LE VOYAGE D'AFFAIRE - histoire érotique

LE VOYAGE D’AFFAIREJulie avait très hâte de quitter cette réunion. Même si le souper avait été excellent et le vin superbe, elle en avait marre de ses compagnons de voyage. Robert et Simon étaient très gentils mais elle les avait assez vus pour la journée. C’étaient les inconvénients des voyages d’affaire.
Julie était divorcée depuis longtemps et était au début de la cinquantaine. Elle avait passé l’âge des soirées bien arrosées. Les deux hommes retournaient au bureau en voiture ce soir-là et l’avait invitée à se joindre à eux. Ils avaient même un chauffeur désigné.
« Tenter de dormir dans une voiture en mouvement et deux hommes qui sentent l’alcool, non merci ! », dit Julie.
« Je sais que tu préfères coucher à l’hôtel et revenir en avion samedi matin », dit Robert. « C’est probablement une sage décision et je sais que tu fais ce périple souvent ».
Arrivée à l’hôtel, elle venait d’entrer dans l’ascenseur lorsqu’elle vit une femme qui courait pour attraper l’ascenseur. Elle garda la porte ouverte pour elle.
« Oh merci !...vous êtes adorable », dit la jolie femme qui mit une main sur l’épaule de Julie pour maintenir son équilibre.
« J’ai presque perdu mon soulier dans ma course », dit la femme en riant« Vous êtes très pressée ? » demanda Julie« Oh non…c’est seulement que je n’aime pas attendre les ascenseurs et…je voulais le prendre en votre compagnie », dit-elle en lui faisant un clin d’œil.
« J’ai hâte de retrouver ma chambre et mon lit », dit Julie à la femme avec un sourire“La journée a été longue ? », demanda la femme« Oui..mais j’ai encore un peu d’énergie », répondit Julie« Alors je vous revois au bar de l’hôtel dans 20 minutes ? », demanda la femme en regardant Julie droit dans les yeux.
“Ah..oui..bien sûr…dans 20 minutes…pourquoi pas ? », dit Julie en riantAussitôt que Julie pénétra dans sa chambre, elle se déshabilla rapidement, prit une douche et choisit de nouveaux vêtements. Soutien-gorge ou pas ? Son choix de « pas de soutien-gorge » était motivé par le chemisier qu’elle avait sorti du tiroir. Il était en soie et elle pensait que son buste serait avantagé. Julie était un peu ronde mais ses nichons étaient petits et bien fermes. Elle choisit une jupe en laine serrée et courte, des talons hauts et un petit collier en bronze.
Julie était excitée et chantonnait en s’habillant. Julie était lesbienne mais vous l’avez probablement déjà deviné.
Elle se rendit au lobby et chercha le bar. Elle trouva l’entrée dans un coin sombre du lobby. Ses yeux s’ajustèrent à la noirceur après quelques secondes et elle aperçut son amie assise à une petite table et qui lui faisait des signes de la main Les chaises étaient très confortables et la table près d’une fenêtre. Les présentations furent faites et Julie apprit que son amie se prénommait Beverly et qu’elle venait de Londres. Elle préférait se faire appeler Bev.
“J’ai cru deviner un petit accent. Vous aviez oublié le mot pour le mot « ascenseur » et l’avez appelé le « lift », comme en Angleterre.
« C’est toujours plus excitant quand c’est étranger ! Mais je crois que ceux-là auraient besoin d’un « lift », dit Bev en regardant ses nichons.
“Mais pas du tout… », protesta Julie qui sentit le pied de Bev sur sa cheville.
“Peut-être je ferai appel à tes services », dit Bev qui insista pour le tutoiement“Je me débrouille bien en « lifting », répondit Julie qui était excitée par la direction que la conversation prenait.
Bev était blonde, avec des cuisses fortes et des nichons bien en chair. Ses pommettes saillantes lui donnaient un air scandinave. Julie ne pouvait le voir mais ses fesses étaient fermes et se déplaçaient de bas en haut lorsqu’elle marchait. Elle avait probablement le même âge que Julie, peut-être un an ou deux de plus.
Les femmes continuèrent à s’envoyer des messages codés. Julie retira son soulier droit et mit son pied contre la cuisse de Bev. Le visage de Bev était dans la pénombre mais Julie s’aperçut qu’elle avait fait les joues creuses comme pour lui faire un baiser.
« Qu’est-ce que ces dames aimeraient boire », demanda la serveuse, interrompant le flirt des deux femmes.
En attendant les rafraîchissements, les deux femmes parlèrent de leur travail et des choses qu’elles aimaient. Bev croisa les jambes, et même s’il faisait assez noir, Julie était presque certaine qu’elle ne portait pas de culotte.
Julie avait croisé ses jambes à quelques reprises et sentait que sa jupe remontait à chaque fois, et à chaque fois les deux femmes se regardaient dans les yeux. Julie sentait que sa culotte était mouillée. Elles ne manquaient pas l’occasion de s’appeler” ma chérie » ou « mon amour ». Après le deuxième verre, Julie décida de faire les premiers pas.
‘Bev mon amour, aimerais-tu prendre le prochain verre dans ma chambre », demanda Julie qui voulait briser la glace.
« J’aimerais beaucoup ça, surtout en compagnie d’une si jolie femme ». répondit Bev“Je te préviens que je ne suis pas toujours sage », dit Julie qui voyait ses chances augmentées.
« J’aimerais bien voir ça de mes propres yeux », répondit BevAprès avoir payé, les deux femmes quittèrent le bar et montèrent dans l’ascenseur en se tenant par la taille. Julie en profita pour toucher les fesses de Bev qui l’embrassa dans le cou.
Les mains de Julie tremblaient d’excitation lorsqu’elle sortit sa carte d’hôtel pour l’insérer dans la fente de la porte. Elle la remonta et la porte ne s’ouvrit pas.
« Qu’est-ce qui se passe…ça fonctionnait ce matin », dit Julie frustrée“Laisse-moi essayer”, dit Bev calmement. Elle prit la carte, l’inséra, la tourna et le témoin vert s’alluma. La porte s’ouvrit.
« Tu dois jouer doucement avec la fente », taquina Bev, en léchant le cou de Julie“Je serai douce avec ta fente ». répondit Julie qui devenait cochonne.
“Pas trop douce..ma chérie…frotte ta fente contre la mienne », répondit Bev qui mit ses mains sous la jupe de Julie.
Les deux femmes se déshabillèrent le plus rapidement possible mais elles avaient de la difficulté avec certains boutons et une fermeture éclair. Bev allait se pencher pour embrasser Julie mais celle-ci lui dit de se déshabiller avant.
Bev était têtue et continua ses attouchements et sa tentative de baiser, mais elle fut repoussée encore une fois et tomba à la renverse sur le tapis.
Avec son soutien-gorge se balançant d’une épaule et sa jupe partiellement ouverte et coincée à mi-chemin autour de ses cuisses, Bev, sans culotte, attaqua encore une fois le corps à demi-nu de Julie.
Julie se défendit comme elle pouvait mais Bev était trop forte pour elle. Elle renversa Julie sur le tapis, au milieu de cris et de jurons.
Bev déchira le chemisier de Julie, qui criait au meurtre, et s’en prit à sa jupe qu’elle remonta autour des hanches de Julie puis détruisit complètement le minuscule string.
Bev souda sa bouche au triangle poilu de Julie tandis que Julie renversa Bev au-dessus d’elle. Les femmes prirent quelques minutes à ajuster leur position avant de commencer à sucer et lécher le vagin bien ouvert de l’autre. Elles poussaient des cris alors qu’elles se roulaient l’une sur l’autre d’un côté de la chambre à l’autre, se frappant à l’occasion contre un meuble. Les deux lesbiennes étaient soudées l’une à l’autre, à l’occasion laissant le trou de chatte pour s’attaquer au trou des fesses. La chambre était remplie de l’odeur de parfum, de sueur et de sexe. Finalement Julie se leva et enleva les quelques pièces de vêtements qu’elle portait, releva Bev et lui enleva aussi son soutien-gorge et d’autres pièces de son habillement.
Elles s’enlacèrent au milieu de la chambre, pour la première fois toutes nues, et s’embrassèrent avec passion. Elles se frottaient le ventre puis la touffe. Elles parlaient de baise mais il y avait un désaccord au niveau de la domination. Julie poussa Bev sur le lit mais cette dernière se releva et lui fit face de nouveau. Julie la repoussa sur le lit et cette fois se jeta sur elle. Finalement Bev cessa sa résistance et se laisse dominer par la plus petite Julie.
Les femmes préparaient leur baise. D’abord les deux visages se léchèrent et furent recouverts de rouge à lèvres, de salive et de cyprine. Julie plaça ses petits nichons sur les gros nichons de Bev et commença à se frotter les auréoles et les tétines. Elles interrompaient leur baiser puis le reprenaient. Elles plaçaient leur corps pour que les endroits stratégiques s’alignent. Bev se souleva pour que Julie empoigne ses fesses, et l’Anglaise prit les deux fesses de Julie dans ses grosses mains. Bev croisa ses jambes autour de la taille de Julie. Bev ouvrit ses cuisses encore plus. Une vue prise de l’arrière du couple aurait montré les deux touffes, l’une blonde et l’autre noire, se frottant l’une sur l’autre, les poils mouillés collant les uns aux autres. Cette vue de l’arrière aurait aussi montré les fesses bien écartées et le trou bien en vue. Le rythme commença lentement puis s’accéléra, mêlé aux cris de joie, aux rires et aux mots cochons échangés entre les lesbiennes. Elles se frottèrent ensemble pendant de longues minutes jusqu’au moment où la jouissance les rejoignit toutes les deux. Il serait impossible de décrire tous les mouvements, les pincements, les pénétrations qui firent que la baise fut une grande réussite et laissa les deux femmes l’une sur l’autre jusqu’à ce qu’elles s’endorment.
-----------------------------------------------------------------------------------------« Est-ce que tu sais quand tu reviendras la prochaine fois, » demanda Bev de la salle de bain.
“Non..je te téléphonerai”, répondit Julie encore au lit.
« Appelle-moi au travail cette fois…ma fille est à la maison quelquefois…tu sais », précisa Bev.
“Bien sûr,…je n’y manquerai pas », répondit Julie qui s’étirait. « Mon Dieu, quelle baise bien réussie ».
“Oui…c’était spécial, très spécial », dit Bev“Est-ce que tu as aimé l’accent britannique ? », demanda-t-elle« Même la serveuse était convaincue », ricana Julie« Je te dois un chemisier », dit Bev“Oui…ça c’est certain…et en soie s’il te plaît. « répondit Julie en lançant un string à Bev qui sortait de la salle de bain.
“Ne me provoque pas…je dois partir ..vraiment », prévint BevBev se dirigea vers le bureau et prit l’enveloppe qui s’y trouvait.
“La même chose que d’habitude ? Dis-moi si tu as besoin d’une augmentation », dit Julie“Non…pour toi mon amour…c’est toujours le même prix”, répondit Bev qui glissa l’enveloppe dans son sac à main, s’approcha du lit et embrassa Julie sur la bouche.
“Qu’est que ça va être la prochaine fois ? Italienne ? Espagnole ? Ah non..on a déjà fait celles-là.
“Je pense que je vais jouer une pute”, dit Bev.
FIN