Le voisin de ma tante, seconde partie

- Par l'auteur HDS Victorine3 -
Récit érotique écrit par Victorine3 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Le voisin de ma tante, seconde partie Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le voisin de ma tante, seconde partie
Le voisin de ma tante, deuxième et dernière partie
Fiction

Après l’été 1973, pendant lequel j’ai passé plus de temps chez le voisin de ma tante que chez elle, le retour au lycée fut des plus brutal. Avant de reprendre les cours, j’avais décidé de tirer un trait sur ma carrière de footballeur. J’étais assez moyen, preuve en est par le temps que j’ai passé à cirer le banc de touche.
En deux saisons, je n’avais marqué qu’un seul but. Mon heure de gloire.
Du coup je me suis astreint à faire de la muscu dans ma chambre. Dix pompes le matin, dix le soir et ce pendant une semaine. Puis, je suis passé à quinze, vingt etc…
Lorsque les vacances de l’été 1974 sont arrivées, j’avais pris, douze centimètres et j’étais harmonieusement musclé et qui plus est, ma bite avait prit du volume. Dix huit centimètres! Quand Yvon allait découvrir cela, j’étais certain qu’il allait vouloir que je la lui mette direct dans le cul . Je n’avais cessé de correspondre avec lui. Au mois d’Avril j’avais informé mes parents que je souhaitais retourner chez ma tante. Elle était d’accord, mais je devais savoir que son voisin avait prévu de gros travaux chez lui et qu’il avait déjà demandé si j’allais venir, pour l’aider.
Bien évidemment, c’était notre petit plan afin que je puisse retourner chez mon amant sans attirer l’attention de ma famille.
Et donc j’étais de retour à la campagne et à peine mes valises posées que je filais toquer à la porte du voisin de ma tante. Yvon m’accueillit avec un large sourire sur le visage.
-dis-donc, Jérôme, tu es devenu un homme me lança t-il admiratif.
-oui et tu n’as pas tout vu répondis je, attends de voir.
Sur ce, j’ai ôté mes fringues et me retrouvais nu devant lui. Je tournais sur moi-même pour lui faire admirer ma transformation physique.
et j’ai une autre surprise pour toi. Je pris mon sexe de la main droite et commençais à me masturber sans aucune gêne. Ce faisant, je m’approchai de lui jusqu’à ce que nos bites se touchent. Cela suffi à nous faire bander. Il regarda mon sexe et il écarquillât les yeux.
-Merde alors! Je…il me la faut tout de suite dans le cul.
Il se mit en position au milieu de son salon et je glissais en lui mes dix-huit centimètres.
c’est trop bon, vas-y, bourres le cul de ta petite pute!
Alors je lui ai bourré le cul, lentement puis accélérant, me déchaînant avec gourmandise. Yvon n’en pouvait plus de crier son plaisir. Après l’avoir baisé pendant de longues minutes, je lâchais un torrent de foutre dans son cul. Cela faisait une semaine que je n’avais pas jouis, me réservant pour cet instant.
- putain, la vache t’as pas lâché la purée depuis l’été dernier, c’est pas possible.
- non, juste une semaine
Il éclata de rire, pareil pour moi, mais je ne réserve pas ça pour ton joli cul musclé. J’aimerais bien que tu me suce, cela fait si longtemps.
Il s’assit dans un fauteuil et je me mis à genoux entre ses cuisses. Il était déjà raide comme une trique et je me mis au travail. Je rêvais de sa bite presque tout les jours et enfin je pouvais y goûter de nouveau. Je m’appliquais pour son plaisir et le mien.
Je léchais ses couilles avec gourmandise. Mais la partie que je préférais était le gland. Énorme. Le méat réagissait à mes petits coups de langue. Lécher, sucer… Yvon ne cessait de gémir en lâchant de temps à autre des: oui comme ça ma petite salope ou, oh tu es très doué…
Après lui avoir pompé le dard pendant bien vingt minutes, je l’ai senti près à venir. Au moment où je m’apprêtais à avaler sa jouissance, il retira sa bite de ma bouche et se masturba. De longs jets de sperme éclaboussèrent mon visage, les yeux, la bouche, le nez, j’en étais couvert. Il approcha son visage du mien et lécha sa propre semence. Quand il eu finit il m’embrassa, sa langue fouillait ma bouche. Je cherchais le contact de sa langue. Il y avait se goût de sperme que j’appréciais tant.
Une fois remis de ma surprise, j’allais dans sa salle de bain et lavais mon visage pour y ôter toutes traces avant de retourner chez ma tante.
- tu as aimé , me demanda t-il
-:oui, mais j’ai étais surpris
- t’inquiètes, tu auras d’autres occasions d’avaler.
Ça, j’y comptais bien.
Il m’expliqua qu’il avait prévu que nous fassions du jardinage et quelques menus travaux dans la maison.
Je retournais chez ma tante. Elle était déjà revenu du travail.
- où étais-tu? Chez l’autre vieille pédale?
- j’étais chez ton voisin pour voir ce qu’il avait prévu comme travaux pour cet été.
- ouais d’accord, mais fais gaffe à ton cul, c’est un gros pédé!
je jouais les surpris devant cette révélation qui n’en était pas une pour moi: tu veux dire qu’il est homosexuel?
- oui, donc fais gaffe.
Je promis d’être sur mes gardes.
Le lendemain lorsque je me rendis chez Yvon, je lui racontais la mise garde de ma tante à son sujet.
- Jérôme, je crois que ta tante aurait besoin que tu lui en mette un bon petit coup.
- Que veux tu dire par lui en mettre un coup? L’assommer?
- Non, me dit-il en éclatant de rire, j’entends par là, que ça doit faire un bon bout de temps qu’elle n’a pas eu un coup de bite.
- Tu voudrais que je baise avec elle? Je te rappelle que c’est ma tante, la sœur de ma mère.
-Oui et alors, ça m’étonnerait qu’elle aille téléphoner à sa frangine pour le lui dire.
- Je…
- T’as déjà baisé avec une femme?
- Non, mais…
- Elle est charmante ta tata et qui sait, tu pourrais y prendre goût.
J’étais totalement décontenancé. Il avait raison, elle était encore belle, mais de là à coucher avec elle…
tu veux dire que je devrais essayer de…
- écoutes, tu es peut-être 100% homo, ou tu es bisexuel. Si tu veux savoir, dans ma vie j’ai couché avec trois femmes, c’était il y longtemps et cela n’a rien changé dans mon attirance pour les hommes. On ne choisit pas, on naît ainsi.
Je restais silencieux pendant un long moment. Trop de choses se bousculaient dans ma tête.
- écoutes me dit-il, soit tu es pédé soit tu es bi, il n’y a qu’un moyen pour toi de le savoir.
- et comment je dois m’y prendre? Lui dire: tatie, tu es belle et j’aimerais beaucoup faire l’amour avec toi.
- non, comme ça, il y a peu de chance pour que ça marche. Tu es intelligent, je suis certain que tu vas trouver.
Nous avons passé la journée à travailler, je n’avais pas la tête à nos habituelles galipettes. Il s’en rendit compte et me laissa tranquille.
Je passais la soirée à me torturer l’esprit pour… mettre la sœur de ma mère dans mon lit. Je l’avais observé durant le repas du soir. Elle n’avait que deux ans de plus que ma mère, divorcée et sans enfant. Je finis par m’endormir. Le lendemain, je décidais de ne pas aller chez Yvon. J’étais fâché par sa proposition. Je passais la journée de Vendredi à tourner et virer dans la maison, sans but. Et merde, pourquoi je serais censé coucher avec ma tante. J’en voulais énormément à Yvon pour m’avoir suggéré ça. Soudain je pensais à un truc tout bête. Je pouvais dire à Yvon que je l’avais fait.
Il ne viendrais pas sonner à la porte pour demander à sa voisine si elle avait apprécié.
J’allais apprendre à mes dépends que la vie réserve bien des surprises.
Quand tatie revint de son travail, la première chose qu’elle me demanda c’était si j’étais toujours vierge du cul.
- t’as pas été voir l’autre tapette j’espère?
- Non, je suis resté ici.
- tant mieux, je voudrais pas avoir à expliquer à ta mère que tu t’es fait sodomisé par ce vieux pervers!
Je passais une nuit agitée, me demandant si je ne ferais pas mieux de rentrer chez moi.
Au petit matin j’attendis ma tante chantonner dans la cuisine. Je me levais pour la rejoindre et prendre mon petit déjeuner. Ce fut un choc pour moi de la voir vêtue que d’un haut de pyjama d’homme qui cachait à peine ses fesses.
- salut Jérôme, bien dormis?
- oui tatie, répondis je.
- s’il te plaît cesse de m’appeler tatie, ça allait quand tu étais enfant mais maintenant tu est presque un homme! Appelle-moi Nicole!
- d’accord
Sur ce, elle leva les bras pour attraper un bol sur une étagère. Le geste fit remonter le bas de sa veste de pyjama et je découvris ses fesses nues. A ma grande surprise je sentis mon sexe grossir à leur vue. Quand elle se retourna pour poser le bol sur la table elle vit que mon regard était posé sur son postérieur.
- la vue te plaît me demanda t-elle
Je ne savais plus où me mettre.
- bon d’accord je regardais ton cul et ça me fait bander, tu es contente?
L’avais-je vraiment dis à haute voix? Pendant un très court instant, je ne pu croire que je l’avais fait.
Nicole m’offrît un magnifique sourire et s’approcha de moi
je peux voir roucoula t-elle?
Je rêve ou quoi, elle me demande de lui montrer ma bite, pensais-je. Que quelqu’un me pince!
- allé Jérôme, fait pas ton timide.
Je me suis levé et en un instant j’ôtai tous mes fringues et lui exhibais la barre de fer que j’avais entre les jambes.
- oh merde, ça alors, je n’en ai jamais vu d’aussi grosses. Au diable le petit déjeuner. Suis moi!
Elle m’attrapa par le queue et me tira vers sa chambre.
- dis-moi mon petit chéri, tu as déjà bouffé la chatte d’une femme,
- je…
- oh, le petit amour, il est toujours puceau. Tu vas voir je vais tout t’apprendre, mais bien évidemment il ne faudra le répéter à personne, surtout à ta mère.
-oui, cela va de soi.
Elle me guida et m’apprît ce que je devais savoir pour combler une femme.
Elle s’allongea sur le dos et écarta largement ses cuisses. Elle me montra une partie de son sexe et le désigna sous le terme de clitoris.
- Si tu t’appliques bien, tu vas les envoyer au septième ciel direct.
Alors je me suis penché sur sa fente et je lui ai bouffé la chatte aussi bien que je pouvais.
- ben, merde, tu es foutrement douer. Tu vas faire jouir tata Nicole. Continues petit cochon, t’arrêtes surtout pas. Alors j’ai continué. Je m’enivrais des effluves de son sexe, de son goût aussi. Après de longues minutes elle me repoussa.
- arrêtes avec ta langue et fourre moi ta bite dans la chatte!
J’ai changé de position et me suis enfoncé dans sa chatte humide. Elle me regardais intensément.
- alors mon petit neveu, tu aimes?
- c’est fabuleux, je…
- tu parleras plus tard, pour l’instant baises moi. Cela fait des années que je n’ai plus eu le bonheur de sentir une queue en moi. Commences par y aller doucement et après fonce!
Ce que je fis. C’était fou, je n’aurais jamais imaginé un tel plaisir. J’y suis allé doucement, puis j’ai accéléré le rythme et j’ai foncé. Soudain des cris de plaisir résonnaient dans la pièce. Elle hurlait presque, je haletais comme si j’avais sprinter sur dix kilomètres.
Puis nous fûmes emportés loin très loin, frappés par un immense orgasme, une jouissance comme je n’avais jamais connu avec Yvon. Je m’écroulais sur elle. Et je me mis à l’embrasser, à lui mordiller les lèvres, à lui lécher la transpiration qui coulait sur ses yeux. Je n’en pouvais plus de cette extase. Je me mis à lui sucer les seins, à lécher son nombril, a la serrer contre moi. Je bandais de nouveau et je la pénétrais de nouveau. Je sentais mon sperme sur mon sexe. C’était un pur moment de délices. J’ai repris un rythme presque sauvage. De nouveau elle me repoussa, se mit en position levrette, pris mon sexe avec sa main droite et le guida sur son petit orifice.
n’est pas peur mon amour, vas-y doucement et cela va rentrer.
Ma bite tout juste sortie de son sexe était couverte de mon sperme et de ses sécrétions et n’eut aucun mal à se frayer un chemin dans ce passage étroit.
- ne bouges pas me dit-elle alors que je m’étais enfoncé jusqu’aux couilles.
Il faut que je m’habitue à cette chose monstrueuse qui est en moi.
Une ou deux minutes et elle me donna le feu vert pour que je puisse aller et venir en elle. Je ne me souviens plus combien de temps j’ai passé en elle. Je me rappelle qu’elle gémissait, poussais de petits cris de plaisir mais pas de douleur. Je finis par jouir dans son cul. Se retournant, elle m’embrassa, un vrai baiser, un baiser d’amour.
J’avais les yeux fermés et quand je les rouvris je vis des larmes couler sur ses joues. Alors je l’ai serré contre moi et je l’ai tendrement bercé. Il n’y avait que nous deux.
- j’ai faim me dit-elle, tu veux manger?
- oui Nicole
Nous nous sommes retrouvés nus dans sa cuisine, je l’ai aidé à préparer le repas, puis nous nous sommes mis à table mangeant avec appétit. Nous n’échangeâmes que quelques mots. Le repas terminé, nous regagnâmes sont lit et enlacés, nous nous sommes endormis.
Quand j’ai ouvert les yeux, j’ai consulté ma montre, il était quinze heures passé.
Nicole était allongée sur le ventre, nue. Elle ronflait doucement. C’était une belle femme. Plus belle que ne l’était ma mère. Penser à ma mère, me ramena à la réalité.
Comment pourrais-je la regarder dans les yeux après ce qui venait de se passer avec sa sœur. J’étais sûr, que mon regard me trahirait. Que devrais-je faire? Oui, maman, tatie Nicole et moi, nous avons fait l’amour. Non, bien évidemment ce n’était pas quelque chose d’envisageable.
Je fus soudain pris d’un malaise. Ce que ma tante et moi venions de faire, avait un nom: inceste. Consenti, certes, mais nous avions commis un acte tabou.
Un acte contre nature? Alors que je contemplais son corps, je ne ressentais aucun regret, aucun remord. Plus que tout, je me rendis compte que je l’aimais. J’étais amoureux de ma tante.
Nous avons passé le reste du week-end à rire, à nous aimer et manger et boire.
- tu le diras pas à ta mère que je t’ai fait boire, ni pour le reste évidemment?
- je te le promets!
- t’as plutôt intérêt ou bien j’irai lui dire que tu te fais défoncer le cul par mon voisin.
Devant mon regard ahuri, elle m’avoua qu’elle savait pour Yvon et moi.
je sais tout. Je sais que tu es une vraie petite pute, que tu aimes sucer, avaler, enculer et te faire enculer. Yvon et moi n’avons aucun secrets entre nous.
Je restais muet. Disait-elle la vérité ou me posais t’elle un piège. Je devais avoir une petite discussion avec monsieur Yvon.

Le Lundi matin après qu’elle soit partie au travail, je me précipitai chez ce maudit voisin.
- dis donc, sale petit enculé, tu es allé raconter à ma tante tout ce que nous faisons dans le secret de ta chambre? Tu mériterais que…
- calme toi, s’il te plaît. Nicole n’est pas idiote. Sachant ce que je suis, elle m’a posé la question si toi et moi…
- et t’as tout balancé?
- écoutes, ta tante est une personne adorable, son ancien mari était un connard fini. Je suis là quand elle n’a pas le moral. Je ne voulais pas lui mentir.
- et merde, merde, merde. Maintenant elle sait que je suis homosexuel et comment je fais pour que ça ne s’ébruite pas dans ma famille?
- es-tu certain d’être homosexuel?
- pourquoi cette question?
- simplement quand on fait l’amour avec quelqu’un, on évite de laisser les fenêtres ouvertes. J’étais dehors hier après-midi et les bruits qui venaient de sa maison ne laissaient aucun doute de ce que vous étiez entrain de faire.
- qu’est-ce que ça peux te faire? Je suis…comment déjà? Bisexuel, c’est ça? Maintenant ça suffit, je rentre chez moi.
- d’accord, tu as besoin d’un peu de temps pour assumer. Reviens me voir quand ça ira mieux.
- non, quand je dis que je rentre chez moi, je veux dire chez mes parents! Adieu
Avant qu’il ne puisse ajouter un mot, j’étais dehors. Je bouillais intérieurement.
Ma tante était à son travail, tant mieux. Il fallait que je me calme avant son retour et lui faire part de mon intention de partir de chez elle.
Lorsque elle revint de son travail elle vit tout de suite que quelque chose n’allait pas.
- Jérôme, tu vas bien?
- ai-je l’air d’aller bien?
- qu’est-ce qui ne va pas?
Le plus calmement possible je lui racontais ma visite chez son cher voisin et de ma décision de rentrer chez moi.
- Jérôme, s’il te plaît, ne fait pas ça, restes avec moi. Juste toi et moi.
- non, je suis désolé. Je suis très en colère et j’ai honte.
- tu as honte de quoi? Que nous fassions l’amour?
- oui, je me rend compte que ce n’est pas bien de baiser avec un membre de sa famille.
- je ne sais quoi te dire mon chéri, mais restes avec moi s’il te plaît.
Elle s’approcha de moi et me prit dans ses bras.
- viens, j’ai envie de toi.
Je l’ai suivi dans sa chambre. Nous avons fait l’amour avec passion.
Je suis resté, mais je ne suis jamais retourné chez le voisin de ma tante.
Il n’y avait plus que nous deux.

Fin

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très joli texte empli de sensualité et d’érotisme Daniel



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