ont éjaculé ensemble. Personne n'aurait pu voir ce qui venait d'arriver. Tous les jeunes du bus s'étaient agglutinés autour de nous, et empêchaient quiconque d'approcher. Quand ce fut fini, ils m'ont rhabillé, remis d'aplomb, et présentable.
- T'as aimé, j'espère ? dit un jeune en ricanant.
- J'espère que vous êtes en forme, répondis-je. Parce que je vais prendre ce bus tous les jours, maintenant. Je vous attend.
Ce qui aurait dû être une agression, pour eux, fut un panard monumental, pour moi.
Ce n'étaient certainement pas des gays, puisque je ne les ai jamais revus. Mais, chaque fois que je monte dans ce bus, je me dirige vers l'arrière. Et, à chaque frôlement, je bande comme un cerf, et je revis ce moment. En espérant que ça m'arrive à nouveau.
Si par hasard, l'un de vous lit cette histoire, sachez que vous m'avez donné un plaisir immense. Sachez aussi que je continuerai à prendre ce bus, et que mon cul sera toujours disponible.
Quand je suis seul et que j'ai le temps, je prends un bus pour me promener au centre ville. Et pas n'importe lequel. Celui-ci n'a que deux arrêts. Le départ, et l'arrivée. Il fait le voyage aller-retour, trois fois par jour. Au début, j'ai rechigné à le prendre, parce qu'il était bondé. Puis un jour, ma voiture est tombée en panne, et je n'ai pas eu le choix. J'attendais à l'arrêt quand une dizaine de voyageurs m'ont rejoints.
Deux sont montés par l'arrière, les autres, dont moi, par l'avant, comme c'est la règle. Quand mon tour est venu de monter, les premières places assises étaient occupées. A mesure que j'avançais dans l'allée centrale, ceux qui étaient assis redescendaient du bus et allaient s'asseoir sur les sièges du fond. Derrière moi, deux jeunes, plus grands et plus costauds que moi, me barraient le passage. Finalement, je me suis retrouvé au fond. Le bus a démarré. Tous les jeunes étaient revenus à l'arrière. Sur le coup, je n'ai pas prêté attention à ces manoeuvres. C'est après ce qui s'est passé, que j'y ai repensé.
Je voulais aller me caler contre la carrosserie, mais le nombre de voyageurs m'en ont empêché. Moins d'une minute après le départ, j'ai senti un bras me prendre par la taille. Une main dans le dos, m'a courbé en avant. J'avais essayé de me retourner, mais je n'ai pas pu. Une autre main est venue me fermer la bouche. Une voix grave, m'a soufflé dans l'oreille.
- Regardes devant toi !
Au bout du bras qui me ceinturait, il y avait un couteau. Un autre gars m'attrapa par les cheveux et releva ma tête. Devant mes yeux, un mec avait sorti sa bite, et la tendait vers ma bouche. La voix ajouta :
- Je vais retirer ma main. Au lieu de crier, je veux te voir sucer cette bite !
Je n'avais pas le choix. Pendant que le gland franchissait mes lèvres, Le mec collé à mon cul, dégraffait mon short. Il passa ses deux mains dans mon slip, empoigna mes fesses et les pétrit. Puis, il baissa le short et le slip.
- J'en étais sûr. Quel cul ! Marmonna-t-il.
Et, à moi,
- Je vais t'exploser la boîte, grogna-t-il.
Doucement, il sortit sa pine, et promena son gland le long de ma raie. Lentement, il appuya la poussée pour trouver le chemin de mon trou du cul. Le gland écartait mes fesses jusqu'à se poser sur mon anus. Le mec derrière moi enfonçait sa bite avec lenteur. Bientôt, je sentis lses poils sur mes fesses.
Comme s'ils s'étaient concertés, ils ont éjaculé ensemble. Personne n'aurait pu voir ce qui venait d'arriver. Tous les jeunes du bus s'étaient agglutinés autour de nous, et empêchaient quiconque d'approcher. Quand ce fut fini, ils m'ont rhabillé, remis d'aplomb, et présentable.
- T'as aimé, j'espère ? dit un jeune en ricanant.
- J'espère que vous êtes en forme, répondis-je. Parce que je vais prendre ce bus tous les jours, maintenant. Je vous attend.
Ce qui aurait dû être une agression, pour eux, fut un panard monumental, pour moi.
Ce n'étaient certainement pas des gays, puisque je ne les ai jamais revus. Mais, chaque fois que je monte dans ce bus, je me dirige vers l'arrière. Et, à chaque frôlement, je bande comme un cerf, et je revis ce moment. En espérant que ça m'arrive à nouveau.
Si par hasard, l'un de vous lit cette histoire, sachez que vous m'avez donné un plaisir immense. Sachez aussi que je continuerai à prendre ce bus, et que mon cul sera toujours disponible.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
de jose salut tres belle histoire et experience que je kiff comme toi me faire demonter cul et bouche au plaisir de te relire
