le voyeur
Récit érotique écrit par Michel63 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2006 dans la catégorie Plus on est
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le voyeur
Le voyeur
Avec ma femme, nous sommes partis rendre visite quelques jours à une tante dans le midi. L’appartement est au rez-de-chaussée et donne sur un jardinet. Le soir venu nous allons nous coucher, j’allume la lampe de chevet et éteins le plafonnier. Il fait chaud, nous ouvrons les fenêtres et commençons à nous dévêtir quand je vois derrière les persiennes par la jointure des lamelles usées comme une ombre. Discrètement je sors, fais le tour de l’immeuble , effectivement il y a quelqu’un. Au début j’ai envie de le chasser, mais je préfère profiter de la situation. Je reviens dans la chambre et dis à ma femme que tout est normal. Je m’ installe en face d’elle du côté de la fenêtre et lui demande de se déshabiller doucement. Lentement elle déboutonne son chemisier, l’ouvre, découvrant son soutien-gorge blanc à fines dentelles, le dégrafe, laisse retomber ses petits seins ronds, se baisse, en pointant ses fesses en arrière et d’un mouvement de hanche fait glisser sa culotte le long de ses jambes. Maintenant elle est nue, je pense à cet autre qui doit se délecter du spectacle. Elle s’allonge sur le lit les jambes entrouvertes, la lumière est suffisante pour éclairer son intimité et découvrir son sexe déjà humide. Dans le miroir de l’armoire j’aperçois dans l’entrebâillement des volets le voyeur qui cherche certainement le meilleur point de vue. Elle commence à caresser tendrement sa poitrine, pince ses tétons en érection, les abandonne pour descendre jusqu’à son pubis. Là, elle écarte ses cuisses, introduit son index à l’intérieur du vagin, recueille l’élixir, remonte sur son clitoris, l’excite en faisant des mouvements circulaires, tire sur ses lèvres, met sa main à plat contre son sexe qui commence à briller. Son excitation monte et la mienne aussi. Tandis qu’elle titille son bouton qui grossit, je caresse délicatement son anus avant d’y glisser progressivement un doigt. Sa jouissance s’accroît et devient bientôt extrême, elle pousse un gémissement de plaisir et serre très fort ses cuisses. Je la laisse à son extase et retourne dehors. Dans la pénombre je vois une silhouette dissimulée par la haie de lauriers. A pas de loup je me rapproche et découvre une fille, la jupe retroussée, la main entre les jambes qui se masturbe. De l’autre , elle caresse ses petits seins qui pointent sous son tee-shirt et d’un mouvement soudain les fait jaillir du décolleté afin de saisir et de serrer fortement ses mamelons. Ses gestes sont rapides et brutaux, elle doit être au sommet de son excitation. J’ai envie de l’aider mais je préfère rester caché pour profiter du spectacle. Elle sort un objet de sa poche, certainement son briquet et se l’enfonce dans le vagin avec frénésie. Bientôt toute haletante elle se met à jouir en étouffant une saccade de petits cris puis elle se fige, c’est terminé. Je n’en peux plus, mon membre durci est tout gonflé, je m’esquive rapidement avant d’être découvert. Je retrouve ma femme les joues encore toutes rouges, sa beauté dénudée m’appelle, ses jambes sont écartées, sous le duvet soyeux je devine les lèvres de son sexe entrouvert, la pointe durcie de ses aréoles plissées m’attire. Dans ma tête, toutes ses images se bousculent et m’existent au plus haut point. Jamais mes envies n’ont été aussi fortes. Je ne tiens plus, mon membre tout raide va éclater, je ne pense plus qu’à assouvir mon désir dans ce corps aussi sensuel. Je lui prends les seins et rentre mon pénis tout dur dans son intimité toute humide pour lui offrir après quelques secousses musclées la liqueur chaude de notre amour.
Avec ma femme, nous sommes partis rendre visite quelques jours à une tante dans le midi. L’appartement est au rez-de-chaussée et donne sur un jardinet. Le soir venu nous allons nous coucher, j’allume la lampe de chevet et éteins le plafonnier. Il fait chaud, nous ouvrons les fenêtres et commençons à nous dévêtir quand je vois derrière les persiennes par la jointure des lamelles usées comme une ombre. Discrètement je sors, fais le tour de l’immeuble , effectivement il y a quelqu’un. Au début j’ai envie de le chasser, mais je préfère profiter de la situation. Je reviens dans la chambre et dis à ma femme que tout est normal. Je m’ installe en face d’elle du côté de la fenêtre et lui demande de se déshabiller doucement. Lentement elle déboutonne son chemisier, l’ouvre, découvrant son soutien-gorge blanc à fines dentelles, le dégrafe, laisse retomber ses petits seins ronds, se baisse, en pointant ses fesses en arrière et d’un mouvement de hanche fait glisser sa culotte le long de ses jambes. Maintenant elle est nue, je pense à cet autre qui doit se délecter du spectacle. Elle s’allonge sur le lit les jambes entrouvertes, la lumière est suffisante pour éclairer son intimité et découvrir son sexe déjà humide. Dans le miroir de l’armoire j’aperçois dans l’entrebâillement des volets le voyeur qui cherche certainement le meilleur point de vue. Elle commence à caresser tendrement sa poitrine, pince ses tétons en érection, les abandonne pour descendre jusqu’à son pubis. Là, elle écarte ses cuisses, introduit son index à l’intérieur du vagin, recueille l’élixir, remonte sur son clitoris, l’excite en faisant des mouvements circulaires, tire sur ses lèvres, met sa main à plat contre son sexe qui commence à briller. Son excitation monte et la mienne aussi. Tandis qu’elle titille son bouton qui grossit, je caresse délicatement son anus avant d’y glisser progressivement un doigt. Sa jouissance s’accroît et devient bientôt extrême, elle pousse un gémissement de plaisir et serre très fort ses cuisses. Je la laisse à son extase et retourne dehors. Dans la pénombre je vois une silhouette dissimulée par la haie de lauriers. A pas de loup je me rapproche et découvre une fille, la jupe retroussée, la main entre les jambes qui se masturbe. De l’autre , elle caresse ses petits seins qui pointent sous son tee-shirt et d’un mouvement soudain les fait jaillir du décolleté afin de saisir et de serrer fortement ses mamelons. Ses gestes sont rapides et brutaux, elle doit être au sommet de son excitation. J’ai envie de l’aider mais je préfère rester caché pour profiter du spectacle. Elle sort un objet de sa poche, certainement son briquet et se l’enfonce dans le vagin avec frénésie. Bientôt toute haletante elle se met à jouir en étouffant une saccade de petits cris puis elle se fige, c’est terminé. Je n’en peux plus, mon membre durci est tout gonflé, je m’esquive rapidement avant d’être découvert. Je retrouve ma femme les joues encore toutes rouges, sa beauté dénudée m’appelle, ses jambes sont écartées, sous le duvet soyeux je devine les lèvres de son sexe entrouvert, la pointe durcie de ses aréoles plissées m’attire. Dans ma tête, toutes ses images se bousculent et m’existent au plus haut point. Jamais mes envies n’ont été aussi fortes. Je ne tiens plus, mon membre tout raide va éclater, je ne pense plus qu’à assouvir mon désir dans ce corps aussi sensuel. Je lui prends les seins et rentre mon pénis tout dur dans son intimité toute humide pour lui offrir après quelques secousses musclées la liqueur chaude de notre amour.
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