Le trio amical - histoire érotique

Je suis en pleine discussion amicale avec mon meilleur ami Bruno.

On a passé le cap de l'amitié, il y a un peu plus de deux ans déjà !
Il me baise parfois, quand il en ressent le besoin, mais c'est toujours lui, qui fait le premier pas !
Sérieusement, je n'y pense pas du tout, à ce moment là !

Au bout d'une heure de rires et de confidences, le thème dérape sur le sexe, je le vois venir !
Je m'attend à ce qu'il me sollicite, pour s'amuser avec moi.

Puis, on est surpris par la sonnerie de mon interphone !
Je pense que notre baise est compromise !
Je décroche:

"Pascal ? C'est Gilles ! Ouvres !".

J'appuie sur le bouton qui lui permet de monter les escaliers.
Il entre, je le présente.

"Gilles ! Je sais pas, si tu te souviens de Bruno !".
"Oui, vaguement ! Mais, t'es pas seul, tu veux que je m'en ailles ! Pascal ?".
"T'as le temps de boire un café, quand même ?".

On reprend le cours de notre discussion précédente, avant de parler de sexe.
Mais l'ambiance n'est pas naturelle du tout, l'envie de sexe tenaille mes deux compères, individuellement ! Puis, je ne sais pas pourquoi, je me mets à rire bêtement.

"Pourquoi, tu te marres ?".
"Si vous pouviez voir vos têtes ! Vous me faites rire !".
"C'est quoi qui est drôle ?". Demande Gilles !
"C'est vrai que t'es pas au courant ! Bruno sait pour nous deux ! Il me baise aussi !".

Les deux hommes se regardent étonnés de ma révélation.
J'ajoute:

"Je pense que tu es venu pour me baiser ? Gilles ?".
"Euh, oui !".
"Et je pense que Bruno commençait à en avoir envie aussi ! J'ai tort ?".
"Non ! Donc, c'est lui le père de ...!".
"Oui !".

Gilles demande:

"On fait quoi alors ? On baise ?".

Je me lève et me dévêtis.

"Je vous attends !".

Je suis attiré par Gilles, vers sa braguette.

"Humm ! Je sens qu'on va se régaler !".

Bruno lâche un "Putain, l'engin !" en découvrant les mensurations de Gilles !
Il sort sa bite également, je m'empresse de le sucer lui aussi.
Ils jouent de ma gorge, en mêlant plaisanteries et sexe.
Nos jeux buccaux s'éternisent, je prends la décision de demander:

"Gilles ! Ca te déranges, si Bruno me baise en premier ?".
"Pas du tout, Comme ça, je pourrai te prendre plus facilement !".

Bruno me sourit et passe derrière moi.
Je suis monté sur le canapé, la tête entre les jambes de Gilles et empalée sur son gros pieu, pendant que Bruno me lubrifie l'anus, parfaitement placé pour qu'il me baise enfin.
Je lâche un long râle, quand il s'enfonce en moi.

"Oh, putain, c'est bon ! J'adore ton cul, Pascal !".
"Ca tombe bien ! Moi aussi !". Ajoute Gilles !
"C'est excitant de te baiser, avec Gilles, en plus ! J'adore ! ca me rappelles un mec au club libertin ! ils étaient deux sur lui ! Comme nous ! J'ai pas pu m'empêcher de me branler et je me suis fait sucer après !".
"Arghhhhhhh ! Bruno ! Tais-toi et encules-moi ! Fais-moi jouir !".

Il amplifie ses mouvements et y ajoute de la puissance.

"Comme ça ?".
"Arghhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Oui ! Comme ça ! Arghhhhhhh !".

Pendant que je commence à vivre mon premier orgasme anal, Gilles s'excite et me défonce la gorge en serrant mon crâne comme un ballon qu'il voudrait éclater avec sa grosse bite.

Au bout de plus de cinq minutes, Bruno demande à "changer", afin d'éviter d'éjaculer trop vite.
Je laisse Gilles se dégager de mon corps, puis je m'appuie sur mes coudes en lui tendant les fesses.

Bruno, se caresse doucement, en regardant la scène de pénétration extrême que je vais subir.
Il admire le gros et long sexe de Gilles, tenu à deux mains et dirigé vers mon petit trou.

Gilles frotte un peu son énorme gland sur mon œillet, pour se lubrifier, puis il exerce une poussée puissante, mais très lente.

Mon ami me voit plonger ma bouche sur mon bras, pendant que la longue et énorme queue de Gilles trouve sa place dans mon cul.

"Putain ! J'hallucine ! Tu lui mets plus de la moitié dans le cul !".

Gilles sourit.

"Il peut pas savoir ! Bébé ! N'est ce pas ?".
"Arghhhhhhhhhh ! Non, il peut pas !".
"Quoi, qu'est ce que je sais pas ?".

Gilles reconnait comme moi, l'instant ou il trouve le chemin de mes profondeurs.
Je me met à hurler de plaisir, Gilles réponds à Bruno:

"Ca !".

Bruno est estomaqué, il voit la très longue queue de mon amant, s'insérer entièrement en moi, et se mettre à coulisser avec autant d'amplitude, en me faisant crier de plaisir étouffé.

"Putain, c'est génial ! t'as presque 28 à 30 cm dans le cul ! J'ai jamais vu ça ! J'arrête de me branler, sinon, je gicle déjà !".

Il voit gilles me détruire l'anus comme une pute, il comprend ce que je lui disais, quand je parlais de sexe très hard, avec les autres hommes.
Gilles s'étale sur le sol, je m'empale sur lui.
Très vite, mes fesses touchent son pubis, Bruno se rapproche, j'ai envie qu'il participe à notre plaisir.

"Pascal, ca m'excite trop ! Je vais pas tenir longtemps !".
"C'est pas grave, Bruno ! Laisses toi aller, tu recommenceras peut-être ! Qui sait ?".

Je lui dévore la bite en essayant d'être le plus tendre et passionné possible, pendant que Gilles m'éclate l'anus.
En moins de cinq minutes, Bruno ne tient plus, mes râles étouffés sur sa bite le font craquer.

"Arghhhhhhhh ! Pascal ! C'est trop bon ! Arghhhhhhhhhhh !".

Je passe mes mains derrière ses fesses, pour l'enfoncer dans ma gorge.
Je le déguste comme le meilleur des desserts crémeux.
Ses râles font dire à Gilles:

"Eh ben, ça a l'air d'être bon ! Il suce bien notre ami, pas vrai ?".
"Arghhhhhh ! Putain, t'as raison, elle est bonne sa bouche ! J'adore comment il avale !".
"Hummm ! C'est une belle gourmande, ma p'tite salope ! Je t'adore mon bébé !" Ajoute Gilles.

Bruno me sourit, il n'ose pas employer ses termes avec moi !
Mais il sait que j'aime les entendre !

Puis mon ami, s'assied sur un fauteuil et se caresse encore, en me voyant jouir sur la bite de Gilles, qui change de position.
Il me voit crier mes orgasmes, en me faisant pilonner sur le ventre, par mon amant de plus de cinquante ans.

Il me baise ensuite, toujours sur le canapé, avec mes cuisses ouvertes pour l'encaisser jusqu'aux couilles.
Bruno me dit que c'est excitant de voir mon cul blanc et imberbe, déformé par la queue énorme et foncée de Gilles.
Il se lève pour revenir avec une serviette de bains, et la pose sous mes fesses, j'étais entrain de tacher mon canapé avec mon jus anal !

Il recommence alors à bander !
Mais, c'est aussi le moment ou Gilles se laisse aller.
Bruno voit mon corps recevoir toute sa puissance, pendant qu'il m'insémine profondément en grognant son plaisir.

Mon ami sait que je suis épuisé sexuellement, il m'a vu vivre de très nombreux orgasmes avec Gilles et lui.
Gilles sort enfin de mon cul, il attire ma bouche sur son gros gland, et fait remonter ce qu'il lui reste de foutre dans la bite.

"Ouais, avales le reste ! Mon bébé ! Arghhhhhhh ! C'est bon, ça aussi !".

Bruno voit clairement que j'aime cette perversité, Il demande un peu de place, à Gilles, pour se branler à coté de ma bouche.
Ses doigts qui s'agitent avec frénésie sur sa verge, révèlent qu'il a envie de jouir très vite !

Sa main qui se pose sur ma tête me donne le signal.
La vue de mon anus béant qui laisse couler de longs filets de foutre épais, finit de le faire exploser de plaisir !
Je me tourne vers son sexe épais et lui permet de se déverser une seconde fois dans ma gorge !

"Arhh! Putain Pascal ! Je pensais pas que ce serait aussi excitant que ça ! Arghhhhhhhhhh !".

On se reprend lentement de nos émotions, je prend la parole en premier.

"Bon, c'était chaud ! Ca t'as vraiment plu ? Bruno ?".
"Ah ouais, beaucoup plus qu'au club libertin ! Et J'ai halluciné de voir que t'arrive à encaisser l'engin énorme de Gilles !".
"Il est fait pour moi ! C'est mon bébé !".
"Putain ! J'aimerai pas être ton bébé ! T'y vas fort en plus !".
"C'est ce qu'il aime !".

Bruno me regarde.

"Oui, c'est vrai, j'aime beaucoup ça !".
"J'avoue que c'est excitant de te voir jouir avec lui ! Et tout le sperme qu'il t'a mis ! C'est énorme !".

Je leur demande:

"Bon, on s'est bien amusé, on fait quoi maintenant ? Un autre café, ça vous dit ?".
"Allez !".

Je prépare vite fait les boissons, puis, je vais me nettoyer l'anus sous la douche.
Le temps est comblé en discussions, on doit répondre aux nombreuses questions de Bruno, Gilles et moi.
Gilles me demande ensuite de m'assoir sur ses genoux, il retrouve le désir de me prendre après quelques longs baisers.
Puis, je me place entre ses cuisses pour lui offrir une très longue fellation.

Jusqu'au moment ou Bruno me dénude les fesses et reprend place dans mon anus.
Cette fois l'ambiance est plus sensuelle.

Ils se passent mon petit trou, plusieurs fois d'affilée, en me caressant longuement.
Bruno éjacule une troisième fois, mais dans mon cul, cette fois.

Puis, il assite à une nouvelle, très longue défonce anale de Gilles, sur moi.
Il me voit éjaculer, en me faisant éclater l'anus.
Je me tiens en arrière, sur mes jambes et mes bras écartés, pendant que Gilles me transperce par dessous.
Bruno s'excite en voyant ma verge secouée et en érection, puis se vider de mon éjaculation en maculant mon ventre, sans que je me touche.

Gilles termine en venant sur moi pour me défoncer encore et en m'arrosant le ventre de sperme, pendant que Bruno me maintient les cuisses écartées.
Bruno admire nos spermes qui se mélangent sur moi.
On est tous les trois repus de sexe.

Gilles nous quitte le premier, en me disant qu'il repassera me baiser prochainement.

Mon ami reste avec moi, pour attendre Corinne, qui rentrera une heure plus tard.
Je suis pris de doutes, et le questionne encore:

"Tu me juges pas ? T'es sur ? J'ai plus trop une image de mec viril, maintenant !".
"Non ! Pas du tout, c'est trop excitant de te voir jouir comme ça ! Sans te toucher, je pensais pas que c'était possible ! J'étais même jaloux que ce soit pas moi qui t'enculais ! Mais à coté de Gilles, je fais pas le poids !".
"C'est différent ! C'est sur ! Il me sollicite bien la prostate !".

"T'as jamais essayer de baiser un mec ?".
"Si, ça m'est arrivé cinq fois, mais j'aime pas ! Je me demande ce qui vous plait chez un homme ! C'est un paradoxe, puisque j'aime me faire enculer ! Donc, tant mieux que des hommes comme ça, existent !".

"Comment vous vous reconnaissez ?".
"Dans des endroits chauds ! on sait tout de suite, qui est le dominant et le dominé ! Je fais partie de ceux qui aiment donner leur corps, c'est comme ça ! Il y a parfois des ratés, mais c'est rare ! Et puis, ça m'arrive qu'on me drague ! C'est excitant aussi !".

"Putain, je repense à ce qu'il t'a mis ! Il t'as démonté, et toutes les insultes ! C'est excitant aussi ! Tu rencontres souvent des mecs comme lui ?".
"Non, c'est exceptionnel ! C'est pour ça que je fais tout pour garder le lien avec Gilles ! Ca doit faire cinq ans déjà, qu'il me baise ! Mais dis-moi ? T'as éjaculé trois fois, mon salaud !".
"Oui ! Je m'étonne moi même !".

"Bon ! Tu m'aides à ranger, avant que la miss arrive ?".

On a très bien aéré l'appart, et nettoyé les traces de notre trio orgiaque.

Il me révèle qu'il apprécie le contraste entre ma masculinité et ma passivité avec les hommes, et ajoute:

"Ca tombe bien, j'ai horreur des "folles" !".
"Il en faut ! Mais c'est pas moi !".
"Tu sais que c'est pratique d'avoir un mec comme toi, à disposition, surtout quand j'ai pas de copine !".
"Mouais ! Surtout que t'as pas besoin de te faire attention, tu peux éjaculer sans problème !".
"Oui, ça aussi, c'est super !".

Corinne sonne enfin à l'interphone.

"Hummm ! Ca sent bon, ici ! Ca va les hommes ? Vous avez été sages ?".
"Oui, et toi ?". Lui répond Bruno.
"Oh, moi, je sais pas, si je peux le dire !".

Je la regarde, et ajoute:

"Tu peux parler, tu sais qu'il est au courant pour notre libertinage !".
"Oui, mais c'est pas facile de parler avec lui ! J'ai encore des scrupules !".
"Pourquoi, ma belle ! Tu as été coquine ?".
"Oui, je profite de ma liberté pendant que la petite est en vacances !".

Il me regarde, il sait que je fais la même chose !

"Alors racontes ?".
"Euh, je vais pas vous donner les détails !".
"Dis nous en gros !". Ajoute Bruno.
"Ben, j'ai revu un copain hier ! Et on s'est rejoint à l'hôtel !".
"Ok, il t'a baisé hier, aussi ?".
"Ben, oui, bien sur ! Mais aujourd'hui, c'était différent !".
"Ah bon pourquoi ?".
"Ben... il était pas tout seul !".
"Putain, quelle salope, toi auss.. euh, toi au moins !".

Il a failli faire une grosse gaffe !
Il nous quitte en me demandant:

"Je t'appelle pour notre arrangement ?".

Son sourire me fait comprendre qu'il désire encore me baiser.
Trois jours après, j'étais chez lui, lui offrant mon cul et ma bouche, une petite heure durant, avec deux belles éjaculations de son coté, et une pour moi.