Le Voyage De Marina (partie 2)
Récit érotique écrit par Olivia lena [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le Voyage De Marina (partie 2)
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Rencontre avec la vie
Tandis que je descendais les mêmes escalier qu'il y a 30 minutes, je n'étais plus la même personne, une métamorphose c'était produite, venu du plus profond d'un moi inconnu. Mes pas me semblaient décalé de la réalité et pourtant trouvaient avec une certaine sérénité les marches devant moi.
Qu'avais-je fais? me dis- je, alors que le sourire béa qui éclaboussait mon visage s'en fichait pas mal, préférant apprécier tant qu'il était présent le goût qui emplissait ma bouche…
Je rentrai t'en bien que mal, passant directement à la salle de bain évitant de justesse le petit baiser d'accueil de Tom (mon mari) qui eut été fort compromettant s'il avait eut lieu.
Je passai une soirée horrible et une nuit affreuse, mon esprit refusant d'accepter cette nouvelle réalité... j'étais terrorisée par ce futur impossible.
Je décidai de ne rien dire à Tom, surtout par lâcheté et parce que tellement improbable qu'il aurait du mal à me croire.
Je gardai donc mon secret (qui berçait toutes mes nuit depuis qu'il était né) pour moi, et attendait simplement un signe de vie.
En fait de vie, cette invraisemblable rencontre m'avait tout simplement révélée à la vie.
Les jours passèrent, tous plus tristes, plus fades, plus ordinaires les uns que les autres et pourtant le secret espoir d'un coup de fil me rendait folle de vie.
C'est pendant ces journées que j'ai seulement perçu la profondeur de l'idée que "l'espoir fait vivre"…….
Mais voilà on ne refait pas l'esprit comme ça, et de semaine en semaine l'espoir laissa peu à peu ça place au doute (le grain de sable)et de semaine en semaine le doute parti pour laisser venir la peur, et quand la peur s'installe, elle guide le moindre de vos gestes dans une détresse intérieure proche de la mort.
Je trainai ainsi mon malheur, que dis-je, mon enfer pendant plusieurs mois, finissant même par moment à presque douter que cela soit vraiment arrivé, m'accrochant à seulement quelques fragments de mémoire qui finirent par disparaitre, remplacés par le "sans saveur" quotidien qui se chargeait de me faire payer au prix fort mon adultère.
Oh bien sûr je me suis vue plein de fois, retournant à l'appartement où tout avait commencé, mais vous savez, entre se voir faire quelque chose et le faire en réalité il y a parfois un gouffre et en l'occurrence je n'ai pas pus le franchir. Surement que la honte de briser cette éducation "cato un peu coincé" était trop forte pour moi, ou que l'idée de quitter mon Tom que j'aime (et avec qui j'avais plein de projet) pour plonger dans cet ABIME DE FEU que je n'avais qu'entraperçu…non décidément, le doute et le "bon sens" avait eus raison de ma folie passagère et je fini même par me sentir soulagé de ne pas avoir à affronter cette dualités coupable.
Après cet épisode, Tom m'étais apparu plus lisse, sans saveur, presque "mort", mais je remarquai aussi à quelle point il était toujours aussi gentil, prévenant, stable, je pouvais toujours m'appuyer sur lui, et c'était bien.
Je repris le cours des choses, détournant mon esprit par la fréquentation assidu des boutiques (hein les filles!!!). Tom m'y accompagnant très souvent, me donnant son avis, plaisantant sur ci ou ça, m'arrachant parfois un sourire "complice".
Comme cette fois, où je me trouvais dans la cabine d'essayage et qu'il me piqua mes fringues pour me forcer à essayer ceux qu'il voulait, sauf que l'une des vendeuse cru qu'il s'agissait d'un pervers et failli appeler la police…Ont étaient MDR…Et tandis que je passais une robe, il déconnait et me dit :
-"Ahahahahahah….t'a vu la tête de la fille, quelle panique d'un coup"
-"oui hihihi"
-GRRRRrrrrrrRRRRrrrrrRRR….…le vibreur de mon tel retenti et je décrochai directement, encore sous l'effet du rire qui nous avaient emportés.
-"OUI allo…" Dis-je plutôt d'un ton jovial.
-"SALUT MA BELLE…"
Mes jambes cédèrent sous le choc de la voix grave et forte qui me claqua dans la tête, et je m'effondrai dans la cabine.
-"ça va ?" me dit Tom
-"c'est rien j'ai glissé..."
-"ALLO MA PETITE LANGUE DE VIPERE?" Je dus chuchoter pour lui répondre
-"oui…je suis là…?"
-"REJOINS MOI IMMEDIATEMENT A LA GARE".Et il raccrocha aussitôt.
Mon coeur s'emballa méchamment et mon sang recommença à bouillir…je n'y croyais pas, il existait bien…Un grand frisson me parcourut, le genre de frisson un peu bizarre mais surtout un peu unique.
(BOUM-boum-BOUM-boum…j'étais là, paniquée, ne sachant pas vraiment quoi faire…Une bousculade sans nom s'ensuivie dans ma tête, rempli de FLASH passé/ futur/passé/ futur/...mais rien de présent…j'étais complètement perdu…/partir, oui mais vers quoi?vers qui?/rester, oui mais pourquoi?et pour qui?…
Je passai de longues secondes a me torturé les neurones avant…de me relever, de sortir de la cabine et de dire à Tom:
-"Je viens de recevoir un coup de fil de Maya (une amie souvent déprimée), je dois passer la voir, ça n'a pas l'air d'aller".
-"tu veux que je t'accompagne"
-"non t'es gentil mais tu sais on va se dire des trucs de fille, rentre je t'appellerai"
Des trucs de fille pensai-je, s'il s'avait!!!
Je marchai rapidement pour atteindre la gare qui n'était pas loin du centre où nous nous trouvions.
Le trajet fut pour moi l'occasion d'une nouvelle métamorphose… je ne savais pas pourquoi je faisais ça, je savais juste qu'il me serait inutile de lutter contre une telle envie…On dit que l'envie d'une drogue dure dépasse toutes les autres démangeaisons de l'esprit, et bien Fazhil était ma drogue dure et j'allais réclamer ma dose…
En approchant de la gare, j'aperçus sa forte carrure et marchai droit vers lui…mon coeur battait de plus en plus fort à mesure que j'approchais. Mais soudain,la vision de cet homme plutôt lait, gras, sale, me troubla à la limite du dégout…Mais qu'est ce qui pouvait bien m'attirer chez ce type??? Comment pouvait-on être à ce point perturbée par une autre personne??? cela me dépassait…
Arrivée en face de lui je ne sus quoi dire, et me contentai de lui sourire tout en continuant à me liquéfier intérieurement, et c'est lui qui cassa le silence…
-"salut Marina je suis très heureux de te voir"…
Le choc de sa voix fut brutal car elle était aussi douce que la première fois qu'elle m'était parvenu. Et j'en fus complètement surprise et dérouté.
-"Je…Moi… aussi Fazhil je suis très heureuse"
Tandis qu'il s'avança, il me fit un petit smack sur la joue et tout aussi gentiment,me prit la main et dit.
-"viens on va marcher un peu, tu veux bien?"
-" oui bien sur… "Surprise par cette attitude.
Et nous avons marché comme ça main dans la main un bon moment tout en échangeant quelques banalités toujours délicatement.
J'étais bien…surprise mais bien, bien parce que je ressentais une sorte de calme qui émanais de lui et qui refluait sur moi. Ce n'était d'ailleurs pas la seule chose qui émanait de lui, en effet Je n'ai pus m'empêcher de capter cette forte odeur si spéciale dont j'avais fait mon héroïne et j'espérais secrètement pouvoir y gouter à nouveau.
Nous avons déambuler ainsi une bonne demi-heure et j'avoue n'avoir pas fait attention où l'on pouvait se trouver, mais la rue que nous empruntions maintenant me sembla glauque, je ne mis serais jamais aventuré seule, moi la "plus que réservée Marina" comme disait mon patron. Non cette endroit ne collait pas avec moi.
Nous avons croisé deux types louche du genre "défoncé" qui me reluquèrent des pieds à la tête, et lancèrent même un commentaire que je ne compris pas.
Au bout de la rue, il me fit descendre quelques escalier non éclairé pour s'engouffrer dans quelques dédales de cave d'immeuble, et comme il ne disait plus rien depuis peu, je me senti soudain mal à l'aise et mon coeur se chargea de me le faire remarquer et s'emballa.
Et je ne fus pas au bout de mes surprises quand il ouvrit une porte et alluma, je découvrit une sorte de squatte avec des matelas dégueu, une veille table avec des bouteilles, 2 ou 3 vieux posters tombant en lambeau et carrément des seringues posé à coter des cendriers débordant…L'horreur…
De nouveau flux d'adrénalines envahir mon corps et me firent trembler de tout mes membres, que faisait-on ici?
Heureusement sa douce voix vint me rassurer:
-"c'est pas terrible, mais ne t'inquiète pas, on s'ra pas dérangé…"
L'odeur était pesante et forte, surement des odeur d'urine ancienne qui me prenait toutes les narines.
Il s'avança, s'allongea sur un des matelas, me fixa avec un regard un peu triste et me dis.
-"tu vois j'étais là il y'a 2h et j'ai pensé a toi Marina et c'est la première fois depuis des mois et des mois que ton image me revenait aussi net que si tu étais là…et j'ai compris qu'il fallait que je te vois".
Je pensai alors (il était là il y a 2h mais avec qui? une autre femme? peu m'en importais, car là à cet instant j'avais vraiment l'impression d'être la seule qui compte à ses yeux).
-"mais pourquoi pas plus tôt, j'ai cru ne jamais te revoir"sa douceur de voix m'incita a le tutoiyer.
-"je ne sais pas… c'est dans ma tête... tu veux venir t'allonger?"
Je n'attendais que ça, mais sa manière de m'y inviter me bouscula le ventre et je senti l'excitation montée en même temps que les bouffées de chaleur poussaient mon sang dans vers l'extrémité de tous mes membres. Il faisait froid mais j'avais chaud.
Alors que je remontais le matelas a quatre patte pour le rejoindre, une étrange pensée me vint (et si Tom me voyait là , moi sa douce et si parfaite petite femme qui console Maya).
Cette pensée me toucha et tandis que je m'approchais pour me blottir vers cet homme étrange, une pulsion soudaine attira mon regard vers son entre jambe…et je pensai a nouveau (regarde Tom, regarde de quoi a t'elle envie ta petite femme chérie).
Mes mains se posèrent sur ses cuisses puis remontèrent doucement pour se rejoindre, dégrafer les boutons de son jeans et l'ouvrir afin de libérer ce que je ne connaissais pas encore de lui et qui m'intriguais au plus au point.
Sa forte taille me posa problème pour descendre suffisamment son pantalon, mais dés que j'y parvins, ce mouvement libéra une forte odeur, mais bien différente de celle son torse ou de ses aisselles.
L'apparition de son sexe au milieu d'une foret de poils sombre ne tarda pas (il ne portait pas de slip) et je découvris une sorte de gros serpent inerte et tombant sur ses couilles. Je pris mon temps pour m'en saisir, le faire légèrement rouler dans mes mains et approcher mes lèvres de ce membre sans vie.
Je retroussai délicatement son prépuce, et tandis que mes lèvres préparèrent au contact, je pensai de nouveau à Tom (regarde mon chéri, c'est bien moi qui prend délicieusement cette queue dans ma bouche et j'en ai envie t'as même pas idée)…
Mes lèvres se posèrent enfin sur son gland et lui donnèrent quelques petits baiser avant de l'enfermer dans ma bouche et exercer quelques pressions discrète…ne voyant pas de vigueur à l'horizon, je décidai de libérer ma langue experte afin quelle accomplisse son savoir et son devoir…
Son gout était aussi délicieux que se que j'avais déjà gouté de lui, et tandis que ma langue léchait maintenant ses couilles, je senti de petite vibration a la base de son sexe qui commença à grossir. Je le repris en bouche car j'adore sentir grossir un sexe dans ma bouche…et c'est exactement ce qui ce produisit.
Et je le senti gonfler rapidement pour atteindre non pas une grande longueur mais surtout un diamètre impressionnant qui emplissait ma bouche totalement.
C'est le moment que je choisi pour le sucer comme une reine suce son roi…et ces petite manifestations oral me confirmèrent que j'étais sur la bonne voie…
-"Aaarrrgh…argggg…hummmrrgg…"
J'amplifiai le rythme de mon va et viens a mesure qu'il aimait…Jusqu'au moment ou ses mains se posèrent sur ma tête et bloquant ainsi toute retraite de ma part et tandis que je l'enfonçai le plus loin possible dans ma gorge, je senti une première contraction de sa verge, signe d'une éjaculation imminente que je n'avais nul envie de laisser échapper…
Et je senti non pas des jet venant frapper mon palet mais plutôt un écoulement continu et très épais qui n'en finissait pas de remplir ma bouche, tandis qu'il jouissait fortement…
-"AAAAHHHH…AAAAHHH…OOOOHHHH…"
Il relâcha ensuite la pression de ses mains, libérant mes mouvement de tête, je plaçai alors mes lèvres au bord de son gland pour ne pas perdre une seule goute du précieux nectar…
Et seulement quand je fus certaine que la source c'était tari, je relevai la tête pour le regarder dans les yeux pour lui montrer une chose que je n'avais jamais faite a mon mari…ma bouche était rempli de son foutre épais et je désirais plus que tout avaler la totalité de sa semence…Il n'en manqua pas une miette, et je dus avaler en deux fois ce délice, amer et salé, tant la quantité était importante.
Je glissai ensuite sur lui pour venir l'embrasser et me lover dans ses bras puissant…et nous restâmes ainsi un long moment, avant que je ne pense à rentrer…
-"Bon j'vais devoir y aller…tu sais?"
Il desserra son étreinte pour me laisser partir et je me levai directement pour me diriger vers la porte quand soudain…
-"NON MAIS TU CROIS QUOI PETITE SALOPE…QUE TU PEUX VENIR ICI ME SUCER TROMPER TON MARI ET REPARTIR QUAND TU VEUX???…"
Mon sang se glaça, figeant du même coups tout mon corps…je ne pouvais même pas me retourner tant la violence de sa voix me terrifia…
-"REGARDE MOI QUAND JE TE PARLE"
J'obéis avec quelques difficultés tant mes muscles c'étaient figé. Et je le vis assis sur le lit, terrifiant d'inexpression et cette rapide transformation me fit complètement flipper.
Immédiatement, cette apparition entraina une puissante excitation qui me transperça le corps de part en part et me fis couler pleins de jus dans ma culotte.
-"METS TOI A POILS ET FOUS TOI A GENOUX LES MAINS DANS LE DOS...…ET PLUS VITE QUE CA …MA PETITE PUTE"…
IL se leva tandis que j'obéissais sans broncher…
-"QU'EST CE QUE JE VAIS FAIRE DE TOI HEIN?…"
-"ce que…ce que vous VOULEZ"
-"JE VAIS TE FAIRE MAL TU SAIS…MAIS TU DOIS APPRENDRE"
Ces dernières paroles me firent fondre de bonheur tant ma terreur était grande.
-"PENCHE TOI EN AVANT….VOILA C'EST BIEN…ON VOIT BIEN TES SUPERBE GROS SEINS TOMBANT"
Il s'approcha tandis que je m'exécutai…
-"ECARTE UN PEU LES JAMBES CAR SI TES GENOUX OU TES BRAS QUITTE LEUR POSITION ACTUEL JE TE GARDE AVEC MOI TOUTE LA NUIT, SINON TU POURRA PARTIR"
-"d'accord…"J'étais de nouveau en transe, fascinée, toute excitée, toute mouillée et lui appartenant totalement, plus encore que la première fois...
Il s'abaissa, plongea son regard sur mes seins et je le vis brandir son bras et le rabattre avec une violence inouï sur mon seins droit, le "CLAQUANT" sur la pointe, m 'arrachant un cris strident…
-"AAAAHHHAAAIILLLL"
-"TU VOIS DANS QUEL ETAT TU M'A MIS…SALOPE"…
-CLAC…AAIILLE…CLAC…AAIILLEU..CLAC…AAAIIILLEUU…CLAC…AAAAIIILLLEUU…CLAC…AAAAAIILLLEEUUU...
Et là, une terrible pluie de coups qui s'abattit sur mes seins pendants, parfois avec le plat de la mains parfois avec le dos, parfois avec les doigts ou la paume de la main…mais quelque soit la manière, cela m'arrachait a chaque fois un cri et une douleur terrible, qui par un réflex instantané fit venir de lourd sanglots qui tombaient directement sur mes seins qui commençaient à être sérieusement marqué par cette avalanche de coups. Mais à ma grande surprise, et malgré cette violence acharné, à aucun moment je ne cherchai à lui échapper…oui moi cette petite femme fluette, timide, fragile, ne savait pas comment et où je trouvai la force de résister et de ne pas bouger pour éviter cette torture…
Puis en un instant, il s'arrêta, se recula, me fixa avec des yeux injectés de sang…et me dit:
-"IL FAUT QUE JE TE LAISSE UNE MARQUE…QUI TE FASSE REFLECHIR…"
Il s'approcha à nouveau, se mis à genoux devant moi, saisi mon sein gauche à sa base dans sa large main et se mis à le serrer de toutes ses forces, m'arrachant un nouveau hurlement, (j'avais l'impression qu'il me broyait et pourtant,…hummm quel délicieuse douleur).
Il se pencha d'avantage et se mis à embrasser tendrement ce téton bien dresser par l'excitation suprême que je vivais, puis il le mordilla légèrement puis se mis en devoir de l'aspirer avec force en raclent le mamelon tout le long de ses dents…J'étais au anges…Quand soudain, je crus mourir de douleur…
-"aaaiiiiiiLLLLLLLE…aaarrrrêêêêêêttte"
Je me senti à la limite de l'évanouissement, tant sa morsure semblait me déchirer le bout du sein…Mais paradoxalement, dés qu'il desserra sa mâchoire (après quelques longues secondes), une exquise sensation de libération difficile à décrire me submergea d'un violent orgasme incontrôlable…Et je m'effondra dans un ultime râle...
-"ooooOOOOOOOOOOOOOOOuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii".
…………………………………………………………………………………………………
Je ne sais pas combien de minutes je passai ainsi inconsciente, mais lorsque j'émergea, Fazhil n'était plus là, mais une petite goute de sang perlait de mon sein pour tomber par terre…J'eus du mal de me rhabiller, il me fut impossible de remettre mon soutien gorge, et je supportai à peine le petit haut pourtant léger…
Sans chercher à comprendre ce qui venait de se passer, je sorti du dédale de cave puis de l'immeuble et rentrai tant bien que mal à notre appartement…où je m'arrêtai un instant devant la porte…
FIN DE LA 2°PARTIE
Rencontre avec la vie
Tandis que je descendais les mêmes escalier qu'il y a 30 minutes, je n'étais plus la même personne, une métamorphose c'était produite, venu du plus profond d'un moi inconnu. Mes pas me semblaient décalé de la réalité et pourtant trouvaient avec une certaine sérénité les marches devant moi.
Qu'avais-je fais? me dis- je, alors que le sourire béa qui éclaboussait mon visage s'en fichait pas mal, préférant apprécier tant qu'il était présent le goût qui emplissait ma bouche…
Je rentrai t'en bien que mal, passant directement à la salle de bain évitant de justesse le petit baiser d'accueil de Tom (mon mari) qui eut été fort compromettant s'il avait eut lieu.
Je passai une soirée horrible et une nuit affreuse, mon esprit refusant d'accepter cette nouvelle réalité... j'étais terrorisée par ce futur impossible.
Je décidai de ne rien dire à Tom, surtout par lâcheté et parce que tellement improbable qu'il aurait du mal à me croire.
Je gardai donc mon secret (qui berçait toutes mes nuit depuis qu'il était né) pour moi, et attendait simplement un signe de vie.
En fait de vie, cette invraisemblable rencontre m'avait tout simplement révélée à la vie.
Les jours passèrent, tous plus tristes, plus fades, plus ordinaires les uns que les autres et pourtant le secret espoir d'un coup de fil me rendait folle de vie.
C'est pendant ces journées que j'ai seulement perçu la profondeur de l'idée que "l'espoir fait vivre"…….
Mais voilà on ne refait pas l'esprit comme ça, et de semaine en semaine l'espoir laissa peu à peu ça place au doute (le grain de sable)et de semaine en semaine le doute parti pour laisser venir la peur, et quand la peur s'installe, elle guide le moindre de vos gestes dans une détresse intérieure proche de la mort.
Je trainai ainsi mon malheur, que dis-je, mon enfer pendant plusieurs mois, finissant même par moment à presque douter que cela soit vraiment arrivé, m'accrochant à seulement quelques fragments de mémoire qui finirent par disparaitre, remplacés par le "sans saveur" quotidien qui se chargeait de me faire payer au prix fort mon adultère.
Oh bien sûr je me suis vue plein de fois, retournant à l'appartement où tout avait commencé, mais vous savez, entre se voir faire quelque chose et le faire en réalité il y a parfois un gouffre et en l'occurrence je n'ai pas pus le franchir. Surement que la honte de briser cette éducation "cato un peu coincé" était trop forte pour moi, ou que l'idée de quitter mon Tom que j'aime (et avec qui j'avais plein de projet) pour plonger dans cet ABIME DE FEU que je n'avais qu'entraperçu…non décidément, le doute et le "bon sens" avait eus raison de ma folie passagère et je fini même par me sentir soulagé de ne pas avoir à affronter cette dualités coupable.
Après cet épisode, Tom m'étais apparu plus lisse, sans saveur, presque "mort", mais je remarquai aussi à quelle point il était toujours aussi gentil, prévenant, stable, je pouvais toujours m'appuyer sur lui, et c'était bien.
Je repris le cours des choses, détournant mon esprit par la fréquentation assidu des boutiques (hein les filles!!!). Tom m'y accompagnant très souvent, me donnant son avis, plaisantant sur ci ou ça, m'arrachant parfois un sourire "complice".
Comme cette fois, où je me trouvais dans la cabine d'essayage et qu'il me piqua mes fringues pour me forcer à essayer ceux qu'il voulait, sauf que l'une des vendeuse cru qu'il s'agissait d'un pervers et failli appeler la police…Ont étaient MDR…Et tandis que je passais une robe, il déconnait et me dit :
-"Ahahahahahah….t'a vu la tête de la fille, quelle panique d'un coup"
-"oui hihihi"
-GRRRRrrrrrrRRRRrrrrrRRR….…le vibreur de mon tel retenti et je décrochai directement, encore sous l'effet du rire qui nous avaient emportés.
-"OUI allo…" Dis-je plutôt d'un ton jovial.
-"SALUT MA BELLE…"
Mes jambes cédèrent sous le choc de la voix grave et forte qui me claqua dans la tête, et je m'effondrai dans la cabine.
-"ça va ?" me dit Tom
-"c'est rien j'ai glissé..."
-"ALLO MA PETITE LANGUE DE VIPERE?" Je dus chuchoter pour lui répondre
-"oui…je suis là…?"
-"REJOINS MOI IMMEDIATEMENT A LA GARE".Et il raccrocha aussitôt.
Mon coeur s'emballa méchamment et mon sang recommença à bouillir…je n'y croyais pas, il existait bien…Un grand frisson me parcourut, le genre de frisson un peu bizarre mais surtout un peu unique.
(BOUM-boum-BOUM-boum…j'étais là, paniquée, ne sachant pas vraiment quoi faire…Une bousculade sans nom s'ensuivie dans ma tête, rempli de FLASH passé/ futur/passé/ futur/...mais rien de présent…j'étais complètement perdu…/partir, oui mais vers quoi?vers qui?/rester, oui mais pourquoi?et pour qui?…
Je passai de longues secondes a me torturé les neurones avant…de me relever, de sortir de la cabine et de dire à Tom:
-"Je viens de recevoir un coup de fil de Maya (une amie souvent déprimée), je dois passer la voir, ça n'a pas l'air d'aller".
-"tu veux que je t'accompagne"
-"non t'es gentil mais tu sais on va se dire des trucs de fille, rentre je t'appellerai"
Des trucs de fille pensai-je, s'il s'avait!!!
Je marchai rapidement pour atteindre la gare qui n'était pas loin du centre où nous nous trouvions.
Le trajet fut pour moi l'occasion d'une nouvelle métamorphose… je ne savais pas pourquoi je faisais ça, je savais juste qu'il me serait inutile de lutter contre une telle envie…On dit que l'envie d'une drogue dure dépasse toutes les autres démangeaisons de l'esprit, et bien Fazhil était ma drogue dure et j'allais réclamer ma dose…
En approchant de la gare, j'aperçus sa forte carrure et marchai droit vers lui…mon coeur battait de plus en plus fort à mesure que j'approchais. Mais soudain,la vision de cet homme plutôt lait, gras, sale, me troubla à la limite du dégout…Mais qu'est ce qui pouvait bien m'attirer chez ce type??? Comment pouvait-on être à ce point perturbée par une autre personne??? cela me dépassait…
Arrivée en face de lui je ne sus quoi dire, et me contentai de lui sourire tout en continuant à me liquéfier intérieurement, et c'est lui qui cassa le silence…
-"salut Marina je suis très heureux de te voir"…
Le choc de sa voix fut brutal car elle était aussi douce que la première fois qu'elle m'était parvenu. Et j'en fus complètement surprise et dérouté.
-"Je…Moi… aussi Fazhil je suis très heureuse"
Tandis qu'il s'avança, il me fit un petit smack sur la joue et tout aussi gentiment,me prit la main et dit.
-"viens on va marcher un peu, tu veux bien?"
-" oui bien sur… "Surprise par cette attitude.
Et nous avons marché comme ça main dans la main un bon moment tout en échangeant quelques banalités toujours délicatement.
J'étais bien…surprise mais bien, bien parce que je ressentais une sorte de calme qui émanais de lui et qui refluait sur moi. Ce n'était d'ailleurs pas la seule chose qui émanait de lui, en effet Je n'ai pus m'empêcher de capter cette forte odeur si spéciale dont j'avais fait mon héroïne et j'espérais secrètement pouvoir y gouter à nouveau.
Nous avons déambuler ainsi une bonne demi-heure et j'avoue n'avoir pas fait attention où l'on pouvait se trouver, mais la rue que nous empruntions maintenant me sembla glauque, je ne mis serais jamais aventuré seule, moi la "plus que réservée Marina" comme disait mon patron. Non cette endroit ne collait pas avec moi.
Nous avons croisé deux types louche du genre "défoncé" qui me reluquèrent des pieds à la tête, et lancèrent même un commentaire que je ne compris pas.
Au bout de la rue, il me fit descendre quelques escalier non éclairé pour s'engouffrer dans quelques dédales de cave d'immeuble, et comme il ne disait plus rien depuis peu, je me senti soudain mal à l'aise et mon coeur se chargea de me le faire remarquer et s'emballa.
Et je ne fus pas au bout de mes surprises quand il ouvrit une porte et alluma, je découvrit une sorte de squatte avec des matelas dégueu, une veille table avec des bouteilles, 2 ou 3 vieux posters tombant en lambeau et carrément des seringues posé à coter des cendriers débordant…L'horreur…
De nouveau flux d'adrénalines envahir mon corps et me firent trembler de tout mes membres, que faisait-on ici?
Heureusement sa douce voix vint me rassurer:
-"c'est pas terrible, mais ne t'inquiète pas, on s'ra pas dérangé…"
L'odeur était pesante et forte, surement des odeur d'urine ancienne qui me prenait toutes les narines.
Il s'avança, s'allongea sur un des matelas, me fixa avec un regard un peu triste et me dis.
-"tu vois j'étais là il y'a 2h et j'ai pensé a toi Marina et c'est la première fois depuis des mois et des mois que ton image me revenait aussi net que si tu étais là…et j'ai compris qu'il fallait que je te vois".
Je pensai alors (il était là il y a 2h mais avec qui? une autre femme? peu m'en importais, car là à cet instant j'avais vraiment l'impression d'être la seule qui compte à ses yeux).
-"mais pourquoi pas plus tôt, j'ai cru ne jamais te revoir"sa douceur de voix m'incita a le tutoiyer.
-"je ne sais pas… c'est dans ma tête... tu veux venir t'allonger?"
Je n'attendais que ça, mais sa manière de m'y inviter me bouscula le ventre et je senti l'excitation montée en même temps que les bouffées de chaleur poussaient mon sang dans vers l'extrémité de tous mes membres. Il faisait froid mais j'avais chaud.
Alors que je remontais le matelas a quatre patte pour le rejoindre, une étrange pensée me vint (et si Tom me voyait là , moi sa douce et si parfaite petite femme qui console Maya).
Cette pensée me toucha et tandis que je m'approchais pour me blottir vers cet homme étrange, une pulsion soudaine attira mon regard vers son entre jambe…et je pensai a nouveau (regarde Tom, regarde de quoi a t'elle envie ta petite femme chérie).
Mes mains se posèrent sur ses cuisses puis remontèrent doucement pour se rejoindre, dégrafer les boutons de son jeans et l'ouvrir afin de libérer ce que je ne connaissais pas encore de lui et qui m'intriguais au plus au point.
Sa forte taille me posa problème pour descendre suffisamment son pantalon, mais dés que j'y parvins, ce mouvement libéra une forte odeur, mais bien différente de celle son torse ou de ses aisselles.
L'apparition de son sexe au milieu d'une foret de poils sombre ne tarda pas (il ne portait pas de slip) et je découvris une sorte de gros serpent inerte et tombant sur ses couilles. Je pris mon temps pour m'en saisir, le faire légèrement rouler dans mes mains et approcher mes lèvres de ce membre sans vie.
Je retroussai délicatement son prépuce, et tandis que mes lèvres préparèrent au contact, je pensai de nouveau à Tom (regarde mon chéri, c'est bien moi qui prend délicieusement cette queue dans ma bouche et j'en ai envie t'as même pas idée)…
Mes lèvres se posèrent enfin sur son gland et lui donnèrent quelques petits baiser avant de l'enfermer dans ma bouche et exercer quelques pressions discrète…ne voyant pas de vigueur à l'horizon, je décidai de libérer ma langue experte afin quelle accomplisse son savoir et son devoir…
Son gout était aussi délicieux que se que j'avais déjà gouté de lui, et tandis que ma langue léchait maintenant ses couilles, je senti de petite vibration a la base de son sexe qui commença à grossir. Je le repris en bouche car j'adore sentir grossir un sexe dans ma bouche…et c'est exactement ce qui ce produisit.
Et je le senti gonfler rapidement pour atteindre non pas une grande longueur mais surtout un diamètre impressionnant qui emplissait ma bouche totalement.
C'est le moment que je choisi pour le sucer comme une reine suce son roi…et ces petite manifestations oral me confirmèrent que j'étais sur la bonne voie…
-"Aaarrrgh…argggg…hummmrrgg…"
J'amplifiai le rythme de mon va et viens a mesure qu'il aimait…Jusqu'au moment ou ses mains se posèrent sur ma tête et bloquant ainsi toute retraite de ma part et tandis que je l'enfonçai le plus loin possible dans ma gorge, je senti une première contraction de sa verge, signe d'une éjaculation imminente que je n'avais nul envie de laisser échapper…
Et je senti non pas des jet venant frapper mon palet mais plutôt un écoulement continu et très épais qui n'en finissait pas de remplir ma bouche, tandis qu'il jouissait fortement…
-"AAAAHHHH…AAAAHHH…OOOOHHHH…"
Il relâcha ensuite la pression de ses mains, libérant mes mouvement de tête, je plaçai alors mes lèvres au bord de son gland pour ne pas perdre une seule goute du précieux nectar…
Et seulement quand je fus certaine que la source c'était tari, je relevai la tête pour le regarder dans les yeux pour lui montrer une chose que je n'avais jamais faite a mon mari…ma bouche était rempli de son foutre épais et je désirais plus que tout avaler la totalité de sa semence…Il n'en manqua pas une miette, et je dus avaler en deux fois ce délice, amer et salé, tant la quantité était importante.
Je glissai ensuite sur lui pour venir l'embrasser et me lover dans ses bras puissant…et nous restâmes ainsi un long moment, avant que je ne pense à rentrer…
-"Bon j'vais devoir y aller…tu sais?"
Il desserra son étreinte pour me laisser partir et je me levai directement pour me diriger vers la porte quand soudain…
-"NON MAIS TU CROIS QUOI PETITE SALOPE…QUE TU PEUX VENIR ICI ME SUCER TROMPER TON MARI ET REPARTIR QUAND TU VEUX???…"
Mon sang se glaça, figeant du même coups tout mon corps…je ne pouvais même pas me retourner tant la violence de sa voix me terrifia…
-"REGARDE MOI QUAND JE TE PARLE"
J'obéis avec quelques difficultés tant mes muscles c'étaient figé. Et je le vis assis sur le lit, terrifiant d'inexpression et cette rapide transformation me fit complètement flipper.
Immédiatement, cette apparition entraina une puissante excitation qui me transperça le corps de part en part et me fis couler pleins de jus dans ma culotte.
-"METS TOI A POILS ET FOUS TOI A GENOUX LES MAINS DANS LE DOS...…ET PLUS VITE QUE CA …MA PETITE PUTE"…
IL se leva tandis que j'obéissais sans broncher…
-"QU'EST CE QUE JE VAIS FAIRE DE TOI HEIN?…"
-"ce que…ce que vous VOULEZ"
-"JE VAIS TE FAIRE MAL TU SAIS…MAIS TU DOIS APPRENDRE"
Ces dernières paroles me firent fondre de bonheur tant ma terreur était grande.
-"PENCHE TOI EN AVANT….VOILA C'EST BIEN…ON VOIT BIEN TES SUPERBE GROS SEINS TOMBANT"
Il s'approcha tandis que je m'exécutai…
-"ECARTE UN PEU LES JAMBES CAR SI TES GENOUX OU TES BRAS QUITTE LEUR POSITION ACTUEL JE TE GARDE AVEC MOI TOUTE LA NUIT, SINON TU POURRA PARTIR"
-"d'accord…"J'étais de nouveau en transe, fascinée, toute excitée, toute mouillée et lui appartenant totalement, plus encore que la première fois...
Il s'abaissa, plongea son regard sur mes seins et je le vis brandir son bras et le rabattre avec une violence inouï sur mon seins droit, le "CLAQUANT" sur la pointe, m 'arrachant un cris strident…
-"AAAAHHHAAAIILLLL"
-"TU VOIS DANS QUEL ETAT TU M'A MIS…SALOPE"…
-CLAC…AAIILLE…CLAC…AAIILLEU..CLAC…AAAIIILLEUU…CLAC…AAAAIIILLLEUU…CLAC…AAAAAIILLLEEUUU...
Et là, une terrible pluie de coups qui s'abattit sur mes seins pendants, parfois avec le plat de la mains parfois avec le dos, parfois avec les doigts ou la paume de la main…mais quelque soit la manière, cela m'arrachait a chaque fois un cri et une douleur terrible, qui par un réflex instantané fit venir de lourd sanglots qui tombaient directement sur mes seins qui commençaient à être sérieusement marqué par cette avalanche de coups. Mais à ma grande surprise, et malgré cette violence acharné, à aucun moment je ne cherchai à lui échapper…oui moi cette petite femme fluette, timide, fragile, ne savait pas comment et où je trouvai la force de résister et de ne pas bouger pour éviter cette torture…
Puis en un instant, il s'arrêta, se recula, me fixa avec des yeux injectés de sang…et me dit:
-"IL FAUT QUE JE TE LAISSE UNE MARQUE…QUI TE FASSE REFLECHIR…"
Il s'approcha à nouveau, se mis à genoux devant moi, saisi mon sein gauche à sa base dans sa large main et se mis à le serrer de toutes ses forces, m'arrachant un nouveau hurlement, (j'avais l'impression qu'il me broyait et pourtant,…hummm quel délicieuse douleur).
Il se pencha d'avantage et se mis à embrasser tendrement ce téton bien dresser par l'excitation suprême que je vivais, puis il le mordilla légèrement puis se mis en devoir de l'aspirer avec force en raclent le mamelon tout le long de ses dents…J'étais au anges…Quand soudain, je crus mourir de douleur…
-"aaaiiiiiiLLLLLLLE…aaarrrrêêêêêêttte"
Je me senti à la limite de l'évanouissement, tant sa morsure semblait me déchirer le bout du sein…Mais paradoxalement, dés qu'il desserra sa mâchoire (après quelques longues secondes), une exquise sensation de libération difficile à décrire me submergea d'un violent orgasme incontrôlable…Et je m'effondra dans un ultime râle...
-"ooooOOOOOOOOOOOOOOOuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii".
…………………………………………………………………………………………………
Je ne sais pas combien de minutes je passai ainsi inconsciente, mais lorsque j'émergea, Fazhil n'était plus là, mais une petite goute de sang perlait de mon sein pour tomber par terre…J'eus du mal de me rhabiller, il me fut impossible de remettre mon soutien gorge, et je supportai à peine le petit haut pourtant léger…
Sans chercher à comprendre ce qui venait de se passer, je sorti du dédale de cave puis de l'immeuble et rentrai tant bien que mal à notre appartement…où je m'arrêtai un instant devant la porte…
FIN DE LA 2°PARTIE
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