Le voisin du deuxième palier - histoire érotique

Je rentre du travail, il est midi passé.
Mon amour de femme, m'a préparé un bon repas.

Fin la fin de celui-ci, elle me dit:

"Ah ! J'allais oublier ! Y a Sylvain, le voisin ! Qui a demandé, si tu pouvais lui réparer, une petite fuite de son lavabo de salle de bain !".
"Pourquoi moi ?".

"Quand je lui ai dis que tu savais bien bricoler, il a aussitôt pensé à sa fuite ! Tu peux y aller ?".
"Ben, demain (vendredi) alors ! Je bosse pas l'après-midi !".

Je n'y pense pas plus que ça ! C'est toujours sympa de rendre service à un voisin, ça contribue aux bons rapports de voisinage.

Je précise que l'homme a encore, au minimum 20 ans de plus que moi, allure sportive, viril et musclé, bien entretenu et surtout bien plus grand !

Vers deux heures, Corinne quitte l'appartement, et je vais sonner chez le voisin, deux étages au dessous du nôtre.
Je frappe à sa porte.

"Oui, j'arrive !".

Ben non, en fait ! Puisqu'il met un certain temps à m'ouvrir ! je me demande ce qu'il doit bien faire !
La porte s'ouvre enfin.

J'ai un effet de stupeur en le voyant, vêtu d'une simple serviette de bain, autour de la taille !

"Oh ! Pascal ! Merci d'être venu ! Désolé pour la tenue, j'attendais que tu viennes pour prendre une douche ! Je vais couper l'eau ! Attends moi !".
"Euh, oui, ça vaut mieux !".

Je suis tétanisé, j'ai pas rêvé ! Il bande comme un âne sous sa serviette ! C'est sûr, il devait se branler !

Il m'entraine vers sa salle de bain, il doit bien sentir ma gêne, à mon avis !

"Voilà ! C'est ce robinet qui fuit !".

J'inspecte le robinet, en effet, ça coule !

"Je pense qu'il faut simplement changer le joint ! Vous en avez ?".
"Oui, dans le tiroir, tout en bas ! Il faut se baisser !".

Je me baisse, pour fouiller, puis j'entends:

"Oh ! Merde !".

Je me retourne pour voir ce qui se passe.
Sa serviette a glissé !
Je me baisse en surmontant ma gêne sans regarder sa grosse verge en érection et ramasse la serviette.
Il s'avance pour coller sa bite contre mon visage.

"On s'en fout du robinet ! Je sais le réparer ! J'ai enfin trouvé le moyen de te faire venir chez moi !".
"Sylvain ! Qu'est-ce que vous faites ?".

"Fais pas l'ignorant, je sais que t'aimes la bite ! J'ai un pote qui t'a baisé au Mourillon !".
"Je... non...".

Il insiste:

"Il est sur que c'est toi ! Il m'a dit que t'avais une bonne chatte ! Elle te plait pas, ma bite ?".
"Je... Mmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmm...".

Il vient de forcer les choses, et ma bouche, par la même occasion.

Pendant les deux premières minutes, je subis ses enfoncements sans réagir, puis il enlève ses mains de mon crâne pour voir, si je continue de le sucer.

Ma main s'est posée sur la base de sa verge, je remonte vers son extrémité, puis lui lèche le gland avec vice.

"Arhhhhhh ! Ouais, comme ça, putain, depuis que je suis au courant, je pense qu'à ça ! Tu l'aimes ma bite ?".
"Humm ! Oui, elle est parfaite ! Bien large, comme j'aime !".
"Tu la voudrais dans l'cul ?".
"Oui !".

Il se voute pour me dénuder, sans que je cesse de lui donner du plaisir buccal.
Je fini de quitter mon pantalon, toujours enfoncé sur lui.
Il me masturbe l'anus.

"Fais moi voir ta p'tite chatte !".

Il me relève et me retourne en m'écartant les fesses.
Il se baisse pour me lécher l'œillet anal, un petit moment.

"Viens ! On va aller baiser dans le salon !".

Là, il me cale contre le flanc du canapé, avec les fesses relevées, et s'accroupi derrière mes fesses.
Il maintient mes deux lobes bien ouverts, et me fouille avec sa grosse langue rugueuse.

"Orhhhhh ! Sylvain ! C'est bon ! Putain ! Je m'attendais pas à ça, avec vous !".
"Tu peux me tutoyer, ma p'tite salope ! Avec ce que je vais te mettre, tu vas me voir différemment !".

En profitant de mon plaisir, je passe en revue, mes amants d'une heure, du Mourillon.
Ils sont trop nombreux ! Comment puis-je me rappeler ? C'est impossible !

J'en oublie ce qui se passe derrière moi, j'ai maintenant, son gros gland qui cherche à me transpercer !
Il m'appuie dans le creux du dos, en poussant sa verge.

Devant sa poussée, mon œillet s'ouvre lentement.
Puis il glisse pour s'introduire jusqu'à mi-chemin de mon anus.
Je gémis !
Il recule, jusqu'à sortir complètement de mon cul.
Il revient ensuite.
Sa grosse verge coulisse alors, sans retenue, pour venir toucher mon fondement.
Je mord mes lèvres.

"Arhhhhhhh ! Enfin, je te baise !".
"Orhhhhhhhhhhh ! Sylvain ! C'est bon ! Mmmmmmm !".
"Il te plait, mon p'tit piège ?".
"Oui ! Mais, j'm'y attendais pas ! Je me souviens pas de ton copain !".

"On s'en fout de lui ! Maintenant, c'est moi qui t'encules !".
"Orhhhhhhh ! Oui ! Et tu le fais bien ! Arghhhhhhhhh !".
"Hummm ! Il avait raison, elle est bonne ta chatte ! T'encaisses bien, ma salope !".

Il augmente sa fréquence de pénétration, je lance mon bras derrière moi. pour le retenir.
Il m'encule trop fort et profondément ! C'est trop tôt ! Je suis pas encore assez "ouvert" analement.

"Orhhhh ! Putain ! Doucement ! Argggggggggghhhh !".
"Depuis le temps que je veux baiser ton beau cul ! Putain ! J'vais bien en profiter ! Si Corinne savait ce que j'te mets ?".

Je ne veux pas qu'il sache qu'elle est au courant, ni qu'il apprenne qu'elle est libertine.
Donc, je joui sur sa bite, sans répondre à ce commentaire.

Par contre, mes orgasmes doivent lui révéler que j'apprécie le sexe anal depuis longtemps !
Et je comprends, de mon coté, qu'il baise des jeunes hommes, depuis un moment aussi.
Il est très endurant, le salaud !

Comme beaucoup de mes partenaires, il s'étonne:

"Putain ! Salope ! C'que tu peux mouiller de la chatte ! C'est énorme ! Orhh ! Tu m'excites trop, toi !".
"Arhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! J'en peux plus ! Tu me casses le cul ! J'ai trop joui ! Arggggggggggg !".

"Orhhhhh ! Il faut que je jouisse, moi aussi ! Désolé, il faut que je te défonces plus fort !".

A partir de là, mes râles deviennent des cris, que j'étouffe dans le canapé, sous mon visage.
Je prends des claques sur les fesses.
Il sort sa grosse verge, revient violement dans mon anus éclaté et gluant de jus anal, en m'arrachant un nouveau cri.
Mon orgasme est énorme !

Il recommence encore et encore, j'en perd la tête à un moment !
Puis, son rythme est incroyablement rapide, il se fige enfin.

Ses cris ressemblent à des râles de douleur.
Ils correspondent à des secousses violentes dans sa verge.
Je me sens libéré de cette folle étreinte, mais j'ai tellement adoré ça !
Il s'affale sur moi, en haletant très fort.

"Oh, putain ! Pascal ! Si je m'attendais à ça ! J'ai pris un pied énorme ! Si tu savais ?".
"Orhh ! Moi aussi ! Ouffffffffffff ! Tu m'as éclaté le cul ! J'suis trempé !".
"Comme ma bite ! C'est fou comme tu mouilles !".
"Je sais, certains jours, plus que d'autres ! Particulièrement aujourd'hui !".
"Tant mieux pour moi, alors !".

"Bon, je vais rentrer chez moi !".
"Restes un peu ! Tu dois bien avoir un peu de temps ?".
"Oui, c'est vrai ! Après tout !".

On s'allonge ensemble sur son canapé.
Son attitude change et devient beaucoup plus respectueuse.

Il me caresse sans cesse le corps, en particulier les fesses.
Il m'offre un premier baiser, ensuite, puis reprend son tendre toucher.

"Je vois pas qui c'est, ton copain ! Il m'a baisé quand ?".
"Il y a un an, je crois !".
"Et depuis tout ce temps, tu sais que je me fais baiser par des mecs ?".

"Oui ! Et plus, je te côtoyais, plus j'y pensais ! Tu caches bien ton jeu, en jouant au couple parfait avec Corinne ! Si elle savait ! La pauvre !".
"Eh, j'te signale que t'en as bien profité !".

"Ouais, et d'ailleurs, tu vas revenir ! Tu vas pas t'en sortir comme ça Ma p'tite salope !".
"Tu te lâches vite, au niveau vocabulaire, je trouve !".

"Ben, d'après mon pote, t'as pas froid aux yeux ! Tu aimes les jeux à plusieurs ! Il était pas le seul à t'enculer !".
"Ah ! Bon ! Je peux plus le nier, alors ! C'est vrai, j'aime ça aussi ! J'avoue !".

"Tu t'es même pris une double anale ! D'après lui !".
"Putain ! Tu sais tout ! Donc ! J'me sens tout nu, du coup !".

"Ben, tu l'es !".
"Oui ! Mais je parle au sens figuré ! Tu sais tout de mon coté pervers !".
"Oui, et ça m'plais beaucoup !".

"Mais t'aimes pas les filles ?".
"Les deux ! Mon neveu ! Sinon, je serais en couple ! C'est pas les meufs qui ont essayé, qui manquent ! Mais j'aime dominer les jeunes mecs comme toi ! Ca m'excite !".
"J'ai vu !".

"Tu veux boire quelque chose ? Bière, Coca, café ?".
"Café, ça va me réveiller ! Tu m'a épuisé !".

Lors de son retour avec les boissons, je m'assois après m'être essuyé les fesses, avec un essuie tout, qu'il m'a donné.

"Vous faites un joli couple avec Corinne ! T'as de la chance de l'avoir ! Elle est aussi belle que gentille ! Fais gaffe ! Beaucoup vont essayer de te la piquer !".
"Pas toi, quand même ?".

"Non, mais je vois bien les regards des autres mecs, sur elle ! Moi, ce qui m'intéressait le plus, je viens de l'avoir !".
"T'as pas eu de scrupules pour baiser son mec, je vois !".

"Ben, comme je serais pas le premier, ni le dernier ! J'vois pas pourquoi, j'me gênerai ! Mais j'ai eu du mal à le croire, quand mon pote m'a mis au courant !".

On passe notre temps à discuter et pratiquer des attouchements mutuels.
Donc, inévitablement, il est reprit d'une forte érection que je recouvre lentement avec ma bouche.

"Ouais, c'est ça ! Prends moi dans ta bouche ! Salope ! Tu sais quoi ? Je vais encore t'enculer, et après, tu m'avaleras ! Il parait que t'adore ça !".
"Mmmmmm ! Mmmmm ! Moui, c'est vrai ! J'adore le sperme ! Mmmmm ! Gllllllllllrp ! Gllllllllllrp !".

Il profite longuement de ma gorge chaude et humide, sur sa grosse verge, en me parlant vulgairement.
Il me devance ensuite de m'empaler sur lui.

Il admire mon petit corps saisit d'orgasmes successifs, sur sa bite dure et épaisse.

Il nous fait ensuite pivoter et me prend par les cuisses, en me transperçant l'anus sans discontinuer.
Mon corps est vouté dans le canapé, mon visage est figé sur mon anus qui se fait écarteler par mon voisin.

L'effet répétitif, dans mes parois anales, produit sa conséquence habituelle, ma verge enfle.

"Eh ! Je vois que ça te fait bander que j't'encules ! Salope !".
"Oui ! Je vais gicler mon foutre, si tu continues comme ça ! Arghhhhhhhhhhhh !".

Je suis en plein orgasme anal, encore, ma verge est prête à exploser !
L'orgasme anal ne retombe pas !
Puis, c'est la délivrance, le sperme déferle sur mon ventre !

Sylvain conserve sa puissance, mais augmente son rythme de saillie, motivé par mes râles de plaisir.
Il gémit de plus en plus souvent, lui aussi, à chaque enfoncement dans ma chatte anale.

"Arhhhhhhhhhh ! Salope ! Ouvres ta bouche ! Tu vas avoir mon foutre !".

Il m'attrape la nuque et m'enfonce la gorge sur sa grosse verge, prête à me déverser sa semence chaude et salée.
Il ne soucie aucunement de mon pouvoir d'absorption, en collant trop fort, son gland contre ma glotte.

Je m'étouffe en essayant d'avaler.
Un besoin d'air me fait rejeter du sperme, qui coule au bord de mes lèvres.

Il recule légèrement, j'ai alors, l'aisance nécessaire pour ingurgiter goulument, la suite de son déversement éjaculatoire.

"Orhhhhhhh ! Putain, j'aime ça aussi ! C'est bon de remplir ta p'tite gueule d'ange ! Mmmmm !".

Je glousse de plaisir en l'avalant.

La fin de ce bonheur buccal partagé, se termine avec son sexe, qu'il utilise pour nettoyer les écoulements de jus, sur le bord de mes lèvres.
Il s'assoit sur mes cotés, me laissant avec l'anus poisseux et la gorge avec un fort gout de sperme.

"Ohhh ! C'était bon ça aussi ! Tu reviens quand ?".
"Euh... Attends ! J'ai pas encore les idées claires ! Je... je sais pas ! Passes moi un message, en le disant à ma femme ! Pas trop souvent, non plus ! Elle va se douter de quelque chose !".

"Tu peux passer, aussi !".
"Euh... Oui, aussi ! Putain, il va falloir que je gère ça, en plus !".
"En plus ? En plus de quoi ?".

"Pas de quoi ! De qui ! J'ai un autre amant depuis quelques mois ! Il s'appelle Gilles !".
"Bon, ça me regardes pas ! Moi, je veux t'enculer quand j'en ai envie ! C'est tout ce qui m'intéresse !".

"Ok, je te promets de faire des efforts ! A quelle fréquence, tu veux que je vienne ?".
"Deux à trois fois par semaines, au début, ce serait bien !".

"Je pourrai pas ! Deux fois, c'est le maximum ! Donc une fois, c'est sûr !".
"Ok, je prends ! Tous les vendredis, alors !".

"Voilà ! C'est parfait ! Mais dis-moi ? Tu vas pas toujours me défoncer comme ça, j'espère ! j'aime bien aussi, quand c'est plus sensuel !".
"Oui, t'inquiètes, chéri ! On changera un peu ! Moi aussi, j'aime bien ! Mais, prépares bien ta chatte pour la semaine prochaine !".

Finalement, je n'ai pas respecté la fréquence indiquée, puisque le dimanche d'après, Corinne est sortie avec une amie.
J'ai donc retrouvé mon voisin, positivement surpris.

Il m'a possédé sensuellement d'abord, puis enculé comme une salope, la seconde fois !
J'ai choisi de cacher cette liaison à ma femme, elle en savait bien assez !

Evidement, on a usé de stratagèmes pour s'adonner à de nombreuses fellations juteuses, en catimini.

Parfois, il me prenait avec fougue pour éjaculer plus vite ! C'était tellement excitant de retourner chez moi avec le cul béant et dégoulinant, que je serrai de toutes mes forces, ou la gorge remplie du foutre de mon voisin !