Le voisin bricoleur a des mains en or et un sacré outil. 4/5
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le voisin bricoleur a des mains en or et un sacré outil. 4/5
Le voisin bricoleur a des mains en or et un sacré outil.
Chapitre quatre.
Je ne perds pas de temps et m’attaque illico à son jean qui tombe sur ses chevilles suivi de près de ma robe. J’approche ma bouche de son sexe et l’aspire avec gourmandise, il ne tarde pas à se retrouver sabre au clair.
Je domine depuis longtemps l’art de sucer un homme en évitant de mordre sa verge, je maintiens son excitation en utilisant la langue pour parfaire la technique. Je suis aussi douée pour le prendre jusqu’au fond de la gorge, en évitant le réflexe de rejet et de vomissement et avec Marc ma longue expérience est bien utile.
Il fait l’indifférent et se coupe une part de tarte qu’il dévore à pleines dents.
J’enroule ma langue pour titiller son gland, mes mains posées sur ses fesses pour contrôler la pénétration de sa verge lors de ses aller-retour jusqu’au fond de ma gorge.
Je le travaille comme une pro pendant de longues minutes jusqu’à ce qu’il ne puisse plus retenir un énorme orgasme qui le fait se vider abondamment à l’intérieur même de ma bouche.
Sans aucune difficulté, j’avale une grande partie de sa semence mais le mouvement de son bassin fait que le surplus coule sur mon menton, mon cou et ma poitrine quand sa lance s’échappe de ma bouche.
Il se retire, reconnaissant du travail bien fait. J’ai encore le goût de son sperme épais et abondant sur la langue.
Je lui prends sa teub pour étaler le liquide gluant sur mes seins et mes joues, il se laisse faire en riant y prenant lui aussi du plaisir.
Il s’enduit la main de sa liqueur pour l’étaler sur mon ventre jusqu’à mon pubis puis me donne ses doigts gluants de sperme à lécher. C’est si « chaud » qu’il rebande de plus belle.
Je vais m’allonger sur son lit, ouvrant largement le compas de mes jambes en pliant légèrement les genoux pour lui dévoiler d’un seul regard ma chatte brillante de moiteur partagée en deux par le tissu de mon string resserré comme une ficelle.
Je lui demande de me sucer la moule, de me mordiller le clitoris de manière à entretenir son désir.
Il s’acquitte avec maestria de sa tache et au bout de quelques secondes je me mets à gémir et emprisonne sa tête de manière à ce qu’il n’arrête pas la manœuvre.
Je bouge de plus en plus fort sous le merveilleux supplice. Mes hanches donnent le rythme à sa bouche qui boit avec délectation ma cyprine qui coule de mon vagin.
Je suis comme une pile électrique et ne peux plus supporter ses lèvres sur les miennes. Je prends ses cheveux à pleines mains et arrachent sa bouche de ma fontaine à plaisir, le fixe d’un regard de braise et lui ordonne d’une voix rauque :
-Marc ! Prends-moi ! Prends-moi ! Enfonce-toi en moi !
Une fois que je lui libère sa tête, il se redresse et vient se mettre au bord du lit, il me tire par les jambes pour me rapprocher de lui.
Il prend son sexe et caresse ma vulve avec son boutefeu, montant et descendant le long de ma fente en exerçant avec son gland une pression sur mon clitoris pour m’exciter et pousser ma patience à bout.
Mon excitation est à son comble mais il prend son temps, le salaud. Il exerce une petite pression de son sexe sur le mien, relâchant la pression quand je crois enfin qu’il va me pourfendre et recommence inlassablement le mouvement de frottement en s’arrêtant quelques secondes sur mon petit bouton dardé.
Je lui hurle entre mes gémissements.
-Tu vas me troncher oui ou non ?
D’un coup sec, il enfonce son sexe au plus profond de mon vagin, ses couilles venant buter sur mes grandes lèvres béantes. Marc est bien monté mais j’ai déjà connu aussi gros.
Il entreprend un long coït depuis le fond de ma grotte jusqu’à son embouchure et vice-versa.
Je gémis sous ses poussées profondes et dignes d’un métronome, je le supplie de ne pas arrêter le mouvement, donnant un mouvement circulaire à mon bassin pour l’inciter à accélérer le rythme de son pénis à l’intérieur de mon ventre. Il ne perd pas le nord ni le chemin de mon cul, je sens ses doigts en explorer les abords et aussi l’intérieur.
Je suis au bord de l’explosion. Des spasmes violents me serrent les tripes quand enfin j’ouvre de nouveau les vannes et noie son formidable piston d’un nouveau flot de liquide qui suit la vallée de mes fesses en inonde mon petit trou.
Je relâche brusquement tous mes muscles et reste ainsi, reprenant mon souffle. Je suis aux anges mais je réalise qu’il continue toujours à me troncher, imperturbable…
-Putain ! Mais t’es fait de quoi ? Tu as un bout de bois entre les cuisses ? Si tu ne sais pas quoi en faire, j’ai un autre trou qui commence à mourir de jalousie !
Comme il me l’a promis au début, il est à mes ordres pour cette séance et respecte sa part de marché. Il se coupe une deuxième part de tarte puis présente donc son gland brillant de mes humeurs à l’entrée de mon cul.
Sa verge est dure comme de l’acier. Je sais qu’il risque de me faire mal mais ça m’excite encore plus. Il pousse doucement pour forer le puits fermé, s’arrête une seconde quand je couine mais reprend imperturbablement la poussée jusqu’à ce que le gland gonflé viole la frontière et disparaisse dans l’obscurité de mon conduit anal.
J’ai la bouche grande ouverte, la respiration coupée. Je ne sais pas si c’est mon cul qui perd de sa souplesse ou son engin qui est trop gros mais je le sens salement passer.
La troisième poussée, beaucoup plus puissante introduit la totalité de son chibre dans mon fondement jusqu’à ce que j’entende claquer ses couilles contre mes fesses.
Je ne peux retenir un cri de douleur mais serre les dents car c’est moi qui l’ai voulu. Il reste collé à moi et pour détourner mon attention rentre deux doigts dans ma chatte pour chercher mon point G.
Quand il me voit réagir au frottement rapide de ses doigts qui déclenchent en moi comme un court-circuit, Il active son piston à l’intérieur de mon colon.
La douleur et le plaisir se percutent sous mon crâne quand il commence doucement au début puis de plus en plus rapidement à ramoner mon conduit un peu mieux lubrifié qui se détend, permettant ainsi une pénétration plus aisée.
Je gémis de plus en plus fort sous la combinaison de la douleur qui s’atténue d’un côté et du plaisir qui monte de l’autre. Telle une machine, il reprend le rythme et son piston prend ses aises dans mon cul, s’égarant parfois dans ma chatte déjà occupée par ses doigts pour un graissage avant de replonger sous mes gémissements de plaisir dans mon anus béant.
Mes râles et mes cris accompagnent ses pénétrations sans fin et mes débordements de cyprine sur sa main.
Je suis comme dans un état second ne ressentant plus que du plaisir de cette sodomie couplée au talent de cette main besogneuse. Je jouis plusieurs fois, contractant mon périnée et ma chatte pour emprisonner les intrus pendant, qu’imperturbable, il croque dans ma tarte avant de me prévenir, rieur :
-Moi aussi, je vais te faire goûter à une pâtisserie !
Il décule et éjacule une énorme quantité de sperme sur la tarte. Une grande partie rate sa cible et macule les draps du lit.
-Putain de salaud ! Qu’est-ce que tu m’as mis !
-Oui, mais maintenant que ta chatte et ton cul sont rassasiés, reprends des forces avec cette part de tarte additionnée de ma chantilly !
Je ne suis pas une inconditionnelle ni du sucré ni du salé mais je dévore avec gourmandise cette cuisine un peu particulière.
- Demain, je serai ton maître ! Prépare-toi à une soumission sans bornes.
J’ai signé et il va falloir assurer. Je ne sais pas à quoi je me suis engagée mais il est trop tard pour reculer.
Je me présente donc le lendemain pour connaître mon destin.
A peine la porte franchie, il m’ordonne de me déshabiller entièrement. Je n’ai pas honte de mon corps de quinquagénaire face à cet homme séduisant et bien bâti. Il me fait rentrer dans sa chambre que je ne connais pas encore. Une très belle femme vêtue de cuir moulant qui s’arrête sous une admirable poitrine me fixe d’un regard dur.
-Mais… qu’est ce qu’elle fait là ?... Je croyais que…
-Tu te souviens de ce que tu as signé ? Aujourd’hui, je fais ce que je veux de toi et de ton corps !
-Mais je…
-Il n’y a pas de « mais » ou de « si ». Tu es mon esclave et tu obéis à ton maître ! Eve, elle a droit à une punition et toi, lève les bras!
La fille prend un fouet et s’approche de moi, sans me prévenir, elle saisit un téton entre deux doigts et le pince légèrement et le vrillant.
-Aïe…connasse, tu me fais mal !
Aussitôt, les coups de fouets pleuvent sur mes seins et mes fesses faisant rougir ma peau.
J’hurle de douleur à chaque claquement de ses coups jusqu’à ce qu’il lui dise de stopper.
-Ça suffira pour le moment, elle a les fesses assez rouges.
Elle lâche le fouet et passe une main entre mes cuisses pour frotter mes lèvres intimes, elle les pince l’une contre l’autre puis les écarte en insinuant un doigt qui vient agacer mon clito.
La situation m’échappe, je sens malgré-moi le désir monter. J’écarte les jambes pour mieux m’offrir.
Marc m’observe sans intervenir, assistant à ma soumission.
Eve le regarde en lui montrant sa main brillante de mes sécrétions intimes.
-Regarde comme elle mouille la vieille !
(À suivre)
Chapitre quatre.
Je ne perds pas de temps et m’attaque illico à son jean qui tombe sur ses chevilles suivi de près de ma robe. J’approche ma bouche de son sexe et l’aspire avec gourmandise, il ne tarde pas à se retrouver sabre au clair.
Je domine depuis longtemps l’art de sucer un homme en évitant de mordre sa verge, je maintiens son excitation en utilisant la langue pour parfaire la technique. Je suis aussi douée pour le prendre jusqu’au fond de la gorge, en évitant le réflexe de rejet et de vomissement et avec Marc ma longue expérience est bien utile.
Il fait l’indifférent et se coupe une part de tarte qu’il dévore à pleines dents.
J’enroule ma langue pour titiller son gland, mes mains posées sur ses fesses pour contrôler la pénétration de sa verge lors de ses aller-retour jusqu’au fond de ma gorge.
Je le travaille comme une pro pendant de longues minutes jusqu’à ce qu’il ne puisse plus retenir un énorme orgasme qui le fait se vider abondamment à l’intérieur même de ma bouche.
Sans aucune difficulté, j’avale une grande partie de sa semence mais le mouvement de son bassin fait que le surplus coule sur mon menton, mon cou et ma poitrine quand sa lance s’échappe de ma bouche.
Il se retire, reconnaissant du travail bien fait. J’ai encore le goût de son sperme épais et abondant sur la langue.
Je lui prends sa teub pour étaler le liquide gluant sur mes seins et mes joues, il se laisse faire en riant y prenant lui aussi du plaisir.
Il s’enduit la main de sa liqueur pour l’étaler sur mon ventre jusqu’à mon pubis puis me donne ses doigts gluants de sperme à lécher. C’est si « chaud » qu’il rebande de plus belle.
Je vais m’allonger sur son lit, ouvrant largement le compas de mes jambes en pliant légèrement les genoux pour lui dévoiler d’un seul regard ma chatte brillante de moiteur partagée en deux par le tissu de mon string resserré comme une ficelle.
Je lui demande de me sucer la moule, de me mordiller le clitoris de manière à entretenir son désir.
Il s’acquitte avec maestria de sa tache et au bout de quelques secondes je me mets à gémir et emprisonne sa tête de manière à ce qu’il n’arrête pas la manœuvre.
Je bouge de plus en plus fort sous le merveilleux supplice. Mes hanches donnent le rythme à sa bouche qui boit avec délectation ma cyprine qui coule de mon vagin.
Je suis comme une pile électrique et ne peux plus supporter ses lèvres sur les miennes. Je prends ses cheveux à pleines mains et arrachent sa bouche de ma fontaine à plaisir, le fixe d’un regard de braise et lui ordonne d’une voix rauque :
-Marc ! Prends-moi ! Prends-moi ! Enfonce-toi en moi !
Une fois que je lui libère sa tête, il se redresse et vient se mettre au bord du lit, il me tire par les jambes pour me rapprocher de lui.
Il prend son sexe et caresse ma vulve avec son boutefeu, montant et descendant le long de ma fente en exerçant avec son gland une pression sur mon clitoris pour m’exciter et pousser ma patience à bout.
Mon excitation est à son comble mais il prend son temps, le salaud. Il exerce une petite pression de son sexe sur le mien, relâchant la pression quand je crois enfin qu’il va me pourfendre et recommence inlassablement le mouvement de frottement en s’arrêtant quelques secondes sur mon petit bouton dardé.
Je lui hurle entre mes gémissements.
-Tu vas me troncher oui ou non ?
D’un coup sec, il enfonce son sexe au plus profond de mon vagin, ses couilles venant buter sur mes grandes lèvres béantes. Marc est bien monté mais j’ai déjà connu aussi gros.
Il entreprend un long coït depuis le fond de ma grotte jusqu’à son embouchure et vice-versa.
Je gémis sous ses poussées profondes et dignes d’un métronome, je le supplie de ne pas arrêter le mouvement, donnant un mouvement circulaire à mon bassin pour l’inciter à accélérer le rythme de son pénis à l’intérieur de mon ventre. Il ne perd pas le nord ni le chemin de mon cul, je sens ses doigts en explorer les abords et aussi l’intérieur.
Je suis au bord de l’explosion. Des spasmes violents me serrent les tripes quand enfin j’ouvre de nouveau les vannes et noie son formidable piston d’un nouveau flot de liquide qui suit la vallée de mes fesses en inonde mon petit trou.
Je relâche brusquement tous mes muscles et reste ainsi, reprenant mon souffle. Je suis aux anges mais je réalise qu’il continue toujours à me troncher, imperturbable…
-Putain ! Mais t’es fait de quoi ? Tu as un bout de bois entre les cuisses ? Si tu ne sais pas quoi en faire, j’ai un autre trou qui commence à mourir de jalousie !
Comme il me l’a promis au début, il est à mes ordres pour cette séance et respecte sa part de marché. Il se coupe une deuxième part de tarte puis présente donc son gland brillant de mes humeurs à l’entrée de mon cul.
Sa verge est dure comme de l’acier. Je sais qu’il risque de me faire mal mais ça m’excite encore plus. Il pousse doucement pour forer le puits fermé, s’arrête une seconde quand je couine mais reprend imperturbablement la poussée jusqu’à ce que le gland gonflé viole la frontière et disparaisse dans l’obscurité de mon conduit anal.
J’ai la bouche grande ouverte, la respiration coupée. Je ne sais pas si c’est mon cul qui perd de sa souplesse ou son engin qui est trop gros mais je le sens salement passer.
La troisième poussée, beaucoup plus puissante introduit la totalité de son chibre dans mon fondement jusqu’à ce que j’entende claquer ses couilles contre mes fesses.
Je ne peux retenir un cri de douleur mais serre les dents car c’est moi qui l’ai voulu. Il reste collé à moi et pour détourner mon attention rentre deux doigts dans ma chatte pour chercher mon point G.
Quand il me voit réagir au frottement rapide de ses doigts qui déclenchent en moi comme un court-circuit, Il active son piston à l’intérieur de mon colon.
La douleur et le plaisir se percutent sous mon crâne quand il commence doucement au début puis de plus en plus rapidement à ramoner mon conduit un peu mieux lubrifié qui se détend, permettant ainsi une pénétration plus aisée.
Je gémis de plus en plus fort sous la combinaison de la douleur qui s’atténue d’un côté et du plaisir qui monte de l’autre. Telle une machine, il reprend le rythme et son piston prend ses aises dans mon cul, s’égarant parfois dans ma chatte déjà occupée par ses doigts pour un graissage avant de replonger sous mes gémissements de plaisir dans mon anus béant.
Mes râles et mes cris accompagnent ses pénétrations sans fin et mes débordements de cyprine sur sa main.
Je suis comme dans un état second ne ressentant plus que du plaisir de cette sodomie couplée au talent de cette main besogneuse. Je jouis plusieurs fois, contractant mon périnée et ma chatte pour emprisonner les intrus pendant, qu’imperturbable, il croque dans ma tarte avant de me prévenir, rieur :
-Moi aussi, je vais te faire goûter à une pâtisserie !
Il décule et éjacule une énorme quantité de sperme sur la tarte. Une grande partie rate sa cible et macule les draps du lit.
-Putain de salaud ! Qu’est-ce que tu m’as mis !
-Oui, mais maintenant que ta chatte et ton cul sont rassasiés, reprends des forces avec cette part de tarte additionnée de ma chantilly !
Je ne suis pas une inconditionnelle ni du sucré ni du salé mais je dévore avec gourmandise cette cuisine un peu particulière.
- Demain, je serai ton maître ! Prépare-toi à une soumission sans bornes.
J’ai signé et il va falloir assurer. Je ne sais pas à quoi je me suis engagée mais il est trop tard pour reculer.
Je me présente donc le lendemain pour connaître mon destin.
A peine la porte franchie, il m’ordonne de me déshabiller entièrement. Je n’ai pas honte de mon corps de quinquagénaire face à cet homme séduisant et bien bâti. Il me fait rentrer dans sa chambre que je ne connais pas encore. Une très belle femme vêtue de cuir moulant qui s’arrête sous une admirable poitrine me fixe d’un regard dur.
-Mais… qu’est ce qu’elle fait là ?... Je croyais que…
-Tu te souviens de ce que tu as signé ? Aujourd’hui, je fais ce que je veux de toi et de ton corps !
-Mais je…
-Il n’y a pas de « mais » ou de « si ». Tu es mon esclave et tu obéis à ton maître ! Eve, elle a droit à une punition et toi, lève les bras!
La fille prend un fouet et s’approche de moi, sans me prévenir, elle saisit un téton entre deux doigts et le pince légèrement et le vrillant.
-Aïe…connasse, tu me fais mal !
Aussitôt, les coups de fouets pleuvent sur mes seins et mes fesses faisant rougir ma peau.
J’hurle de douleur à chaque claquement de ses coups jusqu’à ce qu’il lui dise de stopper.
-Ça suffira pour le moment, elle a les fesses assez rouges.
Elle lâche le fouet et passe une main entre mes cuisses pour frotter mes lèvres intimes, elle les pince l’une contre l’autre puis les écarte en insinuant un doigt qui vient agacer mon clito.
La situation m’échappe, je sens malgré-moi le désir monter. J’écarte les jambes pour mieux m’offrir.
Marc m’observe sans intervenir, assistant à ma soumission.
Eve le regarde en lui montrant sa main brillante de mes sécrétions intimes.
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La suite
N°208: Je suis arrivée à mes fins avec le voisin, mais je n'ai pas eu sa chance de tomber
sur un tel chibre
sur un tel chibre
Aïe Mlkjhg, voilà que je rentre directement dans la \"discussion\" sans même un bonjour ni un bonsoir mais que ton personnage
continue ses va et vient dans le colon de madame, c\'est qu\'il a percé la \"membrane\" du colon qui fait un angle à peu près droit
avec le rectum et cela, même avec une chirurgie très rapide risque d\'être mortel ! Voilà cher \"ami\" pourquoi je commençais ce
texte par un \"aïe\", une interjection de mauvais aloi ! Ceci dit, je me suis régalé en te lisant et te souhaite une merveilleuse nuit.
Didier, toujours aussi candauliste !
continue ses va et vient dans le colon de madame, c\'est qu\'il a percé la \"membrane\" du colon qui fait un angle à peu près droit
avec le rectum et cela, même avec une chirurgie très rapide risque d\'être mortel ! Voilà cher \"ami\" pourquoi je commençais ce
texte par un \"aïe\", une interjection de mauvais aloi ! Ceci dit, je me suis régalé en te lisant et te souhaite une merveilleuse nuit.
Didier, toujours aussi candauliste !
elle ne s'attendait pas à ça
super suite - la fin de la soumission va surement valoir le coup - vivement la suite -