Le voisin et ami homo de mon meilleur ami. - histoire érotique

Mon meilleur ami Johan, me fait la surprise d'une visite, il y a une vingtaine d'années.
C'est le même ami qui m'a demandé de l'aide pour son gite refuge, ce qui me vaudra deux nuits chaudes avec deux américains.
Je sors les amuses gueules et un apéro, on discute de tout et de rien comme de vrais amis.
Il me parle alors d'un type (Robert) que je vois quelques fois chez lui, avec qui il entretient une relation amicale, ils sont presque voisins.
"Tu sais qu'il aime les hommes?".
"Ah bon? Ca se voit pas! Il est pas efféminé du tout, il doit être actif comme on dit!".
"C'est ça! Il aime les jeunes! Bon moi, c'est pas mon truc! Et puis, je lui plais pas et c'est tant mieux! Enfin, pas moi!".
Johan ne sait pas que je suis bi passif, je garde mon secret précieusement.
"Pourquoi tu me dis ça comme ça? Ca cache quelque chose!".
Il s'éclate de rire et ajoute:"Il a craqué sur toi! Il rêve de te baiser!".
"T'exagères de me dire ça, comment je vais faire moi, quand je vais le voir!, je vais avoir l'impression d'être un dessert qu'il veut bouffer! Je vais me sentir mal! Je suis pas gay!".
Il continue de rire comme une hyène, puis je change de sujet, troublé par ce qu'il vient de me dire.
Quelques mois plus tard, il me demande de venir le voir pour l'aider à restaurer un meuble.
"Euh, y aura pas Robert! J'espère!".
"Ah ah! Non! Ton petit cul risque rien! Il passera surement, mais je te protègerai! Ah ah ah!".
On passe l'après midi à restaurer son meuble, puis on attaque l'apéro en plaisantant.
Robert débarque, je suis gêné par sa présence! Décidément, mon meilleur ami n'aurai jamais du me confier qu'il fantasmait sur moi.
Je ne vois plus ses regards de la même manière, mon ami rit par moment, en voyant ma gêne.
Je commence à être sous l'effet de l'alcool, et réalise que j'ai laissé passé l'heure de mon dernier bus.
Mon ami Johan me demande:"Tu bosses demain?".
"Non! Tu sais que j'ai pas de boulot en ce moment!".
"Ah oui c'est vrai! Ben dors ici! Y a de la place dans mon lit! Ah ah ah! Ou chez Robert! Qu'est ce que t'en penses? Tu lui ferais une place Robert?".
"Oui, mais changes de sujet! Idiot! C'est pas le moment!".
On continue notre beuverie, mon ami s'écroule dans un sommeil profond avant moi et Robert.
"Il va falloir aller le coucher! Il en tient une bonne! Tu m'aides Robert?".
"Bien sur, je le prend aux épaules, tu prends les jambes!".
On le traine jusqu'à son lit, je suis troublé par la puissance de Robert et sa grande taille, puis on ferme la porte et on retourne dans le salon.
Comme je commence à me connaitre, j'ai arrêté de boire quand j'ai senti que je devenais trop gai.
On ressent toujours les effets de l'alcool avec des verres de retard, donc les autres verres allaient être de trop!
Je regarde Robert, je m'étonne qu'il soit attiré par des jeunes hommes comme moi, il a tout ce qu'il faut de virilité pour plaire aux femmes.
Il me dit alors:"Il t'a dis que j'aimais les mecs! J'ai senti que tu avais changé vis à vis de moi, tu es gêné! Mais je veux pas t'ennuyer avec mon attirance pour toi, tu sais!".
"Euh, oui, il m'a dit! C'est pas évident pour moi! Ca me gêne de parler de ça à coté de lui, même s'il dort!".
"Je comprends! On prend la bouteille et on va chez moi, on va le laisser dormir! fais moi confiance, je te sauterai pas dessus!".
"Oui, par contre, je dois pouvoir rentrer, je vais dormir sur son canapé!".
Je me rends compte que mon comportement peut lui laisser imaginer que je suis ouvert, vis à vis de lui.
Je mets ça sur le compte de l'alcool. En entrant chez lui, il me sort des amuses gueules encore et me demande, si je veux plutôt manger quelque chose de plus consistant.
"C'est gentil, t'es adorable! Comme mec! On dira pas à te voir".
"Que je suis un homo? C'est ça?".
"Mais non! N'importe quoi! Excuses-moi! Je sais pas comment m'excuser du coup!".
Je pose ma main sur son épaule, il se tourne et me fixe avec tendresse.
"Tu me plais trop Patrick!".
Il m'enlace et me serre contre lui, je sens son érection contre mon ventre, il est beaucoup plus grand que moi.
"Ro... Robert! Non, S'il te plais!".
Il recule pour s'assoir sur son canapé, puis il prend son visage entre ses mains.
"Je suis désolé Patrick, je crois que j'ai trop bu moi aussi! Il vaut mieux que tu me laisses!".
Je ne sais pas si c'est par compassion ou par désir, je me suis agenouillé devant lui, puis j'ai relevé son visage et je l'ai embrassé.
Notre baiser a été plein de fougue et de désir.
Il m'enlace avec force, puis s'écarte en me disant:"Je crois pas ce qui m'arrive!"Je baisse mon regard, je devine la forme de son membre sous sa braguette déformée par son érection.
"Patrick, t'es pas obligé, on peut arrêter là!".
"C'est moi qui te mets dans cet état?".
"Oui, tu le sais!".
"Laisses-moi faire alors!".
Ma main caresse sa bite fermement pendant que je donne ma bouche pour un autre baiser.
Nos lèvres se séparent, puis je me dirige lentement vers sa grosse verge.
Il ouvre sa braguette, et dégage sa bite, pour me permettre de lui offrir une longue et tendre fellation.
"Arhhhh! Patrick, je crois pas ce que je vis! C'est trop beau! Oh ce que tu me suces bien!".
Je recule ma bouche qui coulisse longuement autour de sa hampe, son gland gonflé frotte doucement entre mes lèvres.
Je lape lentement sa hampe en partant du bas de sa queue, jusqu'à la fente que forment les deux lobes de son gland violacé de désir.
Je tourne autour de sa protubérance inlassablement, j'aime le sucer et ses gémissements sont une énorme récompense pour moi.
Il ôte ses vêtements un à un pendant que je lui donne du plaisir buccal.
Ma gorge se remplit de toute sa longueur, en mouvements incessants, son extrémité va très loin au fond de ma grotte buccale.
Puis il me déshabille à mon tour.
Je me redresse pour enlever mon pantalon devant lui, en disant:"Je veux que ça reste secret! Tu me promets?".
"Je te promets!".
Un fois nu, je grimpe sur lui, puis je me positionne au dessus de son gros gland.
Il écarte mes fesses.
"Tu es prêt? Ne t'inquiètes pas, je vais faire doucement!".
Je souris intérieurement, il va découvrir que je suis une vraie salope mâle et que sa grosse bite, va me pénétrer plus facilement qu'il pense.
Je salive sur mes doigts, puis me couvre l'œillet que son gland commençait déjà à forcer.
Il salive lui aussi sur sa bite, puis il réitère sa tentative de pénétration, en m'attirant vers lui pour l'embrasser.
Je devine que mon anus s'ouvre et va bientôt le laisser m'investir, je me retiens intentionnellement de m'enfoncer sur lui.
Je le regarde tendrement, puis je lui dis:"Robert? Je te plais tant que ça?".
"Oui, je rêve de toi souvent, t'es mon genre de mec! J'ai du trop en parler à Johan!".
"Alors, apprécies ce que je vais te donner!".
Je m'empale très lentement, d'une traite, en me cambrant de plaisir sur lui, jusqu'à ce qu'il touche le fond de mon anus.
"Arhhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
"Oh, putain c'est bon! Je suis trop bien dans ton cul!".
Je commence à bouger sur lui en l'embrassant.
En quelques minutes, je le couvre de sécrétions anales en jouissant.
Je le chevauche avec fougue et puissance, pendant un moment, long et intensément délicieux.
"Oh, Patrick, c'est trop bon, je ... comprends pas! Tu me baises trop bien!".
"Chhht! Je suis bi, tu comprends pas que j'adore me faire enculer! Je suis entrain de jouir du cul sur ta bite! Arhhhhhhhhhhhhhhhh!".
"Oh, C'est génial! Si j'avais su! Je t'aurai abordé avant, ohhhhhhhhhhhh!".
Mon dernier orgasme retombe, je ralenti mes aller retours.
Je me soulève, puis je me place en bout de canapé, pour lui offrir mon cul en levrette.
"Je crois pas que je suis entrain de te baiser!".
"Tais toi et encules-moi encore!".
Il me défonce en écartelant mon anus de sa longue et large queue.
Ses assauts sont très très fougueux et longs, je crie mon plaisir anal.
"J'adore t'entendre jouir du cul! Tu m'excites trop, si tu savais!".
Je pense que l'alcool bloque son éjaculation puisqu'il me procure plusieurs orgasmes, avant de me retourner sur le dos.
Il me déchire encore le cul en m'embrassant fougueusement, puis alors que j'ai sa grosse langue dans la bouche, je comprend qu'il éjacule en grognant.
Son sperme me rempli l'anus profondément, je l'entoure de mes bras, je veux qu'il m'insémine complètement.
Il relève son visage et râle en penchant la tête en arrière.
"Arhhhhhhhhh, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! Arhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
J'aime le voir se vider en moi, son plaisir est communicatif, il me rempli de son bonheur.
Peu à peu, il retrouve une certaine lucidité, je lui demande:"Ca va, t'es pas déçu?".
"Oh, non! Au contraire! C'était génial! Mais alors t'es bi! Toi aussi, tu aimes les hommes!".
"Oui, mais c'est un secret! Je ne veux pas que ça se sache! Je te fais confiance!".
"Promis! Dommage que tu sois pas gay, je t'aurais proposé de vivre avec moi!".
"Non, j'aime trop les filles pour vivre avec un mec! Mais si tu veux, et si on fait attention, je veux bien que tu m'encules encore!".
"Humm! avec plaisir! Ca va être dur de t'attendre! Mais je prends ce que tu me donnes!".
On se restaure un peu, le sexe ça creuse! Puis plus d'une heure après, je le coince contre un mur pour le sucer avec avidité.
Au bout d'une très longue et délicieuse séance de plaisir buccal, il éjacule abondamment dans ma bouche.
Je le quitte pour retourner chez mon ami, et après m'être masturbé dans les toilettes, je m'écroule sur le canapé.
Le lendemain, je suis réveillé par Robert, il est dix heures du matin.
"Bonjour! Tu veux un café?".
Oui, je veux bien, mais ou est Johan?".
"Au boulot!".
"Et toi?""Je suis en repos aujourd'hui! T'as bien dormi?".
"Comme un bébé!".
"Moi aussi! C'était super hier! J'ai encore envie, tu sais!".
"Chhht! S'il te plais!".
"T'as rien à craindre, on est seuls! Allez, je te sers le café!".
Il pose sa main sur ma cuisse pendant que je bois mon café, son regard est tendre.
"Robert, il faudra pas que tu me regardes comme ça devant Johan!".
"Je ferai attention! T'inquiètes pas! Mais tu me plais trop!".
Il me fait manger des croissants qu'il est allé acheter au boulanger du coin, j'ai l'impression d'être une princesse qu'un homme veux gâter le plus possible.
"C'est adorable, mais tu en fais trop, Robert! Ca me gêne! Je sais pas comment te remercier!".
"J'ai bien une idée, si c'est que ça qui te gêne!".
Il attire ma main sur son sexe en érection.
"Robert! Ca me fait bizarre de faire ça chez Johan! Et puis ça, c'est pas un remerciement, puisque j'y prends autant de plaisir que toi!".
"Allez! On est seuls, je te dis! Montres moi comment tu aimes me sucer!".
Je m'agenouille entre ses jambes, puis après qu'il ai baissé son vêtement, je saisis son magnifique membre à la base.
Je recouvre son testicule droit de mes lèvres humides, en l'aspirant légèrement, ma langue le lèche à l'intérieur de ma bouche.
"Oh, putain, ça j'adore! Tu sais y faire! Continues, c'est trop bon!".
Je ressors sa couille et avale l'autre pour lui offrir le même traitement buccal.
Je la quitte pour lécher longuement les deux testicules ensemble, puis je remonte très très lentement, ma langue humide que j'aplati sur sa hampe jusqu'à la fente de son gland.
"Oh c'est merveilleux! Encore Patrick!".
J'écarte mes lèvres, ma langue lèche longuement son gland en faisant de nombreux tours, puis mes coussins buccaux entourent sa turgescence pour s'en pénétrer jusqu'à la glotte.
Son gémissement me conforte sur le plaisir que je lui donne, J'entame de longs mouvements humides et chauds sur sa longue bite.
Il gémit en me caressant les cheveux.
A chaque fois que je suis enfoncé au maximum sur lui, il m'appuie légèrement sur le crâne en gémissant, il aime ce contact profond.
Je remonte encore très lentement, puis retourne sur ses couilles et renouvelle ma vicieuse fellation pendant presque un quart d'heure.
"Oh, Patrick, arrêtes, je vais jouir! J'ai envie de toi! Arrêtes s'il te plais!".
Il m'arrache de force à sa délicieuse queue, en me soulevant le visage avec insistance.
"Pourquoi tu m'arrêtes? J'aime trop te sucer!".
"Euh, j'ai vu, mais j'ai envie de toi aussi!".
Il m'embrasse et me dit, excité comme un fou:"On m'a jamais sucé la bite comme ça! Tu me rends dingue! On va attendre un peu, j'étais sur le point de gicler!".
Il m'entraine dans la cuisine de mon ami, puis me couche sur sa table.
Il m'enlève mon pantalon et plonge entre mes cuisses pour me lécher l'anus avec sa grosse langue.
Mon œillet s'écartèle sous sa longue caresse buccale inquisitrice, il crache de nombreuses fois à l'intérieur de mon cul.
On ne m'a jamais bouffé le cul aussi longtemps, il sent que le moment est propice pour commencer sa pénétration.
Il se redresse et se présente entre mes fesses en tenant mes jambes sur ses épaules.
Il regarde sa queue qui commence à se frayer un chemin dans mon anus.
"Je l'aime déjà ton cul! Je me suis réveillé cette nuit, et je me suis masturbé en repensant à lui!".
"Prends le, il est à toi! Fais moi jouir encore!".
"Putain, ça m'excite de t'enculer ici! Si Johan savait!".
"Chhht, parles pas de ça et prends-moi!".
Il exerce une plus forte poussée, j'écarte mes fesses pour l'aider, son long et large membre me remplit d'une traite.
"Arhhhhhhhhhhhh! Robert, oui!!! c'est bon, arhhhhhhhhhhhhhhh!".
"Oh, Patrick, je suis trop bien! Je veux que tu saches à quel point tu me plais!".
Il bouge en moi avec volupté, le plaisir anal monte très progressivement.
Ses mains caressent mon corps pendant qu'il me fait l'amour analement, avec passion.
J'ai des mini orgasmes qui s'enchainent et augmentent en intensité jusqu'à atteindre un point de non retour.
"Robert, c'est... c'est... c'est trop foooooooorrrtt! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!".
Je jouis tellement fort que je ne remarque pas que sa grosse queue dégouline de sécrétions anales.
Le creux de mes fesses dégouline lui aussi, c'était le jour idéal pour une sodomie parfaite.
"J'ai jamais été aussi bien dans un cul! C'est hallucinant ce que tu mouilles de l'anus!".
"Hummmm, ça m'arrive de temps en temps, plus abondamment que d'autres, mais continues, je veux que tu me prennes dans tous les sens!".
Il m'emmène dans le salon et m'encule comme une chienne sur la table basse devant le canapé.
Puis il m'entraine dans la chambre de Johan en s'appuyant sur le lit et m'ordonne de m'empaler sur lui en lui tournant le dos face au miroir de l'armoire.
Il termine cette position en me relevant et m'encule par dessous, m'offrant la vue de sa grosse queue me déchirant l'anus dans la glace.
Je suis repu de plaisir anal, il décide de finir en m'attirant dans le garage de mon ami.
Il m'appuie sur le meuble qu'on a restauré, puis m'encule alors, avec frénésie.
Malgré la multitude de montées de plaisir qu'il m'a donné, je joui encore en même temps que lui, lorsqu'il inonde mon anus de son sperme.
Le moment est magique et me fait peur, c'est trop idéal comme plaisir, j'ai peur d'en avoir besoin à l'avenir.
J'ai jamais connu autant de bonheur en ressentant son éjaculation m'envahir (à cette époque! Je retrouverai ça avec Isidore par la suite!).
On a du mal à se séparer sexuellement.
Je serre les fesses pour garder son sperme en moi et ne pas le laisser couler au sol.
On retourne dans la maison, puis Robert se rhabille, il m'apporte mes vêtements, je lui dis que dois aller aux toilettes pour évacuer son plaisir.
"Ca me plairait que tu le gardes dans le cul jusqu'au retour de Johan! je crois que ça m'exciterai de te voir lui parler avec mon sperme dans le cul! Ce serait ma vengeance!".
"Ca te fais envie?".
"Oui!".
"Je le fais alors! Au fait, tu dois continuer de le saouler avec tes fantasmes sur moi, sinon, il va pas comprendre pourquoi, tu lui en parles plus!".
"Ok, ça va m'amuser!".
Johan rentre 20 minutes plus tard.
J'ai juste le temps de jeter un morceau d'essuie-tout, plein de sécrétions anales, récupérées sur le sol de la cuisine, au pied de la table.
On mange ensemble, puis il me ramène chez moi.
Il me reparle de Robert dans la voiture.
"Excuses moi pour hier, j'étais bourré!".
"Je sais, t'inquiètes pas! J'étais gêné pour Robert! Peuchère!".
"Putain, c'est vrai! N'empêches que le mec qui se fait enculer par lui, il doit prendre cher!".
"Pourquoi tu dis ça?".
"Ben, un matin on devait aller chasser ensemble! Tu sais qu'on se lève tôt! J'ai du le réveiller! je pensais pas qu'il dormait a poil! Et en soulevant la couverture pour qu'il se lève plus vite, j'ai vu sa bite! Putain, il bandait comme un âne! Mon dieu l'engin qu'il a!".
"Tant que ça?".
"Ah ouais! Tu te prends ça dans le cul! Ca doit faire mal!".
Il me décrit les mensurations sexuelles de Robert que je connais déjà.
Je réfléchis (Oh non, c'est meilleur encore! et j'ai adoré sa queue! Si tu savais que j'ai son sperme dans le cul!) puis chasse mes pensées en attendant notre arrivée chez moi.
"Ca devait être gênant comme situation!".
"Ouais, j'avoue! Lui aussi étais gêné, on en a jamais reparlé! Mais quand il me disais qu'il craquait sur toi, je t'imaginai avec son gros mandrin dans le cul, ça fait drôle!".
"Euh, parlons d'autre chose, tu veux bien!".
Il s'éclate de rire, ignorant qu'en m'en parlant, il m'a jeté dans les griffes de son voisin, pour mon plus grand plaisir.
Habituellement, c'est Johan qui venait me voir, mais j'ai augmenté le rythme de mes visites, parfois, on profitait de l'abus d'alcool de mon ami pour aller baiser chez Robert avant que je dorme ensuite sur le canapé.
Parfois Robert m'enculait en attendant Johan qui allait chercher des pizzas au camion.
Il était excité de penser qu'il m'avait rempli l'anus de foutre pendant que Johan plaisantait sur son homosexualité, alors qu'il était a coté de moi, son amant secret.
Quelquefois, je n'osais pas lui parler de trop près, je venais de sucer Robert! et je ne voulais pas qu'il devine que j'avais avalé son plaisir.
Le sperme peu dégager une odeur assez forte par moment!
Un jour, Johan m'a invité avec Lisa et Robert pour le repas du soir, Robert nous a rejoint en me demandant:"Patrick, je vais avoir besoin de tes conseils pour démonter un truc chez moi!".
Je demande à Lisa, si elle veut m'accompagner:"Non, je reste avec Johan, je vais l'aider à préparer le repas!".
Arrivés chez le voisin, je lui demande:"C'est quoi que tu veux démonter?".
"Toi!".
"Robert! T'es fou! Je..., mmmmm!".
Il m'attire dans son garage et m'encule sur le capot de son 4x4, il me fait jouir plusieurs fois avant d'éjaculer abondamment dans mon cul.
De retour chez mon ami, on les entends rire.
"Pourquoi vous riez comme ça?".
Lisa réponds:"C'est Johan, il m'a dit que tu dois faire attention que ce soit pas toi qu'il ai besoin de démonter! Ah ah ah! Désolée Robert! Il est con parfois, ah ah ah, mais c'est drôle!".
"Pas de souci, j'ai l'habitude avec lui!".
Il me regarde avec un sourire complice.
J'ai été gêné par la suite parce que Lisa a abordé le sujet de l'homosexualité du voisin et du fait que Johan nous a mis au courant qu'il flashait sur moi.
L'alcool faisant son effet sur elle, Je n'ai pas aimé lorsqu'elle lui a dit:"Si tu veux, je te le prête un peu! Si il est d'accord! Je suis pas contre!".
"Lisa stop! Ca devient gênant!".
Johan a pouffé de rire, en lui reparlant du jour ou il a vu la queue de Robert, Lisa me regardait avec un sourire malicieux en entendant les caractéristiques des mensurations du voisin, je comprends qu'elle commence à fantasmer sur le fait de nous voir baiser ensemble.
Sur le retour, elle me dit:"Il te plait pas Robert? Ca m'exciterai que tu baises avec lui, pas toi?".
"Lisa! C'est le voisin de Johan! Tu sais que tu es la seule à connaitre mon secret!".
"Allez! C'est dommage, il est fou de toi! On pourrai le faire venir à la maison, si ça le dérange pas de t'enculer devant moi!".
"T'es folle! Arrêtes de parler de ça!".
"Allez, je suis sure que tu penses à lui! Avoues!".
"Bon, oui, c'est vrai! C'est la faute à Johan! Après tout, ça fait deux ans qu'il me taquine avec Robert!".
"Ah bon, moi, je viens de savoir! A ta place, j'aurai craqué!".
Un silence qui dure quelques secondes règne, puis je lui annonce:"Si tu veux tout savoir, c'est vrai!".
"Quoi! C'est vrai?".
"C'est moi qu'il voulait démonter! J'ai le cul rempli de sperme! On baise ensemble depuis 2 ans!".
Elle freine en se rangeant sur le bas coté.
"Tu...vous...depuis 2 ans? Et alors? C'est comment?".
"Je l'adore, il me baise bien! Mais il s'attache à moi! C'est compliqué!".
"Ah, ouais, ça, c'est moins bien pour lui, il mérite pas de souffrir le pauvre! Bon saches que tu aller le voir quand tu veux!".
"Merci, t'es gentille! Mais c'est pas simple avec Johan à coté!".
Tout ça était dangereux, mais tellement excitant!
Comme je vivais avec Lisa, j'ai eu du mal à entretenir un lien suffisant, puis Robert a trouvé un autre homme qui a emménagé chez lui.
Il continuait de me baiser, moins souvent, c'était moins facile, mais il ne pouvait pas s'en empêcher, quand il me savait proche de lui!
Un jour, il m'a dit:"Si tu avais envie, il suffirait d'un seul mot de ta part pour que je quitte mon mec, pour toi!".
"C'est adorable, mais je peux pas vivre avec un homme, j'ai trop besoin de mon hétérosexualité, sans parler de la pression sociale, ma famille, mes amis, personne ne comprendrait!".
Puis Johan a déménagé, j'ai alors pensé que je devais laisser Robert à sa vie de couple.
On s'est revu quelques fois, sans possibilité de baiser à nouveau! Sauf un jour, ou nous étions seuls, je suis monté dans son 4x4, et on a trouvé un coin de nature.
On a posé une couverture sur l'herbe, puis on a baisé pendant deux heures et joui ensemble comme jamais.