Le voisin de ma tante - histoire érotique

Le voisin de ma tante, première partie

Super Croix 73! Les plus anciens s’en souviendront peut-être. Deux agents blanchissant. Les années 70, déjà si loin.
Nous sommes aux premiers jours des vacances d’été. J’avais…disons que j’avais la majorité sexuelle.
Pour la première fois de ma jeune vie, je passais mes vacances chez ma tante. Elle travaillait et n’avait pas beaucoup de temps à me consacrer. Mais le fait d’être à la campagne, loin de la ville, me plaisais. Le lendemain de mon arrivée elle me fit comprendre qu’un peu d’activité physique ne me ferait pas de mal. Elle avait un voisin qui me donnerait la pièce si je l’aidais à faire un peu de jardinage.
Merci la tata. Tu verras monsieur Yvon est très gentil. Oui, je n’en doute pas et il va me faire trimer comme un fou et je retournerai à l’école sur les rotules. Super!
Le lendemain après-midi je me mis en route pour mon premier jour de labeur.
J’étais vêtu d’un short et d’un t-shirt. Je frappai doucement à la porte du voisin. Rien. Chouette, il n’est pas là. J’allais rebrousser chemin quand j’entendis une clef tourner dans la serrure. La porte s’ouvrît et je me retrouvai face à un homme bien plus âgé que mon père. Outre l’âge du monsieur, c’est sa nudité qui me sauta aux yeux. Je n’arrivais pas à détacher mes yeux de son sexe. Le sexe d’un homme adulte. Je faisais parti de l’équipe de foot de mon quartier et j’avais déjà vu les sexes de mes coéquipiers lorsque nous prenions une douche d’après entraînement ou match. A ma grande honte la vue de ces sexes me troublaient.
Le soir venu, je me donnais du plaisir en y repensant.
Tu dois être Jérôme, me dit-il.
Oui, en effet, dis-je
Yvon, rentres. Je détachais mes yeux de son entrejambe et pénétrais dans sa maison.
Il y a pas mal de choses à faire aujourd’hui. Laisses moi enfiler un short et je suis à toi. Il disparut dans une autre pièce, mon regard s’égarant sur son petit cul. Je lui donnais la cinquantaine bien tassée. Il était mince avec une fine musculature.
Il revint quelques instants plus tard vêtu d’un short bleu et d’un marcel. Pas sexy pour deux sous, j’aurais préféré qu’il resta nu. Sa nudité m’avait fait un certain effet.
Il m’expliqua ce que nous allions faire cet après-midi là. Nous nous mîmes au travail. Il venait de temps à autre me voir afin de voir si je faisais les choses correctement. La seconde fois il se colla contre mon dos pour mieux me montrer les gestes nécessaires pour faciliter le travail. Une vingtaine de minutes plus tard il se colla de nouveau à moi. Cette proximité me fit bander. Je frottais mon cul contre son bas ventre. Allait-il comprendre le message?
Pas de doute, il l’avait compris et il instaura une pause dans notre labeur.
vient, suis moi, me dit-il
Nous rentrâmes dans la maison. Il y faisait agréablement frais. Il alla dans la cuisine et revint avec un pichet de limonade sortie du frigo.
Il nous en servit deux verres, puis sans aucune gêne, il ôta ses vêtements. De nouveau nu.
met toi à l’aise me dit-il
Sans réfléchir j’ai retiré mes vêtements pour me retrouver nu. J’avais une demi érection qui ne demandait qu’à grossir. Il s’approcha de moi et posa ses mains sur mes fesses. Il m’attira contre lui. Nos sexes collés l’un à l’autre. Mon érection était désormais à son maximum. Adolescent et ne pensant qu’au sexe, je n’avais jusque là pas eu de relations sexuelles. J’étais collé à cet homme et j’étais fou de désir de baiser. Il me prit par la main et m’entraîna dans sa chambre. Il m’embrassa, sa langue cherchant la mienne. Qu’étais je sensé faire? En 1973, il n’y avait pas internet. Je me détachais de son étreinte et m’excusais de ne savoir comment les choses se passaient entre deux hommes.
ne t’inquiètes pas Jérôme, je vais te guider. Peut-être pourrais-tu commencer par me sucer me dit-il en désignant son sexe bien dur.
Je me mis à genoux et j’embrassais timidement cette chose qui me rendait fou de désir. J’ouvris la bouche et fis glisser ma langue sur le gland.
c’est très bien, vas-y prends la dans ta bouche, c’est comme une grosse sucette.
Je m’exécutais et pris vite le pli. Je venais de découvrir un plaisir que j’ai toujours gardé depuis cette première fois. Je m’activais avec gourmandise sur cette chose qui m’attirait tant.
penses-tu être prêt à ce que je jouisse dans ta bouche, me demanda t-il.
Je ne répondis rien et continuais à le sucer. Plusieurs jets de sperme vinrent frapper le fond de ma gorge. Encore aujourd’hui, je me demande comment j’ai fait pour ne pas être étouffé. Le liquide chaud remplissait ma bouche. Cracher ou tout avaler. J’optais pour la seconde.
et bien, dis donc toi, pour une première fois! Tu as tout avaler?
J’ouvris grand la bouche pour lui montrer que oui, en effet j’avais tout avaler.
A son tour il me prit dans sa bouche. Oh putain, c’était une sensation des plus agréable. Il avait du savoir faire, il avait dû en sucer de la bite. Il ne me fallut que quelques minutes avant que je jouisse dans sa bouche. Pas besoin de lui demander si il aimait avaler. Il se releva et m’embrassa, chacun de nous avait encore un peu de semence de l’autre dans la bouche. Ce partage de sécrétions me fit de nouveau bander. Yvon s’en aperçu, mais ne dis rien.
bon, ce n’est pas tout ça, mais il faut que nous terminions ce que avons commencé un peu plus tôt.
Baiser? Je ne pensais plus qu’à ça. Ouais bon, le jardin, n’étais-je pas là pour ça?
Je renfilais avec difficulté mon short et suivi mon patron dans le jardin. Cela nous prit presque deux heures pour terminer.
J’étais lessivé.
viens, suis-moi, on a bien mérité une bonne douche.
Je le suivis dans sa salle de bain. Bien que vivant seul sa maison était très propre et bien rangée.
Il ôta rapidement ses vêtements et j’en fis autant. Je me suis collé à lui, en attendant que l’eau soit à bonne température.
je suppose me dit-il, que ta tante ne sait pas que tu es un petit pédé
en effet répondis-je, et j’aimerais qu’elle ne l’apprenne pas.
ne t’inquiètes pas je serai muet comme une carpe. Dommage quand même, qu’elle ne puisse savoir, quelle belle petite salope tu es. Si jeune et déjà affamé de bites.
merci du compliment, mais je ne suis qu’un débutant.
Il éclata de rire.
et ce petit cul est-il aussi gourmand me demanda t-il tout en introduisant un doigt dans mon orifice.
je le dirai quand quelqu’un aura pris ma virginité répondis-je en le regardant dans les yeux.
serait-ce une invitation?
si cela vous tente, répondis-je.
Je ne demande que ça.
Nous prîmes notre douche et enveloppés dans des draps de bain nous nous retrouvâmes dans son petit salon.
tu veux boire quelque chose?
juste de l’eau.
Il m’apporta un grand verre d’eau glacée.
Il s’assit à côté de moi.
quel après-midi, fit-il
oui répondis-je, j’ai appris plein de choses intéressantes.
Il avait un large sourire sur son visage.
je peux vous demander quelque chose?
oui, bien sûr
vous êtes un…vous êtes homosexuel?
De nouveau il éclata de rire.
ça tu peux le dire. Un pédé, une pédale, une tarlouze…pourquoi cette question?
je suppose que moi aussi je suis comme vous?
il y a de grandes chances. Cela te fait peur?
moins maintenant que j’ai…
que tu es passé à l’acte?
oui.
c’est pas tout ça, mais il faut que tu retournes chez ta tata, elle m’a fait promettre de te libérer avant le dîner. J’aurais bien aimé te garder avec moi.
ça va être moins amusant. Vous aurez besoin de moi demain?
oui, oui s’empressât-il de répondre.
Le lendemain matin, la pluie fit son apparition vers 10h30. Je la maudissais car elle me privait de la compagnie d’Yvon. Ma tante m’avait laissé à manger. Après avoir avalé ce repas, je montais dans ma chambre. Je n’avais rien à faire. Malgré la pluie, je décidais d’aller frapper à la porte du voisin. Yvon ne fut pas surpris. Il me fit entrer avant que je sois trempé jusqu’aux os.
que me vaut cette visite?
je n’ai rien à faire et je me disais qu’avec un peu de chance, vous auriez quelques petites idées pour tuer le temps.
et bien, j’ai quelques suggestions à te proposer. J’ai très envie de faire ton éducation amoureuse.
sexuelle vous voulez dire?
heu…oui. Qu’en penses-tu?
et bien, ne perdons pas de temps.
Je le pris par la main et l’entraînai dans sa chambre. En moins de dix secondes nous étions nus. Je me suis collé à lui et nous nous sommes embrassé. Je le poussais sur le lit et le pris dans ma bouche. Il poussa un long râle de plaisir. Ma bouche était gourmande de son sexe. Celui-ci était plus gros que le mien mais de la même taille. Je m’activais avec délectation, suçant, léchant, aspirant. Je ressentais chaque infimes réactions à mes caresses.
Soudain, je délaissais cette bite raide à souhait pour positionner mon bassin à son niveau et sans crainte d’avoir mal, je l’enfourchais lentement. Yvon n’en revint pas.
hey, dis donc, tu n’es pas puceau du cul!
totalement vierge mon amour
toi, t’as dû te fourrer un tas de truc pour que le passage se fasse aussi aisément.
Exact, on en fera l’inventaire plus tard si tu veux bien. Pour le moment, baises moi!
Il m’attira a lui et nous fit rouler de manière à ce que je sois sur le dos. Il releva mes jambes se positionna plus confortablement et s’activa en moi. Il retirait son sexe de mon cul pour mieux replonger en moi. Il trouva le bon rythme et me baisa ainsi pendant de longues minutes. Je me régalais de cette chose vivante qui s’enfonçait au plus profond de moi. Je poussais de petits gémissements, mais ce qui le rendait fou c’était quand je lui criais des mots orduriers.
vas-y salope, baise moi plus fort, t’arrêtes pas, oui comme ça. Tu aimes que je sois ta petite pute!
Il accéléra le rythme et soudain se cabra en poussant un cri rauque. Il avait arrêté son va et vient. Je sentis un liquide chaud et abondant couler en moi. Il jouissait.
Je le regardai droit dans les yeux. Putain c’est beau un mec qui jouit, un homme qui se vide les couilles en vous. Il se retira et sans perdre de temps il se mit en position pour la suite.
à mon tour de me faire baiser. Prends moi en levrette. Vas-y, le passage va se faire aisément, c’est qu’il en accueilli des bites. Des petites, des fines, des grosses, des très grosses et une énorme.
J’ai positionné mon sexe sur son orifice et je l’ai pénétré. Aucune résistance. En deux jours de vacances, j’avais déjà sucé et avalé, été sucé, sodomisé et voilà qu’à mon tour je sodomisais un homme que je connaissais que de la veille.
vas-y garçon, baises moi! Mon cul a toujours faim de bites. Savoir que je suis le premier dans lequel tu vas te vider les couilles me rend fou. Baises moi je te dis, défonces moi.
Je n’avais pas besoin de ses encouragements, mais j’aimais la façon dont il m’invitait à le défoncer. De nouveau je découvrais un plaisir que j’étais loin d’avoir imaginé. Je me suis accroché à ses hanches et je me suis allé au plaisir jusqu’à je ne puisse plus me retenir.
oui, garçon, vides tes couilles en moi!
J’ai lâché de longs jets de sperme chaud dans ce merveilleux cul. Mon premier cul.

Le reste de mon séjour chez ma tante fut bien rempli. Jardinage et sexe. La veille de mon départ, il me donna une belle somme d’argent en remerciement de mon dur labeur de jardinier. Je lui promis de revenir l’été suivant. Il posa une main sur mon entre jambe et me lança:
je suis certain qu’elle aura prit du volume d’ici là.
Fin de la première partie.